Je venais de passer plusieurs caps…
L’éjaculation de l’autre était désormais mon but à atteindre.
Dès lors, il m’est arrivé de proposer à nouveau mon visage et mes lèvres à la semence de l’inconnu… à la surface de mes fesses aussi (le sperme qui dégouline dans ma raie est tout aussi flatteur)…
Ma première éjaculation buccale a eu lieu quelques semaines plus tard.
Une nuit où j’étais particulièrement délurée, et la queue de mon partenaire particulièrement appétissante…
A vrai dire, cela s’est fait un peu malgré moi.
Il m’avait rendue tellement gourmande que je n’arrivais pas à laisser son chibre quitter mes lèvres… et lui s’est bien privé de me prévenir…
J’ai rouvert les yeux de surprise, un peu déstabilisée, quand j’ai senti le premier filet de sperme percuter ma gorge. L’excitation que j’ai alors lue dans ses yeux, braqués sur sa queue enfoncée dans ma bouche, m’a rendue folle d’envie… Comme tous les hommes, ce qui l’excitait le plus, c’était de mater, de ne pas perdre une miette du spectacle… Il matait la salope que j’étais, les fesses à l’air, accroupie à côté de sa voiture, engloutissant son sexe entre mes lèvres… et accueillant son foutre sur ma langue, mes joues, ma gorge…
Sa bouche ne laissait passer que des râles de plaisir, mais son regard était bavard, brillant de luxure. Il me traitait de « salope », m’affirmait que « j’aimais çà, hein ?! », que « j’étais une gourmande… que j’aimais les bites… »…
Alors, j’ai pris un malin plaisir à le garder à l’intérieur, et l’emmener jusqu’à sa dernière goutte de plaisir en le branlant dans ma bouche, rapidement remplie de foutre…
Avec le sentiment fantastique d’être une actrice de X tournant dans un casting amateur… poussant même mon imagination à fantasmer sur des pervers, la queue bien dure à la main, qui se branleraient en matant la vidéo sur internet… Tous ces flots de sperme qui s’écouleraient sur moi, petite salope en train de me faire remplir la bouche… Divin fantasme…
Mon complice, quant à lui, rebroussait déjà chemin… me laissant là, à genoux et les fesses à l’air, la bouche luisante… il n’était plus là pour me voir me branler en jouant goulûment avec ma langue dans ma bouche, sur mes lèvres… Avalant son offrande en éjaculant dans ma main…
Au comble de la luxure, j’ai avidement étalé mon foutre sur mon visage… mon nez, mes joues, mes lèvres… coulant jusque dans mon cou…
Et j’ai regagné ma voiture, toujours cul nu, le visage brillant…
Fabuleux souvenir !!
Désormais, j’étais une libertine capable de devenir beaucoup plus entreprenante… et mon plaisir ne fit que croître…
La fois juste après, une fin de soirée, (à peine quelques jours s’étaient écoulés, j’étais dans une phase très active…), sur le parking d’un bois, ce fut mon premier hétéro.
Le mec était dans sa voiture, la fenêtre ouverte. Il était là depuis au moins heure. Et personne d’autre que nous depuis un demi-heure.
Au bout d’un moment, résignée à ne pas rentrer bredouille, je m’étais approchée par le côté, très lentement, un peu méfiante quand même. Il ne faisait pas nuit noire et je savais que le blanc de ma robe ressortait très distinctement.
A environ 40m du véhicule, je m’étais arrêtée au milieu du parking. J’étais encore craintive, mais bien excitée… De face, puis de dos, mes mains se promenaient sur moi lascivement. A nouveau de face, j’avais relevé ma robe libérant le haut de mes bas, puis mes fesses dans leur tanga de dentelle rouge…
J’espérais qu’il m’aperçoive et soit séduit par mon spectacle, mais à cette distance, j’étais incapable de discerner autre chose que sa silhouette dans l’habitable sombre. Osant un pas, puis deux, je reprenais la direction de la voiture, toujours très lentement, toujours sur mes gardes… Mètre après mètre, j’essayais de percevoir les détails de la « cible »…
A 30 mètres, je savais qu’il me regardait.
A 25m, il n’avait toujours pas détourné la tête. Les yeux habitués à la pénombre, il devait lui aussi de mieux en mieux saisir mon propos.
A 20 mètres, il a allumé ses phares. Le faisceau éclairait l’asphalte devant lui jusqu’aux arbres qui bordaient l’autre bout du parking. Puis il les a éteints.
J’avais beau m’être trouvée à bonne distance du couloir lumineux, perpendiculaire à ma trajectoire, son halo s’était quand même dispersé sur les côtés pour parvenir timidement jusqu’à moi. Très faiblement mais suffisamment pour ne plus pouvoir nier mon travestissement.
De longs cheveux bouclés, une silhouette fine mais néanmoins trop grande pour laisser penser à une femme, une panoplie de fille facile (robe courte relevée à mi-fesses et bas résilles), mon intention était évidente…
Il ralluma les phares. Le visage tourné vers moi.
Intriguée, je cédais à « le meilleur moyen de savoir, c’est d’avancer encore… ».
J’ai rabaissé ma robe, enfilé mon masque sur les yeux, et ramener quelques mèches sur mon visage avant de reprendre mon avancée…
Je tournais du cul et prenais une démarche de plus en plus féminine…
J’avais beau arriver par le flanc en direction de sa portière, au fur et à mesure, la puissance latérale de ses phares me rendait de plus en plus visible…
A 15m, il me semblait entrevoir le mouvement de va-et-vient de son bras vers le bas…
A 10m, j’en étais convaincue, il se caressait…
A 5m, il sortit le bras par la vitre ouverte et m’invita de la main à me diriger vers le devant de la voiture, sous les « spotlights »…
Passant quand même à proximité pour m’assurer qu’il n’avait pas d’appareil photo ou autres, j’ai ensuite bifurqué sans me faire prier.
Pas de bonjour, ni de lui, ni de moi. Pas de parole. Juste un échange de regards, tous deux à la fois timides et brillants. Parfait pour moi.
L’excitation avait pris le contrôle…
Le contexte était particulièrement troublant…
Complètement aveuglée par les plein-phares, je ne voyais rien de lui. Je ne pouvais qu’imaginer son regard sur moi. Ca me rappelait ces fois où, jeune homme, j’allais de temps en temps au peep-show à Pigalle. Dans ma cabine, derrière une glace sans teint, je me branlais en matant une danseuse qui s’effeuillait sur la piste ronde. Sauf que là, les rôles étaient inversés. Il était le mateur vicieux derrière sa glace sans teint, et j’étais la stripteaseuse.
Complètement investie dans mon personnage, j’ai fait au mieux pour le régaler le coquin.
Déambulant sur toute la zone éclairée, je jouais le jeu à fond et m’excitait toute seule à prendre les poses les plus affriolantes qui soient…
La robe relevée, puis retirée et lâchée au sol… Juste devant ses phares, puis en direction des arbres, je m’exhibais sans retenue… mes jambes, mes cuisses, mes fesses… mon sexe… mes fesses encore… Ma culotte rejoignit ma robe, et je repartais faire le tour de mon aire de jeu… simplement vêtue de mes bas résilles…
Je me dirigeais vers les arbres quand j’entendis la portière s’ouvrir…
Me retournant en frémissant d’envie, je vis l’homme s’avancer devant la voiture. A 15m et malgré le contre-jour, je distinguais le pantalon à mi-cuisses.
Ni une ni deux, je rebroussais chemin en tortillant du cul.
Tout s’est fait sans un mot…
Je suis arrivée jusqu’à lui, les yeux vers son sexe déjà dur et tendu. Il le relâcha en semblant m’inviter à prendre le relai.
C’est ainsi que, nue sur un parking, ma tenue gisant à 10m de moi, je me suis retrouvée à genoux devant mon amant. Serrée et branlée entre mes doigts délicats, frottée contre mes joues et mon visage, sa queue s’est rapidement retrouvée entre mes lèvres, avant même que je ne les lui propose…
Tenant sa verge bien droite, il avait posé son gland sur ma bouche. Et je me laissais facilement faire quand il appuya avec son bassin, forçant le passage pour s’introduire et glisser sur ma langue… ne s’arrêtant qu’une fois qu’il me remplissait la bouche de sa chair chaude et gonflée. Son gland turgescent posé sur ma langue…
J’étais encore bien loin de prodiguer des gorges profondes (ça ne m’est d’ailleurs arrivé qu’une fois, et bien plus tard), mais j’étais survoltée !
Une main sur sa hanche pour le maintenir, l’autre sous ses couilles, c’est moi qui donnais le rythme… Avançant et reculant la tête, je l’engloutissait et le recrachais à loisir… Je me délectais de ce sexe qui m’honorait… Il goûtait déjà le stupre et la débauche, lâchant au goutte à goutte, des petits filets translucides et gluants, fruits du plaisir…
Je me rappelle encore de la symphonie de bacchanale qui jouait dans le silence : mes gémissements étouffés se mêlaient à ma succion mouillée et gourmande… et son souffle rauque les chevauchait avec envie…
Une vraie scène porno !
Il ne fallu pas longtemps à mon complice pour arriver à ses fins… J’étais moi-même en pleine montée d’orgasme… Et je comptais bien récompenser mon coquin comme il se doit…
Me doutant que sa timidité deviendrait courtoisie au moment fatidique, sans cesser de le pomper goulûment, je guettais cet instant où, au bord de l’explosion, il reculerait pour ne pas me souiller sans mon consentement… Je savais aussi qu’il n’oserait pas me demander…
Aussi, quand je l’ai senti se tendre virilement, j’ai posé ma deuxième main sur sa hanche… C’est moi qui l’invitais à l’éjaculation buccale… moi, petite salope…
Il ne s’y attendait vraisemblablement pas… Les yeux écarquillés, la bouche béate, il frémit au premier jet de foutre, la bite à mi-chemin dans ma bouche, et ne cessa de trembler que bien après la dernière goutte déposée sur ma langue… Je maintenais mon emprise, je voulais le sentir encore en moi, baignant dans son sperme… Ca ne semblait pas lui déplaire, il gardait encore une belle vigueur entre mes joues…
Absolument conquise, je laisser glisser sa hampe d’avant en arrière, appréciant les filets de foutre qui débordaient de mes lèvres… Et ne tenant plus, j’ai relevé ma bouche béate vers son visage, lui offrant le spectacle de ma gorge retenant sa semence… dans ses yeux je pouvais lire la salope que j’étais… et avalais sans pudeur…
Puis me suis relevée en lui tournant le dos pour offrir mes fesses à ses mains… Je voulais me branler en sentant sa poigne sur mon cul… Là-encore, il ne rechignait pas, et pour mon plus grand plaisir, commençait à caresser mes fesses…
Sous l’effet de ses doigts de plus en plus vicieux, je me branlais frénétiquement… Un main m’écartait maintenant la raie, pendant que l’index et le majeur de l’autre glissaient tout le long, de bas en haut, et de haut en bas… disparaissant quelques secondes pour aller à sa bouche, et revenir enduire ma fente de salive…
Mes caresses étaient de plus en plus tendues… J’étais au bord de l’explosion… et… Oooooooohhh… deux phalanges m’écartelaient maintenant la rondelle en s’enfonçant très lentement…
Fabuleux !!
J’ai joui instantanément !! Sans aucune retenue et très abondamment…
Première fois qu’on me doigtait le cul… FABULEUX…
Ce soir-là fut une des rares fois où j’ai échangé quelques mots après l’extase…
Lui pris son temps à se rhabiller, en me regardant allant récupérer mes affaires et revenir vers lui pour renfiler ma tenue…
On a échangé quelques banalités (« tu viens souvent dans le coin », …) et c’est là qu’il m’avoua qu’il était venu ici dans l’espoir de mater un couple libertin, et que c’était la première fois qu’il avait ressenti ce désir pour un travesti…
Je gloussais intérieurement 😉
Après qu’il soit parti, je suis restée encore une bonne demi-heure sur les lieux… Continuant de me promener en robe sur le parking et les alentours… Je crois qu’inconsciemment, j’espérais une autre visite… 😉
Avant de rentrer à mon tour à mon hôtel, la tête pleine d’images salaces et délicieuses…
Cette fois-là, j’ai réalisé à quel point j’aimais le sperme.
Je n’aime pas son goût, amer et organique, mais j’aime plutôt sa texture gluante, collante, salée et chaude…
J’aime surtout toute la perversité que représente l’éjaculation faciale et buccale : cette posture soumise de n’être plus qu’une bouche possédée par un amant, un objet sexuel incarné en salope… le simple orifice où l’homme vient déposer les saccades visqueux de sa jouissance…
J’aime offrir ma bouche et incarner cette perversité… 😉
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