Pour ne pas rester en reste devant Albane, je décide d’employer les grands moyens. Ayant plus d’expérience qu’elle, je pense qu’elle n’osera suivre mes initiatives. Je propose donc à Alain de m’attacher et de m’offrir à toutes ses envie lubrique devant la petite. braguette, lui exhibant son sexe.
« Bon Dieu que c’est bon de vous mettre en concurrence ! » Dit-il
Alain entendait bien profiter de cette concurrence pour assouvir ses penchants, SM en, par mon intermédiaire dresser la jeune Albane. Il m’attache donc en regardant les réactions de la petite qui observe assidûment la scène.
Alain m’admire dans ma nudité soumise. Voilà une dizaine de minutes qu’il m’observe et regarde les réactions d’Albane. Tous nous ressentons une tention très perceptible. Un filet de mouille coule de ma chatte. Et Alain à sortit son membre bien tendu. Puis, il m’installe deux jolies chaînes qui partent de mon collier et relient les pointes de mes seins enserrés par deux petites pinces étaux. Il vérifie le serrage des pinces avant de me faire monter sur l’estrade pour m’exposer devant Albane qui reste pétrifiée devant ma docilité. Il m’attache les poignets à une barre pendue au plafond. Une autre barre aux chevilles m’oblige offrir mon sexe gardant mes jambes écartées.
Content de son effet, en regardant Albane, il me demande en souriant et me me tapotant les seins d’une fine lanière de cuir :
« Prête Michèle ? Tes tétons ne te font pas trop mal ma petite chienne ?»
Muselée, je ne peux répondre.
« Tends ta cramouille de femelle ! »
Je sais à ce moment là qu’il veut étirer mes lèvres pour impressionner Albane.
« Voyons comment tes lévres intimes vont suporter ces poids ? »
Je ne peux réprimer un grognement quand il installe les poids qui étirent durement mes lèvres intimes. Les pinces me font mal et ce salop d(Alain n’a rien trouvé de mieux que d’imprimer un mouvement de balancier aux poids qu’il installe. A ce moment, je me demande bien pourquoi j’accepte ça.
En se retournant vers Albane, il lui dit :
« Tu veux aussi essayer ? Toi aussi je vais te dresser comme le désir Christophe ! Tu vas devenir, comme Michèle mon esclave sexuelle. »
Il en jubile de voir ces deux femelle à ses ordres. Moi avec le sexe maltraité par les pinces et Albane qui n’en revient pas de tant d’abnégation de ma part.
« Voyons ma jolie si mon esclave est en forme ! »
Il lui ôte les pinces et je respire un grand coup. Mais je n’ai pas le loisir de me reposer. Mon mari, en regardant dans les yeux Albane, me pétrit les seins. Je gémie cette fois de plaisir. Puis il m’ordonne :
« Ecartes plus tes cuisses salope ! »
Il entreprend de m’agacer le clitoris avec sa langue. Très sensible à cette caresse, je réagis à ses coups de langue, mouillant telle une fontaine.
Ses cunnilingus me plaisent tant surtout quand mon homme l’aspire littéralement.
L’étirement de mon bouton est la fin du plaisir qu’il veut bien m’accorder.
« C’est pas le tout Albane ! Tu as bien profité de ma femme. Mais maintenant, voyons comment suce une jeune salope sans expérience comme toi ? »
Sasissant Albane par sa crinière, il lui lance :
« Pompe ma queue et applique toi ! »
Albane, comme sur une autre planète lui répond :
« Oui ! A vos ordres Maître ! »
Aussitôt creusant les joues, telle une ventouse, Albane, sous mes yeux ébahis, aspire le sexe érigé de mon homme dans sa bouche. Elle s’applique de son mieux, redoutant la jouissance de mon mari qui, malgré tout, lui avait déjà obligée à déguster sa semence à d’autre moments.
En me regardant dans les yeux, Alain me dit :
« Elle est aussi douée que toi ! Elle apprend vite cette jeune pute ! ».
Lui tenant la tête, Alain l’oblige à aller et venir sur sa queue.
« Petite catin, suceuse de bites ! Tu plairas beaucoup à mes amis ! »
Attachée à regarder mon mari faire et pestant de perdre mon influence, Je me demande ce qu’il va bien encore inventer pour pervertir notre réunion. De les voir, j’ai une envie folle de me faire prendre. Alain rejette la gamine avant de jouire et lui dit :
« j’vais t’éclater la rosette maintenant ! »
« Non Maître ! Pas ça ! «
Albane, encore peut initié à cette pratique, comprend mais trop tard qu’elle va se faire sodomiser. Il la retourne, la tient fermement par les hanches et sa queue raide appui sur la rosette, de la jeune salope.
Elle gueule mais mon homme n’en trouve que plus de plaisir.
« Aie! C’est trop gros, ça n’entrera jamais…. Aie ! »
D’un coup de reins, Alain la défonce profondément. En me regardant, victorieux, il me dit :
« Serrée la gamine ! J’adore ! J’vais jouir dans ton cul d’esclave, salope ! »
La tenant ferme par les hanches, il lui pine le cul.
« Non Maître! Mon cul… C’est trop gros ! »
« Salope, dis moi que tu aimes ça ! » Lui dit-il en tirant sur ses cheveux.
« Aie ! Ouiiiii j’aime ça Maître ! »
Le pal lui taraude l’anus en s’accélérant.
« T’aime te faire enculer devant ma femme petite pute ! »
« Aie ! Non.. Oui j’aime être enculée. . . Oui ! »
Les cris et les paroles obscènes de la jeune soumise transcende Alain qui ne peut se retenir plus longtemps.
« Tiens Albane prend ton premier graissage de cul ! »
Alain se déverse en longues giclées de sperme dans son fondement et reste un bon moment planté au plus profond de ses entraille. Alors, il me regarde d’un air conquérant en me disant :
« Voilà un petit cul d’esclave comme je les aime ! »
Puis, en s’adressant à Albane, il lui di, tout en restant planté dans son cul :
« Ce n’est qun début ma pute ! »
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