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Une aventure hard et peu banal.

Une aventure hard et peu banal.



Je vis dans un petit village de campagne en Normandy, non loin de la mer. Quand je m’ennuie l’été je vais sur une plage naturiste prés de chez moi et aussi je surf beaucoup sur les tchats coquins sur le net.

Je suis encore tout excitée en écrivant ces lignes. Il faut dire que l’aventure est cocasse. Un jour d’été, donc, je décide de me rendre à cette fameuse plage. Je suis arrivée assez tôt et il y a peu de monde sur la plage, juste quelques couples. Je m’installe avec le casque sur les oreilles et un bon livre pour passer un moment de détente agréable en me faisant dorer nue au soleil.

Au bout d’une heure, je décide d’aller piquer une tête dans l’eau. Le mouvement des vagues sur mon corps nu, sur mes seins et mon entre-jambe me procure d’agréables sensations .

A un moment, j’ai comme la sensation d’être observée. Je me retourne et non loin de moi, Je vois un bel homme qui me reluque avec insistance. Je n’y prête pas plus attention que ça et sors de l’eau pour me sécher.

En retournant à ma voiture, je reçois un sms. C’est une annonce pour garde malade.
« Besoin d’une infirmière pour s’occuper d’un homme à mi-temps. Rémunération intéressante. »
Je me dis que c’est curieux et laconique comme annonce mais cela ne m’embête pas car je m’occupe souvent de mon pére malade et donc j’ai l’habitude. De plus si je peux me faire de l’argent de poche, pourquoi pas ? Je décide donc de répondre, ça ne coûte rien.
Dans les cinq minute, je reçois un coup de téléphone.
« Bonjour Madame. Vous ête intéressée par l’annonce ? »
« Oui Monsieur ? »
« Bien. Mais vous savez, mon maître étant très pointilleux quand aux gens qui viennent travailler pour lui, je souhaite avant de vous donner un rendez-vous que vous envoyez une photo récente de vous.»
Je surprise du ton de cette personne et je me dis :
« Mon dieu il a un serviteur ? Mais pourquoi a-t-il besoin d’une femme pour le soigner ? Il doit être hyper riche alors ? Et à son âge, il doit sans doute aimer voir de jolies filles pour s’occuper de lui que son affreux bonhomme qui le sert ! Ca se comprend. »
J’envoie donc une photo de moi pris en tenue d’été avec mon portable et où, sans avoir fait trop attention mon décolleté est attrayant.

Rapidement, je reçois un SMS.
« Vous convenez parfaitement. Présentez-vous demain à 8h à cette adresse. »
Le lendemain, à 08h00, me voilà devant une maison bourgeoise. Je sonne un peu fébrile. Au bout de quelques instants, je suis surprise car c’est une jeune fille qui m’ouvre la porte. Elle est dans une tenue très sexy.

« Bienvenue. Le maître a demandé à ce qu’on vous présente directement à lui à votre arrivée. »
Je suis gênée par le ton respectueux de cette jolie rousse mais la suis sans un mot. Elle me fait entrer dans une grande piéce où un homme est assis de dos.
« Maître, Madame est arrivée. » Lui dit-elle avant de s’éclipser.
L’homme se tourne alors et lève la tête en me déshabillant du regard. Je suis surprise une foi de plus car cet homme doit avoir au plus la soixantaine et semble en pleine forme.
« Bonjour Monsieur, je suis Michèle, l’aide soignante requise pour votre père. Enfin, je suppose que c’est pour votre pére ? »
Il esquisse un sourire amusé et me dit :
« Non, pas vraiment. Vous êtes ici pour me servir ! »
Le ton est autoritaire et je ne comprends pas bien ce que ça veut dire. Il reprend sur un ton autoritaire et sur de son pouvoir:
« -Vous n’êtes pas ici pour être infirmière à domicile. Vous êtes ici pour être ma soumise. J’adore soumettre les femmes de votre genre ! »
« Quoi ?! Vous êtes taré ! »
Je m’apprête à me barrer, comprenant le piége. Le comportement de la fille de tout à l’heure s’expliquait mieux maintenant.  Alors que je tourne les talons pour m’enfuir, il me lance :
« Restez ! Je ne vous ai pas donné congé ! »
Je m’arrête sur place en me demandant pourquoi j’obéis à cet obsédé.
« Je me suis renseignée sur vous. Je vous ai vu nue à la plage. J’ai des photos de vous nue et je peux les diffuser. Vous ne pouvez refuser mon offre ! »

Là j’éclate de rire.
« Vous m’avez vu à poil à la plage ? La belle affaire ! Et vous voulez diffuser ces photos ? Mais mon pauvre, j’en ai rien à faire ! Au revoir ! »

Avant que je ne sorte, il me lance :
« 4000€ mensuel ! »
La somme est colossale et je m’arrête net.
« Combien pour vos cochonneries ? »
« 4000€ ! » Répète-t-il.
« Si j’accepte ? Que devrais-je faire ? » Lui demandais-je, attirée par la somme mais angoissée par sa réponse qui n’allait pas tarder.
« He bien, je ne vous appellerai pas Michèle, mais ma chienne. Tu me vouvoie et m’appelle Maître. Ici tu devra être nue en permanence et tes orifices seront à ma disposition comme je le souhaiterai. Tout refus sera puni. Je ferai ton dressage. Si tu quitte ton poste sans autorisation, Des photos et des commentaires seront diffusés et tu ne remettra plus les pieds ici ! »
Je blêmie en entendant ce qu’il attend de moi. 4000€, c’est une somme. Pleins d’image et de pensée contradictoires se bousculent dans ma tête. Je sursaute quand il me sort de mes pensée en disant brutalement :
« Alors ! C’est oui ou c’est non ? Je n’ai pas que ça à faire Chienne ! »
En bégayant je réponds un petit « oui ».
« Je n’ai rien entend ! Dites moi à haute et intelligible voix J’ACCEPTE D’ÊTRE VOTRE CHIENNE DOCILE MAÎTRE. J’écoute ! »
Je prends sur moi en pensant au 4000€ et me lance dans le vide :
« J’ACCEPTE D’ÊTRE VOTRE CHIENNE DOCILE MAÎTRE. »
Avec un large sourire de satisfaction, il me dit :
« Bien bien bien, je vais commencer à t’éduquer. Met-toi à poil chienne ! »
Je me dis, mais dans quelle pétrin tu t’es mise ma fille.Alors que je commence mécaniquement mon effeuillage, sous son regard pervers, étonnement, je me surprend à mouiller. Je suis rapidement nue devant ce vicieux.

« Tourne sur toi-même. Bien, très bien. Je crois que je vais prendre plaisir à te dresser ma chienne. Maintenant viens sous le bureau et suce moi. »
J’hésite un instant et je me met à quatre patte pour aller sous le bureau.

Il est en veste d’intérieur et les pans de la robe de chambre s’ouvre devant moi laissant apparaître un membre de taille imposante. Malgré ma honte, c’est presque avec plaisir que je le prend en bouche.

Il m’emplit la bouche et a un goût salé pas du tout désagréable ; Je le suce avec tout mon savoir faire mais apparemment ça lui ne convient pas car il m’att**** par les cheveux et me hurle :
« Au fond de ta gueule ma chienne ! Bouffe moi la queue profond putain ! »
Me prenant par les cheveux, il imprime le rythme et fait aller et venir ma tête sur son pieux. J’ai rapidement des hauts-les cœurs. Il va profond dans ma gorge, rentrant totalement son dard. Je ne me sens vraiment pas bien mais il continut encore et encore en m’insultant :
« T’es une grosse pute salope ! Bouffe moi à fond sale chienne ! Ho ouiiii !!! Tu vas voir tu vas aimer ça… bientôt tu me supplieras…oui…oui !»

Soudain il s’arrête de bouger alors qu’il est au fond de ma gorge. Il m’étouffe avec son engin. Je pousse sur ses hanches pour me dégager. Mais il me tient trop fort la tête.

Alors, dans un râle, il jouit au fond de ma gorge. En sentant se giclées de sperme couler dans ma gorge, j’ai l’impression d’être une oie au gavage.

Quand il a fini, il me tapote la tête en me disant :
« Bonne chienne à son Maître. T’a été une gentille chienne ! »
Je me jette en arrière et me couche sur le dos pour reprendre ma respiration. J’ai envie de vomir. Alors que j’ai les yeux fermé, je sent qu’il m’empoigne les seins pour me relever tout en me roulant une pelle.

J’essaye d’esquiver cette douloureuse contrainte en le repoussant :
« Mais vous allez m’arracher les seins ! »
Il m’attache à une chaise et pour toute réponse, il me claque les seins.

« Tu m’appelle Maître, ma chienne ! C’est compris ! »

« Oui, aiiiiie ouiiiii Maitre ! »
Il m’écarte les cuisses avec ses pieds et de les attacher aux pieds de la chaise. Le vagin offert et sans défense, il m’introduit un gode qui entre facilement tant je suis mouillée.Il entra même très facilement car j’avais apparemment fort mouillé. Il m’en fait la remarque :
« Et bien alors ma chienne ! Tu commences à peine ton dressage et pourtant tu aimes déjà ! Tu mouille comme une grosse salope ! »

Il prend un appareil photo et me prend sous toutes les coutures.

Il pose l’appareil et se met à me malaxer les seins durement. Je serre les dents pour ne pas crier. Je vois qu’il prend beaucoup de plaisir à me manipuler et m’utiliser ainsi.

Quand il a fini, il me libère. Il appelle la rouquine qui entre dans la pièce alors que je suis nue du sperme sur la bouche et les seins.
« Conduis ma chienne sous la douche ensuite mets la dehors ! »
« Bien Maître. »
La fille me prend gentiement par la main et m’entraîne sous la douche. Aprés la rudesse de ces humiliations, c’est un bonheur des passer sous la douche avec la douceur de cette fille qui me savonne. Je ne peux m’empêcher d’en jouir.
« Demain matin 08h00 pétante, tu devra apporter le petit-déjeuner au Maître, toute nue. »
Elle m’essuie avec tendresse et me racompagne à la porte en m’embrassant sur la bouche.
« A demain ma chérie. »
En rentrant chez moi je ne parle pas de ces péripéties à mon mari. Nous faisons l’amour plus furieusement qu’à l’habitude et je m’endors morte de fatigue.

Dans mes rêves agités, je revois les événements de la journée où je suce le « Maître » et quand il maltraite mes seins..

Je m’interroge sur ce nouveau job.
« Vais-je m’y rendre demain ? Si je n’y vais pas, les photo de ma soumission seront diffusées et puis je ne toucherais pas mon fric ! »
Le lendemain matin, quand je me réveille, Alain est déjà parti. Je regarde le réveille et je sursaute.
« Merde ! Il est 07h30 ! »
Je me lève précipitamment et ressens des courbatures. J’ai mal partout. Surtout mes seins qui on été maltraité la veille.

Je regarde mon téléphone et j’ai un texto avec la liste d’ordre que je dois suivre pour ma matinée.
« -08h00 petit déjeuné nue.
– Quand tu es dans la maison, tu reste nue même si j’ai des invités.
-Tu peut-être utilisé par qui bon le semble.

-Ne parlez que sur ma demande.
-Exécuter ce qu’e je demande dans l’instant.
– Tout manquement à une règle est sanctionné par une punition de mon choix. 
Suis ces ordres à la lettre. Bienvenue chez moi chienne ! »Je vous prie de suivre convenablement ces quelques règles et vous souhaite la bienvenue dans la maison. Marie.»
Je frissonne en lisant ce texte car je parle beaucoup et joui bruyamment. En plus, que veut-il dire par punition ? A y penser ça me fait mouiller, et je rougis comme une collégienne. J’arrive donc chez lui et aussitôt me mets nue.

Je vais à la cuisine cherche le plateau pour le Maître. A passage, je vois une autre fille nue qui fait les carreaux. Nous nous souriant en disant bonjour.

Dans la cuisine, il y a deux autres filles attablées. Elles aussi sont nues.
«  Bonjour ! Je suis Michèle. »
«  Bonjour, moi c’est Marie et elle c’est Juliette, mais on l’appelle Juju. »
J’étais un peu gênée, mais elles sont sympas et m’apprennent :
« Tu sais, ne te prends pas la tête. On est comme toi des soumises et bien payées. Le Maître et un vicieux dominateur mais il n’est pas un sadique ! »
Je suis un peu soulagée mais leurs confie :
« Ok merci, mais hier il m’a frappé les seins quand même ! »
Je prends le plateau que me tend Marie et me rends dans la chambre du Maître. Quand je rentre, il me dit :
«  Ah, ma nouvelle chienne ! T’es vraiment une belle bête bonne à saillir toi. Viens déposer ça sur la table petite chienne. »
Je dépose le plateau sur la table juste devant lui. Dans la position où je me trouve, il a une vue imprenable sur ma chatte.

Il en profite pour écarter en grand mes fesses et regarder ma rosette.
« Jolie trou, ma chienne. Tu t’es déjà faite sodomiser ? »
« Euh…oui parfois mais je n’aime pas ça ! »
Je reçois une grande claque sur les fesses.
« J’ai mal entendu ! »
« Pardon Maître. Oui parfois mais je n’aime pas ça Maître ! »
Je reçois encore une autre claque plus violente. Je serre les dents pour ne pas crier.
« Je ne t’ai pas demandé si tu aimais ou non ! Répond juste à mes questions. »
« Bien après le déjeuné je t’encule comme une chienne ! »
Un frisson d’effrois parcourt mon dos.

« En attendant empale toi sur le gode ventouse qui est sur le tabouret pendant que je mange ! »
Le gode qu’il m’indique trône fièrement sur un tabouret. Je fais ce qu’il me dit et commence à faire des vas et viens dessus.

Pendant ce temps il mange, tout en me reluquant.

-Caresses toi les seins en même temps chienne.
Je me met en me défonçant la chatte à malaxer mes seins si sensible du traitement de la veille.Je sens le plaisir monter très vite et j’ai envie de jouir. J’essaye de ne pas gémir mais je souffle très fort. Il s’en rend compte et me dit :
« Grosse pute tu as envie jouir. Mais moi je ne veux pas ! Alors retiens-toi. »

Je ne pourrais jamais me retenir. C’est impossible. Il doit le savoir. En pensant ça, je vois à ses yeux qu’il veut que je jouisse pour pouvoir me punir. Le salop, je vais lui prouver que je peux tenir. Mais c’est vraiment trop dur et quelques secondes plus tard, je jouis en poussant même un petit cri de plaisir.

Satisfait, mais sur un ton faussement couroussé, il me dit :
« Alors comme ça, ma chienne n’est pas bien éduquée ? Je suis donc obligée de te punir. Viens à mes pieds et lève ton cul vers moi ! »
Je comprends aussitôt qu’il va s’occuper de mon cul comme punition. Je tremble un peu et appréhende se qui va suivre.

Je sens ses mains sur mes fesses. Il m’écarte les jambes avec ses pieds, puis mes fesses à deux mains. Je sens alors un objet pousser sur ma rondelle. Mon cul s’ouvre à mon grand étonnement assez facilement et l’objet entre entièrement.
« Tu garderas ça dans ton cul jusqu’à la fin de ton service petite chienne. Marche à à quatre pattes devant moi que je bois l’effet de cette queue sur ma chienne ! »
L’objet qui me dilate l’anus est tout simplement un plug queue de chienne.

Je comprends alors son but. L’objet, n’a pas posé de problème pour entrer. Mais maintenant que je marche, je le sens me dilater le cul. Je suis vraiment en train de me conduire comme une chienne qui attend la caresse de son maître. Le désir me vrille l’estomac et ma chatte coule de cyprine..

« Bonne chienne. Mais oui, tu es une bonne chienne. Viens ici me présenter ton cul. »
Je me met docilement en position et écarte les jambes pour laisser l’accès à mes orifices au Maître.

Il me caresse la chatte et le cul. Instinctivement, je réponds à la caresse en tortillant du bassin. Brusquement, je ne peux m’empêcher de pousser un cri lorsqu’il me pénètre avec un énorme gode ma chatte offerte et dégoulinante. Aussitôt, il réagit en me donnant une claque sur le cul, ponctué d’un :
« Silence la chienne ! »

Il s’occupe ensuite de mon cul en retirant d’un coup le plug et dans la foulé, il sort le gros gode de ma chatte qui se met à couler d’un long filé de mouille. Je me retiens de ne pas crier de plaisir, même si j’en meure d’envie.  Rapidement, il replonge le gros gode dans ma chatte et se met à le faire coulisser de plus en plus rapidement. Je me mord les lévres pour ne pas hurler quand il me dit :
« Gueule ton plaisir ma chienne ! »
Presque immédiatement, dans une sorte de frénésie irésistible, je hurle mon plaisir dans un orgasme fulgurant.
« T’es vraiment une bonne chienne en chaleur bien bandante ! »

Comme une conne, ce compliment me rend fier. Je pousse alors un cri de douleur quand il entre le gros gode enduit de ma mouille dans mon cul. Sadiquement, il passe alternativement de mon cul à ma chatte. A ce moment, je ne sais plus ce qui domine, ma honte, mon humiliation, la douleur, le plaisir ???
« Suce moi grosse pute !  Allez ma chienne viens, oui… tu vois que tu sais prendre au fond de ta gueule ! Je t’avais dit que tu allais t’habituer !! Aller suce ! Suce chienne ! »

Je suis totalement à sa merci, déstabilisée et je le prends de moi même en gorge profonde. Alors que je le suce, Il prend sa ceinture et se met à me fouetter les fesse en rythme.
«  Oui, sale chienne ! Ton Maître va te juter dans la gueule ! »
Presque instantanément sa semence se répend en saccade dans ma bouche.
« Avale sac à foutre !  C’est un ordre ! »

J’avale cette foi sans me faire prier et il me félicite en me tapotant les seins.

« Tu es parfaite comme ça ma chienne. Tu as interdiction de te laver. Je veux que tu reste comme ça pour tout à l’heure. Je vais te distendre complètement le cul ma pute devant mes amis. Tu vas aimer, tu vas voir. Allez va ! »
Je suis partie en marchant bizarrement, les cuisse couverte de cyprine et une goût de sperme dans la bouche. J’angoisse d’être exhibée et enculée en public devant des inconnus. Comme convenu, je reçois ses invité devant Maître qui m’adresse un sourire carnassier qui me fait flipper.

Il me fait mettre à quatre pattes et m’enfila un collier autour du cou. C’est juste en tirant sur ce dernier qu’il me conduit jusqu’à ce qui devait à la base être une cave mais qui avait été transformée en donjon avec toute une série de machines.

« Messieurs dame, je vous présente ma chienne. C’est une bonne pute que vous aurez tout à loisir d’utiliser tout à l’heure. Pour son échauffement et votre aisance, nous allons commencer par l’élargir. »
Je ne sais ou me mettre et suis cramoisie de honte devant cette humiliation où je ne suis devant ces gents qu’un trou à plaisir.

Je ne sais pas à quoi m’attendre, ou je le sais trop bien. Il m’attache les mollets et les poignets au sol. Je suis offerte, ouverte ne pouvant plus bouger, et je me sens étrangement chienne. Le Maître se met derrière moi et, comme une chienne, il me sailli par le cul. Je halète de plaisir et l’assemblée rigole de me voir dans cet état. Je sais que je ne dois pas émettre de bruit mais il ne me dit rien donc je continue à gémir car je ne peux pas m’en empêcher.

Il s’amuse avec ma mouille qui a coulée et à mettre deux doigts dedans. Vu le plaisir que je ressens. Tout à coup, alors que je suis au bord de la jouissance, il s’arrête et je me prépare à recevoir son foutre dans ma chatte. Mais il se retire d’un coup et s’enfonce brutalement jusqu’à la garde dans mon cul pour y jouir. Je ne peux que subir l’agression. La douleur de cette pénétration brutale fait tomber mon plaisir. Une foi son affaire faite, il se retire avec un grognement de plaisir.
« Voilà pour le lubrifiant. On passe à la suite. »
Là, j’ai vraiment peur. Il m’a littéralement niqué le cul pour le lubrifier ? Pour lui permettre de supporter beaucoup plus gros ? Je n’ai plus envie de continuer mais c’est d’une main ferme, qu’au bout de quelques secondes, il m’écarte les fesse et approche une machine dotée d’un gode monstrueux. Il l’enfonce dans mon trou du cul et la machine se met en marche. Je crie de douleur car cette engin m’éclate la rondelle.

C’est vraiment une machine infernal. En effet, le sperme de mon maître sert de lubrifiant. Les muscles de mon cul se détendent au fur et à mesure des pénétration du gode. 

Je ne sais honnêtement pas combien de temps je reste sur cette machine mais j’ai mal partout.

L’assemblée commente et Maître me regarde d’un air satisfait, surtout vu la longueur de l’enculage. Il retire enfin le gode de mon cul avec un bruit de succion.  Des images folles se bousculent dans ma tête. Je me dis que 4000€ par mois, ça vaut bien des sacrifices. Etre payée pour leur servir de défouloir, pour sentir leur noirceur s’abattre sexuellement sur moi en fait m’excite au plus haut point.

Maintenant, je suis le cadeau offert par Maître au reste de l’assemblée. Je vais être, comme me l’avait dit Maître, à la disposition de toute personne durant cette soirée, homme ou femme. Une femme approche. Elle me roule une galoche, me fout une baffe, me lèche le cul, puis m’enfonce sa main dans mon conduit anal. Même si Maître m’a longuement préparée par cette voie, je ne m’attendais pas à une tel pénétration direct.

Elle retire sa main satisfaire et m’att**** par les cheveux pour plaquer ma bouche contre sa chatte, alors que j’entends Maître  dire à l’assemblée :
« Elle adore être prise comme une chienne de partout, et son cul est tout le temps en chaleur et disponible !  Cette grosse pute est à vous jusqu’à la fin de la soirée. Usez-en et en abusez-en ! C’est libre service mes amis ! Elle sera docile. Testez ses orifices. »

A partir de ce moment, je ne me souviens plus que de bribes de choses. Rapidement, les femmes viennent s’amuser avec des godes en essayant tout mes trous. Elles s’amuse à les rentrer, les sortir… Des langues s’aventurent à me lécher. Des hommes se mêlent aux femmes et je ne sais plus qui abuse de mon corps sans défense.

Le spectacle que j’offre a lancer l’ambiance. Des odeurs de cyprine, des cris de femmes me parviennent aux oreilles. Soudain je sens un froid extrême dans ma chatte brûlante. Un mec est entrain de me pénétrer avec une bouteille de champagne glacé et avec du champagne dedans.

D’instinct je me rebelle et fait savoir mon désaccord. Que n’ai je pas fait là. Maître intervient en me disant :
« T’as pas à donner un avis ! T’es assez cher payé pour la fermer ! Tu mérite une punition sévère pour me mettre la honte devant mes invités.»
Je peux craindre le pire. Mais je sais que tel est ma condition. C’est un coup de fouet assez vigoureux qui me sort de mes rêveries quelques secondes plus tard. Je hurle sous la brûlure du cuir sur ma peau.

Coup de fouet à nouveau. Il me plaque par terre. Un invité m’ouvre les fesses et y déverse du champagne. Ensuite, mise à genoux, on m’oblige à me vider dans un verre et à boire le contenu. Heureusement que je mettais faite un lavement. Comme si ça ne suffisait pas, le Maître me tire par les cheveux pour me relever la tête et tous vois mon désarrois.

Il leurs explique tout en me claquant les seins :
« Le moment d’humilier et de punir cette chienne est venue ! »

Un invité se branle devant moi et se vide dans ma bouche.

Mes mains sont liées dans mon dos. Les chattes et les bites se succèdent dans ma bouche. Les coups de fouet pleuvent.

Des pinces sont attachées à mes seins.

Je suis leur pantin sexuel. Alors qu’une chatte dégoulinante ruisselle dans ma bouche, quelque chose d’énorme est introduit dans mon cul. J’ai l’impression de partir, de me casser en deux.

A partir de là, ce n’est que successions de flashbacks et d’orgasmes. On me gifle, on m’étouffe, on me crache dessus, on me fiste. Je mouille comme une fontaine.

Je pleure, je hurle de plaisir et de douleurs. Plus je crie plus on me gifle ou on me fouette. Après un tel traitement, je suis une loque. Dans un état second, je sens qu’on me soulève et qu’on me dépose sur ce que je pense être un lit. Mes orifices sont dilatés. Du sperme coule de partout. Je me sens béante. Impuissante. Après un court moment d’acalmie, un vieux monsieur me traîne par les cheveux. A quatre pattes, je suis amenée dans une salle de bains. Devant tous, on me positionne de tel façon à avoir mon cul bien offert. Là mon seul souvenir c’est d’entendre :
« Allez-y ! »
Tous se mettent à me pisser dessus. C’est une ultime humiliation.

Alors que le grand black vient une foi de plus me défoncer le cul.

Ensuite, on me douche, on me dorlote, on me fait boire du champagne. Ouf, je suis naze, vidée. Enfin mon calvaire prend fin. Mais ils en veulent pour leur argent. On me passe un collier et une laisse pour me descendre au donjon. Je suis, épuisée. Des gens s’affairent autour de moi. On m’attache et mon corps se soulève. Je n’ai plus de repères, mes jambes sont écartées et deux femmes avec des godes ceintures m’enduisent le corps d’huile. Des doigts rentrent dans mon cul. L’ouvrent, l’écartent, le dilatent, comme si il ne l’était pas encore assez. Je sens qu’elle me verse du lubrifiant dedans. Derrière moi, d’un coup la femme a enfoncé son gode ceinture dans mon cul. Je hurle. Elle pilonne. Elle est enragée.

Le latex après des heures de sodo c’est pas top. J’en hurle de douleur mais ça les excite. Le gode se retire de moi. Je me sens vide. Soudain, des doigts se frayent un chemin dans mon cul. J’entends des gens lui hurler de m’enfoncer le poing. Mon cul est désormais, je m’en doute, un orifice béant.

Des hommes se branlent et déchargent sur moi et dans ma bouche. Leur sperme dégouline de partout, coule dans ma gorge. Ca en devient écoeurant.
« Va plus loin ! mets y les deux main à cette salope ! » Crie une autre femme.

Je sens ma chatte ruisseler à flots. J’ai mal tant mon ventre se contracte de jouissances. Son poing s’enfonce puis se retire. Ma tête tourne. Je ne suis plus qu’un trou pour ses gens. Puis plus rien. Je me réveille dans l’une des chambres, bien des heures plus tard, propre, soignée et pomponnée. Je regarde mon telephone. J’ai un message.
« Voici le N° du chauffeur qui te ramènera chez toi quand tu sera en état. Le carton de champagne est pour toi ! »
  Le SMS se termine par un mot de Maître.
« Tu as été fabuleuse ma chienne. J’espére bien renouveler une tel séance avec toi»
Douloureuse et encore titubante, je me léve vois que le carton est signé de dizaines de personnes. Remerciements, mots doux, tendres, clins d’œils, numéro de portable,,,etc. Je trouve également une grosse enveloppe avec 10000€ dedans (pour service rendu).

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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