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Dans une piscine parisienne

Dans une piscine parisienne



J’aime aller à la piscine… Et pas forcément pour nager…
Après avoir passer un bon moment dans le grand bassin à mater et à faire mine de nager un peu pour ne pas éveiller les soupçons des demoiselles dont je regarde l’entrejambe particulièrement si elles font de la brasse.
J’arrive donc dans les douches.
Elles sont mixtes dans la plupart des piscines municipales parisiennes.
Une femme est à coté de moi déjà en train de prendre sa douche.
On s’échange des petits regards discrets pour se jauger.
Ses regards se maintiennent quand mine de rien je commence à me savonner le sexe tout à fait naturellement sous le maillot, ça commence bien !
Je me rince discrètement, la femme continue à jeter quelques petits coups d’œil, elle semble très intéressée !
Donc un peu plus tard, je sors mon sexe entièrement, je ne tarde pas à montrer un début d’érection.
Je reste ainsi quelques instants avant de remontrer mon maillot, elle est la seule à pouvoir me voir et ne se gêne donc pas pour me reluquer entièrement dont entre mes jambes.
Puis la femme baisse à son tour son maillot jusqu’à la taille, et la aussi je suis le seul à pouvoir la voir (les autres ont bien du remarqué qu’elle avait le maillot à la taille, mais ne pouvait la voir que de dos), elle fait mine de se savonner les seins et regarde ensuite en direction de mon sexe, enfin plutôt de la bosse de mon boxer… du coup je ressort mon pénis qui est à présent entièrement en érection…
Ça à l’air de lui plaire, comme moi, elle ne me fixe pas, mais jette de petits coups d’œil appuyés.
On reste comme ça quelques instants, puis d’autres gens arrivent, ils tiquent un peu mais rien de bien choquant je range mon engin dans mon caleçon de bain et je m’en vais, vers mon casier.
Je l’ouvre, et je la vois au bout de la rangée, elle me fait signe de la suivre vers les vestiaires de cabines individuelles.
Je fouille précipitamment dans ma sacoche pour trouver une capote… Mes intentions sont claires… Je referme mon casier et entre dans sa cabine.
Je mets ma main sur sa hanche en passant la porte à mon tour, elle ne dit rien.
Je ferme la porte derrière nous, et puis on commence à se doucher comme si de rien était, en se regardant à peine, de toute façon il y a tellement de cabines individuelles que personne ne remarque rien et même si cela avait été le cas personne ne s’en serait vraiment offusqué chacun se mêle de ses affaires.
Je lui dit qu’il me semblait avoir vu un truc sympa tout à l’heure, et je commence à baisser ses bretelles, je baisse son 1 pièce jusqu’à la taille, voire un peu plus.
Et je commence à lui caresser les seins, et là elle me sort « ben ça va toi tu te gènes pas ». Ok bon ça fait déjà bien 30 secondes que j’ai commencé, donc soit tu es un légume, soit tu veux jouer les chieuses… De toute façon j’ai envie de toi !
Je l’embrasse, elle n’est pas contre, elle en profite pour me mettre la main au paquet.
Ensuite elle m’enlève le boxer, je commençais déjà à rebander dur, et la direct, elle me suce. Elle sais ce qu’elle veux la salope !
Je ne la laisse pas s’éterniser, je ne tiens jamais très longtemps dans la bouche d’une demoiselle…
A la place, je lui rend la politesse, elle a eu l’air surprise, mais elle a aimé… je sens qu’elle est mure, je me relève pour enfiler la capote, elle n’avait pas vu que je l’avais apportée, elle a un peu bloqué, et pendant que je lui levait la cuise, elle me dit « je c pas en fait, arrête ». Je la laisse a peine finir sa phrase en l’embrassant, et puis je rentre, elle fait un petit quoique et me laisse faire !
Toujours en mode chieuse, ou elle n’était vraiment pas parti pour ça ?
Toujours est-il qu’on a fait l’amour dans cette position la, ça n’a pas duré très longtemps, en 10 minutes elle avait eu un orgasme (d’ailleurs j’ai rarement senti une compression pareil) et je n’ai pas tardé à en avoir un aussi décuplé par la situation.
La cabine d’à coté était occupée, impossible qu’il ou elle n’ai rien entendu.
En sortant des vestiaires, une femme m’a fait un sourire bien appuyé, ça devait être elle 🙂
Je ne sais pas si elle s’imaginait qu’on était 2 parfais inconnus qui venions de baiser dans la cabine à côté de la sienne !

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