-Quelle salope tu fais !
-Allez au boulot, je t’attends dans ton bureau. Fais vite.
La brute, excitée et impatiente, attrapa ma laisse et me tira vivement vers un treuil électrique. Je fus vite sanglé par la taille de mon ceinture de chasteté et levé du sol. Je me retrouvais la tête et les bras en bas, plié en deux. Mes pieds furent reliés entre eux par une sangle qui passait dans mon dos, m’obligeant à replier mes cuisses. Ma respiration s’accéléra devant cette nouvelle épreuve, mon cul et mes couilles plombées étaient dangereusement exposés.
Il actionnait le treuil pour me placer à bonne hauteur. Je tournais autour du câble comme un sac inerte attendant qu’on le dépose quelque part.
Il partit dans un coin et brassait des ferrailles. Une chaleur soudaine et inquiétante me monta aux narines. Soudain je compris !
Je connaissais cette odeur : le fer qu’on chauffe. Je tentais de remuer stupidement, de me faire descendre de ce câble.
J’entendis son pas lourd revenir, la chaleur augmentait avec cette odeur entêtante.
D’un gant épais de cuir, il m’attrapa la cuisse gauche pour bloquer ma rotation et malgré mes mouvements désordonnés de panique, m’appliqua un fer incandescent sur la fesse gauche et le maintint enfoncé. J’ouvris la bouche à m’en décrocher les mâchoires, sans son, pendant que mon cul brûlait dans une odeur épouvantable de cochon grillé. Mon cœur décrocha et je tombais dans les pommes.
Quant je revins à moi, j’étais couché sur le ventre. Une douleur atroce me cuisait toute la moitié inférieure du corps. Je ne bougeais pas. Mes sens revenaient à moi petit à petit.
J’avais encore en tête cette atroce odeur de ma peau qui brûlait. Je m’aperçus que j’étais immobilisé en travers d’un établi. Ma laisse était coincée dans un étau sous mon menton et mes jambes étaient liées aux pieds opposés de l’établi. Mes pattes avant équipées de leur moufle étaient bloquées dans l’étau, bras croisés, comme un chien au repos…
Le heavy métal sortait toujours de la radio. Maitresse Nolwenn et la brute étaient dans le bureau, je les entendais baiser violemment. Elle criait comme une bête et l’incitait à augmenter la cadence. Malgré la douleur qui me cuisait, j’étais très excité d’entendre ce corps de rêve en train de jouir.
Au bout de quelques temps, ils se calmèrent. Je vis la brute sortir du bureau en remontant sa salopette noirâtre sur son torse noueux. Son buste musclé était recouvert de tatouages. Il s’approchait de moi encore essoufflé de sa prouesse.
– ‘Alors bite molle on est réveillé ? C’est Nolwenn qu’a eu l’idée de t’installer comme ça. Bon maintenant tu vas te rendre utile.’
Il fit descendre les bretelles de sa salopette qui retomba sur ses chaussures et s’approcha tout prêt de moi. Sa bite se trouvait au niveau de mon visage encore gonflée de plaisir. Une forte odeur de sueur et de sperme se répandait.
J’ouvris la bouche en grand et il enfourna sa queue visqueuse.
-‘Nettoies moi tout ça bite molle, il parait que t’en raffole ! ‘
Sa bite reprenait déjà du volume et se raidissait contre mon palais. La sueur et le sperme se mélangeaient dans ma bouche et ma gorge.
-Alors qu’est ce que tu en dis ? Une vraie pute à bite, non ?’
C’était la voix de maitresse Nolwenn qui sortait du bureau, complètement nue excepté sa paire de bottes qu’elle avait rechaussées. Malgré le bassin de la brute qui maintenant me baisait la bouche à grands soubresauts, je pouvais voir ce corps magnifique aux seins lourds brillants de sueur qui approchait nonchalamment vers nous.
L’établi supportait en grinçant les coups de boutoir de l’homme qui main derrière ma nuque, enfournait ma gorge. Mes yeux larmoyant ne quittaient pas des yeux maitresse Nolwenn rayonnante qui se tenait à coté de nous.
– ‘Oui, une sacré pompeuse !’souffla t-il entre deux gémissements de plaisir
– Maintenant que Rex a bien nettoyé ta queue, tu vas pouvoir m’en remettre un coup. Mon cul est encore tout dilaté !
– Tu es vraiment la reine toi !’
Il se retira dans un flot de bave et sa bite se redressa à la verticale énorme écarlate. Je reprenais mon souffle, le nez et la bouche englués. Maitresse Nolwenn se retourna et s’appuya sur mon dos, jambes écartées au sol, cul cambré. L’homme ne se fit pas prier et encula d’un coup ce cul offert. Nolwenn reprit ses gémissements au dessus de moi, , ses seins écrasés sur mon dos. La brute l’enculait si fort que l’établi tremblait. Nolwenn avait sa chatte juste au dessus de mon crâne lisse, elle mouillait abondamment et sa liqueur ruisselait jusque dans mes yeux rougis. Ses cuisses se balançaient en rythme juste devant mes yeux avec ses bottes qui brillaient, magnifiques entre les chaussures de la brute, recouvertes de sa salopette.
Celui-ci la fessait et la traitait de pute. Ses coups violents n’en finissaient pas. Nolwenn maintenant hurlait. Ses ongles me labouraient le dos, ses seins brulant pointaient dans mon dos. J’offrais mon dos à leurs ébats. Les couilles venaient claquer contre le cul de maitresse Nolwenn qui ruisselait sur mon visage.
Je jouis comme on peut jouir le sexe écrasé et bridé par une grille métallique, les couilles lestées par un tube d’acier : je sentis un soubresaut soudain dans mon ventre puis une douleur aiguë quand mon gland tenta de forcer la grille. Mes couilles furent douloureuses, comprimées et tiraillées. La douleur remplaça vite une jouissance furtive. Et pourtant, j’étais le plus heureux des …chiens à sentir la peau de maitresse se frotter contre la mienne, jamais elle ne m’avait fait un tel cadeau. J’en oubliais ma fesse gauche incandescente qui je l’appris plus tard portait désormais l’inscription au fer : ‘REX chien à bites’.
Eux continuaient à labourer mon dos et m’écraser sur l’établi. Maitresse Nolwenn ruisselait sur moi. La brute finit, dans un dernier soubresaut violent, par jouir bruyamment. Maitresse Nolwenn descendit de mon dos, jambes tremblantes et alla se rhabiller dans le bureau, pendant que je devais encore une fois nettoyer le sexe de la brute. Il se soulagea dans ma bouche et je dus avaler toute son urine écœurante sous ses insultes.
Je fus finalement détaché et nous quittâmes cet atelier démoniaque et son tourmenteur pour rejoindre à nouveau le fourgon.
Je souffrais énormément dès que je bougeais mes cuisses. Heureusement ma maitresse était elle aussi épuisée des assauts violents qu’elle avait subis.
Sa démarche était moins assurée après ses enculades. Mon sexe gonflait encore douloureusement en pensant à son cul dilaté.
J’aurais tant aimé le nettoyer de ma langue servile, récolter sa sueur et le sperme de son enculeur.
Mais maitresse Nolwenn l’avait si bien rappelé : mon seul contact avec les femmes se résumait à lécher leurs chaussures.
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