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Trav’Estelle; mon meilleur amant (suite)

Trav’Estelle; mon meilleur amant (suite)



Nous sommes restés pas mal de temps ainsi, sur la banquette, à s’embrasser, se caresser, à parler de cul, mais surtout à picoler, et je dois avouer que je commençais à être sérieusement bourrée quand il me demanda:
– Tu m’as dit que tu avais pas mal de tenues, qu’est ce que tu as comme tenue qui m’exciterait?
Je lui montrait toutes mes fringues de salope et il flasha sur une body en vinyle, une combinaison résille et des talons aiguilles de 12 cms.
– Je te préviens, lui dis-je, je ne sais pas si je vais pouvoir marcher avec ça, maintenant, je commence à être bourrée.
– Ne t’inquiètes pas, tu n’auras pas besoin de marcher, avec ce que je te prépares.

Je partis m’habiller dans la salle de bains, enfilant la combi en résille, puis le body par-dessus. Je retouchais mon maquillage, et me présentais devant mon amant, les talons à la main. Lui-même était en train de fouiller dans mon « coffre à bonheur », où étaient entreposés tous mes accessoires et divers sextoys. Il me prit par le cou, me força à m’agenouiller et me mit un collier autour du cou, et y accrocha une laisse.
– Mets tes chaussures, m’ordonna t’il.
J’obeis, sans rien dire.
– A genoux!
Toujours sans rien dire, j’obtempérais.
– Mets tes mains derrière le dos!
Je lui obéissais et il me menotta avec 2 paires de cadennes, de telle manière, que je ne pouvais plus bouger (poignet gauche relié à la cheville droite, poignet droit relié à la cheville gauche). Il sortit un gag-ball.
– Ouvres la bouche!
J’ouvris. Il me cracha dans la bouche, l’obtura avec la boule, et serra fort. Je ne pouvais plus respirer que par le nez. Il posa un loup devant mes yeux.
– Maintenant, petite pute, tu es à ma merci. Je peux faire de toi ce que je veux, tu en es bien consciente?
Je ne pouvais pas répondre, tétanisée par la peur, et ayant la bouche obturée.
-Tu en es consciente, salope? hurla t’il.
Une formidable gifle faillit me faire tomber sur ma droite. J’acquiescais en hochant la tête. il me prit la tête à deux mains et se mit à me cracher dans le visage à plusieurs reprises, à me gifler, puis à me caresser, avant de recommencer ses sévices. J’étais complètement à sa merci, cela me faisait peur, mais, également, et peut-être était-ce dû à l’alcool, j’avais totalement confiance en lui.

Au bout d’un long moment, et après m’avoir copieusement craché dessus, giflé, insulté, traité de tous les noms, il retira le gag-ball, enfourna rudement sa bite au fond de ma bouche, posant ses mains derrière ma nuque pour me maintenir dans cette position où j’étais obligée d’avaler entièrement sa queue. Puis il relâcha l’étreinte, et me pistonna la bouche, toujours en me maintenant par une main posée sur ma nuque.
– T’as l’air d’aimer ça, ma salope, hein?
Bien sûr, je ne pouvais pas lui répondre, mais c’était vrai, j’adorais ça. J’adorais être sa chose, son objet de plaisir. Il pouvait faire ce qu’il voulait, je ressentais un plaisir inouï à me faire dominer par cet homme.

Il m’ota le loup de skaï, et je vis devant moi un homme triomphant, qui savait qu’il rendait sa salope heureuse, fier de son travail bien fait. Il recommença à me violer par la bouche, tout en continuant à m’humilier en me crachant dans le visage, en me giflant, en m’enfournant sa queue au plus profond de ma gorge. Il me pinçait le nez en même temps, pour me faire suffoquer. J’étais couverte de mollard, les joues roses à force de gifles et de bifles, en sueur, totalement essoufflée, mais j’en redemandais, et il m’en donnait…

Cette punition buccale dura un très long moment. Quand il voulût passer à autre chose, il m’enleva les deux paires de menottes, mais me força à rester agenouillée sur le sol. Il me fit me pencher en avant, tête posée sur le sol, me re-menotta les poignets. il me fit lécher son gros orteil, pendant qu’il me doigtait, puis il mit son pied sur mon visage, et me pénétra violemment, à quatre pattes par terre, comme une chienne, en me fessant durement, de ses battoirs calleux. Chaque claque me faisait brûler les fesses. Son pied m’écrasait le visage sur le sol et son va-et-vient me déchirait les entrailles, mais je subissais courageusement ses assauts.

De temps en temps, il ressortait, me prenait par la laisse pour me faire me relever, m’enfilait la queue dans la bouche, me faisait lui lécher les couilles ou le cul, puis me remettait le baîllon et me sodomisait à nouveau. Il m’ôta les menottes, sortît de mon cul, et m’emmena, en laisse, dans la salle de bains. Il me fit grimper dans la baignoire, toujours à genoux, comme il l’éxigeait. Il grimpa lui-même sur les deux bords de la baignoire, juste au dessus de mon visage. Il se masturba devant mon visage, me demanda de lui lécher les couilles, ce que je fis avec grand plaisir, voulant à tout prix satisfaire mon incroyable amant. Il se libéra en poussant un grand cri, il fit couler son jus sur mon visage. j’en récupérais avec les doigts et les léchais avec gourmandise, mais il me retint en me demandant d’attendre.
– Laisses, je vais te nettoyer à ma manière.
Je compris alors ce qu’il avait l’intention de faire. C’était une première pour moi et je lui dis.
– Ecoute-moi, tu m’as fait confiance jusque là, je te demandes juste de continuer.
Je décidais donc de continuer à lui faire confiance. il fallut attendre un peu , car lui non plus ne faisait pas ça tous les jours, et cette perversion n’est pas toujours aisée à accomplir. Mais il parvint à ses fins et me « rinça », ce que j’apppréciais également, mais, venant de lui,je crois que j’aurais pu tout accepter.

Nous avons pris ensuite une « vraie » douche, nous sommes retournés dans la pièce et avons recommencer à boire. Comme il devait se lever de très bonne heure pour retourner à Corbeil, nous nous sommes couchés, ensemble. Je dormis la tête posée sur sa poitrine velue. Le réveil sonna à 5 heures, et nous avions tous les deux mal à la tête. Nous nous sommes levés sans rien nous dire, je lui ai préparé un café pendant qu’il faisait une toilette succinte. Je le regardai boire son café et je me demandais comment j’avais pu craquer pour cet homme. Il vit que je l’observais et il me demanda ce qu’il y avait. Je m’entendis lui dire:
– Rien, j’ai juste envie de te sucer.
Il sourit et avala son café.
– Il faut que j’y aille, je vais être en retard.
Il se leva et se dirigea vers la porte. Je le suivis et, arrivés à la porte, il se retourna. A mon tour, je lui pris la tête à deux mains et posais mes lèvres sur les siennes. Puis je m’accroupissais, baissais son pantalon, son slip, prenais sa queue en bouche et le suçais amoureusement, langoureusement. Ce coup-ci, il me laissa faire, et, de mon coté, je mis tout mon coeur et mon savoir-faire dans cette fellation, contre la porte d’entrée de mon studio. Je sentais qu’il prenait un pied d’enfer, et il jouit dans ma bouche abondamment pour un homme qui avait déjà joui plusieurs fois dans la soirée. Il m’aida à me relever, je l’embrassais à nouveau (j’avais avalé son sperme), et on se promit se se rappeler.

Je ne l’ai jamais revu. Je l’ai retrouvé sur un Rézo, deux ans plus tard, mais je n’ai pas osé lui reparlé, de peur de casser quelque chose… Quoi? je ne sais même pas, mais notre (unique) rencontre avait été tellement forte, peut-être était-ce la peur de ne plus être à la hauteur de notre relation. Et puis peut-être m’a t’il lui aussi reconnue et peut-être n’a t’il pas voulu me recontacter non plus de son coté…
En tout cas, il aura été mon meilleur amant, et je repense souvent à cette folle nuit, dans mon studio, à Rueil-Malmaison, où j’étais devenu la femme soumise d’un homme que j’ai aimé follement le temps d’une nuit, Dominique…

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