Pour dépanner une amie il y a quelques années, je lui ai servie de mannequin dans un défilé de lingerie sur Cherbourg. Elle m’avait prévenu qu’il y aurait un photographe spécialisé dans la lingerie fine et que les photos seraient diffusée sur le net. Pour ne pas être gênée devant l’objectif, j’avais fait quelques shooting de charme en privé avec Christian. C’était un artiste qui aimait mettre les femmes en valeur et il savait mettre en confiance. Avec l’habitude, je me changeais devant lui sans aucune pudeur pour gagner du temps. Très pro, il n’y faisait pas attention, du moins je le croyais, à me nudité. On était là pour bosser. Mais son regard aiguisé me troublait.
Lors d’un changement de tenue, je me suis amusée à le faire en mode strip-tease. Amusé, il s’est mis à me shooter sous tout les angles en s’approchant de moi. Il a posé son appareil et en se collant à moi, il m’a embrassé dans le cou. Le pro c’était transformé en mâle prédateur. Ses lèvres au creux de mon cou m’ont fait frissonner. Quand il a mordillée le lobe de mon oreille, j’ai fermé les yeux et je me suis cambrée en poussant un soupir. Une de ses main s’est mise à malaxer un sein pendant que l’autre investissait ma fente trempée de désir. Du bout de son index, Christian a commencé a agacer mon bouton. Ma respiration devenait rapide. J’ai glissé ma main entre ses cuisses et j’ai senti sa raideur comprimée dans son pantalon. Les doigts de mon photographe se sont fait plus inquisiteur en plongeant dans ma grotte détrempée de mouille. Je brûlais de désir. Je sentais que je perdais la tête, au point que j’ai fini par le supplier de me prendre. Christian m’a basculée face contre la table et sans ménagement il m’a prise en levrette. Quand il m’a pénétré, j’ai crié de plaisir. Il s’est mis à me bourrer comme un sauvage en tirant mes cheveux vers l’arrière. J’étais comme en transe. D’une voix rauque de désir je lui ai lancé :
« Prends-moi par derrière, je t’en supplie ! défonces-moi le cul ! »
Devant ma supplique, il est sorti de mon vagin et son gland s’est posé sur ma rosette. Sa première poussée à l’orée de mon œillet m’a fait pousser un feulement bestial. Puis sa verge d’une poussée continue m’a élargi l’étroit passage pour s’enfoncer jusqu’à la garde.
La douleur passée, je n’étais plus moi-même. Alors qu’il me sodomise comme une bête, Je me transforme en une vraie furie assoiffée de sexe. A cet instant, j’airais voulue être entouré de mâles en ruts pour qu’il me prennent par tout les trous. Dans ma tête, tout se mélangeait. Je hurlais de plaisir. Mon enculeur me claquait les fesses en me défonçant le trou. Ses coups de boutoir ont accéléré et devenu si brutaux que la table se déplaçait sous ses assauts. Un orgasme d’une v******e sans nom m’a submergé. Je criais de mots incompréhensibles. Christian s’est planté au fond de mes entrailles et en poussant un grognement a****l, j’ai ressenti ses jets de sperme au fond de moi. Il s’est effondré sur moi et nous sommes restés comme ça de longues secondes, jusqu’à ce qu’il débande et que sa queue devenue flasque ressorte d’elle même de mon cul.
C’est pour vous dire que le jour du défilé, je ne m’occupais plus du public et je faisait comme il aimait si bien le dire « l’amour à l’objectif ».
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