Yasmina est une marocaine d’environ 45 ans alors que moi, j’ai 25 ans. Elle est mariée avec un arabe qui est beaucoup plus vieux qu’elle et doit avoir 65 ans. C’est une femme très gentille, toujours souriante et aimable. Elle mesure environ 1,60m et aime porter des jupes. Elle est un petit peu grasse mais ça lui va bien. Pour le dire simplement, Yasmina est une femme appétissante.
Une fois par an, il y a une fête des voisins et elle est à chaque fois le centre de l’attention et des regards. Elle danse comme une possédée, fait virevolter sa robe sur le rythme d’une salsa, d’un merengue ou de la zumba. Elle aime se sentir désirée. Son mari ne danse pas alors la dernière fois, c’est moi qui lui ait servi de cavalier. J’avoue que le fait de danser avec elle, alors qu’elle se frottait à moi avec son odeur musquée ne m’a pas laissé insensible et mon sexe est rentré en érection (ce qu’elle a senti). Elle m’a juste souri et une fois rentré chez moi, je me suis masturbé en pensant à ses formes…
Un soir, ma copine n’était pas là et je me décide à aller faire un tour dans un bar de salsa qui venait d’ouvrir à côté de chez moi. Qu’elle ne fut pas ma surprise de la voir danser sur la piste entourée de Noirs. Elle portait une blouse serrée et comme elle avait sué sur la musique, on pouvait apercevoir sa poitrine par légère transparence. Mon Dieu, pour l’âge qu’elle avait ses seins semblaient encore défier le ciel.
Elle me vit et vint me saluer « Bonjour voisin, alors on sort sans sa copine? ». Je lui fis remarquer que son mari n’était pas là non plus mais elle me prit la main pour aller danser alors qu’une nouvelle salsa démarrait. Nous commençâmes à danser très sagement. Moi je la mangeais des yeux, elle rougissait et elle me dit qu’elle aimait ma façon de danser. Je lui proposais de lui payer un verre à boire, elle dit ok pour un mojito pendant que moi je pris un cuba libre (coca rhum).
Je sentais comment les autres hommes de la boîte de nuit la regardait. Elle s’assit les jambes croisées et mon regard se perdit le long de ses jambes couleur caramel. Elle portait une paire de talons rouges très voyants qui mettaient en valeur le galbe de son pied. Sur sa cheville nue, il y avait un tatouage représentant un petit coeur.
Je crois qu’elle fit exprès de se contorsionner et de remonter légèrement sa blouse et je distinguai un string de couleur jaune.
Les premières notes d’une bachata se mirent à résonner et elle me prit par la main en disant allons danser. Elle m’emmena vers le fond de la salle dans un endroit plus au calme. Je la pris contre moi avec mes deux bras, elle s’accrocha à mon cou et me dit à l’oreille « tu m’excites ». Je l’embrassai dans son cou qui était brûlant. Alors que nous dansions, mon sexe dressé était à la hauteur de l’entrée de son vagin et nous bougions nos bassins en cadence sur le son de la musique latine. Je lui pris fermement les fesses. Que son derrière était bon : ferme et large à la fois, cela devait être un vrai plaisir de la fourrer cette garce arabe.
Elle reprit le contrôle d’elle-même et me dit qu’elle devait rentrer chez elle maintenant. Elle était ma voisine du 4ème étage et moi son voisin du 3ème étage. Elle prit son manteau (c’était une nuit encore fraîche d’avril) et je marchai avec elle en bras de chemise. Nous marchâmes l’un à côté de l’autre sans nous toucher, il y avait du monde dans la rue. Je ne savais trop que dire et j’étais gêné par la bosse dans mon pantalon qu’elle avait regardé discrètement je crois.
Une fois devant l’immeuble, nous pénétrâmes l’entrée tous les deux et je lui tins la porte de l’ascenseur qui était déjà en bas. Une fois rentré dans l’ascenseur, elle se jeta sur moi et m’embrassa à pleine bouche alors qu’une de ses mains frottait la bosse que faisait mon pénis. « Cher voisin, cela fait longtemps que je vois comment tu me reluques… » dit-elle.
Je ne sais pas trop combien de temps cela a duré dans cet ascenseur. A un moment, elle m’a déboutonné, m’a branlé un peu le sexe à l’air libre puis a avalé ma verge avec gourmandise. « Je suis ta pute mature arabe » me dit-elle en se relevant et en m’embrassant avec fougue. J’appuyai sur le bouton de mon étage et le sexe encore hors du pantalon, je rentrai chez moi en la tenant de la main. La porte claqua derrière elle et ma main vint chercher l’ouverture de sa fente dans sa culotte, elle était détrempée. Je la branlai avec force avant de la retourner afin de soulever sa blouse et baiser ce fameux string jaune qui était maintenant plein de mouille…
Je lui mordis les fesses, elle gémit. Je mangeai ses seins, broutai son minou, je voulais la dévorer tout entière. Son clitoris était chaud et avait un goût musqué comme un a****l. Comme pris de folie, je la pénétrai directement, elle se mit à gémir de plus en plus fort et j’eus peur que son mari qui dormait à l’étage au-dessus ne nous entende alors je lui mis le visage contre l’oreiller.
Alors que je la prenais sauvagement en levrette, je glissai un doigt lubrifié par sa mouille dans son anus accueillant. Avec mon doigt, je sentais mon sexe faire des allers-retours dans son sexe. C’était peut-être la première et la dernière fois que j’avais l’occasion de la baiser et je ne voulais pas avoir de regrets alors je la pris aussi par sa porte de derrière. Comme beaucoup de filles arabes, c’était bien large et le chemin avait déjà été utilisé de nombreuses fois. Je finis par jouir dans ses fesses. Elle me dit qu’elle avait joui deux ou trois fois…
Voilà comment se termina une soirée inhabituelle. Elle se nettoya chez moi et prit une douche avant de remonter discrè et sage comme une image chez elle. Bien sûr, son vieux mari ne sait pas qu’à l’occasion, je me tape sa femme qui est devenue ma salope maghrébine à moi de 45 ans…
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