Le monde féminin
J’ai toujours été attiré par le monde féminin et ses valeurs: l’attention des femmes aux relations interpersonnelles, une volonté de paix plus que de compétition, le sens de la vie, le goût des beaux objets féminins,…Mon univers s’est ouvert au fil des années à tous les signes et comportements féminins. Ayant un caractère doux et une forte libido, je portais mes premières petites culottes féminines dés l’âge de 12 ans, et cela ne cessa de prendre de l’importance dans ma vie. J’ai fait de bonnes études puis un bon parcours professionnel.
Je me suis marié et ai eu deux enfants qui ont quitté la maison aujourd’hui. A 55 ans, je ne désire plus ma femme et nous faisons chambre à part depuis longtemps. En parallèle, j’ai avancé dans mon exploration de la féminité et mon travestissement.
Ma femme voit bien mon placard remplit de vêtements, chaussures et accessoires féminins. Elle me laisse faire et je ne lui impose pas la vue de son mari travesti. J’ai très bien compris que ma passion pour la féminité ne lui convenait pas et notre relation conjugale se poursuit sous la forme d’une tendre amitié.
Aujourd’hui, j’ai 55 ans et je vis en privé et dés que je le peux, en femme. J’ai choisi comme 2ème prénom Corinne. J’ai une garde-robe de femme plus fournie que mon vestiaire masculin. J’ai fait plusieurs sorties de nuit avec ma silhouette de femme, crédible des pieds à la tête bien que beaucoup plus grande que la moyenne.
Une belle-mère autoritaire
Nous habitons près de chez mes beau-parents. Depuis toujours, j’ai entretenu des relations formelles et aimables avec mes beaux-parents, allant les voir régulièrement. Ma belle-mère est une femme d’apparence classique ayant des valeurs relativement conservatrices. Elle a 70 ans et vit toujours avec son mari plus âgé et fatigué. C’est une femme ayant gardé des traits de visages réguliers,bien que de jolies rides soient apparues progressivement. Ses cheveux sont assez courts et ondulés comme beaucoup des femmes de cet âge, et elle les teint de couleur auburn virant sur le roux. Elle porte ds lunettes et des boucles d’oreille en permanence et se maquille légèrement assez souvent. Elle n’est pas très grande, environ 1m64, et elle a toujours prêté attention à sa ligne. Son ventre a pris un peu de rondeur et sa poitrine est de taille moyenne. Je la croyais conventionnelle et prude. Enfin, c’était vrai jusqu’au moment où notre relation s’est transformée de manière totalement inattendue et radicale. Je n’avais jamais eu de désir pour elle bien que je l’avais vue en maillot de bain une pièce noir à la plage et que je la trouvais plutôt bien faite. Béatrice, puisque c’est son prénom, avait une réputation de femme décidée et aimant maîtriser ce qui se passait autour d’elle. En résumé, une femme n’appréciant pas la fantaisie et aimant discuter en permanence et de manière péremptoire d’une voix suraigue qui m’amusait tout en m’agaçant.
Un mouvement de tendresse
Un jour où j’étais chez elle en sa compagnie, elle évoqua la situation compliquée d’une autre de ses filles. Je la sentais fragilisée, émue de la position de son gendre sans travail et des tensions se répercutant sur ses petits-enfants. Elle aimait beaucoup nos discussions et elle se confiait toujours plus. Un soir, au moment de mon départ de chez elle, nous nous sommes retrouvés dans son entrée et je l’ai entourée de mes bras pour la réconforter au moment où je lui faisais les bises d’au-revoir. Nos baisers sur la joue s’étaient progressivement fait plus tendres au fil du temps. Mais cette fois-ci, je la gardai dans mes bras, bien qu’elle soit plus petite que moi, et c’était la 1ère fois que je sentais autant ses formes et la chaleur de son corps sur le mien. C’était une sensation inattendue et agréable: ni elle ni moi, n’osions bouger. Je lui refis deux bises tout en la gardant dans mes bras. Notre conversation s’arrêta tandis qu’elle levait la tête et que nos regards plongeaient l’un dans l’autre sans un mot. Je fus pris d’un mouvement de désir tendre, et lui caressai les cheveux: elle ne se détacha pas de moi. Mon coeur battait à tout rompre tandis que j’osai me pencher et approcher petit à petit mes lèvres des siennes. Elle ferma les yeux, signe de son invitation. Notre baiser fut tendre, profond et très troublant quand nos langues se mêlèrent. Cette situation scabreuse me donnait le vertige. Je la quittai enfin, lui promettant de lui faire signe très vite.
Le début d’une relation passionnelle
Je ne dormis pas la nuit suivante, repassant en boucle dans mon pauvre esprit les sensations de cette scène torride, décalée et enivrante. Nous nous revîmes très rapidement chez moi en l’absence de ma femme pour discuter de ce qui était arrivé. Elle me dit qu’elle avait compris que je n’avais plus de rapports sexuels avec sa fille, et elle avait deviné mon goût pour le monde féminin. Elle regrettait profondément cet échec conjugal, mais elle osa me dire que ma passion pour la féminité ne la gênait pas. Elle me proposa elle-même d’établir des règles afin que notre relation ne porte préjudice à quiconque. Elle m’avoua qu’elle me trouvait beau, que son mari ne la désirait plus également depuis fort longtemps et qu’elle avait besoin d’une relation affective forte. Je comprenais qu’elle disait en creux que ce serait peut-être sa dernière passion amoureuse. Il ne me fallut que quelques instants pour basculer totalement dans cette nouvelle aventure: comme elle était une femme de tête, je lui dis de décider de tout et que je m’en remettais à elle. Je sentais que cela lui convenait très bien. Nous nous embrassâmes longuement. Je la déshabillai, elle garda tout d’abord sa lingerie blanche en coton, puis notre étreinte finit dans mon lit. Quand elle me quitta, elle me dit qu’elle me communiquerait ses règles de notre relation très rapidement, et qu’elle attendait de moi un abandon total. J’acceptais sur le champ, complètement déstabilisé et ému. Je lui proposai de la tutoyer, ce qui n’était jamais arrivé jusque-là. Elle me répondit de sa voix aigue assez sèchement qu’il n’en était pas question.
« – Je veux que tu me vouvoies. Je reste ta belle-mère malgré tout, et j’attends de toi ton respect et un dévouement total ».
Je ne savais pas encore dans quel merveilleuse aventure de soumission absolue je m’engageais.
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