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Un chien qui s’ignore 12

Un chien qui s’ignore 12



Je ne voyais pas la route et avait mal au cœur, trimballé de tous côtés
Elle devait me ramener chez …ma femme.
Cela faisait bizarre de me dire ça. Chez moi. Ou plutôt mon ancien chez moi.
Maintenant que Mme Laurence m’avait passé cet équipement et m’avait bien fait comprendre que c’était pour le long terme, j’imaginais bien que je n’allais pas reprendre ma vie d’avant auprès de ma femme.
Mais l’essentiel était que je m’éloigne de cette terrible Nolwenn.

La nuit tombait quand je fus sorti du coffre par la laisse. J’étais toujours nu et je grelottais. Je suivais à 4 pattes Mme Laurence, n’osant surtout pas essayant de me tenir debout. Mes couilles ballotaient de gauche et de droite et tapaient dans mes cuisses, mon collier trop à l’étroit me faisait haleter.
Elle sonna.
J’attendais, fébrile, retrouvant mon foyer, mais effrayé par ce m’attendait.

‘Assis’ m’ordonna Mme Laurence.

Sans réfléchir, j’obéis.
La porte s’ouvrit devant ma femme. Par habitude, je ne levais pas la tête, et ne vit d’elle que ses jambes.
Un éclat de rire m’accueillit. Ma position la rendait hilare : la laisse, le collier, la petite bite en l’air et les couilles reposant sur le sol.

‘Eh bien joli travail Laurence ! Ce que tu as fait est merveilleux ! Entre donc, tu vas tout me raconter’

D’un tiraillement sec sur ma laisse, je suivi, étranglé. Elle ne m’avait pas adressé la parole. Je les entendais parler de moi ou plutôt de mon dressage. Mme Laurence m’avait fait tourner sur moi-même pour montrer uniquement mon équipement dernier cri, très pratique. Elle avait cédé la laisse à ma femme qui s’était amusé à me faire marcher de long en large à travers le salon. Mes couilles les faisaient joyeusement rire. J’avais l’envie instinctive de me jeter sur les pieds de ma femme et les lécher pour montrer mon affection et espérer ma rédemption. Mais je me retenais. Je craignais sa réaction.

Mme Laurence conseilla à ma femme de me mettre dans le jardin car je n’avais pas fait mes besoins depuis le matin.
Elle lui indiqua aussi la marque de boulettes que je mangeais désormais. J’entendis un dernier éclat de rire de ma femme avant que d’un coup de chaussure dans les fesses, elle me signifia de presser le pas et referma la porte fenêtre du jardin derrière moi.
Je retrouvais le jardin ou tout avait commencé.
Combien de temps s’était écoulé ? Qu’allais-je devenir ?

Avec le froid, une envie subite de pisser me prit. Depuis des jours que je pissais dans ma cage, la seule question que je me posais était ou j’allais pouvoir faire…
Je choisis un arbre. Le jet d’urine dévié par le capuchon grillagé, m’aspergeât le torse et les cuisses. Je compris tout à coup pourquoi les chiens levaient la patte, j’en fis autant. Le jet aspergeât l’arbre. Des applaudissements me firent me retourner. Ma femme et Mme Laurence, tasses de thé à la main me félicitaient à travers la porte fenêtre du salon, hilares de mon implication toujours plus forte à devenir un véritable chien domestiqué.

Elles retournèrent vite à leur conversation et le temps que je revienne à la fenêtre toujours à 4 pattes bien sûr, elles avaient regagné leurs fauteuils et discutaient gaiement. Je grelotais de froid et mes couilles qui pendaient me faisaient mal. J’attendais derrière la vitre, n’osant pas frapper au carreau de peur de susciter un geste de colère de l’une d’elles. Je voyais bien qu’elle m’avaient vu attendre dehors, mais elles me laissaient attendre délibérément.
Qui étais je devenu pour oser perturber une discussion de ces deux femmes qui désormais régissaient ma vie ?
Finalement, ma femme vint m’ouvrir et m’indiqua du doigt un tapis où je devais rester tranquille, d’un coup de sa chaussure dans les côtes, elle me signifia d’accélérer le mouvement.

Elles retournèrent à leur discussion, pendant que je me réchauffais doucement sur le tapis. J’entendais vaguement qu’elles parlaient de moi, Rex. Ma femme avait l’air ébahie du résultat obtenu en quelques semaines. Je compris qu’elle avait hésité à me ‘reprendre’. Mais Mme Laurence l’avait persuadée. Mon salaire élevé permettait à ma femme de ne travailler qu’à mi-temps.

Et je compris que c’est ce qui l’avait motivé à m’accepter.

Mme Laurence reprenait le fil de la discussion que j’avais malencontreusement interrompu :
‘Donc tu verras au fil du temps qu’il n’essayera même plus d’ouvrir la gueule, aucun son humain n’en sortira. Le collier doit rester serré, les particules métalliques migrent dans les cordes vocales et le fabricant m’a assuré qu’en quelques mois, il ne sera pas plus bruyant qu’un poisson rouge.’

Ma femme dans un grand sourire, prit les mains de Mme Laurence et la remercia, émue de tant de dévouement de son amie.

‘Tu verras, il ne te posera pas de problème. Il est devenu docile et craintif après ce qu’il a reçu comme corrections. Tu as bien commandé la cage que je t’ai conseillée ?

Ma femme répondit qu’elle l’avait fait installer dans son placard à produits ménagers, sous l’escalier. Elle s’étonnait de la petitesse de ma niche.

‘Oui ça fait partie de son éducation. La cage l’apprend à se tenir à notre disposition. Le sortir de sa cage est déjà une grande récompense pour lui. La tienne est plus courte que celle qu’il connait déjà, ça ne le rendra que plus affectueux quand tu le sortiras.’

Elle parlait de moi comme si je n’étais pas là ou si je ne comprenais pas ! Pourtant je frémissais en entendant leur discussion sur mon avenir. Moi qui avais doucement espéré une amélioration de mon sort…
Mme Laurence continuait :

‘Et puis ce modèle est très pratique. Tu m’avais dit tu ne voulais pas t’occuper d’un chien de plus à la maison. Avec cette cage, quand tu pars quelques jours, le compartiment avec la gamelle s’ouvre une fois par jour à l’heure que tu programmes. Il a juste la place de glisser la tête pour atteindre ses croquettes préférées. L’entonnoir avec la réserve lui permet de prendre 7 repas. Tu peux partir tranquille une dizaine de jours. Et hop au bout de dix minutes, le système fait 3 petits bips et la porte retombe et se bloque. Le constructeur Suisse me l’a garanti 2 ans.’
-Super dit donc ! Et comment il fait pour chier ?
-Là aussi tout est prévu : comme la niche est petite, son cul se situe toujours à la même place. Une partie du sol est grillagé, le reste est incliné comme pour un bac de douche et les merdes et la pisse de ton Rex tombent au fond. Après c’est plus technique, il m’a dit qu’une résistance séchait tout pour réduire le volume, si j’ai bien compris.
-Beurk ! Bonjour les odeurs ! Comment il peut respirer là dedans ?
-Ah tu sais ; il est habitué maintenant. Au début, même ses croquettes il n’en voulait pas. Maintenant faut le voir se jeter dessus, même dans une odeur de merde !

Ma femme tourna la tête vers moi : ‘ Dire que j’ai été marié avec ça !’

-Mais tu l’es toujours ma grande ! Penses à son compte en banque et son salaire qui tombe ! Comment aurais tu acheté sa niche ? Et sa ceinture spéciale inox ? Tu sais combien ça coûte ? Et puis, vois les avantages. Tu es libre ! Libre de dépenser son argent pour t’envoyer en l’air ! Finis les costumes 3 pièces, les chemises et les pompes pour monsieur, les restaurants avec ses poules, ses sorties en semaines ! Aujourd’hui, un coup de tondeuse de temps en temps pour raser tous ces poils et cette crinière répugnante, une douche au jet une fois par semaine et voilà ! Ca ne va te couter que 50 kg de croquettes par mois et les chaussures, il en a pour la vie !’
Elles éclatèrent de rire !
Je n’osais plus bouger une oreille. Je me sentais de plus en plus m’enfoncer dans le sol.
Mon collier si serré n’était décidément que le symbole de ma nouvelle vie de chien asservi.

‘Oui tu as raison, Laurence ! Merci de m’avoir ouvert les yeux ! Mais sa présence m’est difficile, ça me rappelle trop de mauvais souvenirs ! Et puis entre Toby et mon travail, je n’ai pas besoin d’une charge en plus !

Mme Laurence, manifestement ravie de ses achats renchérissait :

-C’est vraiment un produit de luxe pour une raclure pareille je suis d’accord. Mais pour ton confort d’utilisation tu vas voir, tout est pensé. Imagines que tu es partie une semaine avec ton nouveau mec et Toby vous bronzer dans les calanques.
(Ma femme retrouvait le sourire) Tu reviens. Ton Rex t’attends sagement, avec sa ration de croquette, bois son eau à son distributeur. Sa merde remplit le fond du tiroir. A l’intérieur, l’odeur est épouvantable. (rires) A l’extérieur : rien ! Pas une odeur dans la maison. Le caisson de la niche est complètement étanche. Enfin je te rassure, l’air est renouvelé pour qu’il puisse respirer juste ce qu’il faut. Si tu décides de le faire sortir ou de remettre des croquettes dans le distributeur pour repartir 10 jours (rires), pas de problème. Tu appuis sur le bouton ‘ventilation’ et hop un ventilateur renvoie toutes ces mauvaises odeurs à l’extérieur. Tu vides sa litière et c’est reparti !
-Génial
-Attends ce n’est pas tout. La matière en plexiglas en plus de couper les odeurs et la lumière du jour coupe aussi tous les sons. Ton chien a beau grogner ou griffer les parois s’il a trop faim, tu n’entendras rien !
-Là tu m’as convaincue. C’est vrai que mon mec sait que je suis mariée, mais de là à lui expliquer ce qu’il y a dans cette drôle de boite…

Elles éclatent de rire en se rejetant en arrière, se resservent un verre et continuent :

– Attends ! Le top du top ! Le système est équipé d’une connexion !
– Et alors ?
– Tu peux le joindre sur ton portable. Tu es sur la plage, tu appelles ton Rex que finalement tu rentreras dans 3 trois jours, tu peux l’entendre geindre de tristesse. Enfin si tu ne lui as pas mis sa muselière !
Nouvel éclat de rire.
– Hum ça me donne des idées ça !
– Dis moi voir si c’est la même que moi !
– Évidemment que c’est la même, je te connais ma cochonne ! Je vais appeler mon petit Rex, dès que la soirée va devenir chaude. Et ce soir, avec la petite robe en cuir que mon Rex m’a payée si gentiment, mon mec va n’exploser le matelas en plus de mon cul. Mon Rex va être branché en direct, sa petite queue va être bleue de douleur ! Et avec mon mec, ça peut durer très longtemps !
– Ah voilà ! Je préfère te voir comme ça ! ‘

Mme Laurence se releva du canapé, rajusta son tailleur sur ses courbes délicieuses et leva tout à coup la voix, ce qui me fit relever la tête :

‘Allé Rex, je dois partir.
‘J’ai d’autres chiens à fouetter’

Les deux femmes se tenaient par les bras riant et s’embrassant.

‘Viens remercier ta maitresse de te garder à la maison !

Je me jetais aux pieds de maitresse femme et léchais vigoureusement ses talons et ses semelles.
J’entendis ma femme ou plutôt ma maitresse s’exclamer :’ C’est prodigieux’.

Heureux, j’en profitais pour lécher sa cheville. Mais déjà ma maitresse femme avait repris les choses en main. Elle tirait la laisse et m’entrainait vers le fameux placard.
Je découvris une boite opaque, sur roulettes, équipée d’un tiroir bas et d’un sas à l’avant de la niche en elle-même. Un coup d’escarpin dans les couilles pendantes me rappela à l’ordre et je reculai pour rentrer à reculons dans cette boite exigüe. Plusieurs coups de pieds furent nécessaires pour me faire reculer. Mais je paniquais complètement à voir les dimensions exigüe de ma nouvelle cage : l’autre en acier était petite mais pas à ce point. Les parois en plexiglas étaient épaisses de plusieurs centimètres, j’avais peur de finir étouffé dans cette boite complètement étanche. Je me rappelai les paroles de Mme Laurence et je gémissais.
Enfin pour moi je criais ‘non, non’ mais mon collier m’étranglait et une plainte aigue et ridicule sortait de ma gorge. Les deux femmes me lançaient maintenant des coups violents de leurs chaussures. La chaine de ma laisse fut ôtée et Mme Laurence s’en servit comme d’un fouet sur le dos.

‘Tu vois, son éducation est encore trop récente’, Mme Laurence arrêtait ses phrases entre chaque coup ’Je te conseille de le laisser dans sa cage un bon moment, ça le recadrera’. Je reculai finalement le dos en feu, tremblant de peur, perclus de douleur. Mes fesses butèrent contre le fond de ma tombe et aussitôt, le couvercle du sas coulissa pour se refermer peu après la porte d’entrée de la niche. J’eus juste le temps d’entendre ‘Assez joué, je dois faire faire la promenade de Tob..’

Je n’entendis plus aucun autre que ma respiration haletante. Je sentais qu’on roulait la niche pour la remettre en place. Le noir complet régnait.

Puis tout à coup je sursautais : un haut parleur au dessus de ma tête grisailla
‘Bonne nuit mon Rex, fais de beaux rêves !’ Le haut parleur s’arrêta sur deux éclats de rire des deux femmes qui désormais contrôlaient tout de moi et que je rêvais de lécher sur tout le corps en commençant par leurs escarpins.

Un nouveau grésillement : ‘Tu n’as pas été sage, alors je te laisse dans ta petite boite si pratique et je vais réfléchir si je te garde, sinon ça sera la SPA !’ Nouveaux éclats de rire interrompus.

Je fus pris de peur panique dans ce noir absolu. Mes fesses appuyées contre la paroi du fond et le plafond, mon tête, abaissées par le plafond touchait le sas rabattu, mes épaules touchaient quasiment chaque paroi. J’éclatais en sanglots, tremblant de tout mon corps. Je tapais de mes pieds au fonds et de mes mains le sol, un bruit mat et étouffé me répondit.

A suivre

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