Je cherchais mes habits pour cacher ma nudité, ils avaient disparus.
– Il me dit que ce n’était pas la première fois que des mecs ou des couples venaient s’envoyer en l’air dans ce champ, qu’il habitait au dessus du chemin et dès qu’il voyait une voiture s’engager sur son chemin il prenait son appareil photos pour prendre les gens en flagrant délit, qu’il se faisait une sacrée collection pour passer les longues soirées d’hiver. Je voulu protester lui disant qu’il n’avait pas le droit de faire ça, qu’il me rende mes habits.
–
– « Pas avant que je fasses quelques photos de toi, si tu refuses, je garde aussi les clés de ta voiture »
Je commençais à comprendre que j’étais pris dans son piège, que je devais me résoudre à me soumettre.
– d’accord lui répondis-je, mais promettez-moi de me laisser repartir.
–
– Promis dit-il, mais tu dois m’obéir, sinon pas de clés. Tu vas commencer par te mettre debout face à moi les jambes écartées.
Je m exécutais, il s’approcha pour prendre en gros plan mon appareil reproducteur qui ne bandait plus, dont le prépuce recouvrait le gland, les testicules pendantes.
Il me dit de me décalotter en plusieurs étapes jusqu’au maximum.
– lorsque je te dirai stop du t’arrêteras pour que je prenne une photo.
Je tirais un peu sur la peau montrant le bout du gland, il dit stop et je vis le flash de l’appareil, j’étais à moitié du gland, stop et encore un flash, juste arrivé après le gland, stop encore et flash. Il me dit de tirer à fond la peau, le gland était complètement dégagé, cette manipulation commençait à me refaire bander. Il continuait ses prises de vues en disant que cela me faisait de l’effet.
– Je vois que tu es docile me dit-il, je vais en prendre d’autres, tu vas te mettre à quatre pattes, le cul en l’air, je me mis en position, il s’accroupit, m’écartant les cuisses pour mieux mater l’ensemble, il avait une vue panoramique sur ma raie poilue et mes couilles rasées.
– Mets-toi sur le dos, relève les jambes et écartes tes fesses avec les mains, je veux avoir tout de ta rondelle. Ecarte encore plus cria-t-il je n’en vois pas assez. Cette injonction s’accompagna d’une claque sur les fesses qui me fit m’exécuter immédiatement. Maintenant j’étais tellement écarté que je sentais l’air frais me caresser la rondelle ce qui m’excita encore plus, maintenant je bandais dur.
– Cette séance de photos m’a aussi excité que toi, aussi avant de partir tu vas me branler, n’oublies pas que j’ai toujours tes clés.
Il enleva son marcel et son jean, je n’avais jamais vu un mec aussi poilu, un vrai ours, sa queue était perdue dans une forêt de poils noirs, il en avait partout sur le corps. Sa bite était en proportion du mec, c’est-à-dire pas très grande mais très épaisse, il bandait comme un âne. Il se mit à quatre pattes et me dit de le branler, je saisis son membre, j’arrivais juste à en faire le tour avec ma main, je commençais mon va et vient, j’avais l’impression de traire une vache, il devait avoir les burnes pleines car en quelques mouvements il cracha sa semence, à chaque jets, il donnait un coup de reins comme pour envoyer le plus loin possible son sperme. J’en avais plein la main.
A la fin il se releva me lança mes frusques et mes clés, ramassa ses habits et disparut dans un petit raidillon que je n’avais pas remarqué dans le bosquet d’arbres.
Je remis aussitôt mes habits, rangeait mes affaires, pris le volant pour poursuivre ma route.
Cet entracte inattendu dans mon voyage me fit prendre du retard sur mon horaire.
Pendant le restant du chemin à faire pour arriver à l’hôtel, je repensais à mon pique nique et ce paysan et son énorme bite – je me demandais si c’était les travaux des champs ou autre chose qui lui avait donné un membre aussi impressionnant – et dire qu’il se branlerait en matant toutes ses photos, je fantasmais en imaginant un tas de scènes plus érotiques les une que les autres
Et les miennes dont je me rappelai les différentes postures.
En remontant dans ma voiture, je remarquais que l’herbe était plus verte.
Prochain épisode qui s’appelle A L’HOTEL
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