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Argent et Famille (5)

Argent et Famille (5)



Le soir, je prenais plaisir à mon rituel, de regarder par le biais des cameras ma mère et ma soeur dans leur salle de bain. Ma mère principalement. C’était un veritable émoi à chaque fois de la voir se déshabiller et retirer sa culotte sans pudeur, se doucher ou prendre un bain, puis passer du temps à se passer des crèmes sur le corps, sur ses seins, qu’elle massait volupteusement à chaque fois. Mon regard se perdait sur sa chatte brune, bien poilue, et ses fesses qui semblaient bien fermes. J’étais tellement abasourdi, quand elle faisait venir des hommes dans sa chambre, qu’elle donne son cul aussi volontiers. Le sexe avec elle se résumait à une longue sodomie, c’est à peine si les hommes s’occupaient de sa chatte. Parfois elle se masturbait pendant qu’ils faisaient l’amour, mais pas toujours. Mais bon, cela faisait plus d’un mois qu’elle n’avait fait venir personne.
Pour ma soeur, c’était différent. C’était une fille serieuse. Elle était jolie et désirable, mais assez intellectuelle. Elle était romantique aussi. Ses relations avec les garçons avaient toujours été très platoniques, ou se résumaient à des baisers en cachette. Elle était très secrete, ne se confiait que rarement à moi. C’était vraiment excitant de la voir nue, car son corps était parfait, des seins bien genereux et fermes, et une petite chatte taillée en triangle. Un soir, je la surpris en train de faire quelques seflies d’elle en culotte et soutien gorge. Je ne sais pas si elle les destinait à quelqu’un. Je me promettais de creuser ça pour le savoir, quand je pourrai mettre la main sur son portable.
– Tu ne parles pas beaucoup en ce moment, me dit ma mère.
J’étais en train de manger au salon en famille. Je sortais de mes révasseries.
– Je réfléchis à pas mal de choses en ce moment, je répondis.
– Tu ne nous as pas trop dit comment c’était passé ton rendez-vous avec ton père. J’espère qu’il ne t’a pas trop contrarié ?
– Il t’a parlé de moi ? demanda ma soeur.
– Non… Ni contrariant… Ni posé de question sur nous… Il voulait de l’argent… Je le dépanne un peu…
– C’est généreux de ta part, je pensais que tu lui en aurais davantage voulu.
– Il doit se sentir trop bête, fit ma soeur. Te demander de l’argent, alors qu’il est ton père !
– Je lui en veux maman de nous avoir mis dehors comme il l’a fait. Changer les serrures du jour au lendemain, vendre ta voiture… Il t’a trompé aussi… Il t’a mis la pression avec son avocat pour que le divorce se passe vite. Il a essayé de te briser. Et il n’a pas tenu compte de nous.
– Et sa nouvelle compagne ? demanda ma mère.
Si tu savais, me dis-je interieurement. Elle me récure les chiottes tous les jours et me montre sa chatte à chacun de mes réveils.
– Je n’ai pas grand chose à en dire.
– Je doute que papa la rende heureuse, s’il se comporte avec elle comme il s’est comporté avec toi, fit ma soeur.
– Vous ne voulez pas qu’on parle d’autre chose ?
Cette discussion commençait à me taper sur le système, et je voulais y mettre un terme.
Le lendemain matin, Sandrine me réveilla, nue, ouvrit les volets roulants et me posa mon plateau sur le lit. Je lui fis signe d’approcher, et, toujours bien allongé sur le lit, la tête bien calée dans mon oreiller, je fixais sa chatte. Elle était bien garnie en poils, mais taillés assez courts, et épilée pour le maillot.
– Regarde sur la table, il y a deux enveloppes kraft. J’aimerai que tu prennes celle où est écrit le nom de ma mère.
– Oui ? fit Sandrine. Elle alla prendre l’enveloppe, l’ouvrit, et en sortit une culotte noire avec des motifs à dentelles.
Comprenant qu’il sagissait d’une culotte de ma mère, elle parut embarrassée, ne fit pas de reflexion, mais était visiblement assez interloquée.
– Approche.
Elle fit quelques pas pour se retrouver sur le coté du lit, à moins d’un mètre de moi.
– Montre moi l’interieur de la culotte s’il te plait.
Sandrine me montra la culotte, mis en évidence l’interieur en l’ouvrant devant moi. Il y avait une petite trace blanchatre au centre.
– Embrasse ca, lui dis-je.
Sandrine me regarda, incrédule.
– Embrasse la trace de ma mère.
– Mais ?…
– Sinon c’est ton dernier jour de travail ici.
Avec un certain dégout, Sandrine approcha la culotte de ma mère à ses lèvres, et embrassa du bout des lèvres la trainée blanche de ma mère.
– Continue… Embrasse passionément…
Sandrine laissa ses lèvres collées à la culotte. Ca me faisait bander de la voir faire ça, je poussais les draps pour lui montrer mon erection, et commençais à me branler.
– Embrasse avec la langue… Leche….
Très doucement, Sandrine sortit sa langue, qui entra en contact avec les traces blanches. Elle fit une petite grimace. Elle fit doucement bouger le bout de sa langue sur la culotte.
– C’est bien, continue…
Je me levais face à elle, et sans la prévenir, je mis ma main sur sa chatte, et commençais à la masturber. J’agitais mes doigts sur son clitoris. Elle me regarda, semblant me dire dans son regard que cela n’était pas convenu dans le contrat. Mais bon, que pouvait-elle contester. Si elle n’était pas d’accord, elle était libre de partir, mais cela signifiait d’affronter ses problèmes financiers sans l’ombre d’une solution. Mes doigts s’agitaient dans ses poils, et je sentais sa fente de plus en plus humide. Comme elle me fixait toujours de son regard, je pris la culotte de ma mère, et l’enfila sur la tête de Sandrine, la tranche bien face à son visage. Je la masturbais ainsi, tous les deux debouts. Je n’utilisais plus qu’un seul doigt, que je faisais tournoyer à toute vitesse et aller d’avant en arrière sur son clitoris. Elle poussa des gemissements, écarta un peu les cuisses, puis je la sentis jouir au bout de quelques instants. Elle attrappa ma main, son clitoris étant devenu trop sensible pour que je continue de le toucher.
Je repris la culotte de ma mère que j’avais mis sur la tête de Sandrine, la pris bien en main, et alla la frotter sur sa chatte, mélangeant les odeurs de ma mère aux siennes. Puis, je mis la culotte devant mon visage pour la sentir. Une pleine odeur de chatte envahit mes narines.
– Bouge pas, dis-je en me branlant.
Je me masturbais fort, et au bout de 2mn à peine, j’éjaculais sur Sandrine, qui se trouvait toujours debout devant moi. Mon sperme gicla sur sa cuisse droite. Elle regarda sans rien dire, tandis que ça commençait à couler le long de sa jambe.
Je m’essuyais le gland dans la culotte, et entrepris mon nouvel objectif de la journée : en savoir plus sur les photos qu’avait pris ma soeur. J’attendis qu’elle sorte, vers 10h, pour entrer dans sa chambre, et fouiller un peu ses affaires. J’allais evidemment regarder du coté de sa lingerie, mais c’est surtout son ordinateur portable qui m’interressait. Elle utilisait toujours le même code de verrouillage depuis que je l’avais aidé à configurer son systeme d’exploitation, donc je me connectais facilement sur son profile. Je regardais dans le dossier photo, ne trouva rien d’extraordinaire. Je lançais une recherche un peu plus poussée sur toute la machine. Je trouvais diverses images, assez futiles, mais une dizaine attirerent vraiment mon attention. On la voyait dans des poses suggestives, faire l’allumeuse, le regard coquin, des choses pour lesquelles elle ne m’avait pas habitué. Je compris rapidement la raison de ces photos, le dossier s’appellait Badoo.
Elle s’était donc créé un profil en ligne sur ce site de rencontre. Je ne sais pas si c’était pour s’amuser virtuellement, ou pour une recherche serieuse, mais de retour dans mon bureau, je commençais à effectuer des recherches sur le site, utilisant divers pseudos qu’elle avait l’habitude d’utiliser, et ciblant les caractèristiques autour de notre zone géographique, son age, etc… Je finis par la trouver, au bout d’une dizaine de minutes. On ne voyait pas son visage, simplement les courbes du haut de son corps en noir et blanc, et on voyait aussi un soutien gorge noir. C’était bien une des photos que j’avais vu sur son ordinateur.
Je me créait un faux profil, et sachant assez précisemment les qualités qu’elle recherchait chez un garçon, ainsi que ses critères physiques, je cherchais à faire le profil qui serait pour elle, idéal.
Ma description sur mon profile était vraiment très complète, avec plusieurs photos empruntées à un inconnu sur le web, mais j’étais persuadé que c’était vraiment son style de mec. Je lui envoyais un message assez court, dans l’idée de l’attirer à consulter mon profile.
Durant ce temps, Sandrine terminait son travail à l’étage. Elle retourna dans le coin cuisine, et commença à s’habiller. Son attention se porta sur un horloge fixée au mur, qui ne marchait pas, depuis qu’elle avait commencé à travailler ici. Toujours bloquée sur 12h45. En y regardant de plus prêt, elle remarqua un détail. Elle n’était pas trop sur, et s’approcha. C’était bien ça. Un objectif de camera, assez petit, remplaçait le rond noir au niveau du 6 de l’horloge. Elle était surveillée. Faisant mine de rien, elle continua de s’activer, mais se demanda s’il y avait d’autres dispositifs dans la maison, et où ?
Elle partit emplie de doutes, et elle ne put s’empêcher de penser à ma mère.

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