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La plus belle des SDF

La plus belle des SDF



J’étais en train de jouer avec mon portable, quand elle se planta devant moi.
– Je peux m’asseoir à côté de vous ?
Je me suis poussé pour lui faire de la place. Sa jupe était si courte que ses cuisses étaient découvertes et qu’on voyait un bout de sa culotte.
– Vous déscendez où ? Demanda-t-elle.
– A David !
– Tiens, moi aussi ! Vous m’offrirez un café ?
– Pourquoi ?
– Parce que à manger, personne ne veut….
– A manger, je comprends pas.
– Parce que j’ai pas mangé depuis trois jours !
– Vraiment ?
– C’est si difficile à croire ? Ouais, je vois, vous êtes comme les autres, hein. Avec un cul comme le mien, je peux payer en nature !
– Je n’ai jamais dit ça ! Vous aimez les crevettes ?
– Qu’est-ce que c’est que cette connerie, encore ?
– C’est ce que j’ai décidé de cuisiner pour vous, ce soir.
– C’est ça ! Vous m’emmenez chez vous, vous me faites un plat et après, je devrais coucher !
– Pour ça, c’est vous qui déciderez. En attendant, je suis cuisinier au restaurant « La Mer », et je mange avant les clients. Et je ne dors pas au restaurant.
Nous avons mangé, ou plutôt, elle a dévoré. On a discuté pendant une demi-heurepuis elle s’est préparée à partir.
– Vous allez où maintenant ?
– Alors maintenant je vous dois des comptes !
– Arrêtez d’être agressive. Je voulais juste vous dire, qu’en plus de faire la cuisine, je suis le propriétaire, et je ne voudrais pas que vous passiez la nuit à errer dehors. Quand le restaurant fermera, vous deciderez de l’endroit où vous voulez aller. Restez à cette table, personne ne vous ennuira. Mangez et buvez ce que vous voulez, si possible pas trop d’alcool. Si vous ne voulez pas de mon hospitalité, je peux vous appeler un taxi.
– Mais je n’ai pas d’….
– D’argent pour payer ? Personne n’a jamais été gentil avec vous ici-bas ?
– De toute façon, le taxi m’aurait emmené où ?
– Eh bien, vous voyez.
– Si vous arrêtez d’avoir peur de moi, avant que j’ai fini ma soirée, le taxi peut vous emmener chez moi. Il y a plusieurs chambres. A votre réveil vous ferez ce que vous voudrez.
– Pourquoi vous faites tout ça ?
– Disons que j’aime bien votre sourire…
Ses lèvres s’ouvrirent sur de jolies dents bien blanches et régulières. Si ce n’était la crasse et l’odeur qu’elle transportait, c’était vraiment une fille superbe. Elle aurait très bien pu vendre son corps, tout le monde aurait compris. Mais, au-dedans de cette jolie tête, il y avait une fierté que j’ai vu tout de suite.
En fin de compte, elle s’est endormie sur la table à laquelle elle était assise. Un de mes aides l’a transportée chez moi.
Une fois rentré, j’ai été visiter les chambres une par une pour voir où elle s’était couchée. Je ne l’ai pas trouvée. J’entendis soudain un bruit familier. Elle était à l’étage, dans la baignoire, dans un bain parfumé. Je cognai à la porte de la salle de bains.
– N’entrez pas, je suis nue !
– Pour prendre un bain, il vaut mieux, dis-je.
J’entendis un joli rire cristallin.
– Je suis juste monté pour vous dire que j’allais me coucher. Vous trouverez dans la cuisine à côté, tout ce qu’il faut pour le petit déjeuner. Je ne vous demande qu’une chose. S’il vous plait, ne faites pas de bruit avant 9 heures. Je dors très tard.
Effectivement, j’ai dormi très tard. Quand elle est sortie de son bain, elle est venue dans ma chambre. Je ne dormais pas encore. Elle était toute nue. Ses cheveux étaient aussi blonds que les poils de sa chatte. Ses fesses étaient aussi hautes que celles des vénus africaines et aussi petites et rondes que les petites filles pré-pubères. Je les aurais mordues.
– Je vous ai dit que vous ne me deviez rien !
– C’est à moi de vous réprimander, maintenant. Sale, vous aviez pitié de moi, et maintenant, propre, vous ne voulez pas de moi ?
– Je ne dirai certainement pas non, si je ne savais pas que c’est une sorte de remerciement.
– Ca, c’est à moi d’en juger ! Dit-elle.
Elle fit deux tours sur elle-même, pour me faire admirer son corps.
– J’ai la chance que le petit Jésus m’a donné un corps de rêve. Et ce soir, il est à toi !
Elle a retiré la couverture de sur le lit et m’a regardé. Elle s’est penchée sur moi et m’a retiré mon caleçon. Elle a déposé un baiser sur le coin de ma bouche. Ce faisant, ses seins magnifiques se sont écrasés contre mon torse. Envoyant un bras en arrière, ses doigts se sont enroulés autour de mon sexe. Elle l’a griffé doucement avec ses ongles, provoquant une raideur triomphante. Elle glissa ses jambes de part et d’autre des miennes, et s’est laissée descendre lentement sur le bâton de chair. Elle s’est soulevée et s’est retournée, offrant sa chatte à ma bouche pour un cunnilingus. Dans le même temps, elle a pris ma queue dans sa bouche, m’administrant la pipe la plus allumée que mon machin avait jamais connu. Enfin, elle m’a fait m’asseoir, et s’est empalée sur ma bite.
– Elle m’a dit : je t’ai menti. Je veux quelque chose.
– Quoi ?
– Que tu me baises jusqu’à ma mort.
Ca fait plus de 50 ans que nous sommes mariés, et elle veut toujours de moi. Elle est toujours aussi belle. Le Diable, lui aurait-il donné la jeunesse éternelle ?

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