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Soirée au clair de Lune

Soirée au clair de Lune



Nous sommes un soir du mois d’août sur la côte Atlantique. La nuit est éclairée par la pleine Lune. Je suis à bord d’une SEAT KOMBI INCA blanche que conduit une de mes amies d’enfance. Une jolie et petite brune aux seins lourds (95 B), que l’on devine sous son corsage blanc, et aux larges hanches gainées d’un jeans moulant.

Nous roulons le long du rivage en papotant tranquillement comme deux amis que nous sommes, lorsqu’elle me dit « Tiens je vais te montrer un coin sympa où l’on a une superbe vue sur la mer. ». Elle dirigea donc la voiture sur un chemin de traverse.

Le chemin semble sans fin, bien que le paysage soit en effet magnifique, je constate que l’heure tourne et qu’elle donne l’impression de ne pas vouloir rentrer chez elle. Je devine qu’il y a quelques choses qui la tracassent sans pour autant savoir quoi. Patiemment tout en continuant à discuter avec elle, j’arrive à la faire parler de qui la préoccupe. Elle me raconte que rien ne va plus avec son mari. Qu’il ne s’intéresse plus à elle. Cela fait plusieurs mois qu’ils n’ont pas fait l’amour. Il n’a plus de gestes tendres ni d’attention à son encontre. Elle me raconte qu’elle se sent de moins en moins désirable. A peine, a-t-elle dit cela qu’elle éclate en sanglot. Consciente de la dangerosité de conduire les yeux plein de pleurs, elle se gare sur une aire de repos le long d’une petite crique.

Le moteur est à peine coupé qu’elle s’effondre et laisse son chagrin trop longtemps contenu, s’échapper. Désemparé par un tel désarroi, je ne sais que faire sinon de la prendre dans mes bras pour la réconforter. Après un long moment, qui me parut une éternité, elle se calma et s’excusa d’être de « si mauvaise compagnie ». Je la rassurais en lui affirmant que je comprenais et que si cela lui a fait du bien d’en parler tant mieux.

Afin de détendre l’atmosphère, je lui proposais que nous marchions un peu au bord de l’eau. Nous avons marché, blottis l’un contre l’autre, pendant qu’elle me racontait dans les détails sa vie avec son mari. Puis quand elle m’eut tout raconté, elle décida de s’asseoir sur le sable et de rester silencieuse à écouter les vagues qui venaient s’échouer sur le rivage. Je vins donc m’asseoir à ses côtés. Elle me fit face et vint se blottir contre moi, sa tête sur mon épaule. Je sentais sa poitrine se gonfler, au rythme de sa respiration, contre la mienne. En baissant un peu le regard, je pouvais admirer celle-ci à travers l’échancrure de son corsage.

Bien que la situation soit quelque peu incongrue, je sentis mon sexe se gonfler dans mon pantalon. J’essayais de réprimer cette excitation naissance mais à chaque fois que je baissais les yeux, le spectacle de ses deux globes laiteux la ranimait.

A un moment, mon amie, bien que plongée dans ses pensées, s’aperçut de mon état. Elle enleva sa tête brutalement de mon épaule comme si celle-ci l’avait brulée. Puis comme je bégayais une vague excuse, elle me regarda et me demanda : « C’est moi qui te fait cet effet-là ? ». Je lui avoua que la vision de sa poitrine dans l’entrebâillement de son corsage ne me laissait pas de bois, mais qu’elle ne s’inquiète pas, je savais me tenir.

Comme toute réponse, j’ai eu droit à « Montres la moi !! Je veux voir l’effet que je produis sur toi. Mon mari ne bande même plus en me voyant nue. Alors que toi, tu es érection devant mes seins à peine dévoilés. »

Ne sachant pas trop quoi faire devant son air à la fois insistant et suppliant, je finis par me lever et baisser mon pantalon et mon boxer, laissant apparaitre ma queue droite comme un I. J’avais le rouge aux joues, lorsqu’elle s’approcha de mon bas ventre pour mieux contempler la bête.

« Tu ne peux pas savoir combien cela me fait plaisir de te voir bander, moi qui pensait ne plus être désirable. ». Tout en souriant, elle me demanda « Veux-tu voir mes seins nus ? ».

Ayant la bouche sèche, je lui fis signe de la tête pour lui confirmer mon acceptation.

Elle se mit à genou devant moi, et défit lentement chacun des boutons de son corsage qu’elle laissa tomber dans le sable. Puis bombant bien le torse, elle retira son soutien-gorge libérant ses deux mamelons laiteux aux larges auréoles brunes, et dont les tétons pointaient fièrement de froid ou d’excitation.

A cette vision, ma bite présenta les honneurs en se redressant encore plus. Elle tendit sa main pour la caresser, la décalotter et légèrement la branler.

« Cela fait si longtemps que je n’ai pas vu un sexe dans cet état que j’en suis toute émue. Sincèrement, je te remercie pour ce plaisir que tu me fais par ce simple geste. » dit-elle tout en ne perdant pas des yeux mon sexe.

Pour ma part, j’étais partagé entre mon envie « bestiale » d’elle et le fait que je ne voulais pas risquer de perdre une si belle amitié pour une « partie de jambes en l’air ». Mais l’envie doucement pris le dessus, et je m’aventurais à lui demander de se mettre toute nue devant moi afin que je puisse l’admirer complètement.

Après un légèrement étonnement de sa part et une courte de pause de réflexion, elle se leva, défit son pantalon et d’un geste rapide le descendit en même temps que sa culotte. Elle me dévoila ainsi une superbe chatte agrémentée d’un superbe triangle de poils bruns. On reconnaissait là bien ses origines méditerranéennes. J’en eu le souffle coupé.

Voyant que je ne bougeais pas, elle s’avança vers moi et me dit à l’oreille : « Alors cela te plait ? ». Je n’eus pas à répondre, elle sentit ma queue grossir dans sa main. Elle me sourit et m’embrassa d’un baiser tendre sur les lèvres.

Ce baiser fit voltiger tous mes remords de profiter d’une telle situation. Je la serra dans mes bras appliquant sa poitrine contre ma chemise, et mon sexe contre son bas ventre. Un sexe qu’elle continuait de branler inexorablement. Mes mains passaient alternativement de son dos à ses fesses larges et potelées. Parfois, ma main s’égarait le long de sa raie. Et à chaque fois, je la sentais frissonner.

Voulant savoir l’effet que j’avais sur elle, je l’écartai un peu de moi pour qu’une de mes mains puisse se glisser vers sa toison inférieure à la recherche de l’entrée de son antre secrète. Sur le passage, je titillais son clitoris, ce qui la fit pousser un râle de plaisir tout en se mordant les lèvres. Je poussais mon exploration à l’entrée de son vagin que je trouvai coulant de mouille.

A peine mes doigts avaient-ils atteints l’embouchure de son puits de plaisir, qu’elle se cambra afin de m’offrir un meilleur axe de pénétration. La sentant réceptive à mes caresses, j’y glissai deux doigts à l’intérieur que je fis aller et venir, pendant que mon pouce s’occupait de son clito. A cause peut être de sa longue abstinence, elle jouit très rapidement dans cette position, en étouffant un cri et en me griffant l’épaule. Elle s’effondra sur moi.

Tout doucement, elle reprit ses esprits. Comme sortant d’un rêve, elle s’aperçut qu’elle était nue devant moi. La honte lui monta au front. Elle balbutia quelques mots d’excuse tout en ramassant ses vêtements.

Sans s’habiller, je la vis se diriger vers sa voiture en marmonnant plusieurs fois : « Mon Dieu qu’ai-je fait ?! Je suis qu’une traînée !!! »

Moi, je ne pouvais pas détacher mon regard de son magnifique cul qui s’éloignait. Malgré que le fait que me remord venait de réapparaitre, la vision de ces deux belles miches se dandinant me donnait de plus en plus envie d’elle. Ce qui accentuait mon sentiment d’avoir abusé de la situation.

Une fois arrivée à la hauteur de sa voiture, elle s’adossa au capot de celle-ci et se mit à pleurer.

Voyant cela, je rhabillais et allais la rejoindre pour tenter de la consoler.

Arrivée à sa hauteur, elle leva la tête, ses yeux emplis de larmes, et me lança « Que Vas-tu penser de moi ? Tu vas croire que je suis qu’une Pute qui s’offre à tous les hommes qui passent ? Je n’aurais plus le courage de te regarder en face. J’ai trop honte. »

« Je n’ai jamais pensé que tu étais une Pute ou quoique ce soit d’autres du même genre ! Tu n’es qu’une femme malheureuse délaissée par son mari et qui tente de trouver un peu de réconfort auprès d’un ami. Il n’y a rien de mal ni de sale là-dedans. A mes yeux tu restes toujours mon amie. Et je n’ai qu’un seul souhait celui que tu sois heureuse. »

Elle fondit à nouveau en larmes. Je l’ai pris de nouveau contre moi afin qu’elle y retrouve une épaule amie.

Au bout d’un certain temps, elle releva son visage, et m’avoua : « Tu sais cela faisait longtemps que je ne m’étais pas laissée aller ainsi. Pas depuis les débuts de ma relation avec mon mari. Et comme tu le sais, il a été le premier et seul homme avec qui j’ai fait l’amour jusqu’à aujourd’hui. Mais je tiens à te remercier pour le magnifique cadeau que tu viens de me faire car je sais, maintenant, qu’il était sans arrière-pensée. A moi maintenant de t’en faire un. »

Joignant le geste à la parole, elle posa ses vêtements à mes pieds, s’y agenouilla et s’appliqua à descendre mon pantalon et mon boxer. Qu’elle abandonna à leur sort à mi-cuisse, pour mieux venir s’occuper de mon sexe.

Ayant quelques résurgences de remords, je lui dis « Tu sais tu ne me dois rien !! Tu n’es pas obligée de faire cela. ». Mais elle devait sentir que mes dénégations n’étaient que de façade, car elle empoigna ma bite qu’elle branla dans un premier temps doucement. Puis elle avança sa tête afin de mieux pouvoir lécher mon membre sur toute sa longueur, en partant des couilles pour arriver au méat. Après quelques coups de langue, elle goba mon sexe dans toute sa longueur. Je ne pus retenir un soupir d’extase. Que sa bouche était chaude et humide. Sa langue à l’intérieur se lovait autour de ma queue accentuant encore plus le plaisir qu’elle me donnait. Pour compléter le tout, de l’une de ses mains, elle me caressait les bourses, pendant que l’autre venait me titiller l’anus par intermittence.

Sa fellation conjuguée à la vision de son corps nu agenouillé en train de me sucer, le tout éclairé par un splendide clair de Lune, je sentis mon sexe se gonfler, et mon sperme monter lentement dans ma verge. J’avais comme une boule de feu au creux du ventre qui allait sortir d’un instant à l’autre.

Au moment de l’explosion, je lui ai agrippé la tête afin de bloquer ma bite au fond de sa gorge, car j’avais une envie irrépréhensible de la voir avaler tout mon sperme. Je me libérais donc dans un cri rauque de plusieurs giclées de semences, sans qu’elle ne dise rien.

Une fois mon corps apaisé, j’ai libéré mon étreinte et m’excusa pour l’avoir obligé à tout avaler.

Elle me répondit en souriant : « T’inquiètes j’ai adoré. Tu sais quoi ? C’est la première fois qu’un homme éjacule dans ma bouche et ce n’est pas aussi mauvais que mes copines me disaient. »

Tous les deux nus, nous nous adossons au capot de la voiture. Je regarde ma montre, il est minuit.

« Merde !!! Tu as vu l’heure ? Ton mari va se poser des questions ? Tu vas avoir des ennuis ?! »

« Alors là, je ne risque rien. Monsieur a l’habitude que je rentre tard avec mon boulot. Il ne se rendra même pas compte que je n’ai pas découché. Je me couche toujours après lui et me lève avant. Donc aucun risque de ce côté. »

Elle me regarde dans les yeux. D’un geste brusque, elle plaque ses lèvres contre les miennes. Je sentis très vite sa langue s’immiscer dans ma bouche que j’ouvris pour la laisser pénétrer. Nous nous embrassâmes fougueusement pendant de longues minutes. Tout en nous embrassant, nos mains parcouraient respectivement nos corps brulants de désir.

Pendant notre étreinte, son postérieur toucha le capot de sa voiture. Nos lèvres se séparèrent lentement, comme à regret. Elle prit appui sur son capot pour s’y hisser dessus. Une fois bien en place, elle écarta ses jambes, m’offrant au passage une superbe vue sur son sexe luisant de plaisir, et tout en me regardant droit dans les yeux, elle me dit d’une voix calme : « Fais-moi l’amour ! J’ai envie de me sentir femme à nouveau dans les bras d’un homme. Viens ! »

Je me rapprochais d’elle, et pour montrer mon acquiescement à sa volonté, je me mis à lécher ses seins tout en les caressant. J’en mordillais les tétons sous ses soupirs de plaisir entrecoupés de « Continues !! » significatifs.

Tout doucement, ma bouche descendit vers son bas-ventre, tandis que mes mains restaient agrippées à sa poitrine. J’embrassais chaque centimètre carré qui séparait sa poitrine de son sexe, jusqu’à ce que j’arrive à ce dernier.

Là, ma langue l’a à peine effleuré sa vulve qu’elle poussa un petit cri de surprise et referma ses jambes sur ma tête comme pour la bloquer. J’attendis quelques secondes qu’elle se décontracte, puis je reprise mon exploration linguale de son sexe à la recherche de son clitoris. Il ne fut pas long à débusquer tellement il était gonfler de plaisirs. Dès mon premier coup de langue dessus, je sentis l’étau de ses jambes se desserrer. Lentement, ses soupirs se changèrent en râles. Ceux-ci se firent plus fort encore, lorsque j’introduisis deux de mes doigts dans sa chatte brulante.

Elle ne résista pas plus longtemps que la première fois. Elle prit ma tête entre ses mains et me colla la bouche contre sa vulve. Et dans un soubresaut, accompagné d’un hurlement de plaisir, elle me déversa dans la bouche un tombereau de cyprine.

Je restais bloquer ainsi de longues secondes le temps qu’elle reprenne ses esprits. Je levais les yeux vers elle. Elle me sourit et me dit « Merci. Tu m’as fait connaître un plaisir que mon mari ne m’avait jamais fait connaître. Tu es un Amour. »

Je me relevais et lui répondis « Attends la nuit n’est pas fini. » Là, je l’att**** par les hanches et d’un coup sec, j’introduis mon sexe dans son vagin. Elle pousse un nouveau petit cri de surprise bien vite remplacé par des « Oh oui !!! », des « Encore !! », des « Continues !! » ou des « T’arrêtes pas !! ».

C’est donc sous ses encouragements que j’accélérais mes va-et-vient au creux de ses reins. Plus le plaisir montait elle, plus elle s’agrippait à moi. J’étais quasiment prisonnier de ses bras et de ses jambes qui m’encerclaient. Je sentais ses ongles pénétrés la chair de mon dos au fur et à mesure que son plaisir augmentait. Tout cela m’excitait encore plus et me donnait encore plus de cœur à l’ouvrage. Au bout de longues minutes de ce rythme effréné, nous avons joui simultanément.

Je repris doucement mes esprits et me dégagea à regret de mon fourreau si chaud. Je la vis là, devant moi, allongée sur son capot, les jambes écartées, le sexe dégoulinant de mon sperme, les yeux fermés mais avec un sourire qui irradiait son visage.

Cette simple vision eut pour effet de me refaire bander quasi-instantanément. C’est dans cette état qu’elle me découvrit en rouvrant les yeux.

« Et bien !! Monsieur est toujours au garde à vous ! Il est insatiable ! » dit-elle en fixant ma queue tout souriant.

« Et oui ! Tu as sur lui un effet aphrodisiaque. »

Elle me regarda dans les yeux, et éclata de rire. Je fis de même. Et c’est en rigolant que je l’ai prise dans mes bras pour l’aider à descendre du capot.

Le fou-rire passé, elle me regarda à nouveau dans les yeux avec un coté sérieux au fond de ceux-ci.

« Xavier, j’aimerais te demander une chose, mais je comprendrais que tu refuses. »

Pris un peu de court, je balbutiais : « Dis et si je peux t’aider cela sera avec plaisir. », mais son regard m’inquiétait.

« Je ne sais comment dire… Tu vas peut être après me prendre pour une Salope… Mais il y a une chose que j’aimerais faire… Tu vas trouver ça dégoutant… »

« T’inquiètes, j’en ai vu d’autres ! Et puis si je trouve cela trop particulier et bien je te le dirais. Donc n’est pas peur dis-moi ce que tu aimerais faire ! »

« Bon… Voilà… J’aimerais que…Tu… m’encules… »

J’éclate de rire devant son rouge aux joues, et lui lance : « Ce n’est que cela ? Et bien pas de problème pour moi. J’adore enculer mes partenaires. Et toi tu as un magnifique cul qui s’offre bien à cette pratique ! »

Toujours un peu honteuse, elle ajoute « Xavier, tu feras attention car je ne l’ai jamais fait. Mais je me suis dit que toi tu saurais m’initier. » en baissant les yeux.

« T’inquiètes. Je prendrais le temps qu’il faudra pour que tu apprécies pleinement la sodomie. Et si tu as trop mal, on arrêtera. Ok ? »

« D’accord ! » me répondit-elle.

Je lui donnais quelques ordres : « Tout d’abord, tournes toi. Allonges toi sur le capot. Voilà comme cela. Cambres bien ton dos. Maintenant, écartes bien tes jambes. C’est bon comme ça !! »

« Tu sais cela me fait tout drôle d’être dirigée ainsi. C’est si excitant. » m’avoua-t-elle.

Une fois qu’elle fut bien positionnée, je me suis mis à genoux derrière elle. Ma tête à la hauteur de son sublime cul. J’écartais délicatement ses deux grosses miches pour mieux découvrir sa petite rosette. Après un petit temps pour admirer la vision qui s’offrait à moi, je m’appliquais à lui lécher la chatte en partant de son clitoris pour remonter jusqu’à son anus.

Chacun de mes coups de langue lui arrachait un soupir de bonheur. Son sexe était comme un fontaine à laquelle je m’abreuvais à chaque passage. Mais à chaque fois que je m’approchais de son petit trou du cul, elle cambrait ses fesses ce qui ouvrait tout un peu plus son petit trou du cul.

Excitée par mes caresses buccales, elle me lança d’un coup : « Vas-y, prends moi !!! Arrête de me faire languir !! J’ai envie de te sentir venir en moi !!! Pitié ! Encule-moi !!! »

« Chuttttt. Calme-toi. Je vais venir mais il ne faut pas brusquer les choses. Tu verras cela n’en sera que meilleur. » la rassurais-je.

« Huuuuummmm ne tarde pas trop. C’est si bon ce que tu me fais !! » soupira-t-elle.

« T’inquiètes, nous allons passer à la seconde étape tout de suite. »

Je m’écartais de son si joli fessier et je glissais deux de mes doigts dans son vagin inondé de mouille. A cette introduction, elle répondit par un petit cri de surprise qui se transforma rapidement en râle de plaisir au fur et mesure de mes allées et venues dans son intimité. La sentant extrêmement réceptive à cette pratique, j’augmentais le nombre de doigts dans sa chatte jusqu’à, au bout de quelques minutes, y entrer la main entière.

« Huuuuummm que c’est bon ce que tu me fais !!! Ne t’arrête pas !!! Continues !! Ouiiiiiii !!! » s’exclama-t-elle en jouissant à gros bouillon sur ma main.

Je ne lui laissais pas le temps de reprendre ses esprits que je retirais ma main délicatement de son fourreau humide pour titiller sa rosette d’un doigt. Je le fis tourner autour de l’orifice lentement, puis j’y introduis un premier doigt encore tout humide de sa mouille. A cela, elle répondit par un « Huuuuuummmm » de contentement. Je fis donc aller et venir mon doigt en elle sous ses gémissements. Parfois, je le sortais pour aller l’humidifié dans sa chatte qui restait moite, et ce afin que celui-ci glisse mieux dans son fondement.

Lorsqu’elle fut habituée à mon doigt, j’en introduisis un deuxième. Je recommençais mon manège (introduction dans son cul, lubrification dans sa chatte, réintroduction) et ce pendant de longues minutes. Par moment, j’interrompais ma besogne pour venir lui lécher la rondelle et introduire ma langue dans son petit trou noir. Ce qui la faisait pousser de longs râles de bonheur.

Après lui avoir assené la même chose avec trois doigts, je décidais de passer aux choses sérieuses. Je me relevais et vint placer ma bite à l’entrée de son vagin que je pénétrais d’un grand coup de rein. Elle poussa un cri de surprise « Mais qu’est-ce que tu fais ?! Ce n’est pas là que je l’attendais !! »

« T’inquiètes » lui répondais-je, « Je lubrifie l’engin »

En effet, après quelques va-et-vient dans son fourreau humide, je sortis ma queue pour la présenter fièrement à son anus. Là, j’appliquai une légère pression sur sa rosette et fis entrer lentement mon morceau de chair. Je la vis grimacer. Je m’arrêtais pour laisser ses sphincters s’habituer à mon sexe. Quand ceux-ci ont été tendus, c’est elle-même qui me demanda de continuer ma progression. Je poussais donc lentement jusqu’à ce que mon pubis touche ses fesses. Là, je fis une nouvelle pause.

« Ça va ? Tu aimes ? Ça te plaît ? » l’interrogeais-je.

« Ça peut aller ! Vas-y continue ! » me répondit-elle.

J’entrepris donc de sortir mon sexe de son fourreau étroit. Il coulissa sans encombre. Le sortant presqu’entièrement, pour mieux le réintroduire tout en douceur. Après quelques va-et-vient, j’accélérais le rythme de mes coups de rein, allant jusqu’à buter violement mon bas-ventre contre ses fesses. A chaque fois, cela lui arrachait un petit cri qui se transforma petit à petit en gémissements de bonheur.

« Huuuuummm !!! C’est trop bon !!! Continue !!! » me disait-elle tout en écartant ses fesses avec ses mains afin que j’entre encore plus profondément en elle. Ses encouragements me stimulaient et m’encourageais à accélérer mon mouvement. D’autant que je pouvais voir ses seins plaqués sur le capot de la voiture aller et venir sur celui-ci. Cette vision ne faisait que renforcer mon excitation ce qui rendait ma queue encore plus dure que je ne l’aurais cru possible.

Tout en continuant à la sodomiser, je fis glisser ma main droite vers l’intérieur de son entre-jambe. Dirigeant celle-ci vers son pubis où j’ai pu caresser sa douce toison. Doucement de son Mont de Vénus, je descendit sur sa vulve où en chemin je rencontrais son clitoris.

Je l’avais à peine effleuré qu’elle se mit à hurler :« Arrête !!! Non !! Tu vas me faire jouir…… ». Bien entendu, j’accentuais ma pression sur son petit bouton, ce qui la fit hurler de plus belle. Je la sentais défaillir sous moi. Je lâchais quelques instants ma proie pour une exploration manuelle de sa vulve où j’y glissa trois doigts d’un coup et ce bien que son vagin était comprimé par ma queue qui lui travaillait l’anus.

Elle poussa un long cri puis m’incita à continuer par des « Oh oui, c’est bon !!! », des « Continue !!! », des « Encore !! », des « Ne t’arrête pas !! ». Mais quand mon pouce laissé libre est venu titiller son clitoris, pendant que je m’occupais de son cul avec ma bite et de sa chatte avec mes doigts, là elle n’émettait qu’une longue série de gémissement, s’agrippant comme elle pouvait aux rebords du capot pour maintenir son équilibre.

Bientôt, elle ne cria plus mais son souffle devient plus saccadé. Dans le même temps, je sentais mon sexe se durcir encore un peu plus et mes couilles se remplir de liquide séminal. Sentant que j’allais jouir, je plantais violemment mon pieu dans son cul, et y déchargea copieusement mon sperme. Ce qui déclencha chez elle un immense orgasme. Je la sentis défaillir. Ses jambes ne la soutenaient plus. Elle était comme une poupée de chiffon empalée sur mon sexe allongée sur le capot de la voiture.

Epuisé aussi par tout cela, je m’allongeais sur elle. Nous restâmes ainsi un long moment. Nous reprîmes lentement nos forces et nos esprits. Ma queue avait à peine débandé et était restée fichée dans le fondement de celle qui m’avait offert ce qu’aucun homme avant moi n’avait exploré.

Délicatement, je me suis retiré. Je l’ai aidé à descendre du capot. Elle avait du foutre qui lui coulait le long des jambes, ses seins et son ventre étaient rouge et meurtris par le frottement avec le métal. Et malgré tout cela, elle arborait un large sourire. Elle me sauta au cou et me dit « Tu as été formidable ! Je n’avais jamais joui d’une façon aussi intense ». Elle ajouta avant de m’embrasser d’un baiser fiévreux : « Tu m’as redonné le goût à la vie. »

Moi je ne savais pas quoi répondre autant de louanges, je suis resté là à la contempler. Elle resplendissait. Son visage brillait d’une flamme intérieure qui faisait ressortir sa beauté naturelle, trop longtemps retenue par une vie trop monotone.

Nous avons ramassé nos vêtements et nous nous sommes installés dans la voiture où nous avons sommeillé comme si nous ne voulions pas que ces instants cessent. L’arrivée du Soleil fût pour nous le signal qu’il fallait que nous séparions. Elle m’a donc raccompagné, et s’en est retournée auprès de son mari.

Nous nous sommes pas revus depuis cette date, mais j’ai su dernièrement qu’elle avait décidé de divorcer et reprendre sa vie en main.

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