Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe hétéro Histoires de sexe travesti

Leçons d’Amours

Leçons d’Amours



Leçons d’Amours

Chapitre I – Karine

Bonjour, je suis Marc. Marié à Eve, un enfant. Responsable de magasin, j’ai une vie rangée, ordonnée, comme une route droite, sans accroc dans mon couple…
Eve est secrétaire, fonction interrompue quelques années pour profiter de notre petit Joël. Maintenant il est ado, Eve a repris son travail, il faut payer les études, il veut être ingénieur… Pour l’instant…

Malgré ce tableau, je mentirais si je me disais heureux…

Au fond de moi, le volcan gronde.
A 45 ans, Eve n’a jamais dévié de sa logique de mère, de femme parfaite, ayant les mêmes goûts que moi, sauf en matière de sexe…
J’aime les femmes, elle non…

Elle ne m’a jamais dit non, accomplissant sa part de contrat de façon systématique, sans originalité, avec l’oubli de nos premières années et cette folie qui ne m’a pas quittée…

Folie, originalité, variantes, progression, ouverture, créativité, si j’ai respecté aussi ma part sans coups de canif dans le document sacré, j’ai tout de même eu quelques occasions, et surtout, mes rêves et mes fantasmes s’accumulent, une véritable cocotte-minute…

Faute d’être accomplis, mes fantasmes se sont enrichis, mon désir s’est muté, transformé, et de l’acte originel, je ne garde que la finalité. J’aime de plus en plus penser, organiser, regarder, voir le désir dans l’autre, entrevoir….

Une approche intellectuelle du plaisir, une mise en action plus érotique, le psychisme est titillé, le désir devient plus grand, plus beau et la femme peut se réaliser seule lorsque je la guide vers un autre univers que le sien…

Oh, rien de bien original, mais juste une façon de faire naître des sensations nouvelles, pour elle, pour moi aussi…

Aimer c’est aussi cela, prendre du plaisir à libérer l’autre de ses années de sevrage moral. Education, parents, que de dégâts… Certes certains sont passées outre et se sont libérées seule durant leur adolescence, repoussant barrières, interdits, pour franchir allègrement les portes du plaisir et de la sexualité.

Je suis attiré par certaines femmes, justement, quelques-unes dans mon entourage, des amies d’Eve, sa cousine que l’on rencontre en vacances, nous sommes adeptes de l’océan, et adorons la douceur du bassin d’Arcachon.
Nous y avons pris des habitudes, une location en Août, dans un petit village, une certaine liberté, faisant fi de notre vie quotidienne. Nous aimons aller chacun de notre côté, mais sans désir particulier que celui de ne plus avoir à justifier tel ou tel but…
J’aime me promener, marcher, prendre des photos, elle c’est la plage et le soleil.
J’aime discuter avec les pêcheurs tôt le matin, acheter du poisson frais au bateau, parfois partir avec eux relever les filets.
Elle n’aime pas le monde, ni le bateau, préférant le shopping en ville avec quelques voisines, les boutiques de mode, les restaurants, la ville avec ses paillettes…

Donc, pendant un mois, on vit ensemble en se partageant « le petit », pour qui le fin du fin sont les jeux près de la plage, un coin où se retrouve la jeunesse locale.
Il dispose d’un vélo, comme nous, mis à disposition dans le gîte…

Eve et moi, on échange nos idées le matin au petit déjeuner ou lorsque je reviens du Port, puis nous bâtissons notre journée, fonction du temps, avec une immuable promenade digestive pour ma part, entre le port et les sentiers côtiers…

Bref, je ne retrouve pas cette semi-liberté hors de mes vacances. Mon métier m’astreint à des horaires, un planning de rendez-vous, fournisseurs, clients, administrations et gestion…

J’aime alors m’accorder mes RTT, des heures de farniente, en dehors du magasin…

Depuis quelques mois, je fantasme sur une personne, un peu plus jeune que moi, 35 ans environ, un physique différent de celui d’Eve, un intellect plus proche du mien, elle travaille dans une agence bancaire, la mienne…

Nous avons eu des discussions à bâtons rompus lors de nos rendez-vous d’affaires, prêts matériel, prêts véhicules, et autres achats pour ma société, avec bilans et prévisions.
L’affaire marche bien, et donc les rapports étaient assez agréables et glissaient vers la plaisanterie. Puis parfois vers des sujets plus personnels, enfants, conjoint, amour, le thème du bonheur conjugal…

Je plaisantais en reluquant ses seins fermes, sa chevelure sombre, courte et son visage riant, ouvert, franc, avec une pointe d’ingéniosité qui perçait parfois avec certaines attitudes, comme provocantes…
Je n’osais aller plus loin, j’avais trop besoin d’elle pour mettre en péril notre relation d’affaires… Elle m’accordait ce que je voulais sans trop ergoter, avec dans ses yeux, lors de la signature des contrats, ce petit brin de malice, témoin d’une confiance en moi…

Puis elle partit vers d’autres fonctions, je perdis cette partenaire, la croisant quelquefois dans le couloir ou le hall de l’agence. Elle était devenue directrice, ne s’occupait plus des petits clients professionnels, de leurs soucis de prêts, de leurs impayés, etc…

En ce printemps 2018, son visage revenait à mon esprit, je ressentais alors en moi un désir, un souffle… Elle me manquait… Son humour, sa grâce, ce feu que je sentais sous ses habits trop corrects pour être honnêtes…
Je le lui dis un jour, elle avait ri de mon audace, l’avait souligné, d’un sourire….

Je la croisais par hasard au marché, ce samedi d’avril…

– Bonjour madame Baron…
– Oh, monsieur Leroux…
– Marc sera plus approprié hors de vos locaux… Mais il est vrai que vous avez d’autres charges…
– Oui, moi c’est Karine, et je garde un bon souvenir de mes années de chargée de clientèle…
– C’est gentil, merci pour nous, les petits…
– Je pensais justement, il n’y a pas longtemps, à nos échanges verbaux, vous aviez l’art de me divertir, et rendre ma journée plus supportable, je n’en ai plus guère l’occasion… Je regardais votre compte, en riant à l’évocation de vos plaisanteries et constatant l’apurement de vos dettes… Vous étiez parfois coquin… Les hommes sont ainsi, libres dans leur tête, se fichent du protocole, même avec une femme…
– Vous avez des soucis ?
– Oh, ma vie est pleine d’inattendus, mais pas ceux que j’aimerais…

Je la dévisage, elle n’a pas trop changé depuis 6 mois… Pantalon, chemisier laissant apparaître la naissance de sa gorge, elle a maigri un peu, on dirait.
Sa voix est moins riante, moins enjouée et ses propos plus emprunts de tristesse, comme un regret. Son regard est fuyant…

– Ça vous dirait de parler comme avant ? En tout bien tout honneur, en dehors du contexte travail ? J’ai toujours apprécié vos remarques, vous aimiez bien rétorquer avec finesse à mes piques…
– J’aimais votre façon de m’agresser pour me faire sortir de mon train-train aseptisé… Vous avez même eu le culot de critiquer mes pantalons, je vous aurais bien giflé…

Elle me sourit….

– Pourquoi pas ? Vous proposez quoi ?
– Une balade au bord du lac, la forêt, la nature, j’ai l’esprit bucolique avec ce printemps qui arrive…
– J’adore les fleurs et la nature et mon mari déteste ça… Plongé dans sa télé !…
– Ah, le mal vient donc de là…
– Oh !… Oui… Nous traversons une période difficile… Notre fille qui évolue, qui grandit, qui demande notre attention…
Peu de repos, des charges de travail, mais je ne veux pas vous importuner…
Vous avez l’art de me faire parler…
– C’est que vous en avez besoin…

Ses yeux se dévoilent enfin, plongent dans les miens, son sourire s’estompe…

– Sans doute, mais… Et puis tant pis, un peu de chaleur humaine et votre sourire, me font du bien… J’accepte… Cet après-midi je suis libre, c’est rare, il emmène les enfants chez belle maman…
– Je passe vous prendre ?
– Euh, non, les commères… J’irai vers la banque, me garer… 14 heures ça ira ?
– Parfait, moi aussi j’ai besoin d’air…

A 14H, je me gare devant l’établissement fermé, j’aperçois une portière qui s’ouvre, un clic qui illumine les feux et sa silhouette apparaît, comme un rêve…

Jupe, chemisier blanc, presque transparent lorsqu’elle vérifie que c’est bien moi, en se penchant à ma portière, et là, ses seins qui se dévoilent innocemment… A moins que ce soit une mise en train…

Elle fait le tour et s’installe, un large sourire, sa jupe remonte, découvrant des cuisses blanches, elle me tend une main aux ongles manucurés, je me penche pour lui faire la bise…
C’est moi qui gagne ! Elle tend l’autre joue et son baiser claque… Pour la main j’ai le temps…
– On se tutoie ? On s’embrasse comme deux copains ? J’aime le simplicité…
– Je viens de m’en apercevoir, même si ce n’est ni mon éducation, ni mon principe premier.
– Oh, je vais changer tout ça… Si tu es mal à l’aise avec toi-même, premier point à traiter en urgence…
– Tu es psy aussi ?
– Pas du tout, gérant de société, je fais du social sans cesse, et les remèdes sont les mêmes : trouver le mal, l’éradiquer, pour que la banque ne s’aperçoive de rien…
– Oh, j’allais marcher… C’est bon de rire… Tu m’emmènes où ?
– Au lac du Plan, à 20 km… Plat, on peut faire le tour, pas trop de monde en cette saison je pense. Quelques sportifs et promeneurs…
– Bucolique… Oui, un peu de soleil fera du bien à mon teint. Tu viens souvent ?
– Non, des restes de souvenirs, le petit aimait venir ici, en été, attiré par les jeux…
– Tous les mêmes…
– Maintenant il commence à regarder les poitrines gonflées par le désir de vivre…
– Oh beau souvenir de vacances… Belle chanson… Tu… En fait je suis contente de t’avoir croisé ce matin… Je me sens bien, à l’aise, on peut discuter de ton prêt quand tu veux…
– Mais je… Oh, coquine !… Bien joué… Attends que je sois libre de mes mouvements…

Elle se détend vraiment, cela me fait plaisir, je ressens une envie de la prendre contre moi…
Eve a fait la tête lorsque je lui ai dit qu’il me fallait me rendre chez un confrère pour l’aider à traiter un problème de sécurité, en fait vol dans la caisse…

Nous arrivons au parking, elle a mis des chaussures sympas, colorées, rouges et blanches, et prend une veste dans un sac…
Le chemin s’ouvre devant nous…

– Alors tu me parles à cœur ouvert ? Dis-moi… Il te trompe ?
– Euh… Je ne sais pas… Il est bizarre depuis quelques mois, en fait depuis que j’ai changé de poste. C’est vrai que j’ai des horaires impossibles, que le soir je suis crevée… On a perdu en relation… Enfin… Mais il ne demande rien alors qu’avant il restait un peu de passion… Je me sens délaissée physiquement et moralement je ne suis plus soutenue… J’ai atteint une situation enviable, plus haut que la sienne… Mais ne semble pas lui imposer quoi que ce soit…
– Tu n’as pas d’amie ?
– Oui, mais il les connaît…
– Il te semble moins présent ?
– Oui…
– Tu as des doutes sur sa fidélité ?
– Un peu, oui…
– Et toi ?
– Oh, moi, c’est la traversée du désert… Depuis que je suis mariée, je n’ai jamais regardé un autre homme que le mien…
– Ce n’est pas vrai, tu me souriais parfois de façon à me faire des idées…
– Non ? Je… Sale menteur de mec…

Elle regarde le sol en réfléchissant, le lac est beau, quelques pêcheurs, on croise des mamans avec poussette, quelques personnes, mais il n’y a pas beaucoup de fréquentation.

– Je n’aurais pas dû venir te parler…. Je me sens sotte… Etaler ma vie comme ça, mon couple… Je n’ai que ça… Mon mari et mes enfants… Ils grandissent, ne veulent plus sortir avec nous… Et moi, je doute de moi, de lui…
– Reprends confiance en toi. Tu as réussi ton métier, ta situation, tu es belle, attirante, gaie. Tu as des amies, certes tu ne peux pas parler trop de toi… As-tu des envies ? De le tromper, de vivre ta vie. Tu as la sensation de passer à côté de quelque chose parfois, pour un regard, un silence ?
– Depuis tout ce temps, je me sens laide… Je porte des pantalons pour cacher mes jambes maigres. Pour toi je me suis souvenue de ta réplique… Alors j’ai fait un effort, mais mes jupes et mes robes sont longues… Celle-ci est l’exception…
– Elle me plait et toi aussi…
– Charmeur… Tu sais j’en ai vu en 15 ans de banque, des dragueurs…
– Justement, tu n’as pas envie de prendre ce qui vient ?
– Non. Je suis comme ça… Si je pense…
– Oui ?
– Parfois j’ai besoin de me libérer… Enfin ma libido, je deviens agressive…
– Alors ?
– Je le prends… Le caresse, avec ma main, je lui fais l’amour avec la bouche, parfois il me prend… Simplement… Sans un mot… Je vais mieux pendant un temps…
– Et toute seule ?
– Oh, je n’ai pas… Non, je suis… Enfin…
– Tu n’as jamais embrassé un autre homme, une femme ?
– Jamais… Parfois j’en eu envie, mais non…

Je lui parle longuement des relations sexuelles, de la liberté, des ados, de tout ça… Elle ne semble pas contre… Un jour il lui a demandé de le faire sur la plage, elle n’a pas voulu…
Elle a accepté dans leur jardin en plein mois d’août, personne autour, puis dans la piscine, elle avait aimé…

– Tu me parles sans problème et ouvertement, sans gêne…
– Tu m’as mise à l’aise et j’avais besoin de me confier, tu es là, tu écoutes…
– Tu ferais l’amour avec moi ?
– Non…
– Pour quelle raison ?
– J’appartiens à mon mari…
– Ce n’est pas pour divorcer, juste pour le plaisir…
– Le plaisir ? Et si je tombe enceinte ou amoureuse ?
– Oui, il y a du travail…
– Tu vois je suis impossible, je suis coincée… Je n’aime pas le sexe… Ni le plaisir…

Ses yeux pleurent, elle regarde loin vers l’autre rive… Elle est si nature…
Elle a consacré sa vie à sa famille, à son métier, elle a gagné de l’argent, pour vivre mieux… Heureuse ? Non…

Elle n’a pas laissé libre cours à sa sexualité, elle l’a dominée, enfouie, pour ne pas en être dépendante…

– On peut être belle en faisant l’amour avec un autre partenaire que son conjoint, vivre des moments de plénitude sans le regretter, prendre et donner le plaisir au moment où on en a besoin ou envie, pour vivre ses fantasmes, découvrir d’autres principes, d’autres plaisirs sexuels, s’ouvrir au monde du sexe, sans que cela ne vienne perturber sa vie de tous les jours et surtout sans que cela ne transparaisse. Mieux, cela peut rendre meilleur, plus vif, plus fort, plus sûr de soi….
Nous continuons à grimper et la pente devient plus raide. Elle passe devant pour franchir un amas de roches. Sa jupette se soulève devant mes yeux ébahis, sa culotte apparaît, blanche, en coton, elle écarte les jambes pour atteindre le sol dur, j’aperçois ses fesses par la culotte échancrée, un régal !… Deux lobes fermes, je réagis…

Elle se tourne vers moi, ses yeux plongent dans les miens… Elle sourit…
– On peut être belle en se montrant…
Elle joue avec mes nerfs ? Elle en a envie autant que moi… Sa marchandise est parfaite…

– Tu parles bien, on te croirait… Es-tu certain que cela marche avec tout le monde ? Comme avec moi, une petit bonne femme frigide, car c’est ce que je deviens, asséchée du vagin, à deux doigts de tirer un trait sur sa vie affective… Ne plus aimer, ne plus jouir comme avant quand il me prenait dans sa voiture avant le mariage, et puis nos premières années, partout dans la maison, tout le temps, je l’aimais comme une folle…

Je rentrais pour ça le soir, on faisait l’amour avant toute chose, j’en criais de plaisir…

– Et maintenant ?
– Je ne ressens plus rien, que de la baise, sans extase…
Je suis arrivée à sa hauteur…
Sa bouche est devant moi… A deux centimètres…
On se dévisage…

– Tu peux refaire le chemin vers ce bonheur des sens, te sentir renaître, voir ton sexe couler de désir, avoir envie de te faire prendre par un sexe viril, de le sentir en toi, chaud, enivrant, te mener vers l’absolu, vers ce que tu dis ne plus atteindre, l’extase, jouir comme une folle, mais aussi participer à ton envolée, diriger les ébats, devenir femme fatale, maîtresse éprouvée… Donner du plaisir aux autres…
– Oui… J’aimerais…

Ses lèvres s’écrasent contre les miennes, je la prends dans mes bras, la serre fort…
Face au lac embrassé de soleil…
Je prolonge le baiser, sa langue avec la mienne, son ventre contre le mien, nos lèvres qui s’ouvrent encore et encore, je la sens s’abandonner dans mes bras…
Je respire son parfum, cette féminité, mon sexe devient de bois, énorme, j’en ai presque honte…

– Je ne veux pas faire l’amour avec toi ce soir… Tout ce que tu m’as dit me fait peur… J’aimerais rester contre toi, pourtant… Apprends-moi à revivre… Sans me posséder… Au moins au début, jusqu’à ce que je ressente l’irrésistible envie d’être à toi aussi…
– L’appétit vient en mangeant…
– Je suis trempée… C’est pour cela que j’ai peur… C’est trop facile… Trop rapide, trop intense…
– Prends ton temps… On se reverra si tu le désires, si dans tes rêves tu penses à moi, à mon sexe qui attend son heure… Je vais rêver te prendre, t’entendre crier de plaisir, te faire découvrir des fantasmes oubliés, des caresses nouvelles, l’envie d’être toi, femme plénitude, sensuelle, adulée…

Je la serre de nouveau, sa jupe doit se retrousser… C’est elle qui prend mes lèvres… Je ne peux plus lui cacher mon état…
– Tu as tant envie de moi que ça ?
– Et encore…
– Je vais en rêver aussi alors ?
– Sans doute, tu me diras…

Son ventre ondule contre le mien, pour la première fois je passe mes mains sur ses fesses et l’attire contre moi…
– La jupe va craquer, et puis on va me voir, je suis connue…
– Viens…

On s’enfonce dans la forêt, on monte légèrement dans un sentier, quelques mètres, puis on est seuls… Entièrement seuls, sans aucun bruit… Sans le clapot de l’eau, ni le vent, seuls…

– Depuis des mois je n’avais plus autant ressenti de désir. Si on reste, je vais craquer pour toi… J’ai envie de toi… Oh, je suis folle, je devrais rentrer, prendre une douche froide…

Je la regarde… Elle est magnifique… Sa jupe sage, courte, aux tons sombres, son chemisier en coton, entrouvert, laisse entrevoir un sein, enfin, un peu d’un sein…
Ma main ne peut résister, et s’y pose, l’enveloppe délicatement, défait un bouton, puis un autre, libère l’intrus, tire sur le soutien-gorge qui obéit…
Ils sont là, beaux, les aréoles marrons, les tétons rosés, mon doigt s’y frotte…
Elle tressaille…

– Oh, non… On peut nous surprendre… Je suis presque nue…
– Qui ? Les oiseaux ? Ils font pareil… Les écureuils aussi, les lapins, les sangliers, etc…
– On n’est pas des bêtes…
– Un lit de feuilles sèches, le parfum de la mousse, Adam et Eve…

Sa main tâte ma bosse…

– Mon dieu…
– Dieu n’y est pour rien, c’est toi…

Elle essaie d’évaluer la chose, la soupèse…
Je masse ses seins, les tétons pointent, durs et fiers… J’avance mes lèvres… Ma langue touche le plus proche… Elle se raidit, moi aussi, mais par réflexe… Je vais exploser tout seul… Sa main est toujours posée dessus sans bouger…

Elle laisse échapper un gémissement….

– Oh !… C’est bon…Ouh !…,

Sa main serre un peu, je passe mon autre main entre ses cuisses remonte jusqu’à la lisière de la forêt, la culotte, gardienne du trésor, doux vêtement en coton blanc, bien frêle, ent****rçu en montant… Elle serre les cuisses… Je suis bloqué…

Dépoitraillée, la jupe relevée, une main sur mon sexe depuis 10 minutes…
Elle a une drôle de manière de dire non !…

Sa culotte est littéralement trempée…

J’ai pu envahir son espace intime…

– On a assez flirté… J’ai peur… Je ne me sens pas en sécurité…
– Tu en as envie autant que moi…
– Je le sais… Oui… J’ai envie d’ouvrir mes cuisses d’y plonger ton sexe énorme, de le sentir me posséder, de jouir de lui ; sentir sa chaleur dans mon ventre, remplir mon vagin… Mais… je n’apprécierai pas…
– Bon, on descend, je suis ton professeur, je pense que j’ai atteint un premier degré…
– Oh, que oui… Je vais y repenser…

Elle referme tout, et belle et pimpante, nous reprenons la direction du parking…

– Ça m’a fait du bien…
– Ah ?
– De parler surtout… Mais pas que… Je sais que je réagis encore, que mon corps n’a pas oublié…
– Le mien est déçu…
– Ah ? J’aurais pu… Tu crois ?
– Bien…
– Arrête-toi dans un coin, je vais le faire, tu le mérites. Tu m’as fait un bien fou au moral, d’être désirée, courtisée, sentir ton désir, couler le mien…

Je me gare sur un grand parking, loin de tout véhicule… Elle se penche sur moi, dézippe ma braguette, et sort mon engin encore demandeur…
Il réagit sous ses doigts, devient impressionnant…

– On peut dire que tu en as envie…

Sa bouche se referme dessus, et comme pour son mari, sa tête dodeline en cadence… Le chemisier s’est ouvert sans rien faire et ma main se glisse pour prendre un sein…

– Mmmmm

Elle le fait bien, lentement, avec tendresse, sa langue parcourt ma hampe, qui gagne quelques centimètres… Elle accélère peu à peu, ses doigts l’aident, je perds un peu d’attention et me laisse aller…

– Oh, oui… C’est bon !…

Elle se redresse et écarte les cuisses, plaque ma main sur sa culotte qu’elle écarte….

– Fais-moi jouir aussi…

Je découvre un chemin de rêve, un abricot glabre, soigné… Elle est trempée, comment pouvait elle résister ?…
Mes doigts glissent, tournent, elle rugit… Je pousse un doigt hésitant, elle crie « viens ! »…

Je la masturbe avec application, tournant son clitoris, ses grandes lèvres serrées, et sa source ouverte par le désir…
Elle a relevé ses cuisses sur le siège, je la pénètre avec deux doigts…
Elle vibre, se tord, se soulève, gémit, se cambre, je la sens partir vers un orgasme…

Elle ondule son bassin, mes doigts accélèrent…

– Viens, oui… Plus vite, encore… Oui ! je viens !…

Moi aussi… J’éjacule dans sa bouche et, comme ça fait un certain temps, je n’arrête pas de me vider entre ses lèvres…

Quand elle se redresse, elle ouvre la portière et crache… En toute simplicité…

– Pardon… Je ne voulais pas… Mais ça te suffit, non ?
– Bien sûr que c’était bon… Tu as joui aussi ?
– Oui, oh… Mon chéri j’ai adoré… La prochaine fois on va à l’hôtel, je veux être à toi, apprendre ce que tu me dis, vivre des nouveautés, me sentir femme…
– Tu n’étais pas mal… Je suis content que tu aies bien réagi, que tu aies eu envie de me faire plaisir et que tu veuilles aussi jouir avec moi…
– Ce n’était qu’un échantillon, comme un flirt d’un premier soir…

Elle se remet du rouge, se recoiffe… Elle vérifie son soutien-gorge et les boutons de son chemisier…
– Il faudrait que je boive un peu, c’était bon mais salé…
– Mon dieu, vite, on va où ?

Je la dépose finalement vers la banque après avoir échangé nos téléphones, et je file dans mon chez moi retrouver ma femme qui n’est pas encore rentrée, avec la promesse d’une suite torride…

Chapitre II – Marc

3 semaines se sont écoulées depuis notre première rencontre.
Puis ce matin, enfin des nouvelles de Karine, au bureau comme promis, sur mon portable personnel…

Elle va bien, elle veut me voir, en semaine si je peux.
Bien c’est évident que c’est plus discret…

Je passe sur le lieu de notre rendez-vous, un hôtel proche de l’aéroport.
Elle n’a dit que ça, très vite, sans autre explication…

Elle m’attend, une valise à la main…
J’ouvre la portière…

– Salut belle voyageuse.
– Bonjour prince des bois. Qu’as-tu manigancé dans mon dos ? Une après-midi de charme, dans un hôtel de style ?
– Presque, attends je t’explique.
– Pas pu avant, d’un côté le travail, de l’autre, il me fallait digérer… J’ai pu garder cette journée pour moi… Et toi…
– Ah…
– Chambre 225, M. et Mme Hubert, de Reims…
– Oh, pas mal…

Nous montons, nous nous installons… La pièce est claire, spacieuse, je note le frigo, la salle de bains est impeccable, un petit balcon permet de prendre le petit-déjeuner sans descendre…

Un premier baiser…

– Attends, je vais raconter…
– Vas-y…
– Voilà… Après cette journée mémorable pour moi, je me suis laissée emportée par le tourbillon… Heureuse de ce premier flirt très poussé, j’ai passé des nuits magiques…
– Ah, bon !
– Non, pas ça ! Je dormais sans rêve et sans cachets… Je pensais à toi, revoyais notre périple, le bois surtout, puis la voiture… J’avais hâte de te revoir…
– Enfin, la vérité…
– J’ai pu fixer et conserver ce jour dans mon planning, j’avais décidé, oui, je veux vivre ton concept, cela m’a fait du bien, je suis reboostée… J’ai envie de toi, j’ai eu mes règles entre temps, il fallait que je te le dise aussi… Mais surtout à force de penser à notre prochaine rencontre, je suis devenue plus terre à terre et j’ai vu, senti, recherché et j’ai trouvé ! Il me trompe !… Mon âge environ, moins cinq ou six ans, blonde cheveux longs, belle, très vamp… Sans doute entretenue par d’autres gogos…
– Comment ????
– Ah, cher ami, une femme trompée est redoutable, alors j’ai fouillé… Son portable, ses vestons, ses pantalons et surtout sa voiture, chère voiture chérie… Autre téléphone à carte et un seul numéro, Charlène et sa photo… J’ai appelé d’un autre portable, elle a répondu d’une voix claire… Elle a avoué me connaître… Je lui ai raconté que je le lui laissais, et elle a marché…
Elle sait tout de moi, il lui a tout dit, tout décrit, elle m’a crié son plaisir avec lui, qu’il jouit comme jamais, car je suis bien trop coincée, bien trop arriérée dans les jeux du sexe, qu’elle est en train de me le piquer lentement mais sûrement et qu’il va ne plus pouvoir se passer d’elle très bientôt…
Elle se met à pleurer…

– Voilà… C’est fini… Mon amour est mort, il va partir vers une autre… Je veux l’humilier avant.
J’ai décidé, j’accepte ta proposition.
Je veux évoluer, connaître le sexe, apprendre à le maîtriser, vivre enfin une libido débridée, sans ces principes qui me retiennent, je veux connaître le bien, le mal, mais pas souffrir…
Je veux être capable de le mettre à genoux devant moi et qu’il me demande grâce… J’ai une idée, je te la dirai quand ce sera temps, mais avant je veux être tienne…

Du temps elle est déshabillée complétement, et se tient devant moi comme par défi, prête à se donner par rage, pour se venger aussi…Ses grands yeux verts plongés dans les miens, son visage crispé par le chagrin, cette langue sur ses lèvres roses qui trahit son impatience…

Les seins hauts, arrogants, les hanches parfaitement galbées, son pubis rasé, ses cuisses un peu maigres certes, mais nerveuses…

Elle défait ma ceinture, baisse mon pantalon, retire mon sweat, se colle contre ma poitrine en embrassant mes tétons…. Elle se fait liane, ses lèvres se collent aux miennes et son parfum fait le reste, agit, je deviens son maître…

– Fais de moi ce que tu veux, je te veux, j’ai envie de toi, de jouir enfin… Je suis mariée, je vais le tromper à mon tour, et de belle manière…
Il va apprendre pour sa poule, il va savoir que je sais, je ne sais comment il va réagir… Partir de chez nous ? Demander pardon ? Cela ne changera rien pour nous deux, avec toi, je passe un contrat, je deviens ton élève, formation sexuelle second degré… Viens, prends-moi dans tes bras, fais-moi oublier ma vie…
– C’est clair au moins entre vous… Quoi qu’il fasse, tu as bien manœuvré, tu l’as coincé. En ce qui nous concerne, je suis fier de t’avoir et c’est avec respect que j’accepte de t’emmener sur les sentiers de la jouissance, et d’autres. Je te propose une soumission complète pendant cette phase, regarde, obéit, tu vas souffrir moralement car tu vas à l’encontre de ta morale, je vais la piétiner, c’est cela qui te grandira…
– Oh, oui… Apprends-moi l’amour, comme si j’étais vierge…

Elle n’a aucun mal à comprendre ce que je veux, et mes doigts découvrent son corps de rêve, ses recoins cachés, ses trésors intimes, et ma langue la transporte aux quatre coins du lit, puis sur l’épais tapis où se déroule notre premier 69…

Je tente alors un doigt sur son anus, aidé par ma langue…
Elle réagit immédiatement, mais elle se détend, accepte l’intrusion, jusqu’à ce que mon doigt puisse glisser lentement créant une réaction inattendue…
– Oh, oui… Tu es doux… Je suis ta Sodome, mon corps est à toi…

Ma langue vient inonder ses chairs et mon doigt devient son maître, lui arrachant des gémissements de plaisir…
– Je ne pensais pas que c’était si bon… Fais-le moi… Tu seras le premier…

Sa chatte est trempée, je la pousse au paroxysme du désir, la plaquant au sol, elle subit mes caresses, son clitoris rougi, érigé, ses tétons, ses seins, et ma langue qui continue à exciter, elle se tord sous moi, et maintenant sous mes doigts qui effleurent toute son intimité, elle finit par jouir intensément, écartelée, offerte… Elle se calme doucement… Je l’embrasse tendrement puis mon pénis distendu par tant de désir vient contre sa porte arrière, ce jardin tenu secret jusqu’ici,…

Elle se contracte lorsque mon gland pénètre sa porte, lentement, je la calme…
– Détends-toi… Laisse faire ton corps, ouvre-toi, tu ne sentiras rien…

Je suis entré, je la sens se détendre, elle bafouille, se libère doucement…
Mes va-et-vient lui font découvrir ces nouvelles sensations, cette possession anale, tant décriée, mal décrite, car immorale pour certaines cultures.

Elle arrive à gémir au fur et à mesure, puis après quelques minutes de douces pénétrations, elle devient active….
– Oh, oui… Je te sens… Oui… Ici tu peux jouir en moi… Fais-le pour cette première fois….
– Je ne t’ai pas donné l’autorisation de parler, ni de jouir, ni de commenter…
– Oui, pardon….
– Oui qui ?
– Oui, maître, pardon maître…

Alors j’explose à mon tour, changeant de position, écartelant ses petites fesses rebondies, provocant un nouvel orgasme, par un pilonnage en règle…
Elle se répand en larmes de plaisir, les bras en croix, elle se donne jusqu’au bout, s’offre encore sous mes coups de boutoir, jouit jusqu’à ressentir ma semence l’envahir ….

Elle ne peut que crier cet instant, ce pic de plaisir, étalée sur le ventre, terriblement sensuelle avec sa chevelure noire encadrant ce visage d’ange, terrassée par mon dernier assaut…

Pas besoin de parler, elle me sourit, partage cette plénitude après un acte intense, elle cherche mes lèvres, je lui accorde cette récompense…

Nous faisons une pause, buvons un verre de vin… Mais j’ai envie de café…

– Tu pourrais commander du café ? Tu désires autre chose ? On peut commander à la réception ou au service d’étage si ça marche…
– Bien sûr, je le fais tout de suite, maître…
– Tu auras une nouvelle épreuve.
– Oui ?
– Ouvrir la porte complétement nue, et faire entrer l’employé, homme ou femme, prendre le plateau, refermer la porte en le remerciant du regard…

Elle me regarde, sourit…
– J’ai dit que je t’obéirai aveuglément…

Elle appelle la réception, commande un double café et un thé, quelques biscuits…

Elle se prépare, fait le vide dans son esprit, chasse les démons qui lui disent de passer un vêtement, regarde le sol…

Elle est très volontaire, elle n’a pas eu sa place sans lutter à l’agence…

Toc, toc…

Elle se lève et va ouvrir…
Elle tire la porte, laissant ses mains devant ses seins…
C’est un jeune homme vêtu en noir et chemise blanche, surpris, mais digne, il avance, me regarde, pose le plateau sur la table, se tourne…

Il est maintenant face à elle… Il ne peut que mater…
– Merci, c’est parfait, vous aurez eu la joie de me voir nue… C’était un pari avec mon mari…
– Je… Oui… Merci…

Elle referme la porte à clé et se met à rire…
– On peut faire n’importe quoi avec les gens…
Mais je me sens grandie… Je me suis montrée nue à quelqu’un d’autre… A 36 ans bientôt, c’est la première fois qu’un inconnu me mate de bas en haut… A part mon mari et mon médecin, et puis toi…

Et puis tu m’as donné une leçon… Depuis bien longtemps la sodomie était taboue. Mon mari a voulu une fois, je l’ai remis à sa place…

J’étais courge de ne pas découvrir cela par moi-même et de faire confiance aux autres, celles qui disaient que cela faisait mal, qu’on saignait… Au contraire, je viens de découvrir une autre façon de jouir, de faire l’amour, de prendre et donner un plaisir nouveau, dans l’intimité d’une chambre, entre deux amants, tendresse et volupté… Je t’aime et tu as raison et merci pour ces premières leçons…
– Tu peux rester jusqu’à quelle heure ?
– Mon dieu, il est déjà 17 heures… Non… Il va falloir que j’y aille… Je veux me remettre de tout ça… Tu sais, c’est intense ce que je ressens pour toi… Tu chamboules ma vie, mon esprit, que tu occupes en permanence. Il faut que je t’en chasse… Je dois résister désormais…
– Tu es forte, très pugnace, tu vas le dominer, tu vas gagner…
– Je vais être malheureuse, me retrouver seule chez moi, sans but pour les week-ends…
– Je serai là parfois…
– Tu veux m’épouser ?
– Ne me tente pas…
– Tu ne m’as pas encore sautée mon chéri… Je n’aurais pas dit non aujourd’hui…
– Je me suis trompé de côté ?
– Salaud, vicieux, pervers… J’ai hâte de découvrir d’autres choses, jusqu’à ce que je jouisse de toi, j’en rêve et vais en rêver…
– Jusqu’à quand ? 3 semaines ?
– Je te le dirai…

Le retour est triste, je lui avoue que je n’avais pas prévu sa situation et la voyais coincée entre mari et enfant… Mais que je compatissais vraiment, et que si je pouvais l’aider en quoique ce soit… Elle m’a répondu quelque chose de beau :
– Ton aide, je l’ai en moi maintenant. Je ressens ta force, je ressens ton amitié, je me sens grandie, je te l’ai dit, dans tous les sens du terme. Tu fais de moi que ce que je n’ai jamais osé faire, briser mes chaînes, m’envoler… D’ailleurs, s’il ne part pas, c’est moi qui partirai. Demain je parle à ma mère…

Quelques jours plus tard, un premier message de sa part, lu et supprimé…

Karine a parlé à sa mère qui la soutient avec force, s’occupant de son fils à temps plein s’il le faut, prétexte de travail…

D’autre part, son mari lui a parlé le soir même. Son amie l’a appelé immédiatement, elle ne comprenait pas pourquoi, ni comment Karine était arrivée jusqu’à elle, pour lui arracher la vérité…

Il n’en n’a pas été surpris sachant son obstination pour arriver à ses fins…
Il regrette bien entendu, mais cela arrive à tous les couples… On revient en arrière et on repart. La faute ? Le sexe qui taraude les hommes, qui en veulent toujours plus, en voyant la vieillesse arriver… Ils ont besoin de plus, plus de rêves, de sensations, de fantasmes à assouvir, d’opportunités, de variantes, d’exotisme, d’érotisme…

Il ne peut plus avancer avec sa femme, rigide, coincée, pudibonde, alors que ces jeunes femmes acceptent tout, n’ont peur de rien, qu’elles connaissent toute la panoplie des plaisirs, de la sexualité, jusqu’au vice parfois…

Il lui a proposé de s’en aller, lui laissant la maison avec son fils, pendant quelques semaines, pour lui donner le temps de lui pardonner…

Il aimerait ensuite qu’ils voient un conseiller, pour stimuler leur libido en déroute, pour s’ouvrir comme avec sa pute à toutes les folies…
Elle a dit OK à tout….
Il a pris ses affaires le lendemain soir, il est allé sans doute s’installer chez elle quelques temps…

Elle va prendre quelques jours pour réfléchir, elle veut bien qu’on se voit dès qu’elle aura laissé son fils à ses parents pour les vacances… Une semaine à attendre…

Elle a besoin de ne penser à rien, de reprendre un rythme, laissant le temps décider de la suite de son mariage sans présumer quoi que ce soit, mais en tous cas elle continue plus que jamais sa formation avec moi… Et sa séparation momentanée lui laisse tout loisir pour se plonger à son tour dans un adultère thé****utique…

Le lundi suivant elle me laisse un message de la rappeler…
Ca y est, son fils sera chez ses parents dès ce week-end, elle sera seule pour la semaine. Elle a réagi très vite et ne veut pas les imaginer ensemble, à s’embrasser sans cesse, et à les imaginer baiser à tour de bras…
Elle veut faire pareil…

Je donne une raison externe au bureau, et Eve apprécie le fait que mon voyage soit assez court, une petite semaine… A Paris ! Belle capitale qu’elle ne connaît pas… ce sera pour une autre fois, merci…
Les progrès de la science, une formation sur des produits de pointe que je commercialise… Mais c’est loin de la capitale, dans la vallée de Mickey…

Ma valise à la main, je prends la direction du parking de l’entreprise, puis m’arrête à deux pas de la banque. Je dépose quelques chèques, puis ressors… Son coup de klaxon me surprend, je la suis…

Nous arrivons dans le même hôtel…
Elle descend et se précipite dans ma voiture…
– Chéri, je suis tienne jusqu’à dimanche soir…

C’est la première fois que je trompe ma femme tant de temps, nuits comprises, comme un voyage au pays du plaisir…

Nous déjeunons à l’hôtel, avec en apéro juste un petit baiser et une longue conversation. Karine préfère la solution hôtel, on ne sait jamais… Elle se sent en sécurité ici.

Son mari est parti dès le mercredi soir, elle est allée chez ses parents le vendredi soir, avec son fils, et y est restée tout le week-end, pour leur expliquer avec forces détails la trahison de leur gendre…

– Tu sais j’ai redormi dans mon lit de jeune fille… J’ai rêvé que j’étais amoureuse, il te ressemblait, il m’a fait l’amour toute la nuit, il paraît que j’ai crié… C’est mon fils qui me l’a dit, il était dans la chambre attenante…
– Bien dis-donc, ça te travaille…
– Depuis toi, depuis le bois joli au bord du lac, je n’arrête pas d’avoir envie… et depuis l’autre jour, j’ai doublement envie…
– Comment ?
– Par devant et par derrière !
– Oh… Mais tu vas devenir nymphomane !
– Si tu m’y pousses…

Le repas terminé, je fais un point avec moi-même pendant qu’elle défait sa valise et suspend ses vêtements…
C’est bien joli, mais que faire ? J’ai envie de la prendre, c’est vrai, mais il faut qu’elle avance… Sur un bout de papier, je note des idées…
– La caresser au restau sous la table, devant le serveur
– Lui apprendre à me masturber aussi dans la lancée
– Sortir demain matin sur la plage et se déshabiller dans les dunes seule
– Trouver une jeune femme pour lui apprendre à devenir lesbienne.

– Faire l’amour en public, seule avec moi, avec un autre ? Une femme ?
– Inviter un couple, se laisser prendre par l’homme, me regarder faire jouir une autre femme…

– Monter avec un chauffeur poids-lourd, habillée en banquière, robe longue, maquillée, décolletée et se faire payer.
– Attirer des hommes pour un gang-band.
– Prendre un mec en stop et s’offrir sur la banquette arrière pendant que je conduis
– Sucer un vendeur (se) dans une cabine d’essayage…

Je me dirige avec ma liste vers le patron, Boss, tandis qu’elle est remontée dans notre chambre.
Je lui demande s’il connaît un établissement coquin pour adulte près d’ici, pas trop bas de gamme.
Ensuite un bar où trouver des lesbiennes ?
Les coins chauds entre adultes ?

Il me dresse un tableau simple, une zone près de l’autoroute, une autre en sortie de ville, avec des voitures garées dans la journée. Pour les filles c’est le Dominion, un gentil bar non réservé mais fortement connu pour ses rencontres lesbiennes…
Il me ratt**** en me disant que pour la lesbienne, il en connaît une, jeune, bien, qui ne demande que ça…
Il a compris pour ma compagne, elle est belle et veut bien participer, le serveur lui a rapporté son entrée dans la chambre…

Pour la fille aujourd’hui à 14h, elle se présentera directement à la chambre.
Pour sa propre participation à nos ébats, je verrai, mais il n’est pas mal, doux et à l’air convenable.

Chapitre III – Plongée en eaux troubles

Je fais monter Karine en voiture avec moi, habillée d’un tailleur assez strict, chemisier blanc, chaussures de ville noires.

Nous nous rendons vers la première zone qu’il m’a indiqué…
Quelques voitures en effet, des hommes surtout. Je ne vois pas de prostituée. Des gais ?
Je laisse la voiture en vue et lui demande de m’attendre…

Je m’approche d’un gars dans son véhicule, je lui demande s’il aime les femmes… Il me dit non… Je suis fixé…
« Ici c’est pédés et compagnie, drogues douces, parfois quelques couples en soirée… Les femmes c’est vers l’autoroute, putes, drague, des couples pendant la journée entre les dunes côté plage… »
Il me fait un sourire…

Je remonte dans la voiture, mais j’aperçois un jeune homme qui semble chercher… Je m’arrête et vais vers lui… Il a peur de mes gestes… je le rassure, je cherche à distraire ma compagne… Pour une pipe sur la banquette arrière à l’abri des regards…
– Je me fais faire une pipe par votre amie ?
– Oui, c’est tout et tu décampes après…
– On aura tout vu… Elle a l’air canon…
– Tu ne la touches pas, tu te laisses faire…
– OK, boss… J’ai capté…
– Tu es propre au moins ?
– Heu…
– Va te nettoyer et revient, la portière arrière sera ouverte…
– Vous restez devant ?
– Oui, rassures-toi, je ne suis pas un tueur, on s’amuse avec ma copine…

Je retourne à la voiture…
– Bon, va derrière, installe-toi, tu vas avoir un peu de travail…
– Bien maître…

Le gamin revient, monte à côté de Karine…
Il ouvre sa braguette, se tourne légèrement vers elle, s’accoude au dossier, monte un peu son bassin…
– Quitte ton futal, ce sera plus pratique…

Il le fait…
Sa bite pend, petite chose abandonnée, sans vie…

Karine me regarde dans le rétroviseur central, se saisit du sexe, le caresse…
Pas de réaction… Elle se penche vers lui et lui parle à l’oreille…
Elle relève sa jupe, ouvre légèrement ses cuisses…
La réaction est immédiate… L’objet s’anime dans sa main, grossit, arrivant à une taille honnête pour un jeune plein de vie…

Il ferme les yeux, lorsque la bouche se referme sur sa bite…
La tête de Karine commence un va-et-vient lent, profond… Je vois une main s’attarder sur un sein…

La fellation est parfaite, et me rappelle celle qu’elle m’a prodigué à notre premier jour…
Ses cuisses s’écartent, la jupe remonte encore, je vois sa culotte, par le petit rétro que j’ai fixé à cet effet aux places arrière…

Le jeune homme se laisse emporter par la caresse, aperçoit les cuisses ouvertes, passe sa main, elle sursaute, continue son travail…

Il lui dit quelque chose…
– Si tu veux…

La main s’active dans l’intimité maintenant dégagée, la culotte mise à mal… Elle le laisse faire, puis en s’aidant de sa main, et craignant que cela dégénère, elle le fait jouir dans sa bouche… Il explose, à regret sans doute…

– Merci jeune homme… On peut te trouver où, si on a besoin de toi ?
– 0923456797…
– Tu as mérité tes trente euros…

Il se rajuste et descend de voiture, tandis qu’elle ouvre la portière et crache, puis s’installe à l’avant…
– Je ne t’ai pas invitée à me rejoindre, retourne derrière, à ta place de banquière qui s’offre des petits jeunes en apéritif… Moi je ne suis qu’un chauffeur passif…
– Bien maître… Mais ai-je été à la hauteur de ma tâche ?
– Le but a été atteint. C’est toi qui dois me dire si tu as avancé. Te sens-tu plus forte d’avoir osé prendre ce plaisir, léger certes, mais agréable…
– Oui, maître, j’ai eu du plaisir à me servir de son sexe, à lui donner du plaisir, ressentir sa main entre mes cuisses, dans mon intimité…
– Bien, nous pouvons continuer alors… As-tu connu une femme, as-tu été attirée par un corps féminin, même sans avoir franchi le pas ?
– Oui, j’ai ressenti un certain attrait pour une de mes amies, il y a longtemps, avant mon mariage, depuis, je n’ai pas eu l’occasion de me retrouver dans la même situation, seule dans un lit…
– Tu vas connaître les plaisirs féminins aujourd’hui. Ce que l’on appelle gouine ou lesbienne. Tu t’attacheras à bien lui donner du plaisir, après l’avoir ressenti toi-même. Et tout ce qu’elle te fera, tu lui rendras, avec intérêts, tu dois pouvoir le faire, avec ton imagination, c’est ton métier les intérêts ?

Nous retournons à l’hôtel, elle prend une douche et se change, tandis que je me détends sur le balcon en imaginant la scène qui va arriver… Je prends la décision de laisser faire les événements…

Nous descendons à la salle vers midi. Apéritif, elle parle d’elle, de cette femme qui l’avait émoustillée… C’était sa tante, avec laquelle elle avait dormi une nuit faute de place, chez ses parents, il y a longtemps… Elle l’avait aperçue nue se glisser entre les draps…
Elles avaient parlé de choses et d’autres, comme on parle entre femmes, elle avait senti son regard se poser sur ses formes, lui avait dit qu’elle était belle…

Il faisait chaud, le drap avait glissé, ses cuisses ouvertes dévoilaient son intimité, elle ne portait pas de culotte la nuit, elle percevait sa chaleur, elle bougea légèrement, Karine détourna son regard… La lumière éteinte, elle pouvait deviner ses yeux ouverts tournés vers elle…
Un peu plus tard, elle avait senti une main prendre la sienne… L’entraîner sous le drap, sur son ventre chaud. Elle s’était refermée sur un sein, et l’avait caressé.
Karine se laissait faire, elle sentit ses seins gonfler sous les doigts, perçu les soupirs de sa tante…

Pour la première fois de sa vie son corps avait réagi à une caresse… Elle avait eu peur…

Plus tard dans la nuit, elle avait regardé sa tante… Elle avait bougé… Elle avait avancé sa main et l’avait plaquée sur un mamelon. Sa tante s’était serrée contre elle, une cuisse passée sur son ventre, comme une amante…
Elle parlait en dormant, sa bouche à quelques centimètres de la sienne… Elle eut la pensée d’y déposer un baiser… Elle s’endormit comme une enfant dans les bras grands ouverts…

Le lendemain, sa tante était rentrée chez elle, un sourire complice avait accompagné son baiser d’au revoir…

Assis l’un à côté de l’autre elle se penchait vers moi, pour parfois glisser un mot à mon oreille, comme un secret, un aveu…
– Tu ne l’as jamais touchée ?
– Si, plus tard dans la nuit. Elle avait les cuisses ouvertes et se caressait, ma main avait glissé peu à peu, poussée par la sienne, et mes doigts ont senti sa moiteur intime, ils ont trempé dans son calice, dans le secret de cette nuit d’été, sous le drap… J’ai eu envie de lui dire de me le faire en même temps, mais j’ai eu peur, on me parlait de sang dans la défloration, de douleur… Qu’il fallait le faire avec son mari, le soir des noces…

Je l’ai entendue parler, ou plutôt feuler, j’ai ressenti les ondulations de son corps, puis les soubresauts de son bassin, et elle s’est endormie sereine et tranquille…
Mes doigts sentaient son parfum, sa féminité, je me suis touchée, prenant grand soin de ne pas pénétrer ma grotte. Tout mon ventre me faisait mal de désir, ma vulve était trempée… J’ai eu honte…

Seule expérience de ce monde, tu vois maître, j’ai sans doute beaucoup à apprendre…
– Tu en as eu des regrets ?
– Oui, je l’avoue… J’y ai pensé presque chaque jour, elle aurait pu m’apprendre à ne pas avoir peur des réactions naturelles de mes organes génitaux…
– C’est ton mari qui…
– Oui, le soir de mes noces… J’étais si crispée que je n’ai rien senti… Le lendemain ce fut mieux, il m’a mise enceinte sur la lancée pendant notre voyage de noces, en Corse…

J’avais passé ma main entre ses cuisses et avait suivi la courbe, puis glissé peu à peu vers son intimité… Elle s’était collée contre moi, et tout en parlant revivait cette expérience, ce premier contact avec une femme… Elle était trempée de désir et lorsque le garçon, le même que l’autrefois, nous apporta les entrées, elle me regarda, tandis que mon doigt plongeait dans ce puits de tendresse… Elle bredouilla quelque chose pour le remercier de nous avoir servi…
Il la vit toute chose, mais pas la jupe retroussée et mes doigts qui s’attardaient dans son calice…
– Oh, oui, maître, j’ai envie de vous… je dois aller remettre de l’ordre dans ma tenue…

Le serveur revint apporter le vin, je surpris son regard amusé…
– Vous avez vu ma femme toute nue, l’autre jour…
– Oui, sans le vouloir… Elle est très belle…
– Je ne t’en veux pas, nous jouons… Et là ?
– Euh !… Oui, sans doute une caresse…
– Tu en as envie ?
– Oh, pardon… Je ne peux pas, c’est interdit…
– Je peux t’amener à prendre part à nos jeux… En dehors du service évidement…
– Je ne détesterai pas…
– Tu connais les femmes d’ici ?
– Oui, je sais que vous prévoyez une séance cet aprem…
– Ah, tu es au courant… Tu connais la fille ?
– Oui, jeune et belle, 25 ans environ, pas froide du tout…
– Tu l’as eue ?
– C’est ma coloc, on partage le petit studio mis à notre disposition par la direction…
– Tu as essayé alors ?
– Ben…. Ouais… Mais c’est coton…
– Si je te la prends tu serais jaloux ?
– Elle ne m’appartient pas et si c’est pour un jeu entre adultes…
– Merci, je ne sais pas… Je peux te joindre dans l’après-midi ? Tu as un repos jusqu’à quelle heure ?
– Oh, j’ai ma journée et ma nuit, le restaurant est fermé ce soir, lundi, mardi, mercredi, jusqu’en saison…
– Bon, merci pour ces précieuses infos…

J’ai enregistré tout ce que m’a confié Chris, et cela m’a conforté d’organiser quelque chose avec lui, et sans doute sa coloc…

A 14 heures un toc-toc contre la porte… Karine est prête, elle vient de me le dire, elle n’a pas peur de faire ce pas, elle serait même plutôt séduite, si la jeune femme lui plaît.

Elle ouvre la porte, et entre une belle blonde, yeux bleus, bronzée, assez jolie, un sourire plutôt sympa, elle offre quelques chocolats à Karine qui bafouille de gêne…

– Merci pour cette attention, ton prénom ?
– Aline. 25 ans, serveuse, employée d’hôtel, je fais aussi les chambres, les hommes et les femmes.
– Nous avons rencontré par hasard ton coloc, je n’ai pas noté son prénom…
– Chris… Oui, il m’a dit à midi que vous aviez parlé.
– Voilà Karine, nous ne sommes pas amants, je suis son précepteur. Nous installons une relation de soumission, elle consent à apprendre certains chemins de la sexualité qu’elle a raté… Voilà qui explique ma demande. Tu as compris ?
– Oui, je vais agir en conséquence, j’aime faire une première approche, on ira plus loin si l’on s’entend bien…
– Je veux qu’elle t’obéisse aveuglément et qu’elle échange avec toi ce que tu lui apprends.
Je serai là sans l’être, je ne me mêle pas de vos ébats, je reste juste pour diriger si besoin… Il est possible que je sorte un instant, ne vous dérangez surtout pas. Si tu as besoin d’un conseil, de quoi que ce soit, appelle-moi. Voilà, vous pouvez faire connaissance…

Karine semble ravie de ce challenge, elle me sourit lorsque je passe sur le balcon avec mon ordinateur…

Assises sur le lit, elles discutent un long moment, puis Aline se lève, et l’invite à danser sur une musique douce et tendre qui sort de son portable…
Elles entament un slow très lent, Aline se met pieds nus, au bout de quelques minutes, Karine semble charmée par la jeune femme, et se laisse séduire… Premier long baiser…

Je m’occupe de mon courrier, Wi-Fi fonctionne très bien, je n’ai aucun mal à commenter mon voyage à Eve…

La musique a cessé, elles sont allongées sur le lit, caresses, flirt, baisers passionnés… Aline se dévêtit et aide Karine à en faire autant…
Aline est magnifique, sensuelle, équilibrée, un pubis sourire, quelques poils laissés en forme de cœur…

Elle entame une revue du corps de Karine, ses mains agiles volent çà et là, caresses tendresse, mise en bouche très fine, Karine doit adorer…

J’ai des difficultés à me concentrer, je cherche des adresses dans la région… Bars, rencontres, clubs, etc…

Karine glousse et feule à la fois, sous la langue agile qui vient sublimer son intimité… Aline est dans le vif du sujet et ne fais pas semblant… Ses mains caressent les seins parfaits, tandis que sa langue attise le désir de ma soumise…

Aline lui parle, elle obéit, se tourne, soulève ses fesses… Aline caresse, et sa langue vient saliver ses trésors… Les seins de la jeune femme, petites pommes pleines et dures, semblent attirer Karine… Un rappel de ce dont elle me parlait, sa tante ?

C’est à son tour de donner du plaisir à sa complice, écartelée, offerte… La tête dodeline, la langue goûte, salive, ses doigts vont et viennent dans son intimité, découvrant un pubis proéminent, un anneau perçant ses lèvres intimes, une grotte adorablement rosée…

Elle lèche avec application, comme elle le fait avec un phallus, se donnant entièrement à sa caresse, écoutant sa partenaire, ses premiers délires, ses plaintes de femme excitée par le désir de sexe…

J’ai pu noter deux ou trois adresses que je me ferai confirmer par mon jeune serveur préféré…

– Oh, oui… Viens, prends ma chatte, glisse ton doigt, j’ai envie de te sentir en moi…

Aline se donne, écartelée, son corps magnifique ondule, s’ouvre, revient, Karine lui donne ce qu’elle cherchait, une première pénétration vaginale, soft, très tendre… Elles échangent alors, prenant tout le lit, des caresses et des baisers sur tout leurs corps, venant, se dressant, jouissant, échangeant, Karine a un bel orgasme, qu’elle rend immédiatement.
Entrelacées, enchevêtrées, elles jouissent à tour de rôle et se subliment, ajoutant du piment, un doigt dans le derrière, pour varier les plaisirs…

Elles font une pause, boivent un jus de fruit, se frottant mutuellement les cuisses, puis retombant dans les bras l’une de l’autre…
Karine est séduite, Aline ne s’attendait pas à tant de passion…

Je les entends discuter un instant, Aline sort un objet démesuré, un gode nature…
Le bruit sourd du jouet retentit, et les premiers râles de Karine emplissent la chambre…

Masturbée par devant, fistée, gode en action dans son jardin secret, elle découvre une facette inconnue… Jouets intimes se succèdent entre les deux filles, elles se les échangent, restent jouissent chacune leur tour, sans la moindre honte… Karine est concentrée et se prête à toutes les situations, rendant coup pour coup, caresse par caresse, orgasme pour orgasme…

Elles s’entendent, s’aiment ainsi pendant deux heures…

Je profite d’un répit pour aller les voir…
Karine est épuisée, elles sont assouvies, dormant l’une contre l’autre enlacées tendrement…

Aline ressent ma présence, elle se lève… Vient sur le canapé à mon côté…
– Elle est magique cette jeune femme… Je n’ai pas eu beaucoup de travail, elle a le sexe dans le sang, réactive, sensuelle, toujours à chercher mieux, plus fort, plus loin, autant pour elle que pour sa partenaire… Elle aime les femmes, elle aime l’amour, elle est tendre, docile, liane, inventive, elle m’a bluffé et j’ai joui sans arrêt… Elle aussi.

Sans tricher, acceptant tout de moi, même le plus coquin. Elle a aimé les jouets, on n’a pas eu le temps de tout tester, mais les plus représentatifs de la gente féminine, du simple canard jusqu’au gode, les boules de geisha, le vibromasseur Rabbit dont elle a apprécié la double stimulation… Je n’ai pas pu tester un gode ceinture et la pénétrer avec…
Elle a joui, vous étiez descendu je crois, par deux jouets ensemble, crispée, à s’en éclater… Elle est adorable et si aimante… J’ai craqué… J’aimerais la revoir dans d’autres situations, avec des partenaires…
– Pourquoi pas, je suis ouvert à tout, du moment qu’elle se libère, qu’elle se désinhibe.
– Frank pourrait m’aider… Il me drague depuis longtemps, mais je prenais mes distances, j’aime aussi les hommes, même les hommes mûrs…
– Merci… Je déciderai ce soir ou demain. Mais aujourd’hui, elle a eu son compte de plaisir ?
– Oh, on n’en a jamais assez…
– Ce soir je vais l’abaisser, l’avilir, la contraindre, faire d’elle un objet sexuel…
– Oh, ça me tente… Où ?
– Voilà… J’ai peur que la situation ne m’échappe, vers l’autoroute…
– Ah, oui, c’est glauque… Je connais un couple de libertins qui organise des parties fines, dans tous les genres… Femmes, hommes, sélectionnés, de bonnes conditions, sécurisé, j’ai apprécié. On peut téléphoner…
– Vas-y… Pour demain soir….
– C’est bon pour aujourd’hui, tu peux t’en aller… Tu as été superbe. Je te tiens au courant et tu m’appelles pour demain soir.
– D’accord, Marc, merci. Je peux ?

Je me lève.
En un instant, elle est contre moi, ses lèvres s’écrasent sur les miennes sans prévenir, sa nudité ajoute au plaisir de sa langue qui vient réveiller mes ardeurs, mes bras se referment autour de son corps…

En un instant je suis bandé comme un âne…
Ses lèvres me prouvent qu’elle aime les animaux…
Ses seins pleins me charment, sa tête dodeline, une main dans sa chatte parfait le tableau… Je me laisse aller un instant vers les délices de la fellation, l’extase d’une caresse millénaire…
Je jouis dans sa bouche, elle jouit de sa main, poussant de petits cris…

Je mets fin, à regret, à cet assaut plein de fougue, elle se rhabille, tandis que Karine dort à poings fermés.

Je lui glisse un billet de 50 euros lorsqu’elle ouvre la porte, elle me donne un smack, rapide, et sautille dans le couloir…

Je reprends mes esprits, range mon ordi, Karine soupire doucement… Je la recouvre de peur qu’elle ait froid, je souris, elle a passé un très bon moment de plaisirs nouveaux, 20 ans qu’elle a attendu pour goûter aux plaisirs lesbiens…

– Maître ?
– Oui Karine ?
– Ma maîtresse est partie ?
– Oui…
– Dommage…
– Tu as apprécié son contact ?
– Oh oui maître, ce fut un moment agréable. Je m’en veux de ne pas avoir osé avec ma tante… Aline m’a tout appris d’un coup… Que c’est bon de se donner ainsi juste pour le partage d’un moment intense. Je ressens de l’amour, bien plus de tendresse qu’avec un homme, le désir est diffus, différent, profond… J’ai joui très vite, j’ai compris aussi et elle semble avoir aimé…
– Tu peux en être certaine, elle a apprécié, elle est ravie, et moi aussi, et elle est prête à revenir…
– Oh, j’aimerais aussi…

Elle s’étire, nue, offerte à mon regard… Elle n’a plus honte de sa nudité, de son corps… Je vais tester à la plage, il n’est que 17 heures, le soleil a dû réchauffer le sable…

En effet, Karine se dore allongée sur une grande serviette avec moi. Son maillot est une pièce, elle l’a voulu…
J’ai apporté de quoi nous protéger, enfin de la crème solaire… Je lui en passe dans le dos, elle baisse son maillot sur ses hanches, j’effleure ses seins, elle se cambre…

Un couple passe à côté, elle remet rapidement ses bretelles…

– Tu vas tout enlever, maintenant !
– Bien maître…

Elle obéit, son corps apparaît, elle jette un œil au couple qui s’est assis un peu plus loin… Mais il n’y a pas de monde, juste quelques curieux, des voyeurs sans doute…

En voilà un qui passe devant le couple, lentement, traînant la patte, matant sans complexe la jeune femme qui s’est allongée et que je ne vois plus… Je pense qu’ils sont comme nous… Nus…

Il arrive et passe aussi, proche, fier, regarde, se tourne, son short montre une bosse. Karine se tourne vers moi, lui montrant ses fesses, elle se love contre moi…
– Maître il me regarde….
– Oui, il te savoure du regard même…
– C’est indécent, non ?
– C’est public et toléré… Tu ressens de la fierté de provoquer son état ?
– Un peu, mais j’ai peur…
– Il ne violera pas, il a simplement envie de toi… Tu aimerais te laisser caresser ? Te laisser prendre devant moi par cet inconnu ? Tu as fait des choses hier à un jeune garçon… Là tu peux aller plus loin…
– Comme vous voulez, maître. Si je suis ici devant cet homme qui regarde mon intimité, qui a envie de moi… Mais vous maître ? Quand me le ferez-vous ? Dois-je être prise avant par d’autres hommes ? Est-ce ma punition ? Apprendre à dominer, diriger, m’abaisser ? Dois-je subir des outrages ?
– Tu es désirée, lorgnée, tu peux le satisfaire comme tu le veux, tu peux choisir… Il est beau, fort, bronzé, ce n’est pas une punition…
– Vous voulez que ce soit moi qui décide… Que je le veuille, que je le désire… Il est loin… Caressez-moi les seins, je le fixe…
– J’obéis, elle est finaude…

Le gars me voit, mes mains enserrent les globes, il sort sa bite et se caresse…
Karine fait alors quelque chose à laquelle je ne m’attendais pa

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire