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Une journée qui commence bien… la suite

Une journée qui commence bien… la suite



Sophie ayant narré la première partie, laissons le soin à Jean de nous raconter la suite :

Sophie était venue se blottir dans mes bras, comme elle aime le faire après que nous ayons fait l’amour. Nous n’étions plus que tous les deux, et Christophe et Chloé eurent la délicatesse de nous laisser ce moment d’intimité.
Nos nouveaux « amis » ayant quitté la chambre, nous avons encore paressé un peu de temps l’un contre l’autre. Sophie s’était nichée dans le creux de mon bras, et je l’embrassais tendrement dans les cheveux, en lui susurrant que je l’aimais. Puis, ce moment d’intimité passé, Sophie est allée à la salle de bain pour se rafraîchir. L’eau s’est mise à couler dans la douche et je me suis retrouvé un peu pantois, plein d’images se télescopant dans ma tête : le joli petit abricot et la langue si douce de Chloé, Sophie se faisant prendre pendant qu’elle me suçait, Sophie et Chloé s’occupant de ma queue, Sophie en plein orgasme sous les coups de queue et de langue appartenant à d’autres que moi, devant moi…
Notre partie de jambes en l’air ne m’a pas apaisé pour autant. Mes pensées et mon sexe appellent de nouveau les caresses. J’ai très envie de faire l’amour à ma femme, lui montrer que je l’aime et que je la désire plus que tout. Je prends rapidement sa place dans la salle de bain en lui disant qu’une douche glacée me fera le plus grand bien. Elle me rend un sourire malicieux, donne une petite tape sur ma queue dressée, puis me dit de vite sortir pour éteindre le feu qui couve encore en elle. Cet aveu n’est pas pour me calmer…
À peine séché, je la rejoins dans la chambre et je m’arrête net. Elle est là, allongée sur le lit, nue, un grand sourire aux lèvres, un doigt décrivant des cercles langoureux sur son clitoris. Sophie me fait signe de la rejoindre et je me jette immédiatement sur son entrejambe, plongeant ma langue dans son puits d’amour sans autre caresse préalable. Ce geste a pour effet de lui faire pousser un petit cri, que nos voisins ne peuvent pas manquer d’entendre. Ses mains appuient ma tête fortement sur son mont de Vénus et ma langue la fouille de plus en plus intensément. Malgré mon impatience, je m’efforce de bien effectuer mes mouvements de langue pour donner du plaisir à ma femme. Je parcours ses lèvres ouvertes et son clitoris, je descends jusqu’à son petit trou et le titille du bout de la langue… des chants de plaisir sortent de sa bouche… elle est au bord de l’explosion et se redresse.
Je suis surpris, mais elle m’explique que son petit corps ne tiendra pas longtemps et qu’elle ne veut avoir qu’un seul orgasme avant de s’endormir. Mon sexe est en pleine forme et elle s’en empare pour le branler lentement. Elle me tire tendrement à elle afin que je la pénètre rapidement. Au bord du lit, je me mets à genou par terre et écarte impudiquement les jambes de Sophie et je la pénètre, emporté par une folie voluptueuse. Elle pousse des gémissements, heureuse d’être enfin comblée.
J’accélère le rythme et les émanations vocales et les mouvements de bassin de Sophie trahissent une jouissance proche. Elle relève les jambes sur mes épaules et me supplie de la prendre plus fort. Je m’exécute et la possède plus fermement. Sa tête est tournée sur le côté, les yeux clos, les mains crispées sur les draps, quand soudain ses bras me bloquent pour que je reste fiché au plus profond d’elle. Aucun cri ne sort… elle est trop contractée par le plaisir qui la submerge. Je reste sans bouger, la queue palpitante et serrée dans son vagin. Elle ouvre les yeux et s’excuse de ne pas avoir pu attendre ma jouissance… ce n’est pas grave, j’adore la voir jouir… elle me repousse et me couche sur le dos, et, avec le sourire de coquine qui lui va si bien et qui me rend fou, elle se positionne face à moi, entre mes cuisses, et se saisit de ma queue à deux mains.
– C’est pour moi qu’elle est grosse comme ça ? minaude Sophie avec son sourire diabolique
– Pour qui veux-tu que ce soit ? répondis-je en caressant sa nuque avec ma main.
– Ben je sais pas… Chloé peut-être…
– Non, c’est pour toi… mais c’est vrai qu’elle est excitante… on peut l’appeler si tu veux…
Sans répondre et sans se départir de son sourire de coquine, Sophie empoigne mon sexe pleinement lubrifié par sa mouille et me masturbe tendrement et lentement, gémissant légèrement.
– Mais toi aussi, tu es bien excitée…
– Ben oui… c’est excitant…
– Me branler ? C’est pas plutôt m’avoir sucé avec Chloé qui t’excite ?
– Mmm… peut-être…
– Ou c’est te faire prendre par Christophe ?
– Mmmm… peut-être aussi…
– Ça t’a plu, hein, te faire prendre par Christophe pendant que tu me suçais…
– (dans un souffle) Oui
– Avoir deux queues pour toi, bien dressées, bien grosses…
– (dans un murmure langoureux) Ouii
– Partager mon sperme avec une p’tite salope…
– Mmmm… ouiiii…
– T’as aimé, hein
– ouiiii… deux bonnes queues pour ma chatte et ma bouche… et une p’tite salope pour me lêcher… mmmm c’était bon…
Mon plaisir monte et je le lui fais savoir. Sophie me lèche alors les couilles et accélère le mouvement de sa main. Les premiers jets du dernier orgasme de la journée fusent. Je me répands abondamment sur mon ventre les yeux clos, serein mais épuisé par ce marathon de sexe que nous venons de pratiquer. Les petits coups de langue sur mon gland me sortent de mon apaisement… Sophie apprécie peu de faire ce genre de chose après ma jouissance, mais elle est tellement épanouie, qu’elle se laisse aller et m’embouche afin de nettoyer mon sexe. Je suis au paradis. Elle repose ma queue ramolli sur mon bas-ventre, remonte m’embrasser, et se colle à moi pour s’adonner à un repos bien mérité.

Quelques bruits dans le couloir me réveillent. Il doit être 11h00 et j’ai dormi comme un bébé. Contre moi, Sophie, nue, est encore endormie. Je la regarde… le drap a bougé et laisse à découvert sa poitrine. Je ne peux m’empêcher de la caresser du bout des doigts, remonter de sa cuisse jusqu’à sa nuque, en m’attardant sur ses fesses et ses reins. Des bruits et des gémissements viennent de la chambre voisine et je pense que les filles et Christophe doivent bien s’amuser. Mon érection du matin est amplifiée par les petits cris que j’entends. J’interromps ma caresse et dresse l’oreille. Je perçois le souffle rauque de Christophe et le bruit du sommier frottant contre le mur. Une des filles laisse aussi échapper des feulements plus aigus, ce qui m’excitent au plus haut point. Ce doit être Tiphaine. Elle doit recevoir les hommages de Christophe… ou de Chloé… ou des deux. En tout cas, le plaisir qu’elle prend est parfaitement audible… et très excitant. Il me semble ensuite discerner les claquements des deux corps à un rythme assez soutenu… mais c’est peut-être mon imagination.
Je ferme les yeux et le corps nu de Chloé apparaît. Elle est sur le dos en bord de lit, les jambes impudiquement écartées et Christophe la pénètre sauvagement, tandis que la langue de Tiphaine s’active sur son clitoris. Les râles se font de plus en plus sonores. J’ouvre les yeux et je m’aperçois que je suis en train de me caresser… ma main n’est pas restée inactive. Je bande comme un âne. C’est Sophie qui va être contente ! Elle aime que je lui fasse l’amour au réveil… elle y prend un plaisir fou… peut-être trouve-t-elle que mon sexe est encore plus gros ou plus dur que d’habitude…
Je me penche vers elle et embrasse doucement ses seins, puis, sentant sa respiration s’accélérer, je les dévore sans retenue. Tantôt aspirant les tétons, tantôt les mordillant, Sophie halète bien vite sous mes coups de langue. Elle ne dormait pas ! Elle me sourit et se tourne sur le côté, dos contre moi, prend une de mes mains et la glisse entre ses cuisses. Son petit chat est déjà tout humide et mon doigt n’a aucune difficulté à le pénétrer. Les yeux fermés, elle se saisit délicatement de mon sexe tendu contre sa cuisse. D’abord, ses doigts glissent le long de ma queue dure, du gland jusqu’au ventre. Puis, ils passent en dessous et flattent mes couilles à nouveau prêtes à produire leur semence. Enfin, la main empoigne ma colonne de chair et se met en branle lentement. L’objet de son désir doit lui sembler à son goût dans sa petite main puisqu’elle me chuchote :
– Tu bandes fort ce matin, mon chéri. Ce sont les p’tits jeunes à côtés qui te mettent dans cet état ?
Pour toute réponse, je lui mordille la nuque et malmène son sein. Elle se cambre et m’attire en elle. Sans jamais l’avoir lâché, elle place mon sexe à l’entrée de son intimité brûlante. Elle me laisse glisser mon membre en elle. La pénétration lui arrache un soupir de plaisir et je me retrouve avec bonheur plongé dans une douce moiteur. Son vagin est un sanctuaire de velours, de chaleur. Sophie prend appui sur un coude et se met à onduler du bassin. Ma queue coulisse entre ses lèvres de plus en plus vite, de plus en plus profondément. Je suis tendu au maximum. Des gémissements sortent de sa bouche de plus en plus fort… elle va alerter les autres si elle continue ainsi. Je sens qu’elle est prête à jouir et je glisse une main sous elle afin de jouer avec un de ses seins. Je fais rouler son téton qui pointe entre mes doigts, ce qui déclenche de nouvelles envie. Ses fesses viennent taper violemment contre mon pubis, tant elle se cambre et jette son petit cul vers moi. Elle se laisse transporter par le plaisir, contracte ses chairs autour de ma bite et stoppe tout mouvement… un long feulement s’échappe de ses lèvres, signe qu’elle vient d’être terrassée par une jouissance intense.
J’attends qu’elle reprenne ses esprits et recommence des va-et-vient lents et profonds. Elle recommence à gémir quasi immédiatement. Je profite de son excitation pour la mettre à quatre pattes et présenter un doigt à l’entrée de son petit cul. Elle ne cherche pas à se soustraire à la caresse, et je masse langoureusement l’anus qui s’ouvre sous mon doigt. Ma queue pénètre profondément et ressort entièrement à chacun de mes lents coups de reins. Une phalange s’insinue doucement. Sophie se cambre un peu plus, pour faciliter la pénétration, et aspire mon doigt en ondulant du cul. Je la connais, elle en demande plus. Je sors mon doigt avant de le lui enfoncer à nouveau jusqu’à la garde. Ma bite continue son lent travail, explorant toutes les parcelles de la chatte en fusion. Le cul bien en l’air, Sophie laisse reposer maintenant son visage sur ses avants bras. Je sais ce que cela signifie, mais attend qu’elle me le dise, faisant durer son supplice. N’y tenant plus, elle me demande de venir dans son petit trou. Je sors de sa chatte trempée ma queue bien lubrifiée, m’en saisis à pleine main et la guide sur sa rondelle palpitante. Je force un peu le passage et mon gland rentre lentement. Je fais une pause le temps que ma belle s’habitue à ma grosseur et, à sa demande, je continue ma progression jusqu’à ce que ma queue soit bien en place. Sophie pousse alors doucement dessus pour terminer la pénétration.
Elle rejette la tête en arrière, le plaisir semble à nouveau monter en elle. Je place mes mains sur son petit cul, écarte ses fesses, et je vais et viens. A sa demande, j’accélère le rythme et l’amplitude. Elle se met à gémir, puis laisse échapper de petits cris. Elle va venir, elle va jouir, elle me demande d’y aller toujours plus vite et plus fort. Je sens ses fesses collées contre mon pubis, je ne peux pas aller plus profond en elle. Je la sodomise à fond. Elle aime ça et me le fait savoir. Elle se tend sur ma queue, serre ses muscles, je l’entoure de mes bras, mains calées sur ses seins, et elle jouit brusquement.
Elle met un moment à reprendre ses esprits, mais les mouvements de ma queue dans son petit cul la font revenir. Je prends une de ses jambes et la relève, écartant ses cuisses volontairement. Elle comprend le message immédiatement, et glisse sa main gauche vers sa petite chatte délaissée. Elle y fait entrer un doigt, vite rejoint par un deuxième. La sensation de mouvement sur mon sexe à travers la fine paroi qui nous sépare est extraordinaire. C’est la première fois qu’elle agit ainsi, la première fois qu’elle se pénètre pendant que je la sodomise. C’est bon…
Sophie se remet à gémir. Elle m’accompagne et m’encourage à venir, donnant de grands coups de reins en arrière. Je sens ses doigts dans sa petite chatte qui remuent. Elle ne se caresse plus, mais se branle frénétiquement. Son nouvel orgasme a raison de moi. Je sens mon gland gonfler et doubler de volume. Je me retire subitement et j’explose sur son dos encore secoué de spasmes violents. Nous nous écroulons et on reste là, l’un contre l’autre, sans se soucier du temps qui passe. Elle m’avoue qu’elle vient de prendre un plaisir énorme, et qu’elle a joui analement et vaginalement.

De la porte de la chambre, trois têtes souriantes nous regardent…
– Vous venez ?

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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