En lisant le texto elle sourit. Nous sommes les premiers à partir, et Chloé comme une bonne salope prend les devants en disant :
• Ne bougez pas de vos chaises, je vais faire le tour !
Et devant chacun des convives, elle dévoile sa poitrine, encore une fois une belle salope. Tous les hommes sont fous de voir que cette jolie femme leur montre ses seins sans que ça la dérange et qu’elle semble même aimer ça car elle fait quatre bises à chaque personne. Ce qu’ils ne savent pas c’est que c’est pour me faire plaisir. Celui qui a l’air le plus excité c’est l’oncle Georges, un veuf de 55 ans, qui ne respire pas la propreté depuis la perte de sa femme il y a un an. Il est tout rouge, ses yeux sont exorbités et il sent la transpiration.
Nous nous dirigeons maintenant vers la porte, mon fils dort dans les bras de Chloé, mes beaux-parents derrière et moi avec les affaires de mon fils. Sous le porche je dis au revoir à mes beaux-parents, Chloé m’accompagne à ma voiture pour tout charger. J’installe mon fils, ferme la porte et me retourne vers Chloé. Mes beaux parents sont loin derrière elle et ont encore un moment avant de récupérer leur voiture pour venir chercher leur fille près de la mienne. Je lui dis:
• Tu as aimé cette soirée ?
• Oui beaucoup mais tu ne m’a toujours pas prise, j’attends!
• Non pas ce soir, il faudra que tu attendes. En revanche tout le monde a vu tes seins en partant sauf moi. Allez enlève ça !
Elle soulève à nouveau son pull. Je la pelote sauvagement. Je lui déforme les seins.
• Non dis à mes parents que tu me ramènes et prends moi dans un coin.
• Non pas ce soir je te dis. Tu aimes ça quand je te massacre les seins comme ça !
• Oui ça m’excite. Tu ne peux pas me laisser comme ça. J’ai envie que ta grosse bite – jamais je n’en ai vu une aussi grosse – me défonce. J’envie ma sœur…
Je descends ma main dans son pantalon qui est déjà tout ouvert, celle-ci atteint facilement sa chatte. J’y enfile 2 doigts à nouveau.
• Mais tu mouilles encore comme une folle !
• Je te le dis ! il faut que tu me prennes !
• Ok mais tu devras faire tout ce que je te dis ? Le moindre refus de ta part et j’arrête…
• Ok pas de soucis !
La voiture des parents se rapproche, elle amorce un virage et s’arrête à 5 mètres derrière Chloé. Son manteau cache à ses parents le fait que son pull est remonté jusqu’au cou, mais aussi que ma main est dans son pantalon.
Elle tourne la tête vers eux pour leur dire quelque chose. Je lui coupe la parole :
• Je ramène Chloé chez Laurent elle veut dormir la bas !
• Ok fais attention à toi Chloé.
• Chloé : merci je ferai attention. Bonne nuit.
• Moi : bonne nuit rentrez bien.
• Eux : bonne nuit.
Une fois ses parents partis, j’accentue la pression de mes doigts dans sa chatte et lui dis :
• Je te préviens tu vas morfler !
• Je n’ai pas peur!
• Je t’aurais prévenue!
• Vas y lâche toi.
• Ok c’est parti !
Je sors ma main gluante de sa mouille, je l’essuie sur son pull, je sors ma bite et j’att**** Chloé par les cheveux pour la mettre accroupie. Je lui enfourne ma bite dans la bouche et je la baise du plus fort que je peux, comme si sa bouche était un sexe. Comme tout à l’heure dans la chambre, il reste toujours 5 cm qui ne rentre pas dans sa bouche. Alors plutôt que de faire des va et vient, j’appuie bien fort pour lui déformer le larynx et ainsi pratiquer un « gorge profonde ». Petit à petit, cm par cm, ma bite rentre un peu plus. La bave coule sur son menton, son pull reçoit des filaments gluants de salive. Des larmes coulent au coin de ses yeux. Je suis en train de lui baiser la bouche dans la rue, n’importe qui pourrait nous surprendre et elle, elle me laisse la traiter ainsi. Ca y est, ma queue rentre entièrement maintenant dans sa bouche à chaque va et vient. Je reprends alors comme si j’étais dans sa chatte et lui dis :
• Tu vois je te disais que tu as une bouche à pipe. La t’es une bonne suceuse. Tu aimes ça ?
• Argha oouuuiiiiirrggb
• Ok alors on va continuer !
J’y vais de plus belle. Mes couilles frappent son menton vraiment très fort, à la limite de me faire mal. Je lui bloque la tête avec ma bite au fond de sa gorge et la fait avancer ainsi jusque devant ma voiture. Mon sexe énorme l’étouffe, je le retire, elle reprend de l’air. Je la relève toujours en la tirant par les cheveux, son menton est couvert de bave, ses yeux sont pisseux et des larmes coulent sur ses joues. Je lui enlève son manteau, le jette par terre, je lui crache sur le visage, la retourne face a ma voiture et j’appuie fortement sur sa nuque pour qu’elle se penche sur le capot. J’att**** le haut de son pantalon et tire violemment dessus pour le descendre jusqu’à ses chevilles faisant ainsi partir le dernier bouton qui restait sur son jean. Je lui dis alors :
• C’est ma grosse bite que tu veux dans ta chatte! Attends tu vas voir, je vais te défoncer. Je vais te fourrer tes entrailles, sale pute !
Je lui écarte les jambes et j’approche mon mandrin des lèvres de sa chatte, je pose une main sur son dos en appuyant un peu, et l’autre sur sa tête mais en appuyant bien fort pour lui plaquer le visage contre le capot. Je lui dis :
• C’est ça que tu veux, que je te fourre comme une pute?
• Oui c’est ça prend moi ! J’en meurs d’envie !
J’appuie encore plus fort sur sa tête et, d’un coup de rein sec et violent, je rentre la totalité de ma verge dans ses entrailles. 25 cm dans sa moule, ça rentre comme dans du beurre tellement elle est mouillée. Elle gémit de plaisir. Je la défonce plusieurs fois à un rythme de plus en plus rapide. Avec ce traitement elle ne tarde pas à jouir tant je la ramone sans m’arrêter, ma sueur dégoulinant sur son cul.
C’est alors que la porte de la cousine s’ouvre car les derniers invités partent. J’agrippe Chloé par les cheveux avec mes deux mains pour lui faire remonter la tête afin qu’elle puisse les voir partir elle aussi.
Elle se trouve dehors, le pantalon baissé jusqu’aux chevilles, ma bite au fond de ses entrailles, le cul cambré au maximum, son ventre et ses seins dénudés contre le capot de la voiture, son dos légèrement dénudé et mes 2 mains tirant sur ses cheveux comme sur les rênes d’un cheval.
Je la chevauche de plus en plus fort, tirant aussi de plus en plus fort sur ses cheveux. Je veux qu’elle hurle de plaisir. Je lui dis :
• Tu les vois là bas! Tout à l’heure ils ont tous eu envie de toi quand tu leur as offert tes seins. Si on appelait les hommes pour qu’ils se vident les couilles dans ta chatte? Tu ne veux pas faire plaisir à l’oncle Georges qui depuis plus d’un an n’a certainement plus baisé ?
• Non pas ça, ils sont de ma famille, je ne veux pas, ils ne sont pas beaux en plus! Et l’oncle Georges en plus il sent mauvais !
• En tout cas je peux te dire qu’ils vont certainement t’entendre ma salope!
Je lui envoie alors des coups de bite tellement forts dans sa chatte, que son corps avance à chaque coup de mes 25 cm. Limite si elle ne grimpe pas sur le capot. Elle crie de plaisir, à chaque coup, elle crie à nouveau. Effectivement ils nous ont bien entendus mais ne nous voient pas. L’un d’eux crie vers nous:
• C’est bon Chloé, la pute de service, on t’a reconnu. Tu peux sortir de ta cachette.
Je lui dis tout bas:
• Dis leur que c’est bien toi !
Et à chaque coup de bite elle crie :
• Oh oui, oh oui c’est bien moi, oui c’est moi Chloé, rharhaharha oui, baise moi fort!
• On s’en doutait, t’inquiète pas on en parlera pas à tes parents. Continue ton taff, et applique toi surtout!
• ho oui, ho oui, ho oui ! Merci. Merci. Merci.
• Tu nous devras quelque chose maintenant sale pute!
• Oh oui, ho oui, oh oui, d’accord! »
Alors je retire ma bite de sa chatte, la tire en arrière. Je la jette au sol. Elle se met toute seule à quatre pattes, se cambrant en attendant que je la fourre à nouveau. Je me place derrière elle, place ma queue à l’entrée de sa chatte, je passe mes mains de chaque coté de son corps pour att****r ses seins sous son pull. Je les cramponne le plus fort possible, et les tire d’un coup sec vers l’arrière, au même moment je lui envoie un coup de rein très violent en m’enfonçant au plus profond de sa matrice. Elle hurle de plaisir pendant tout le temps où je lui déforme ses seins avec mes mains, tirant dessus comme si c’étaient des poignées.
Après quelques minutes dans cette position, je lui lâche son sein droit, et place ma main sur sa fesse droite. Je lui titille l’anus avec mon pouce. Aussitôt, elle att**** mon bras et me dis:
• Non! Non pas mon anus, je ne veux pas !
Je lui enfonce alors bien profond mon pouce dans son cul et répond:
• Je ne vais pas t’enculer ce soir, mais ce trou est le mien. Ok, personne d’autre que moi n’a le droit d’y entrer. C’est bien compris ?
• Non je te dis ! Je ne veux pas me faire sodomiser !
J’appuie bien fort mes doigts sur son cul et mon pouce dans son trou de balle, comme pour serrer quelque chose dans la main. De telle sorte qu’elle ne pourra jamais faire sortir mon pouce sans que je le décide. Je lui dis :
• Je serai le seul à t’enculer, personne d’autre ne pourra le faire. Je ne te demande pas la permission, je te le dis. C’est comme ça, je ne te laisse pas le choix.
(Elle répond avec une petite voix de soumission)
• D’accord c’est promis personne ne m’enculera sauf toi. Mon trou t’appartient.
• C’est bien Chloé. Ne t’inquiète pas tu n’auras pas mal. Tu y prendras même goût !
J’enlève mon doigt de son trou de balle, je lâche son sein et je la laisse faire maintenant. C’est elle qui s’empale sur ma bite et imprime le rythme. Comme une pute. Une voiture passe à ce moment là, ses phares nous éclairent rapidement. Sûr, les gens dans la voiture nous ont vus. La voiture s’arrête à 5 mètres devant nous. Ce sont des inconnus, deux hommes, la vitre passager s’ouvre et l’un deux nous dis :
• Ca va tout se passe bien ?
Je réponds :
• Oui très bien, je suis désolé elle ne pouvait plus tenir. Elle voulait que je la fourre. Alors on a fait ça ici.
• Très bonne idée. Tu veux un coup de main ?
• Non merci c’est gentil, mais comme vous voyez moi je fais rien, c’est elle qui se baise toute seule. Une vrai pute quoi! Et puis là je vais me vider et on part.
• Tant pis, bonne bourre!
Chloé répond:
• Merci !
La voiture repart. Je saisi Chloé par les hanches, et lui pilonne la chatte. Encore et encore. Elle tombe à plat ventre m’entrainant avec elle. Je l’écrase de mon poids tout en continuant à la baiser. Au bout de quelques minutes, j’explose enfin dans sa chatte. J’en avais tellement envie que je remplis son con de foutre. Je reste quelque instant en elle pour récupérer un peu et je me retire. Du sperme coule légèrement de son sexe. Elle reste ainsi allongée par terre quelques instants. Je la tire par les cheveux pour la remettre debout. Je me baisse à hauteur de sa chatte pour voir dans quel état elle est.
Elle est dégueulasse, luisante de sa mouille, totalement dilatée, ça fais un trou où du sperme commence à sortir pour venir couler le long de sa cuisse. J’att**** son pantalon, le remonte jusqu’en haut. Je place ma main sur son sexe au travers du jean et frotte bien pour essuyer sa chatte avec. Je sens le liquide bien chaud sortir de sa chatte et tremper son jean. Tout en continuant à lui frotter le sexe je me relève à sa hauteur et lui dis:
• Ca va ? Je n’ai pas été trop brutal avec toi ?
• Oui ça va ! Si un peu quand même, mais ça va.
• Tu peux me le dire tu sais, je comprendrai, même si je t’avais prévenu.
• Tu me l’avais annoncé et ce n’était pas une surprise. Je vais bien ne t’inquiète pas. Et puis tu m’as fait prendre mon pied comme jamais je ne l’avais pris. D’habitude les mecs me traitent toujours comme une princesse, ils sont avenants avec moi. Mais là tu m’as vraiment défoncée !
• Oui mais tu as aimé ?
• J’ai adoré!
Je récupère un paquet de mouchoir dans la voiture pour qu’elle s’essuie le visage. Et lui dis :
• Bon on va rentrer, parce qu’avec le bruit que tu as fais, je pense que tu vas bientôt avoir une réputation dans le quartier. Déjà que dans ta famille tout monde sait que tu es une pute maintenant.
• Arrête la honte, pourquoi je leur ai dit ça moi. Qu’est ce qu’ils vont vouloir de moi maintenant.
• Ton cul je pense.
• Putain là je suis mal !
• Tu n’oublies pas, il n’y a que moi qui t’encule, personne d’autre!
• Oui je sais mais je n’ai pas envie de me faire fourrer par tous les hommes de ma famille.
• Tu sais ils ont tous des femmes, je ne pense pas qu’elles vont les laisser t’approcher. Allez, monte on rentre.
Elle récupère son manteau par terre et monte dans la voiture en tenant des deux mains sont jean qui n’a plus de boutons. Je me moque d’elle tellement elle est ridicule dans cet état.
• Finalement tant qu’on est dans la voiture, enlève ton pantalon. Mets-le sur le siège passager pour que tu puisses t’asseoir dessus sans tacher mon siège. Je ne voudrais pas que ta sœur s’aperçoive que j’ai trimbalé une pute dans notre voiture !
• Oui tu as raison je dégouline de mouille et de sperme. Mais mon dieu que tu m’as fait du bien ! Tu es vraiment un sacré baiseur et ma sœur a beaucoup de chance…
Elle exécute ma demande et monte dans la voiture. Comme nous en avons pour près d’une heure de route pour l’emmener chez son copain je décide de m’amuser un peu avec elle pendant le trajet. J’ai joui dans sa chatte mais j’aimerais encore finir dans sa bouche, qu’elle avale tout mon foutre et cette fois-ci sans rechigner et sans manifester de dégoût comme elle l’a fait dans la chambre tout à l’heure.
Je regarde si mon fils dort sagement à l’arrière et c’est le cas… Je démarre alors la voiture et nous partons.
(à suivre)
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