Je m’appelle Laurent.
Ma belle-mère bosse en tant que responsable des stocks d’un entrepôt alimentaire. Je vais parfois l’aider dans des coups de bourre, à porter des caisses, ce genre… Il faut dire que je suis plutôt costaud, 1m85, 90 kilos de muscles très légèrement enrobés.
Ce jour, c’était une fin d’après-midi d’un vendredi, j’étais allé aider. Puis j’étais rentré chez moi… mais une fois sur place, je m’étais rendu compte que j’avais oublié mes clefs de maison. J’étais donc retourné à l’entrepôt pour les récupérer. J’espérais que ma belle-mère y serait encore. Et de fait, l’entrepôt était encore ouvert. Je rentrais et commençais à chercher mes clefs… C’est alors que j’entendis des voix venant des stocks. Par curiosité, j’allais voir…
-Non, arrête, Roger, ça suffit.
C’était la voix de ma belle-mère, elle était comme embarrassée.
-Bah ! Allez Simone, t’en as envie, ça se voit. Et là y’a plus personne.
Là c’était la voix de Roger, un employé de l’entrepôt.
Intrigué, je jetais un œil en catimini, caché derrière un rayonnage de denrée… et ce que je vis me paralysa :
Roger, la soixantaine sèche, tripotait carrément ma belle-mère, qui s’en défendait faiblement. Ses mains pressaient ses gros seins au travers de son chemisier, il l’embrassait dans le cou :
-Non Roger, tu es marié, ce n’est pas bien, protestait mollement ma belle-mère. Tu es marié, et puis je dois rentrer.
-On s’en fout de ma femme, on est bien là, non ? négociait Roger, avec ses mains qui pressaient maintenant le gros cul de ma belle-mère.
Ma belle-mère avait 56 ans et des formes bien girondes. Gros cul, gros seins, et pas très grande. Elle était brune, coupé mi court. Et là elle rougissait sous les essais de Roger. Cela me choquait… mais en même temps cela me fascinait. Je n’aurais jamais pensé voir ma belle-mère si sage dans ce genre de situation. À ma connaissance, il n’y avait pas d’homme dans sa vie depuis plusieurs années, et ça ne l’intéressait plus.
Je restai caché, à observer.
Roger se montrait vraiment entreprenant, dans son genre. Il sortit carrément sa bite de son pantalon pour montrer à ma belle-mère comme il bandait… et il bandait fort, en effet. Sa verge était longue, épaisse et gonflée, surgissant d’une masse de poils grisonnants. J’en restais estomaqué… et ma belle-mère aussi, elle rougit :
-Tu es fou, Roger, arrête !
-Allez, ça te plait Simone, tu la dévores des yeux, ma bite.
Ma belle-mère ne savait plus où se mettre, et Roger enchaîna, en la mettant à genoux plus ou moins de force :
– Dévore-la avec ta bouche, plutôt. Ça fait combien de temps que t’as pas sucé un mec hein ? Vas-y, tu la veux ça se voit.
Ma belle-mère rougissait de plus belle, perdue, à genoux face à cette grosse bite :
-Oh Roger, non, ce n’est pas bien…
C’était très faible comme dénégation. Ma belle-mère aimait-elle se faire ainsi un peu forcer ? Cela me captivait… et en même temps ça commençait à m’exciter !
La tenant par l’arrière de la tête, Roger lui mit sa bite dans la bouche. Et sous son emprise ma belle-mère le suça. D’abord timidement, mais, entendant manifestement les râles de bonheur de Roger, elle le fit ensuite avec plus d’application. Elle le pompait bien, salivait sur son gland, léchait les bords gonflés de sa bite, léchait ses couilles… waa putain ! Ma belle-mère suçait un gars comme une salope ! Caché derrière mon rayonnage, j’avais une érection.
-Ho ouais, t’es bonne Simone, disait Roger. Tu caches bien ton jeu mais t’es une bonne suceuse en vrai !
Il bandait comme un âne dans sa bouche, faisant des va et vient entre ses lèvres qui bavaient. T’es une bonne salope !
Ces derniers mots choquèrent manifestement ma belle-mère – et moi aussi ! – et elle s’écarta de lui :
-Oh non Roger, me dis pas des choses comme ça, ce n’est pas bien !
Je ne pouvais néanmoins rater qu’elle ne disait ça que pour la forme. Ma belle-mère était-elle toute excitée, en vrai ? Roger ne s’y trompa pas :
-Ok je dirais plus des choses comme ça… mais mets-toi à l’aise, déjà.
-Oh non, non, arrête.
Ma belle-mère avait beau protester – très mollement – elle se laissa déshabiller par Roger. Il lui ôta son chemisier et son soutien-gorge, dévoilant ses gros seins blancs, lourds, qui tombaient un peu sur son petit bide de vieille. Puis il défit carrément le pantalon de ma belle-mère et le baissa en même temps que sa culotte ! Putain je voyais ma belle-mère à poil ! Elle avait des fesses bien volumineuses, tremblantes de cellulite çà et là, et… waou !… un pubis très poilu, une vraie jungle !
Le cœur battant, je ne pouvais m’empêcher de malaxer ma bite dure au travers de mon pantalon.
-Voilà, t’es bonne comme ça Simone, dit Roger en remettant ma belle-mère à genoux avec son pantalon et sa culotte aux chevilles. Suce-moi encore, maintenant.
Dominée, ma belle-mère obéit et engouffra sa bite dans sa bouche.
De là où j’étais, je voyais son gros cul cambré, et les poils de sa chatte entre ses jambes agenouillées. N’y tenant plus, je me déboutonnais et me masturbais. C’était fou de voir sa belle-mère comme ça, à poil, en train de sucer un vieux !
-Ouais, haaaa, tu suces bien ! commentait Roger, en mettant des coups de reins dans la gorge de ma belle-mère. Elle bavait, salivait sur sa queue, le suçait du mieux possible, tandis qu’il commençait à lui palper les fesses en tendant le bras…
… et c’est là qu’il me vit.
Nos regards se croisèrent, tandis qu’il se faisait sucer par ma belle-mère dénudée… et moi j’étais en train de me branler ! Ce moment d’angoisse me sembla durer un siècle…
Mais finalement Roger fit comme si de rien n’était – du moins par rapport à elle :
-oui, haa, c’est bon ma cochonne, dit-il… et en même temps il me fit signe de m’approcher d’un air complice.
Ce mec était-il fou ? Il enjoignait le propre gendre de la femme qui le suçait à venir ?… en même temps je me branlais, là, signe que tout ça m’excitait… et de toute façon, après une brève hésitation, j’obéis timidement.
Mais quel con ! Qu’est-ce que je faisais, là ? Ma belle-mère à poil suçait ce gars, si elle me voyait bite à l’air à côté, ce serait le drame !
Roger me rassura d’un index amusé posé sur ses lèvres. « Chut ». J’obéis, je ne dis rien, et continuais de me masturber derrière le superbe gros cul de ma belle-mère. Elle le suçait toujours avec application, pompait son gros dard comme une chienne. Moi-même j’avais une belle vue sur sa chatte, d’autant que
Roger la fit se cambrer en lui appuyant un peu sur le bas du dos : Ma belle-mère mouillait grave, elle était trempée, ça dégoulinait le long de ses cuisses. C’est qu’il l’avait excitée, le salaud !
Et moi j’en pouvais plus d’excitation, non plus ! Quelle bonnasse, ma belle-mère !
-Oh oui c’est bon, ma salope, dit Roger dans un clin d’œil fou vers moi, donnant le rythme sur sa bite à la bouche de ma belle-mère avec une main. T’aimes ça, la bite hein !?
-mhmmm mhmmm mhmmm, ne pouvait que répondre ma belle-mère, en pleine fellation. Je voyais
Roger la doigter en même temps, et elle tortillait son gros cul de plaisir, dégoulinant de mouille sur sa main. Ma belle-mère était vraiment une salope !
Roger cessa de la doigter pour lui prendre une main et me fit signe d’approcher… Toute cette situation était totalement surréaliste ! J’obéis néanmoins, surexcité…
… et il mit alors la main de ma belle-mère sur ma bite qui bandait !
-Mhmmm mhmmm ? paniqua un peu ma belle-mère, de trouver soudain une seconde bite dans sa main, alors qu’elle avait déjà celle de Roger en bouche. Elle voulut se retourner, mais Roger l’en empêcha en la retenant bien face à lui pour continuer de le sucer. Un filet de bave de ma belle-mère tomba au sol. Elle ne devait plus savoir où elle en était, elle ne savait pas le sexe de qui elle touchait présentement.
… mais ça ne l’empêcha pas de commencer à me masturber…
Oh bonheur ! Oh folie ! Ma belle-mère me branlait sans même savoir que c’était moi ! Sa main devenue ferme faisait de rapides allers retours sur ma bite, je me sentais devenir de plus en plus gros !… Je suis d’ailleurs particulièrement bien membré, presque « trop bien », j’ai une bite d’âne, qui, en érection a une longueur et une largeur incroyables… La main de ma belle-mère ne pouvait d’ailleurs pas en faire le tour pour me masturber, mais cela ne l’empêcha pas de continuer, tout en suçant Roger… Etait-elle excitée par sa taille ? Sans doute, oui… Excitée par deux hommes avec elle ?… Oh oui !… Voulait-elle que je la baise avec ma bite d’éléphant ?… c’était probable.
Quelle salope, ma belle-mère ! Roger avait assuré !
-Ouais, on est plus seuls, chérie, dit Roger en continuant de forcer ma belle-mère à le sucer sans pouvoir regarder derrière elle. Mais tu la veux dans ta chatte, cette belle bite hein ?
-Non, haaa, c’est qui ? haaa, parvint à articuler ma belle-mère en se défaisant un court instant du sexe de Roger dans sa bouche… Mais aussitôt Roger la lui remit en bouche : mhmmm mhmmm ?
-Un ami, t’en fais pas… Il a une belle bite hein ? dit Roger. Et il va te la fourrer profond, tu veux ça hein !?
Ma belle-mère remua bien un peu des fesses pour montrer une vague forme de refus, faisant tressauter sa cellulite, mais c’était sans conviction. Elle la voulait ma bite… Roger me fit signe d’y aller.
Moi-même je n’en pouvais plus de désir. Rien que de me faire branler par ma salope de belle-mère, ça m’avait mis dans tous mes états, je bandais comme une brute. Je voulais la baiser. Son gros cul et sa chatte poilue m’excitaient tellement !
Je me mis derrière elle, et posais ma main sur sa grosse chatte poilue et trempée :
-mhmmm mhmmm, fit-elle, la bite de Roger toujours dans sa bouche. Mais j’y vis comme des accents d’envie. D’autant qu’elle ne se débattit pas… Ma belle-mère voulait se faire baiser par un inconnu.
Bien que c’était risqué, ce serait moi.
J’appuyais mon gland démesuré contre sa fente lubrifiée. Elle bougea son énorme cul tremblant…
… et je pénétrais ma belle-mère.
-Haaaaaaaaaa, cria t-elle, car Roger ne put l’empêcher de se cambrer et de lui échapper avec cette énorme bite qui venait de glisser dans sa chatte. Haaaa ! Elle est énooorme ! C’est énooorme !
Ma belle-mère se faisait baiser par la plus grosse bite qu’elle avait jamais eue… Mais Roger, bien qu’elle ne le suçait plus, retenait son visage vers lui, afin qu’elle ne puisse pas se retourner. Elle essayait pourtant, mais il lui tenait fermement la tête vers lui à deux mains :
-Haaaaa ! hoooo ! haaaa ! c’est qui ? haaaaaaaa ! c’est qui Roger ? haaaaaaaa ! Elle est énorme !
Je baisais ma belle-mère comme un sauvage. Je la pénétrais de mon sexe démesuré dans un rythme rapide, faisant tressauter ses grosses fesses charnues à chaque coup de bassin…. Et elle aimait ça !
C’était chaud et gluant à l’intérieur, merveilleux.
-Ça te plait, hein cochonne ? dit Roger à ma belle-mère. Tu aimes hein ?
-haaaaaa ! jouissait ma belle-mère en se faisant démonter. Non, haaaa, c’est qui ? hoooo hhhaaaaaaa
Elle transpirait. Entre mes jambes, j’avais les siennes repliées avec encore son pantalon et sa culotte aux chevilles. Et je la baisais, la baisais, lui en mettait plein sa grosse chatte de vieille !
C’est alors que Roger lâcha son visage dans un sourire amusé… et elle se retourna.
-haaaaaa ? haaaaaaaa ? haaaaaaaaaaaaa !!!! Tandis qu’elle hurlait sous mes coups de bites, elle tomba des nues. C’était son propre gendre qui la baisait comme ça !
-Laurent ? ahana t-elle, haaaa haa han, c’est toi ? non, han han ! On ne peut pas ! han han haaaa !
-T’es bonne, belle-maman, m’entendis-je grogner en continuant de la besogner. J’étais trop bien dans sa chatte. Je la défonçais comme la dernière des putes.
-Haaa haaa hooo, non non, hoqueta t-elle, baisée comme jamais, on ne peut pas, haa han, tu es… ho, han… mon gendre, haaaaa haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa haaaaaaaaaaaaaaa
Là, hurlant dans un orgasme puissant, elle s’était cambrée dans de magnifiques tremblements de sa graisse blanche, et je remplis sa chatte bouillante de mon sperme.
-Haaaa haaaa, hurla t-elle encore, tétanisée par la jouissance, haaaa Laurent, oui ouiiii ouiiiiiiiiii ! Salaud ! A ta propre belle-mère ! Salaud ! haaaaaaaaaaaaaaaa !
Tandis que j’achevais de me vider à force coups de reins, Roger en profita pour claquer les grosses fesses de ma belle-mère en plein orgasme :
-CLAC ! T’aimes ça hein, sale pute ? Te faire baiser par ton gendre !
En transe, ma belle-mère gémit :
-ouiiiii, haaaa, ouiiiii, haaaaa !
J’achevais de la baiser mais elle, elle n’en finissait pas de jouir. Roger lui claqua encore le cul, avec plus de forces :
-CLAC ! Dis-le ! T’aimes te faire baiser par ton gendre !
-Haaaaaa, ouiiii, j’aime ! haaaaaa ! j’aime me faire baiser par mon gendre ! haaaaa ! salauds ! salauds !
-CLAC ! T’es une salope hein !? Dis le !
-Haaaaaaa ! Ouiiii, haaaaa, c’est bon ! Ouiii ! Haaaaa, je suis une salope ! La salope de mon gendre ! haaaaa !
Ces mots me firent carrément avoir un second orgasme consécutif. Je remplis de nouveau la chatte de ma belle-mère de sperme. Elle hurla, en transe, ne sachant sans doute même plus ce qu’elle disait :
-haaaaaaa ! oui mon gendre ! haaaaaa ! Je suis ta chienne ! Baise-moi ouiiii ! haaaaaa ! T’as une bite énorme ! Ouiiiiiii ! haaaaaa ! Je suis ta salope ! haaaaaaaaaa !
…
Et elle finit à quatre pattes, recroquevillée, le souffle court et le regard hagard, tandis que je me retirais d’elle à la fois honteux et émerveillé.
Roger se branlait encore en nous regardant d’un air vicelard.
Ma belle-mère se mit en boule au sol, sa chatte dégoulinant de mon sperme…
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