Et viva l’España
Bodega, bodega
* * *
Ce week-end là, nous faisions une escapade en Espagne. Un soir, pour aller déambuler dans les ruelles d’une charmante bourgade espagnole où les magasins, les bars et bodegas étaient nombreux, ma femme –probablement rassurée par le fait qu’on était en pays inconnu- accepta de s’habiller très sexy. Jugez plutôt.
Un tailleur gris très BCBG avec une jupe moyennement courte mais bien ajustée à cette partie attirante du corps féminin, les fesses, le bassin et les cuisses, et ondulant au rythme de sa démarche, accentuée par une paire d’escarpins sexy en cuir noir à talons hauts, attirant les regards masculins.
En dessous bien évidemment des bas, des bas noirs très fins, très transparents scintillant légèrement et –comble de plaisir pour moi- à coutures à l’ancienne avec le talon dessiné tendus par un porte-jarretelles –noir évidemment-, une culotte en tulle et dentelle noire et fine, un magnifique soutien-gorge balconnet noir en tulle et dentelle faisant pigeonner ses seins à travers un corsage blanc.
A mon bras, ma femme faisait les vitrines doucement et se déhanchait au rythme de la marche chaloupée sur ses talons hauts. Sa jupe ajustée suivait ce mouvement pour mon plus grand plaisir et celui de quelques types qui la regardaient à la dérobée, édifiés par les coutures de ses bas. J’étais aux anges. Elle plaisait à tous ces espagnols plus ou moins âgés qui reluquaient cette belle femme dans la fleur de l’âge, sexy en diable et dignement vêtue. De temps en temps, nous croisions des types intéressés par elle, dont le regard plongeait sur le balconnet noir, dont l’ombre et la dentelle se laissaient deviner sous le tissu du corsage blanc, puis se retournaient sur notre passage pour admirer le galbe de ses gambettes gainées de nylon et aux mollets tendus par la cambrure sex-appeal des escarpins noirs et des coutures des bas.
Nous commencions à avoir faim –et moi, j’avais faim d’aller plus loin, de la faire aller plus loin- et nous nous mîmes en quête d’un bar à tapas sympa. Fuyant les endroits communs, nous avisons un petit bar de quartier, sur le comptoir duquel trônaient de nombreux plats préparés. Cependant, à l’intérieur, il n’y avait que des types –et plutôt d’ailleurs d’un certain d’âge-, ce qui n’était pas pour me déplaire. Ma femme me dit : » il n’y a que des types là-dedans ” ; et je répondis sûr de moi : » normal, le soir en Espagne, il y a 90% d’hommes dans les bars… mais tu as vu toutes ces tapas ? ça a l’air vachement bon et pas cher. Puis ce doivent être des habitués, c’est plutôt bon signe.”
Ma femme, convaincue, me dit : » bon, allons-y, mais entre le premier ”
J’entrais donc en premier dans ce bar. Quelques têtes se détournèrent à peine, ayant rapidement cerné le couple » touriste ”. Je tins la porte grande ouverte et je la fis entrer à ma suite dans sa tenue sexy et BCBG à la fois. Alors là, je perçus comme un moment de surprise par le silence qui provoqua cette apparition, une interruption dans les conversations en cours et la quasi totalité des visages de ces hommes (une bonne dizaine) se retourna pour mieux voir ce qui entrait. Le silence s’intensifia et entoura le claquement sur le carrelage des talons hauts de Jeannine que je dirigeai fermement vers le bar, ayant avisé deux tabourets libres. Discrètement, les paires d’yeux attirées par les coutures des bas noirs se détournèrent (à peine) lorsqu’elle s’installa sur un des deux tabourets hauts, la jupette remonta en dévoilant un peu de » cuisse ” aux regards manifestement attisés par la femelle, la seule du bar.
Après quelques civilités dans un espagnol très approximatif, nous nous mîmes en mesure de passer commande. Pour les boissons pas de problème puisque nous prîmes d’abord un apéritif chacun et une bouteille de vin pour la suite (un peu d’alcool devait l’émoustiller davantage). Pour choisir les tapas, nous descendons de nos tabourets. Et, hop, un petit coup d’œil sur les cuisses pour deux ou trois attentifs, qui en mirèrent un petit peu plus haut ! Nous nous dirigeons vers la vitrine réfrigérée en nous insinuant entre les clients accoudés au bar. Certains se retrouvaient par instant avec le corps de ma femme les frôlant à quelques centimètres d’eux, leurs genoux au contact de ses hanches, leur souffle proche de l’odeur parfumée de sa chevelure. Déjà, je sentais l’excitation monter chez les vieux espagnols et les regards se faire plus attentifs, certains contemplant ostensiblement les bas à couture avec un sourire entendu : ces mâles connaisseurs de femelle savaient que cette femme portait des bas, ce qui n’est jamais innocent, et qu’une bonne affaire pouvait se profiler pour eux. Ma femme devenait peu à peu l’attraction numéro un du bar et les yeux de la plupart des types se concentraient sur elle.
Deux ou trois clients, flairant l’aubaine à venir avec cette belle femelle, s’empressèrent autour de nous pour nous conseiller… tout en n’omettant pas de s’approcher le plus possible d’elle ou même la frôler.
Après avoir choisi, nous retournons à nos places contournant deux tables garnies de clients aux yeux scrutateurs… à hauteur de fesses, lorgnant la jupette ajustée. A nouveau les talons des escarpins de ma femme claquèrent sur le carrelage et ses fesses remuaient doucement sous le tissu chic de cette jupette chic et sexy. L’ayant laissée passer devant et traînant volontairement au comptoir à tapas, je pus remarquer ainsi les regards admiratifs, envieux, appuyés et très » précis ” de quelques clients vers ses gambettes gainées des bas, sa jupette juste moulante, sa démarche en général rendue très sexy par la finesse et la cambrure des escarpins. L’appétit y était. Je pus même intercepter certains échanges d’œillades complices entre quelques uns et j’eus un petit sourire à leur intention, qui en disait long sur mon envie de leur être agréable en leur offrant un si beau spectacle, si inhabituel pour eux en ce lieu essentiellement masculin.
Ma femme regrimpa sur son tabouret. Là, je pus voir –et à peu près la moitié de la salle (ceux qui étaient assis en contre-bas)- se dévoiler presque en totalité la deuxième cuisse, lorsqu’elle ramena l’escarpin sexy sur le repose-pied en métal du tabouret. Peut-être même que l’un des types avait pu bien vérifier (si le doute leur était permis) qu’elle portait des bas et voir un bout de chair blanche. Rien que cette idée m’excita au plus au point et je commençais même à bander.
Nous attaquâmes l’apéro et la première bordée de tapas, non pas dans l’indifférence générale car quelques paires d’yeux lorgnaient, plus ou moins à la dérobée mais régulièrement, en direction de ma femme… qui faisait semblant de ne rien voir… coquine, va! Je l’avais installée contre la vitre, en bout de bar, et elle faisait face quasiment à tout le monde. Moi, à ses côtés, je sentais dans mon dos le poids des regards… que je vérifiais en chaque occasion en faisant mine de lorgner vers la télévision ou de prêter une attention feinte à des comportements ou des conversations espagnols, que nous ne comprenions pas. Elle devait bien percevoir » tout l’intérêt ” qu’elle avait déclenché chez ces types.
Ce bar était encore relativement calme –presque pépère- et j’avais envie de pousser un peu le jeu ; je m’aventurais : » croise tes jambes, ce sera plus joli sur le tabouret… ” dis-je avec un air un peu canaille, tout en accompagnant un coup d’apéro.
Ma femme sembla hésiter un moment… sourit… elle avait compris le jeu et croisa ses jambes. Un escarpin resta fermement posé sur le support métallique du tabouret et l’autre s’élança en l’air, tout cela dévoilant un peu de dessous de cuisse pour ceux qui étaient attablés et moulant avec le bas le haut de la deuxième cuisse, la jupette ayant remonté un peu, à l’intention de ceux qui étaient debout au bar ou dans la salle dans mon dos. Ce nouvel angle de vue me plaisait bien car il restait digne –cependant la couture du bas se montrait assez bien- mais laissait encore plus entrevoir et supposer des trésors stimulant l’assemblée de ces espagnols sevrés de femelles sexy dans ce bar. Nous restâmes ainsi une bonne dizaine de minutes et je pus, de temps en temps, observer le manège des types qui, feignant de bouger verre à la main, venaient mieux se placer pour observer à la dérobée et admirer ma femme perchée sur son tabouret avec ses deux cuisses gainées de ces bas fins noirs et ses escarpins charmeurs, son tailleur BCBG. Je leur facilitais régulièrement l’angle de vue, en bougeant sur mon tabouret ou en en descendant de temps en temps. Je sentais une chaleur sourde monter chez les mecs… et je pense chez ma femme aussi.
Le type immédiatement sur ma gauche semblait avoir compris et une complicité silencieuse se nouait au fur et à mesure entre nous deux. De plus, il s’adressait régulièrement à deux de ses compères, l’un accoudé au comptoir, qui se penchait de temps en temps pour se payer un petit jeton, l’autre debout, qui, verre en main, tournait, tantôt avançant, tantôt reculant, en parlant fort. Je percevais quelques bribes de leurs échanges et je savais qu’ils parlaient de la » belle femme ” et des » jolies cuisses ” ou des » escarpins ”, » bas à couture ”, persuadés que nous ne comprenions pas leur langue. Ma femme, elle, au contraire, ne comprenant aucun mot d’espagnol, ne pouvait pas savoir… elle pouvait seulement » sentir ” qu’elle était leur centre d’intérêt. Le vieil espagnol sur ma gauche me plaisait vraiment avec son visage hâlé et relativement ridé, son crane à demi dégarni, ses petites lunettes qui rendaient ses yeux bigrement scrutateurs. A un moment nous échangeâmes tous les deux un long regard lourdement chargé de complicité érotique silencieuse. Aussi, lorsque je vis que ma femme se penchait sur le comptoir pour manger un calamar en sauce et ne pouvait rien surveiller, tout en décollant un peu une de ses fesses du tabouret, la quasi totalité de sa cuisse tendue, je me reculais pour lui offrir une superbe vue.
Le vieux vicieux profita évidemment de l’aubaine, ainsi d’ailleurs que son compère qui était debout. Pendant ce court instant où ma femme était absorbée par le calamar récalcitrant et les tâches de sauce à éviter, sa cuisse gauche se montra en entier, la jupette dans le mouvement était remontée jusqu’au liseré de dentelle du haut du bas noir. La tension de la posture jambes croisées et du penché du haut du corps et de sa tête vers le comptoir favorisa ce dévoilé de charme. Les deux types virent distinctement non seulement la couture fine mais aussi la chair blanche au-dessus du bas en haut de la cuisse et la jarretelle noire tendue à l’extrême. Celui qui était debout m’agrippa même par le bras –comme pour vérifier ma complicité-, sa tête vint se caler tout près de mon épaule par-dessus laquelle son regard plongea dans la cuisse vertigineusement exhibée. Je me tournais vers lui, vit son regard excité et vicieux (il avait un physique plus rural que l’autre) et il eut un petit ronronnement de plaisir et admiratif, pour me signifier qu’il appréciait le cadeau que je leur faisais. Rapidement je repris ma position initiale quand ma femme eut finit de gober le calamar et reposa son verre… comme s’il ne s’était rien passé. Elle tira un peu sur sa jupette (mais ce ne fut heureusement pas vraiment efficace!) et nous reprîmes une conversation banale sur la qualité de ce que nous mangions.
» Attends, on va reprendre un autre apéro avant de passer au vin… ” et je commandais fermement au patron deux autres Mos**tel, ce vin cuit sirupeux… mais suffisamment alcoolisé pour lui faire monter le rose aux joues et l’émoustiller.
» Ça commence à me monter à la tête… après on arrête, on boira du vin ”
» Oui, oui, mais le Mos**tel c’est meilleur avec les calamars… ”
Le patron, qui n’avait d’ailleurs probablement rien perdu du petit spectacle et, entendant les commentaires érotico-mateurs des vieux, connaissait bien ses clients, servit une méga-dose d’apéro dans un verre apparemment identique mais imperceptiblement plus grand. Résultat ma femme eut l’équivalent de deux doses sans le savoir, de ce vin doux, bien alcoolisé et frais, qui descendait tout seul en accompagnement de ces amuse-gueules assez épicés pour donner soif.
Ma femme eut besoin de changer de position sur ce tabouret haut car forcément il fallait de temps en temps bouger pour éviter les crampes ou retrouver un certain confort. Je compris qu’elle allait décroiser puis recroiser ses cuisses dévoilées par la jupette qui allait forcément remonter dans ce mouvement. Prestement, je descendis de mon tabouret mon verre à la main, dégageant totalement la vue sur ma gauche au même moment où elle enclencha cette action sur ses jambes croisées.
Trop tard pour elle car quand elle décroisa ce fut la totale.
D’abord ses deux cuisses se retrouvèrent totalement visibles aplaties sur le haut mais légèrement entrouvertes et musculairement tendues par le bref effort à faire. Alors, un court instant, non seulement ses deux bas apparurent tels quels et en totalité aux trois autres mais aussi ses jarretelles et surtout sa culotte noire transparente se trouva en ligne de mire directe au summum du creuset de la chair blanche en haut des deux cuisses parallèles.
Puis elle recroisa, offrant maintenant une nouvelle vue plus intéressante pour les types assis dans le bar. Je repris ma place précédente et je me tournais un court instant vers les trois autres. Leurs visages étaient aux anges, leurs yeux brillants et leurs sourires m’en dirent long sur leur plaisir et je compris à leurs commentaires qu’ils avaient bien vu la culotte arachnéenne tous les trois: l’un d’eux le dit même au patron et un autre, celui qui était debout, précisa –en espagnol, bien sûr- qu’il avait vu les poils de sa chatte à travers la culotte en tulle transparent, en se retournant vers d’autres clients dans la salle. Je bandais fort dans mon pantalon, je ne tenais plus en place car j’arrivais à comprendre par intermittences leurs conversations salaces sur ma femme, ses bas, ses cuisses et sa culotte.
Cependant l’alcool commençait à faire son effet sur ma femme, qui se laissait un peu aller et rigolait de quelques détails insignifiants. La partie était gagnée… il fallait l’exploiter vite et continuer le jeu.
Ce fut ma femme qui fournit l’occasion d’en mettre une nouvelle couche. Soudain, elle se tâcha la jupe en plein milieu. Elle dut donc décroiser de nouveau. Je fis mine d’en rire… elle aussi. Chouette! Je demandais de l’eau, elle prit une serviette en papier et entreprit d’essuyer la tâche de sauce, jambes décroisées, jupette tendue à la lisière des bas noirs. J’en profitais évidemment pour me lever à nouveau et dégager la vue de ses cuisses cette fois à tout le bar en venant me placer à côté d’elle. Alors qu’elle frottait sa jupette, ses cuisses, ses bas, sa chair blanche et, par moment, sa culotte étaient les cibles fabuleusement érotiques de tous les regards… qui ne se cachaient plus. Elle se savait regardée… mais la tâche résistait pour le plus grand plaisir de tous et accaparait son attention… et celle de tous les clients du bar, qui espéraient qu’elle n’allait pas réussir à l’éliminer trop vite.
Un peu gênée mais de plus en plus émoustillée -je le sentais bien- elle ne savait plus comment s’en sortir. De plus, d’un geste maladroit, elle fit tomber en même temps son paquet de cigarette et le briquet, ajoutant une pièce au désordre général. Je me baissais aussitôt pour ramasser le tout : pour le paquet de clopes, aucun problème, mais le briquet avait roulé au bas du comptoir et je dus écarter un peu les tabourets. Ma femme dut oublier un instant sa tâche pour me permettre de partir à la recherche du briquet. Du coup ses cuisses s’écartèrent un peu plus et son pied dérapa brusquement du repose-pied du tabouret. Son escarpin s’échappa du pied malgré un geste vain de sa jambe et vint frapper le sol, attirant l’attention de tous les types (si ce n’était pas déjà fait) et laissa le joli peton esseulé en l’air, gainé du noir transparent du bas, orphelin de sa chaussure érotique à talon haut, les cuisses décalées montrant bien à tous le bas de la jambe pendante en entier, jusqu’à la bande noire plus foncée.
Alors là ce fut un spectacle fabuleux pour tous ces vieux espagnols.
Sa culotte et, avec elle, sa chatte qui se laissait deviner en jeu d’ombres à travers le tulle transparent, ses cuisses avec le haut barré par la bande plus foncée du haut des bas, la chair blanche, étaient donnés ostensiblement en pâture aux dizaines de paires d’yeux lubriques des espagnols affamés de sexe. Sans oublier son pied déchaussé, que certains hommes -et moi le premier- trouvent fabuleusement érotique, surtout lorsque le nylon du bas qui l’habille est hyper fin, dessinant le contour des orteils et aussi le talon quand ce sont des bas à couture. Feignant de ne pas trop savoir si je devais continuer à chercher à ramasser le briquet ou lui rechausser le pied, je me fis faussement maladroit. J’entrepris de rechausser l’escarpin… mais je n’y arrivais pas. Accroupi à ses pieds, je voyais sa culotte et, me tournant subrepticement vers l’assemblée de mateurs, je constatais qu’ils ne perdaient pas une miette de ces visions des trésors de ma femme, que tous les regards cherchaient à percer les secrets des images sexy qu’elle montrait. Alors qu’elle voulait favoriser ma rechausse de son pied impudiquement dénudé, je désignais de mon index pointé la chatte de ma femme à leurs regards. Là, plus personne n’était plus dupe de quoi que ce soit sur ma complicité pour leur » offrir ” ma femme. Non seulement ils avaient déjà tout vu, mais en plus ils surent que j’avais la volonté farouche de leur offrir le maximum de spectacle. Seule les retenait encore, une prudence pudique vis-à-vis de ma femme, qui conservait une attitude la plus digne possible, bien qu’elle sache certainement que tous mataient comme des fous ses jambes, ses bas, ses jarretelles, sa chair dévoilée en haut des cuisses et, par moments pour certains, sa culotte transparente. Je finis par remettre l’escarpin, je ramassais le briquet, enfin (!) et nous reprenions une position plus calme.
Cet épisode fabuleux, qui avait duré deux bonnes minutes de folie de rêve pour tous les voyeurs, nous avait mis tous dans tous nos états. J’entendis les conversations repartir de plus belle en espagnol. Dommage que je ne comprenais pas tout. Mais le brouhaha et certains mots, l’excitation dans leur gouaille ne laissaient plus planer aucun doute… surtout après mon petit geste avec mon index vengeur. Ce dernier geste, que ma femme n’avait pas vu toutefois, et les complicités qu’il impliquait m’avait occasionné une trique d’enfer. Ma femme s’en aperçut et me regarda.
» Tu bandes? ” fit-elle interloquée, à voix basse.
» Oui, oui… ” bredouillai-je, voulant exploiter la situation mais sans la bloquer. C’est alors que je constatais qu’elle était devenue toute rouge, alors j’enchaînais aussitôt : » Oui, ça m’a excité de voir tes cuisses et de te remettre l’escarpin… tu sais que j’adore tes jambes, les bas et les chaussures à talons hauts ”. Ma femme restait silencieuse et continuait à m’interroger du regard. Je déglutis fortement alors qu’elle regardait toujours ma bandaison.
» Les autres types ont dû se rincer l’œil aussi ?” me dit-elle.
» Ouais, ouais, sûrement… ça m’a excité aussi… et toi?… Non? il y en a qui ont dû se rincer l’œil… ça m’a fait triquer aussi d’y penser…”
Elle sourit en hochant la tête pour un ‘oui’ d’aveu arraché.
C’était gagné!
Un moment de répit d’abord, puis il fallait exploiter l’avantage acquis. La bouteille de vin avait été servie par le patron, qui remplit nos verres avec un petit sourire complice à mon égard, quand ma femme ne regardait pas.
» Hmm, il est vachement bon! ” dis-je pour reprendre une conversation la plus normale possible. Ma femme prit son verre, toujours le même légèrement plus grand que le mien et généreusement rempli par le patron, en but une bonne rasade comme pour se donner une contenance… ou du courage pour la suite. Je sentais que les deux apéros -notamment le deuxième bien tassé- puis le vin commençaient à faire leur effet. Elle se mit à parler un peu plus fort, recommença à rire et à avoir quelques gestes maladroits, qui témoignaient de son excitation moins contrôlée.
Ce fut le bruit soutenu et régulier des pièces tombant d’une machine à sous qui nous tira de l’embarras d’une situation redevenue routinière. Nous détournâmes la tête tous les deux, l’air intéressé. Comme le bar était relativement petit, je me levais et, en deux enjambées, je me trouvais debout à côté de l’espagnol qui venait de gagner. Je feins aussitôt de m’intéresser au jeu, tout de me retournant vers ma femme de temps en temps pour lui faire quelques petits signes d’étonnement. Evidemment, tout le bar suivait notre manège et les types observaient ma femme seule au bar sur son tabouret. Puis je revins me rasseoir : ”j’y comprends pas grand chose, je crois qu’il faut aligner des trucs de la même couleur mais il y a des touches, je ne sais pas à quoi elles servent ”.
» J’en ferais bien une partie, dit-elle, c’est combien? ”
» On met ce qu’on veut, c’est la machine qui calcule ”
Aussi, dès que la partie fut terminée et que l’appareil se retrouva libéré, ma femme, finissant un nouveau verre de vin, enchaîna sur un ton enjoué:
» Allez, on en fait une, vas-y d’abord”
» Oui, oui, … viens voir ”
A ma grande joie, elle ne se fit pas prier. En effet, alors que j’avais commencé à engager quelques pièces, elle descendit de son tabouret et vint me rejoindre devant la machine à sous, en faisant claquer les talons de ses escarpins sur le carrelage, suivie du regard par tous les espagnols impatients.
Evidemment, je ne gagnais pas. Les espagnols semblaient se marrer de me voir perdre. Comme je remis des pièces, l’appareil se mit à faire une musique et cinq pièces tombèrent. L’un des clients s’approcha -comme ils le font tous quand l’un d’entre eux joue- et, à un moment, il m’indiqua d’un geste qu’il me fallait appuyer sur un bouton.
» A quoi ça sert? ” questionna ma femme.
» J’en sais rien ” répondis-je aussitôt.
Les espagnols avaient compris que nous ne savions pas nous servir de la machine et deux de plus nous rejoignèrent. Certains essayèrent de nous expliquer en barragouinant. Evidemment, nous ne comprenions pas davantage. Ma femme voulut mettre les pièces elle-même, je me reculais un peu. Elle gagna. Dix pièces tombèrent. Immédiatement un espagnol la prit par le bras et lui fit appuyer sur un bouton. Premier contact. Je me reculais un peu plus, laissant ainsi la place libre. Un autre parlant plus fort s’approcha et nous indiqua une autre touche en essayant de nous faire comprendre qu’on aller gagner de nouveau mais davantage.
A un moment, l’appareil se remit à sonner. Je me tournais vers eux, le regard interrogatif. Un autre s’approcha un peu plus et, presque collé à ma femme, montra les cadrans lumineux et expliqua quelque chose. Ma femme s’écarta un peu, venant de dos à son contact. Tant que nous avions des pièces nous jouions, sans trop comprendre. Trois ou quatre espagnols nous tournaient autour et s’appuyaient de temps en temps contre ma femme, qui ne refusait pas les contacts, sous l’alibi du jeu et la griserie montante de l’alcool. Elle riait, se tournait de temps en temps vers eux, leur souriait et se laisser frotter un peu. Tout cela restait bien digne mais l’ambiance chauffait peu à peu imperceptiblement. Certains visages des types se rapprochaient à chaque occasion de celui de ma femme; des mains se posaient sur son épaule, sur son bras, quelques cuisses d’hommes frôlaient sa jupe, quelques bustes son dos. Peu à peu, nous faisions partie du groupe, du bar. Ma femme riait, bougeait, se laissait coller de temps en temps de manière appuyée. A ma grande joie, je devinais la bandaison d’un des espagnols qui venait de presser sa queue à travers les étoffes contre le fessier ferme de ma femme. Je le regardais en souriant et lui fit discrètement signe de recommencer. D’autres pièces tombèrent, ma femme se pencha en avant pour les récupérer; sa jupe se tendit et ses fesses devenaient une offrande dans le tissu moulant. Le mec n’eut que cinq centimètres à avancer ou peut-être zéro car je crois que ce fut ma femme qui tendit son cul à la recherche de la queue bandée à travers le pantalon. Il resta collé à elle, sa trique calée contre les fesses de ma femme, qui ne refusa pas le contact, tout en continuant à jouer.
Le patron, qui avait dû bien suivre l’avancée de l’ambiance, mit de la musique un peu plus fort pour couvrir le bruit de la télé, dont il coupa le son. La partie de la machine à sous semblait captiver plus de la moitié du bar, la belle joueuse excitait les convoitises pour mon plus grand plaisir. Tout le monde, y compris ma femme, se mit à parler de plus en plus fort.
Enfin, plus de pièces pour nous. Un espagnol prit notre suite sans trop de conviction mais plutôt pour poursuivre notre intégration. Pas de gains non plus, alors nous regagnèrent nos places au comptoir mais debout et plus mélangés aux autres clients. Une bouchée de tapas, un autre verre de vin avalé, les conversations en espagnol qui reprenaient, le ton était donné.
Brusquement un » ta, ta, tam ” bien connu annonça un paso doble. A un signe d’un client plus exubérant que d’autres, le patron monta le son. Je regardais ma femme avec un sourire: » t’as pas envie de danser? ”
Elle hocha la tête, comme un petit ‘oui’ discret, mais nous savions tous deux que je n’étais pas un bon danseur. Elle eut un petit hochement d’épaule. J’avais toujours mon verre à la main, debout à deux mètres du bar et de ma femme et je regardais aussi la salle, comme pour donner un » sauf-conduit ” pour qu’elle se laisse inviter à danser. Un espagnol brun assez grand d’une soixantaine d’année s’approcha de ma femme et, l’air décidé, lui tendit la main pour une ferme invitation à danser. Elle posa son verre sur le comptoir, me jeta un rapide coup d’œil -je lui souris en signe d’acquiescement- et le suivit au milieu de la salle dans un espace entre les tables qui leur permit de commencer ce paso.
C’était parti! » Youpi ” me dis-je en m’effaçant.
Le type l’empoigna fermement, les bas-ventres se collèrent et la danse enlevée débuta. Ils tournaient tous les deux au milieu des autres clients, mais tout près d’eux. Je vis le patron mettre une cassette dans l’appareil, cela allait sans doute enchaîner. Je savais que la danse allait libérer ma femme de toute inhibition. Effectivement, au fur et à mesure du paso, elle s’accrochait de plus en plus fermement à son cavalier qui la tenait par la taille. Son visage s’épanouissait, elle souriait à tout le monde et à personne. Le mec s’enhardissait en suivant les mesures. Leurs bassins étaient de plus en plus soudés. Ma femme ondulait et suivait la poussée contre son ventre. Mais le paso prit fin. Le type lâcha lentement ma femme comme à regrets, avec un remerciement de la tête. Les autres clients applaudirent brièvement.
Comme prévu, un autre morceau enchaîna après à peine dix secondes de coupure, qui n’avaient pas permis à ma femme de revenir monter sur son tabouret, ni à l’ambiance de retomber. Ce fut un autre client qui vint l’inviter. Elle accepta d’emblée pour le plus grand plaisir de tous les autres clients, se disant que leur tour viendrait, et… pour le mien.
Directement, il se colla fermement à elle au niveau du bas-ventre de manière encore plus serrée que le précédent. Les autres clients applaudirent un bref instant. Ma femme rit et se colla à lui, lui rendant bien le contact. Celui-là appuyait aussi son buste assez fort, écrasant un peu son sein gauche car il la tenait bien contre lui avec son bras droit l’enserrant totalement à la taille et sa grosse paluche plaquée au milieu du dos. Il la faisait tourner assez vite, soudée à lui. Ils ondulèrent tous deux en cadence de manière de plus en plus ostensible. Il n’y avait aucun espace perceptible à l’œil entre le haut du pantalon de l’espagnol et le mont de vénus de ma femme plaqué sous sa jupette. Collé serré en diable. Le ton montait. Par contre, je pus me rendre compte -et tous les autres spectateurs avec moi- que deux boutons du chemisier de ma femme s’étaient ouverts, dévoilant très largement la vallée de chair entre ses deux seins bombés par le balconnet, dont la dentelle était largement visible. Ainsi soudés, ils tournoyaient et ondulaient au milieu d’un cercle de plus en plus resserré, qui encourageait les deux danseurs en chantonnant. La vitesse et la frénésie de la danse faisaient oublier peu à peu à ma femme toute retenue. Elle se livrait, elle se laissait aller entre les bras, contre le buste et le bas-ventre de son danseur. Le bras de celui-ci l’enserrait de plus en plus fort par la taille faisant remonter toujours plus haut la jupe. Le haut des bas, les coutures sexy, la finesse et la longueur des cuisses, les escarpins en cuir noir pouvaient être appréciés à chaque vire-volte, surtout par ceux qui étaient restés assis.
Le paso se termina. Ponctuant la mesure finale, l’homme plaça ma femme dans l’axe de sa bite probablement archi-bandée dans son pantalon, en la prenant par les deux hanches. Au vu de tous (et de moi, aux anges) elle répondit à cette pression en contractant son bas-ventre sur la bandaison, en le fixant d’un regard intense, tout en restant plaquée contre sa bite… sa culotte devait commencer à s’humidifier. Pour la remercier, il l’embrassa dans le cou; elle tendit sa tête pour satisfaire le baiser fougueux, resta vingt secondes supplémentaires collée à lui et finit par se détacher de lui.
Alors, il se tourna vers l’assemblée de tous les clients surexcités et, bombant le torse en pivotant sur lui-même, montra fièrement à nous tous médusés (et certainement envieux chez quelques espagnols) une bandaison d’enfer totalement bien dessinée et épousée par le tissu de son fin pantalon de toile. Cela déclencha un tonnerre d’applaudissements… et décupla ma propre bandaison. Ma femme en sourit, ce qui laissait augurer une suite des événements encore plus chaude.
Un nouveau paso enchaîna aussitôt. Ce furent deux autres pognes d’un petit espagnol plus bedonnant qui empoignèrent immédiatement ma femme. Elle se laissa embarquer dans une danse tout aussi serrée que la précédente. Etaient-ce ses talons hauts? En tout cas, ma femme dominait son nouveau danseur, dont le nez plongeait pratiquement entre les seins gonflés de désir. Elle se trémoussait contre lui, qui, trop bas, n’arrivait probablement pas à lui faire sentir sa bite assez haut à travers les étoffes. Aux mouvements de fesses qu’il faisait, tout le monde voyait bien qu’il cherchait en se haussant sur la pointe des pieds à lui faire ressentir la grosseur le plus près possible de sa chatte, se frottant contre le haut de ses cuisses comme un chien en chaleur. Et ma femme, bonne âme, fléchissait de temps en temps ses genoux pour mieux stimuler son cavalier court sur pattes. Ce faisant sa jupe remontait un peu plus et de dos la chair blanche apparaissait régulièrement au-dessus des bas.
Un autre paso. C’est le vieux à lunettes qui s’empare de ma femme sans laisser retomber ni l’extase, ni la jupette. Le petit gros lui aussi se tourne vers ses copains et, encore plus explicite, se palpe la bite hyper bandée dans son pantalon de velours avec un sourire béat, puis, sous une nouvelle salve d’applaudissements -dont les miens-, va s’affaler sur une chaise jambes écartées, l’érection toujours bien présente, et souriant à ma femme chaque fois que leurs regards se croisaient. Me surprenant, celle-ci lui souriait et contemplait sa bandaison, fière de son impact.
Pendant ce temps-là, très discrètement, le patron du bar donna un tour de clé à la porte et tira deux stores de la vitrine, de manière à ce que l’intérieur du bar devienne invisible de la rue.
Mon vieux binoclard la collait frénétiquement; ce n’était d’ailleurs plus vraiment un paso, et le patron ayant tout pigé, profitant d’une mesure appropriée, transforma le paso en tango. La danse devint encore plus langoureuse et érotique. Le binoclard plaça sa queue face au mont bombé sous la jupette, ma femme écartant un peu ses cuisses rendit l’attouchement en jouant du bassin, tirant la tête en arrière et le regardant droit dans les yeux. On aurait dit une lambada lente. Il lui souriait béatement et appuyait, appuyait, appuyait. Les applaudissements reprirent mais de manière plus lente mais plus saccadée, suivant les mesures en insistant sur les temps d’appui prolongé. Leurs visages se toisaient, alors que leurs bas-ventres se renvoyaient des secousses et des ondulations de moins en moins équivoques. Ma femme semblait provoquer le binoclard en le fixant intensément dans les yeux, tout en continuant de répondre aux poussées de sa queue invisible à nos yeux contre sa jupe.
Alors, lui, tout en conservant ce petit air conquistador, la toisa fièrement en la plaquant encore plus contre lui et, soudain, roula une galoche à ma femme. Immédiatement leurs langues se dardèrent dans la bouche de l’autre. Les autres clients me regardèrent un peu inquiets peut-être, je souriais comme pour leur confirmer le » feu vert ”. Tout en continuant à donner des petits coups de boutoir avec sa pine contenue dans son pantalon mais pensant probablement à ses copains assis, le binoclard finit de remonter la jupe de ma femme jusqu’à la limite de sa culotte, exhibant aux yeux ahuris de tous ses longues jambes fines gainées des bas noirs à coutures et campées sur ses escarpins, sa chair blanche et surtout ses fesses barrées par les jarretelles et bien dessinées à travers le tissu de la culotte transparente noire. Ma femme continuait à rendre le baiser fougueux et se laisser palucher et exhiber, les joues rosies par le vin et l’excitation. J’étais plus qu’aux anges.
Un nouveau tango enchaîna alors. Le binoclard ne lâcha pas ma femme au baiser, par contre un nouveau cavalier s’approcha, puis un autre. Ainsi en très très peu de temps, elle passa entre les mains et contre les bites tendues sous les étoffes de trois nouveaux conquistadors. Le binoclard la reprit en bouche après l’intermède, elle rechercha aussitôt sa langue, pendant qu’un nouveau danseur vint s’accoupler à eux dans le dos de ma femme. Il maintint sa jupe relevé et, entourant le couple de ses deux bras, il dansait le tango à contre-temps, son pantalon plaqué contre les fesses de ma femme. Un sandwich dansant chauffait ma femme.
Un instant celle-ci voulut reprendre son souffle. Sa bouche se dessoudant de celle du binoclard, elle renversa sa tête en arrière contre l’épaule de celui qui la frottait de dos. Aussitôt un autre type approcha, le grand brun de tout à l’heure, et plongea sa langue dans la bouche entrouverte de ma femme. Elle répondit à cette nouvelle prise en bouche. Simultanément deux autres types vinrent s’agglutiner sur les côtés de cet amas de » danseurs ” en frottant leurs tiges contres les cuisses de ma femme de chaque côté. Le binoclard dut la lâcher un peu pour laisser ses copains profiter, s’occuper d’elle et caresser ses seins. Les mains de ma femme, libérées car elle était plus que bien tenue en mains, tombèrent un peu et vinrent flatter les bosses à travers les pantalons. Tour à tour elle tâta les cinq pines bandées contre elle. Le binoclard en profita pour dénuder davantage les seins de ma femme en dégageant totalement les globes des bonnets du balconnet pour faire apparaître les tétons durcis au grand jour. Le petit gros vint s’ajouter au tableau en venant sucer un de ces bouts de sein, tel une abeille. Un changement de musique permit à un autre espagnol de se joindre au groupe. Il avait sorti une grosse pine rougeaude de sa braguette et il vint la plaquer contre une fesse de ma femme au contact de la culotte, alors qu’un autre se mit à lécher le téton orphelin.
Ma femme commença alors à dézipper quelques braguettes. Je vis une de ses menottes plonger dans un pantalon pour aller palper la queue du binoclard et l’autre se saisir d’une tige inconnue sur sa gauche, qu’elle commença à masturber lentement. Peu à peu, toutes les bites émergeaient des braguettes et s’approchaient du groupe. Des glands vinrent se frotter à la jupette remontée, d’autres se baladaient contre la chair nue au-dessus des bas, d’autres amusaient la raie culière à travers la culotte, certaines tapotaient sur une main de ma femme pour se faire empoigner quelques instants. Les bites, les pognes se bousculaient autour de ma femme. De temps en temps, les dards bandés flottaient seuls à l’air attendant une ouverture pour venir se frictionner aux atours de ma femelle en chaleur. Des bouches gobaient ses seins, quand les mains des manants espagnols laissaient un peu de place. La bouche de ma femme n’était jamais vide, toutes les langues venaient à tour de rôle la galocher, pendant que les queues entretenaient leurs bandaisons.
Sa veste lui fut enlevée sans résistance… son chemisier suivit peu de temps après. Toujours en musique, en sous-tif juste au-dessous des deux miches à l’air, galochée profond, une bite en permanence dans chaque main, la jupette remontée jusqu’à la taille, ma femme plus tellement en rythme avec la musique était entrain de s’abandonner au groupe de queues, de mains, de langues des vieux espagnols, qui triquaient tous comme des bêtes. Une forte odeur de queue commençait à envahir le bar.
Alors ma femme s’accroupit au milieu des mecs et vint placer son beau visage béat à hauteur des pines tendues. D’abord elle embrassa quelques secondes les glands décalottés les plus près. Puis flattant des couilles, caressant des tiges de ses deux mains, elle commença à sucer les dards les plus turgescents et impatients. Certains mecs venaient tapoter ses joues ou s’immiscer dans sa chevelure pour ne pas être oubliés par sa bouche gourmande. Pendant quelques minutes, elle suça, pompa, goba, glands humides, tiges boursouflées qui passaient à portée de lèvres. Les mecs dansaient autour d’elle, maintenant leur bandaison, en se masturbant entre les turlutes trop fugaces, venant palucher un sein de temps en temps. Sa bouche avide allait de bite en bite. Par moments elle était cernée par sept ou huit queues qui se bousculaient. Quel spectacle!
L’un des espagnols, probablement impatient, s’allongea sur le sol et en rampant sur le dos, calant sa tête entre les deux escarpins, vint plaquer sa bouche au contact de la vulve de ma femme, largement ouverte par sa position accroupie. Il embrassa sa chatte avec langueur puis darda sa langue à travers le tulle fin de la culotte déjà trempée. Ma femme le ressentit, tressaillit et se cambra, sans lâcher cependant la bite qu’elle avait en bouche à ce moment-là, ni celles qu’elle tenait vigoureusement en mains et branlait avec insistance. Je m’accroupis à mon tour pour mieux voir le mec lécher la moule de ma femme à travers sa culotte. Sa langue experte fouillait la culotte, sa bouche aspirait le nylon humide et le clitoris exacerbé, qu’il finissait par agacer avec la pointe de sa langue. Cependant, cette nouvelle caresse buccale commençait à trop faire tressaillir ma femme qui commença à chanceler au milieu des queues… elle manqua de tomber et dut se relever.
L’un d’eux la fit reculer de deux mètres contre une table et, délicatement mais fermement en appuyant sur ses épaules nues, l’allongea sur le dos, les fesses juste au bord de la table et les jambes pendantes. Deux autres espagnols s’empressèrent de trousser la jupe de ma femme jusqu’à la taille. Alors, ce fut une nuée de types qui s’approcha de la table et se mit à la palucher de toutes parts, certains caressaient les bas et la chair des cuisses, d’autres amusaient la toison et la fente à travers le fin tissu de la culotte. Une bite gonflée faisait des allées et venues contre ses bas, une autre tapotait sa hanche au contact de la chair à nu, une autre s’insinuait sous une jarretelle. Le binoclard s’agenouilla entre les cuisses de ma femme et vint plaquer son visage entier contre sa chatte. Ecartant d’une main le rebord de la culotte assez ample, il put rouler une galoche à la fente rose de ma femme, totalement disponible. Mais bientôt, un autre le tira en arrière et vint prendre sa place. Petit à petit, tout le bar se succéda pour embrasser, lécher et honorer la chatte de ma femme. Elle se tortillait en tous sens, ces langues dans sa vulve, sur son clitoris l’excitaient à bloc. Je voyais sa jouissance monter, monter, puis redescendre un peu lorsqu’il y avait un changement de lécheur. Toujours allongée sur la table, elle s’agitait et dodelinait de la tête. Pour la calmer plusieurs bites vinrent se présenter à son visage ou se frotter contre son buste ou encore agacer ses menottes agiles et douces. Alors, elle se mit à prendre en bouche tantôt une queue sur sa droite, tantôt sur sa gauche, léchant, pompant, suçant les dards qui se succédaient. Ses deux mains aveugles saisissaient et masturbaient les pines qui se présentaient, caressaient les tiges, flattaient les couilles velues. Ceux qui attendaient leur tour frottaient les seins libérés du soutien-gorge, qui lui avait été enlevé… Où était-il?
En bas, je vis le binoclard et le petit gros lui enlever sa culotte, pendant qu’un troisième aux cheveux blancs avait sa bouche soudée à sa chatte. Ma femme enserrait sa tête avec ses cuisses fuselées et ses bas caressaient ses joues. La culotte descendait lentement car les deux vicieux prenaient un malin plaisir à réaliser lentement cette » enlevée ” de culotte sexy. A la première cheville passée, le binoclard caressa l’escarpin, qu’il ôta un moment, et, maintenant la chaussure en équilibre sur son gland, suça ses orteils puis lécha la plante des pieds à travers le bas. A l’autre cheville la culotte disparut prestement dans la poche du petit gros. La bouche du vieillard commençait à avoir des résultats car je voyais le ventre de ma femme se secouer alors qu’elle accélérait sa succion sur sa queue du moment, astiquait de plus en plus en vite les autres bites qu’elle avait dans chaque main. Les premiers résultats ne se firent pas attendre: les cuisses de ma femme serrèrent de plus en plus fort la tête du vieillard, ma femme gémissait mais on ne l’entendait guère avec la musique de toreros. Le vieux léchait la fente, suçait les lèvres, aspirait le clito, d’une main il caressait fesses, cuisses et toison et de l’autre il se branlait à genoux contre un des escarpins et le bas à sa cheville. Rien ne pouvait l’arrêter. Ma femme commença à jouir, se tordant tout en maintenant ses cuisses serrées et suçant maintenant le patron du bar, qui venait de lui présenter sa grosse queue sur la joue du côté gauche. Ses menottes s’agitaient frénétiquement sur deux queues. Je vis un espagnol, bomber le torse en arrière, fermer les yeux et, la bouche entrouverte, brutalement lâcher sa purée qui vint zébrer en trois longues giclées la poitrine de ma femme un peu surprise certainement mais totalement accaparée par sa jouissance, pressant la bite entre ses doigts pour en extraire tout le jus dégoulinant sur ses seins décorés.
Le vieux lui bouffait toujours la chatte, son visage congestionné devenait un peu plus rouge, enserré par les deux cuisses fermes. Il déchargea son sperme sur l’escarpin et sur les bas, faisant un bracelet et un collier blanc luisant sur ces accessoires sexy noirs, lorsque ma femme lui donna un coup de grâce avec ses bas serrés sur ses joues et caressant son crâne blanchi avec une main qui avait momentanément lâché une queue.
Une pine attira l’attention de ma femme en venant se placer contre son front par-dessus elle. Elle pencha la tête en arrière et goba le gland exacerbé, qui en dix secondes cracha son foutre, maculant son visage et éclaboussant sa bouche et ses cheveux.
Pendant ce temps, le vieux rassasié s’était relevé et l’espagnol brun, le conquistador du premier paso, vint placer sa longue tige dans l’axe de la chatte béante de ma femme. Il la saisit par le dessous des fesses et du porte-jarretelles au ras des bas et il l’enfila d’un coup. Elle gloussa et avança son bassin à la rencontre de ce dard puissant. » Enfin, une bite dans ma chatte! ” devait elle penser, oubliant le foutre qui la décorait déjà. Sous les applaudissements et les encouragements des autres, il commença à la limer savamment, avec application et lenteur. Nous voyions tous -et moi le premier- cette longue tige rentrer à fond dans la chatte rendue baveuse par les multiples langues, et celle du vieux surtout, puis ressortir presque en totalité pour mieux se réenfoncer aussitôt. Sans doute sentit-il sa jouissance arriver car, à peine au bout de trois minutes, il se retira complètement et laissa la place au petit bedonnant. Dans un brouhaha d’encouragements espagnols incompréhensibles, celui-là ne se fit pas prier pour bourrer ma femme comme un manant.
Excité à bloc, le pantalon aux chevilles, il se regardait aller et venir dans la chatte de cette belle femme alanguie sur la table du resto. Croyez-moi, il la pinait fort avec son gros boudin petit et épais. Ma femme se redressa un peu et le regarda dans les yeux en lui souriant. Aussitôt, elle fut distraite par une queue d’un grand qui vint se faire un peu sucer. Elle enfourna la tige, alors que le petit gros s’agitait et se mit à trembler. Il contracta ses fesses, se planta en elle et immobile, dans un râle guttural, lui envoya sa purée bien au fond du vagin.
Dans un grand » flotch ”, il sortit, le gland tout dégoulinant de son foutre et de la liqueur de ma femme mélangés. La chatte de ma femme, les lèvres roses déployées, luisantes et blanchies par le sperme, s’offrait béante et indécente. Un autre espagnol prit la relève aussitôt et rentra sans coup férir dans cette moule inondée du foutre de l’autre.
Le spectacle était devenu hyper-hard et je devenais fou de plaisir. De voir tous ces mecs enfiler ma femme à tour de rôle m’excitait à bloc. J’avais sorti ma queue et une pré-jouissance m’humidifiait le gland. Je devenais heureux et fou de voir cette douzaine de pines autour d’elle, de la voir butinée par tous ces glands. Certains venaient se faire sucer en attendant de pouvoir l’enfiler. Ceux qui avaient déjà bazardé leur foutre une première fois venaient la caresser, accompagnaient leurs copains de la parole, tout en maintenant leurs queues à moitié bandées.
Ils furent cinq ou six à se relayer entre les cuisses accueillantes mais parmi eux, un seul ne put se retenir et compléta la dose de foutre de l’autre. Il le fit en beuglant comme une bête sous les encouragements de tous et les miens bien sûr.
On fit bouger ma femme, elle se releva. Un type la conduit vers une autre table où l’attendait la grosse pine du patron, qui s’était allongé sur le dos. La bite était vraiment très grosse et épaisse, toute tendue vers le ciel. Ma femme se pencha et prit délicatement en bouche le gland rouge, titillant le méat avec sa langue et faisant coulisser la tige dans sa menotte mise en gouttière; de l’autre main elle flattait les couilles velues. Le patron du bar s’enflamma en espagnol, je crus qu’il allait disjoncter.
Cette ardeur de ma femme à pomper ce gros dard fut bientôt tempérée par l’arrivée d’une autre queue, qui enfila ma femme en levrette sans coup férir. Sa position penchée en avant, jambes tendues sur ses escarpins, jupette roulée à la taille et fesses blanches offertes au-dessus des bas et tendues par les jarretelles était une trop belle tentation. Celui-là, un autre vieil espagnol au teint buriné, la saisit aux hanches, ses mains sous la jupe et, plutôt que de la limer, il préféra user de ma femme comme un jouet en la faisant aller et venir sur sa bite. Ce faisant, la pipe au patron du bar devenait moins intense… heureusement pour lui car il allait décharger, trop tôt à son goût. D’ailleurs un nouveau défilé de baiseurs se passa dans son dos. A chaque changement de partenaire, ses lèvres humides apparaissaient dans toute leur splendeur. L’un des types, surexcité par la vision de ce cul et de cette chatte offerte, à l’entière disposition de tout le bar, après deux ou trois minutes de bourre, arriva au bout de son impatience: après avoir cogné bien fort trois fois au fond du vagin de ma femme, qui avançait à chaque bourrée sur la bite du patron du bar jusqu’à s’étouffer, il se recula et, prenant sa bite à pleine main, il tira dessus dix secondes et aspergea copieusement les fesses de ma femme et sa raie, de belles et logues traînées blanchâtres décorèrent son cul offert.
Cette salope dut sentir le chaud liquide et cela l’affola un peu plus. Alors, elle se recula à son tour admirant la bite démesurée du patron. Comme une petite fille qui attendait sa récompense, elle l’enjamba et s’empala sur ce gros pieu, aidée par deux autres qui lui maintenaient les cuisses. Le patron du bar, solidement fixé sur la table, ses deux pieds bien à plat au sol, faisait monter et descendre ma femme sur sa colonne avec ses deux mains sur sa taille, les seins de celle-ci venant lui tapoter la poitrine ou le menton à chaque descente. Un grand espagnol approcha des têtes et présenta à son tour sa bite à sucer à ma femme. Elle ne se fit pas prier et, tout en continuant de se limer sur la grosse queue, mais grimpant encore plus sur la table -ses genoux repliés enserraient maintenant à califourchon les hanches du patron-, elle pompa avidement ce dard fièrement tendu sous ses yeux.
Cette position nous permettait à tous de bien voir son cul blanc, élargi par la position, monter et descendre en cadence sur la grosse colonne de chair et venir s’aplatir sur les couilles velues. De temps en temps, le patron du bar donnait de petits coups vers le haut pour mieux venir taper le fond du vagin épousant son braquemart. Des pognes caressaient ce cul, des bouches venaient y déposer des baisers, des langues s’immiscèrent même dans la vallée, sans trop se soucier des restes de foutre de l’autre salaud de tout à l’heure. Je me mêlais à eux pour caresser et embrasser ce cul. Je fixais intensément la grosse queue dans cette vulve gourmande, quelques gouttes de sperme s’échappèrent de ma bite affolée par ce spectacle.
Encore une fois, ce fut le binoclard qui donna le signal d’une nouvelle envolée. Il darda sa langue dans l’œillet de ma femme, le dilatant et l’humidifiant encore plus. Le grand torero avait compris. Sa longue pine assez fine approcha et le binoclard déserta le trou du cul pour qu’il puisse y présenter son gland. Ma femme s’agita un peu à ce contact. Afin qu’elle ne puisse résister, le sucé lui maintenait fermement la tête enfournée sur sa bite et le patron du bar la tenait toujours par les hanches. Deux autres espagnols s’étaient approchés et avaient plaqué leurs pognes sur le haut de ses fesses et son dos. Coincée, ma femme subit l’assaut de la deuxième queue, alors que celle du patron était bien présente dans sa chatte mais ne bougeait plus. Alors, le grand espagnol commença à s’enfoncer avec précaution mais bien droit dans l’étroit conduit. Ma femme gémit malgré la bite obstruant sa bouche, qui avait arrêté de sucer, quasiment étouffée qu’elle était. Bientôt nous ne vîmes plus que les deux paires de couilles, les deux queues étaient totalement enfoncées dans ma femme, qui se trémoussait à peine -de toute façon, elle ne pouvait pas, bloquée comme était. Les deux mecs commencèrent alors à aller et venir en elle en alternant leurs pénétrations. Toutes les pognes accompagnaient ce double pilonnage: au pays des tapas, le sandwich était de mise! Le sucé laissa la place à un autre qui la lui réclamait depuis un petit moment. Ma femme était prise à fond par les trois trous. Là encore, j’eus droit pour mon plus grand plaisir à un petit défilé de pines dans le trou du cul de ma femme, alors qu’elle était en permanence empalée sur celle du patron du bar et qu’elle en avait toujours une en bouche. Ils la possédaient, ils la possédèrent ainsi pendant de longues minutes. Ma femme appartenait au bar, à toute la clientèle. C’était l’apothéose. Quatre, puis cinq, six bites de toutes tailles se succédèrent dans son cul. Le dernier déchargea sur ses fesses, un des mecs sucé gicla en beuglant sur la figure de ma femme, qui elle même criait sa jouissance avec des spasmes ravageurs. Son corps fut agité d’innombrables secousses, qui vinrent à bout de la patience du patron du bar. Il se releva brusquement, repoussa ma femme, qui faillit tomber en arrière. On l’allongea sur le sol, jambes écartées, pantelante et gémissante. Le patron du bar l’enjamba et vint secouer son gros boudin au-dessus d’elle: l’arrosage fut fabuleux. Ses grosses couilles semblaient ne plus en finir de se vider: ma femme avait du foutre partout, d’autant plus que le patron fut rapidement imité par tous les autres -du moins ceux qui n’avaient pas épuisé leurs réserves.
Son visage, ses cheveux, ses seins, son ventre et sa chatte furent très rapidement recouverts de foutre chaud et odorant. Je me joins au groupe d’espagnols pour décharger aussi sur ma salope d’épouse offerte, quand je fus surexcité de voir le binoclard empoigner l’escarpin de ma femme, y décharger dedans un quart de litre de sperme et la rechausser. Elle, rassasiée de jouissance, regardait en souriant toutes ces pines cracher sur elle, c’était fabuleux!
Quand tout fut fini, que les derniers glands se furent épongés sur ses bas ou essuyé dans ses cheveux ou fini de dégorger sur ses seins, on la releva. Je tendis son chemisier, puis sa veste à ma femme. Son soutien-gorge et sa culotte ayant disparu dans les poches des manants, elle rabaissa tant bien que mal sa jupe elle aussi amidonnée de sperme, tout comme son porte-jarretelles pas mal enfoutré, enfila son manteau et nous quittâmes ce bar sous les applaudissements, les remerciements et quelques » à bientôt ” qui en disaient long sur l’intensité du plaisir que nous avions procuré à tous ces vieux espagnols.
En voiture, sur le chemin du retour, ma femme me dit qu’elle avait du sperme partout, même dans les chaussures! J’appréciais, lui dit de ne pas l’essuyer et j’en bandais à nouveau.
Arrivés à l’hôtel, elle s’accrocha à mon bras pour regagner la chambre. Là, je la déshabillais lentement, très lentement, me délectant de voir, de sentir la forte odeur, d’admirer les litres de foutre répandus sur elle. Je l’embrassais longuement, d’un baiser enspermé à l’espagnole, car ses joues comme ses cheveux poissaient aussi, j’étais aux anges ; sa bouche avait goût à bites et à sperme, je me régalais. Rapidement déshabillé à mon tour, je lui conservais ses bas amidonnés de foutre et je l’embrochais sans coup férir, déchargeant immédiatement tout ce que je n’avais pas encore lâché!
» Aie, aie, aie, caramba ! ”
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