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Maman tres chaude, enfants pervers. (27)

Maman tres chaude, enfants pervers. (27)



Chapitre 27 : Daniel et Sarah, un peu SM.

Un jour je reçois un SMS de Sarah qui me demande si je peux passer la voir l’après midi car elle souhaite me parler. Je suppose que cela a un rapport avec sa liaison avec Daniel et curieuse, j’accepte de la rencontrer chez elle.
Lorsque j’entre dans son salon quel ne fût pas ma surprise de voir Daniel assit dans un fauteuil.
– Entrez, Kate, Je passais voir Sarah et quand elle m’a dit que tu serais là je n’ai pu résister au plaisir de te voir.
J’ai bien l’impression d’être tombé dans un piège et j’en ai confirmation un peu plus tard car après quelques banalités, la conversation dérive rapidement sur la partie donnée par Jeannine et notre rencontre ce soir là.
D’un seul coup, en posant sa main sur mon genou, Sarah me demande.
– Kate, quel genre d’érotisme vous aimez lire ?
– Oh, de toutes sortes, balbutiais-je
– Ah… et tu te masturbes quand tu lis des histoires bien cochonnes…
Je n’en reviens pas de la facilité avec laquelle elle me pose ce genre de question. Je peux à peine parler d’autant que Daniel me regarde avec un sourire narquois.
– Kate, détends-toi, nous sommes entre nous, comme le soir chez Jeannine. Et cette fois, personne ne viendra nous interrompre.
Et tout en me disant cela, elle me caresse l’intérieur de ma cuisse.
– Heuuu, ouiii, dis-je d’une voix à peine audible.
– Tu serais très surprise de savoir combien de personnes lisent ce genre de choses en se masturbant. Dit Daniel d’un ton rassurant.
– Oh oui, continue Sarah, en retirant sa main de ma cuisse et me permettant de respirer un peu mieux.
– Serais-tu surprise si je te disais que Daniel et moi nous lisons ensemble des textes érotiques ?
Je lève mes yeux vers Daniel. Il est assis juste devant nous, calme, assuré. Comme si discuter de ce qu’il fait avec sa maîtresse est la chose la plus naturelle du monde. Moi je suis nerveuse et je tremble un peu. Mais je ne peux pas nier que la discussion m’allume un peu et que je voulais en savoir plus sur la domination de Daniel sur Sarah.
– C’est exact, dit-il. Bien que nous préférons un type particulier d’érotisme.
– Que voulez-vous dire ?
– Il y a un genre particulier, qu’on aime lire. Domination et soumission pour être précis.
Nous y voila ! Ils ont bien des rapports maître-esclave entre eux.
– Vous voulez dire comme dans Justine de Sade…des trucs comme ça…
– Presque, tu n’en es pas loin. Avec moins de v******e. Alors dis-moi Kate, tu lis ce genre de chose ?
– Occasionnellement, répondis-je avec une petite boule dans mon estomac.
– Et quand tu lis ce genre, en te masturbant, t’imagines-tu être le dominant ou la soumise ?
Mon esprit bat la chamade, je peux à peine répondre et je sens que ma chatte devient humide.
– Celui qui est ligoté ou celui qui l’attache ? Ajoute Daniel, sentant ma nervosité.
– Celle qui est…ligotée, murmurais-je.
– Oh, oh, nous avons une petite esclave entre nos mains. Dit Sarah en souriant
– Mais ne t’inquiète pas, je suis comme toi comme tu t’en es rendu compte. Et des tas de gens de gens, mâle ou femelle, ont des fantasmes de soumission.
– Oui, ajoute Daniel. Mais la plupart des gens ont trop peur de les réaliser.
Je ne sais pas quoi dire. Cette situation (que j’ai cherchée) est totalement nouvelle pour moi. Parler ouvertement de mes fantasmes sexuels avec un couple que je viens tout juste de rencontrer me déstabilise un peu, mais, qu’est ce qu’ils me font mouiller !
– Tout juste Kate, dit Sarah. Lorsque tu joues avec ta chatte, ce n’est pas la même chose qu’avoir un vrai sexe d’homme à l’intérieur de toi, n’est ce pas ?
– Non…
– Et aimerais-tu un jour être en mesure de laisser tomber toutes tes inhibitions pour vivre tes fantasmes pour de vrai ?
– Heuuu, Oui…
– Et je te parie que tu mouilles en pensant à çà !
Comment peut-elle savoir ! Bien sûr elle est comme moi ! Ils m’ont mise complètement sous leur charme. Je pense que je ferais n’importe quoi qu’ils me demanderaient tout de suite.
– Tu veux bien nous montrez à quel point tu mouille, Kate…
– Ouiii…
– Oui, quoi ? Demande Sarah plus sévèrement.
– Que répond une soumise à son Maître ?
Et je réponds avec difficulté, la gorge sèche.
– Oui, maîtresse.
– Bonne fille, répond Sarah avec un sourire diabolique sur son visage.
– Désormais nous sommes Maîtresse Sarah et maître Daniel c’est clair ?
– Oui Maîtresse Sarah.
– Ne t’inquiète pas ma petite salope, chuchote Sarah dans mon oreille d’une voix qui se veut rassurante.
– Je vois bien que tu veux cela. Crois-moi, tu vas adorer chaque seconde.
Je ne me souviens pas avoir été autant excitée et avoir aussi peur en même temps.
– Remonte ta robe, montre-nous ce que tu es vraiment, une petite salope obéissante.
Ça fait deux fois qu’elle me traite de salope !
Lentement je me lève et remonte le bas de ma robe.
– Laisses-moi t’aider ! Dit Sarah en me poussant vers Daniel.
Elle remonte ma robe au dessus de mes fesses quelle prend à pleine mains et tire sur mon slip de satin rouge.
– Mais que vois-je ici…
Je regarde l’entrejambe de mon slip et il n’y a absolument aucun doute de confondre avec autre chose, la grande tache humide sur le devant, sur le dessus de ma chatte.
– Voyons voir si elle porte un soutien-gorge assorti.
Déclare Daniel, en caressant nonchalamment mon cul par derrière.
– Huuummm, tu as un sacré cul que j’adore, Kate.
– Excellente idée, dit Sarah. Kate, tu sais ce qu’il te reste à faire.
Toujours debout, je retire ma robe noire er je me retrouve entre ces deux pervers en slip et soutien gorge.
– Ooohhh, mais elle est vraiment superbe cette petite ! Monte sur la table basse et fais-nous une petite pirouette !
Nerveusement, je monte sur la table pour me retrouver avec une paire d’yeux à quelques cms de moi.
– Ouais, elle est splendide ! Avec juste ce qu’il faut aux bons endroits. Ajoute Daniel.
Je ne dis pas un mot et Sarah me demande.
– Vraiment sexy ! Mais qu’est ce qu’une bonne fille répond à son maître qu’en il lui fait un compliment.
– Je vous remercie maître,
-Non ! Pas comme çà ! Descends et mets-toi à genoux !
Instinctivement, je tombe à genoux devant Daniel en regardant ses chaussures.
– Je vous remercie maître, répétais-je ma tête courbée vers le sol.
– N’est-elle pas un a****l obéissant, dit Daniel
Je peux sentir une grande satisfaction dans sa voix quand il passe ses doigts dans mes cheveux.
– Oui, elle l’est. Mais même les animaux domestiques obéissant doivent être contrôlés.
Et ils ont commencé à s’amuser avec moi.
Sarah m’a bandé les yeux et je me sens encore plus vulnérable. Elle prend mes poignets et fermement elle me menotte les mains dans le dos malgré ma résistance.
– Ne bouge pas salope, tu aimes te faire ligoter.
– Je suis sûre que la tache de son slip s’agrandit encore, ajoute Daniel.
Et sans aucun avertissement, je sens une main courir vers le bas de mon ventre et sous ma culotte. Contrairement à Sarah, il ne me caresse pas doucement et ses doigts passent sur le haut de ma fente, suscitant en moi un gémissement, soudain et aigu.
– Aaaaaahhhhhhh…
– Complètement trempée. C’est une vraie sale petite salope que nous avons ici, dit-il en retirant sa main de ma culotte. Si elle mouille le tapis tu lui feras nettoyer !
Soudain je sens ses doigts sur mes lèvres et il les enfonce profondément dans ma bouche me forçant à sucer mon jus pour les nettoyer.
– As-tu déjà goûté à ton jus, salope !
– Oui maître.
– Je ne suis pas surpris. J’ai tout de suite deviné que tu étais une belle salope.
– Maintenant, emmène là dans la cuisine et tu vas la prendre comme une bonniche et la baiser jusqu’à ce que je l’entende hurler et réclamer ton foutre.
Daniel m’a attrapé et mis sur ses épaules pour aller dans la cuisine puis il m’a carrément balancé sur le coté de la table, les jambes pendantes.
– Voila ! Putain quel cul elle a cette salope !
– Oh, oui ! Mais c’est certainement mieux de cette façon, dit Sarah en attrapant mon slip pour me le retirer.
– Daniel a raison, tu es une putain de salope ! Ta chatte est trempée !
Je pousse un long gémissement quand elle touche ma chatte en enfonçant un peu ses doigts et involontairement je recule mon cul.
– Si tu bouge ou déplace un seul muscle, tu vas le regretter !
Je ne me suis pas senti aussi vulnérable dans ma vie, mais je ne pense pas avoir été aussi excitée. Mon jus coule sur mes cuisses. J’ai envie d’être baisée. Qu’est qu’il attend !
Je repousse un cri quand je sens quelque chose de froid, glacé, qui glisse et rentre entre mes lèvres de chatte.
– Ferme ta gueule salope !
Dit Sarah qui continue à déplacer les cubes de glace partout dans ma chatte.
– Attends, je vais la faire taire ! Dit Daniel.
Et je sens qu’il pousse quelque chose de doux dans ma bouche. Merde, c’est mon slip !
Je continue de me tordre pendant que Sarah laisse fondre la glace sur ma chatte, mais cette fois, c’est des gémissements d’extase atténués par mon slip enfoncé dans ma bouche.
– Je pense que cette sale petite salope doit être punie. demande Sarah.
– Sûr, répond Daniel. Il faut les dresser ces petites filles coquines.
– Bien, je pense que 5 coups devraient faire l’affaire. Pour cette première infraction …
Va-t-elle me fouetter ? Merde. J’espère qu’elle n’a pas de cravache.
Je sens quelque chose de dur sur ma chatte, assez rugueux et c’est très agréable car elle le passe entre mes lèvres trempées avant de tapoter doucement sur le capuchon de mon clitoris.
Plaf ! Et d’un !
Tout d’un coup elle a claqué la cuillère de bois sur le bas de ma chatte. Mes cris d’angoisse sont étouffés par mon bâillon, et je resserre mes cuisses.
– Ouvre tes cuisses, salope ! Sinon je double la punition ! Tu dois garder les cuisses ouvertes lorsque ta maîtresse te punit. Daniel, Attache lui les chevilles aux pieds de la table.
Avec force il prend mes chevilles. Une à la fois, et il les immobilise avec du ruban adhésif. Je suis encore plus écartelée qu’avant.
– Voila, Sarah. Sa belle chatte est à toi ! Apprends-lui l’obéissance.
Une fois de plus je sens Sarah qui déplace la cuillère en bois sur ma chatte. Cette fois, elle fait de petits cercles autour de mon clito qui pointe son nez pour, progressivement, le faire complètement sortir et frotter directement sur mon bourgeon gonflé.
Plaf !
Une nouvelle frappe m’envoie une douleur brûlante à travers tout mon corps. Je pousse un cri d’agonie et j’essaye de fermer mes jambes, mais cette fois je ne peux pas. Je suis attachée, bâillonnée, je peux subir tous leurs caprices pervers.
Quand je commence à apprécier la cuillère entre les plis de ma chatte elle me claque de nouveau et je glapis chaque fois que le choc se répercute dans mon corps qui se soulève de la table.
– Le dernier, dit Sarah.
Mon corps tout entier se tend vers le haut en prévision du coup imminent.
La cuillère vient s’écraser sur ma chatte palpitante, qui je suppose est maintenant toute rouge sous les coups. Une fois de plus, mon slip trempé par ma salive et mon jus de chatte étouffe mes cris. Sarah se penche à mon oreille et murmure.
– Je parie que tu as aimé secrètement ta punition, hein salope…
Mon corps tremble et c’est vrai je suis tellement excitée. Je suis en sueur et ça dégouline sur mes cuisses tellement je mouille…
– Regarde, on dirait une chienne en chaleur ! Peut-être que nous devrions faire quelque chose pour la soulager.
– Je pense vraiment qu’il faut l’aider. J’ai bien cru qu’elle allait m’envoyer un jet de cyprine tellement ça coule ! Répond Daniel en riant.
Tout ce que je peux faire c’est de crier dans mon slip qui est dans ma bouche.
« Oui ! S’il vous plaît ! N’importe quoi ! J’en ai besoin j’ai si mal ! »
Puis c’est le silence. Je les imagine tous les deux, debout devant moi, leur regards concupiscents fixé sur ma chatte ouverte aux lèvres rougies par les coups et dégoulinante de mon jus. Soudain, j’entends un cliquetis sonore suivit du vrombissement inimitable d’un gode vibrant. Oui ! Enfin ! Oh je vais avoir quelque chose dans ma chatte !
– Je suis sûre que notre petite salope a envie de sentir ça.
Dit Sarah en passant le jouet le long de ma joue.
« Oui maîtresse ! Criais-je désespérément ». Si seulement ma culotte n’étouffait pas mes cris.
– Tu devrais me dire ou tu veux que je te le mette. Je ne suis pas vraiment experte avec ce genre de truc. Je ne suis pas une salope aussi dépravée comme toi !
« Dans ma chatte ! Sur ma chatte ! »
Mais putain ! Si seulement elle pouvait voir mes yeux ! Elle saurait ce que j’ai envie !
– Peut-être qu’elle aimera ça…
Et Sarah passe le vibro le long de mon corps, en descendant lentement vers ma chatte et mon trou du cul. Plus il approche plus mon corps tremble.
« Oui ! Oui ! S’il vous plaît… n’arrêtes- pas maintenant ! »
– Mais je pense que tu préfère sûrement qu’il soit ici.
Après ses taquineries, elle éperonne soudainement et délibérément le vibrateur dans ma chatte qui, tellement mouillée par mon jus, entre comme papa dans maman. Tout mon corps sursaute, se tend, vibre. C’est absolument incroyable !
– Que penses-tu qu’elle essaie de dire ?
Demande-t-elle à Daniel, commentant évidemment mes cris étouffés de plaisir.
– Je ne suis pas sûr, peut-être qu’elle te supplie d’arrêter, répond il à Sarah. C’est ça que tu veux, salope ?
« Non ! Surtout pas ! Criais-je dans mon bâillon. Je suis si près de jouir ! »
– On dirait qu’elle me demande d’arrêter, continue Sarah. Bon ! Je croyais qu’elle avait envie de jouir cette pute…
« Non ! S’il vous plaît ! Non ! » Je crie inutilement car les vibrations s’éloignent de ma chatte.
– Je pense que ça va lui plaire ici.
Et sans avertissement, elle pose le vibro sur mon clito !
« Ouiiiii, ne bouge plus ! »
Mais elle le retire. Je gémis de plus en plus fort ! Elle le repose et appui avec sur mon clito. Je hurle, je vais venir.
Et elle fait ça plusieurs fois pendant que mon orgasme approche !
– Je pense que ça suffit pour l’instant.
« Non ! Comment peut-elle me faire çà ! »
Elle a désactivé le vibreur alors que je suis au bord de l’orgasme, le corps complètement arqué ! Tout mon corps s’affale sur la table complètement frustrée. Trois secondes de plus et je jouissais !
– Et bien, tu en a fais du gâchis ! Commente Sarah en essuyant le gode sur ma peau. Quelle salope !
– Et regarde par terre ! Ajoute Daniel ! Une vraie chienne !
Vu ce que je sens sur mes jambes je ne suis pas surprise que ça ai coulé sur le sol.
– Montons là dans la chambre. C’est à moi de m’en occuper.

Ce fut un soulagement de pouvoir bouger mes bras et mes jambes mais le répit est de courte duré, car Daniel vient de faire sauter mon soutien-gorge.
– Whaou ! Énormes et néanmoins parfait !
Je reprends mon souffle quand il en prend un dans sa main et qu’il serre mon téton entre son pouce et l’index avant de le pincer.
– Tout comme je le soupçonnais, dit-il en ricanant. Complètement durs !
Tremblante, je suis remise à genoux et une nouvelle fois menottée les bras dans le dos.
Tout à coup mon bandeau est arraché et après avoir habitué mes yeux à la lumière, je vois que je suis dans une chambre avec un grand lit qui domine la pièce alors qu’une télévision à écran plat très moderne est accrochée sur le mur d’en face.
Devant moi Daniel et Sarah, ont l’air content d’eux alors que moi je suis encore frémissante d’avoir été excitée jusqu’au bord d’un orgasme.
– Retire-lui son slip de la bouche ! Aboie Daniel. Je vais voir comment cette salope aime et suce une bite !
Je regarde Daniel détacher lentement et dangereusement sa ceinture. Je sais dans mon for intérieur, qu’il doit être bien membré, et je ne suis pas surprise lorsque son pénis apparais devant moi. A moitié bandé, sa bite me paraît délicieuse et je me dis qu’elle doit être aussi longue que celle de mon fils quand elle sera en pleine érection.
Il reste quelques poils pubiens taillés au-dessus de sa bite tandis que ses couilles, de belle taille, sont complètement sans poil.
– Alors petite Kate, tu aime ce que tu vois ?
D’un air convaincu, à voir mes yeux brillant de désir.
– Maintenant montre moi tes talents de pipeuse.
J’avance sur mes genoux pour mettre ma bouche à quelques centimètres de son aine.
– Stop ! Dit-il en mettant ses mains sur mes épaules et m’arrêtant dans mon élan.
– Tu dois avoir la permission de ton maître.
– Oh s’il vous plaît, maître. Laissez-moi sucer votre bite, suppliais-je désespérément.
– Tu peux faire mieux, salope !
– S’il vous plaît maître. Ton esclave veut une bite à sucer. Je veux te sucer comme une bonne putain !
Il me lâche et je laisse courir ma langue le long de la partie inférieure de sa queue, puis je remonte jusqu’à son gland violet que je prends entre mes lèvres en titillant son prépuce de ma langue. Daniel réagit immédiatement en gémissant.
– AAaahhh, ma salope ! Tu es vraiment une bonne suceuse de bite !
Encouragé par les gémissements de Daniel, je lui taille une pipe magistrale en augmentant mon rythme progressivement. Je porte une attention particulière à effleurer le bout de son membre, que je sens très réceptif à chaque fois que je le fais. Bientôt, je sens sa main sur ma nuque, me guidant vers le bas, vers ses couilles. Je les prends dans ma bouche, une à la fois, en leur donnant des soins spéciaux en les suçant et agitant ma langue autour d’elles. En relevant ma tête et regardant Daniel, je vois ses yeux fermés et son corps entier tendu et concentré.
– Je ne croyais pas que tu serais aussi salope que ça, Kate ! Dit-il en essayant de garder son sang-froid.
Avec les deux mains de Daniel maintenant cramponné fermement sur l’arrière de ma tête, je reprends sa belle queue dans ma bouche. Sensuellement, je la suce et j’aspire son gland avant de la reprendre entièrement dans ma bouche. C’est absolument divin, car je la sens grandir dans ma bouche, et qu’en il bande complètement, je sens son gland qui touche le fond de ma gorge.
– Whaoo ! On dirait bien qu’elle est habituée aux grandes bites. Pouffe Sarah derrière moi.
– Sûr ! Ce n’est pas sa première ! Et elle a faim la salope ! Grogne Daniel
Il a raison, ce n’est pas ma première queue mais la sienne est une des plus grande que j’ai sucée. Je voudrais bien la sentir dans ma chatte. Les mains de Daniel sur mes cheveux, il dirige ma tête et la maintient en place au fond de ma gorge pendant plusieurs secondes avant que je reprenne mon souffle.
– Oh oui, halète-t-il. Je parie même que ma petite salope aime qu’on lui arrose son visage de foutre !
A ses grognements je sens que son orgasme est imminent.
– Ta bouche est merveilleuse, dit-il un peu essoufflé.
– Mais je n’en ai pas encore fini avec toi !

J’ouvre ma bouche et reprends une bouffée d’air pendant qu’il retire sa bite qui reste reliée à son gland par une fine traînée de salive. Sans effort il me décolle du sol et me balance sur le grand lit. Il tire mes pieds sur le bord du lit et je sais que mon cul et ma chatte sont totalement disponibles. Daniel écarte mes jambes et mes chevilles sont attachées à une barre du lit pour me maintenir complètement écartelée, à leur disposition.
Je me prépare mentalement pour la baise que j’attends impatiemment. Je veux sentir sa bite dans ma chatte encore trempée. Je l’ai senti si épaisse et longue dans ma bouche, que je suis sûre qu’elle va être merveilleuse dans ma chatte en feu. J’espère juste qu’il ne va pas la mettre dans mon cul vu sa grosseur. J’entends Sarah dire.
– J’aime la voir comme ça cette salope de bourgeoise. Elle est bien ouverte et disponible. Tout à fait comme une salope doit être !
Je tourne ma tête et mes yeux s’illuminent.
Sarah marche vers moi, complètement nue et elle est belle à couper le souffle. Ses seins sans être gros se dressent fièrement, sans défaut, parfaitement proportionnés avec le reste de son corps, et couronnés par un délicieux mamelon rose. Ils vont parfaitement proportionnés avec sa taille fine. Je regarde sa chatte parfaitement rasée, et je retrouve ses lèvres roses et fines que j’ai déjà aperçues chez Jeannine. Un soupçon d’humidité apparaît sur ses grandes lèvres
– Ma salope est-elle disposée à lécher ma chatte ?
Dit-elle en grimpant sur le lit.
Ce n’est vraiment une question, il s’agit plus d’un ordre car elle m’enjambe au dessus de mes épaules. Même de près, ses cuisses, la rondeur de ses fesses, sa chatte, tout est parfait, bien proportionné et sans défauts de peau. Comme une toute jeune fille car elle n’a laissé que quelques petits poils blonds au dessus de son clitoris. Et je ne me suis pas trompé, je vois clairement sa moiteur maintenant qu’elle est si près de mon visage.
– Si tu me montre tes talents de suceuse et que je suis satisfaite, tu auras droit de sentir sa belle bite dans ta chatte. Me dit la belle blonde d’une façon désinvolte.
Je voulais la bite de Daniel dans ma chatte comme dans ma bouche mais ais-je vraiment le choix ?
Je sors ma langue et je passe le bout, de haut en bas, sur ses lèvres et étrangement je pense à ma fille. Entendant un petit gémissement je prends ça comme un encouragement et je recommence plusieurs fois en enfonçant un peu ma langue et en m’attardant sur son clitoris tout rond.
– Pas mal…tu es peut-être aussi douée que pour les bites. Continue, salope.
J’augmente la vitesse de mes léchouilles, j’écarte ses grandes lèvres et je pousse ma langue plus profondément entre ses nymphes qui s’entrouvre assez facilement et je lape même le jus qui commence à couler.
– OOOhhhh, continue comme ça, salope. Ouiiiiii. Comme ça !
Sarah semble apprécier mes talents de suceuse et je vois qu’elle se pince ses tétons délicats.
Je continue de plonger le plus loin possible dans sa chatte qui maintenant mouille autant que la mienne. Elle ne tarde pas à prendre ma tête dans ses mains pour me plaquer la bouche sur sa chatte délicieuse et me forcer à la dévorer et à laper son jus qui coule sur mon visage.
Sarah pousse un hurlement et tout son corps tremble sous l’orgasme que je viens de lui procurer.
– Whaou, on a aussi entre les mains une salope de lesbienne ! Dit Daniel en rigolant.
Il s’approche de nous et je remarque qu’il est complètement nu et sa bite est toujours aussi arrogante.
– A-t-elle gagné l’épreuve pour avoir l’honneur de sentir ma bite dans sa chatte de salope ?
– Je…pense que…oui. Halète Sarah alors qu’elle tente désespérément de reprendre son souffle.
Elle libère ma tête et me demande.
– C’est ce que tu veux, Kate ?
– Oh, oui, maîtresse. Répondais-je, mes yeux dans les siens, essayant de lui montrer à quel point j’ai besoin d’une bite et de sperme.
– Tu peux faire mieux que çà.
– S’il vous plait, maîtresse, laissez maître Daniel me prendre avec sa queue magnifique.
– Voila ! C’est comme ça qu’une esclave demande à son maître de bien vouloir la baiser. T’es vraiment une salope, Kate. N’est ce pas Kate ?
– Oui, maîtresse, J’aime les bites, les grosses bites. J’aime être une salope soumise et a votre disposition.
Je ne sais plus si je joue leur jeu de pervers ou si je le fait malgré moi, en étant vraiment soumise et salope comme ils aiment le dire.
– Daniel, cette putain est à toi. Je te l’offre.
Daniel s’approche de moi et me murmure dans l’oreille.
– Depuis que je t’ai vu à la soirée de Jeannine j’attends ce moment désespérément.

Ils me libèrent de mes entraves et il me retourne pour me mettre à genoux. Je sens une montée d’adrénaline quand il pousse sa bite entre mes plis de chatte et d’un seul coup je me sens pleine, envahie, empalée par sa queue qui défonce ma chatte, heureusement trempée et glissante.
Il ne perd pas une seconde et commence à me baiser sur un rythme régulier, mais rapide, en faisant aller venir dans ma chatte brûlante toute la longueur de sa queue.
Sarah se glisse sous ma tête et me dit.
– Je ne t’ai pas dis d’arrêter de me bouffer la chatte !
Vas-y salope ! Et ne t’avise pas de jouir avant moi !
Il m’est difficile de me concentrer sur la chatte de Sarah alors que Daniel continue de me baiser sauvagement. Chaque fois que je sens son pubis claquer sur mon cul, je laisse échapper un long gémissement d’extase, mais finalement je réussis à concentrer mon attention sur son sexe.
Je sens que je ne vais pas tenir longtemps sous ces coups de bite et avec cette chatte sous ma bouche. Donc ma langue devient plus agressive dans la chatte de la blonde, lui provoquant un cri de plaisir. En bonne salope et experte de chatte, je lui bouffe ses chairs sensibles et vicieusement je mords son clito tout gonflé en retenant mon orgasme que je sens venir.
Je commence à avoir mal à ma mâchoire mais
les mains de Sarah, une fois de plus me plaque sur sa chatte et je l’entends gueuler de plaisir.
– AAAaaaaahhhhh, ouiiiiiiiiii. La salope elle me fait encore jouiiiirrrrrrrrr !
Je redouble mes efforts et je sens dans sa chatte les répercutions de ses spasmes qui descendent comme des vagues de plaisir orgasmique.
Quand elle retrouve son calme, elle laisse courir son doigt au milieu de sa chatte trempée et avec un sourire victorieux elle dit.
– T’es une bonne esclave. Tu as gagné le droit de jouir !
Sous la puissance de son orgasme, j’en ai oublié le mien mais lorsque je sens les mains de Daniel att****r mes hanches, je me prépare à être baiser comme jamais !
Oh mon Dieu, c’est absolument incroyable ! La vitesse de ses poussées dans mon trou à bites excite toute mes terminaisons nerveuses sexuelles et je vois que Sarah ne me quitte pas des yeux, en attente de me voir jouir sous les pénétrations brutales de son amant.
Nos yeux verrouillés, je sens que le moment est venu, tout mon corps entre en éruption sous mon orgasme qui explose. Le corps plein de spasme je m’écroule sur le lit, ma sueur dégoulinant de mon front.
– C’n’est pas le moment de dormir ! Je n’ai pas fini ! Grogne Daniel.

Il me soulève et il me pilonne avec une telle force que j’ai peur qu’il me brise le col de l’utérus à chaque fois que son nœud vient le frapper avec v******e.
Peu à peu, je sens ses gémissements gagner en puissance et dans un hurlement de bête sauvage, il jouit !
– AAAAAAHHHHHHH la putain de salope ! Je jouiiiiiiiiiiisssss !
Je sens une décharge frapper le fond de mon vagin puis il se retire pour arroser mes fesses et mon dos de son foutre chaud avant de s’écrouler prés de moi.
Je pousse un cri en regardant la pendule et je coure dans la salle de bains pour faire une rapide toilette. En ressortant je vois Daniel et Sarah étroitement enlacés et avec stupeur je vois sur l’écran de télé le film de nos ébats ! Ils nous ont filmés ! Les putains de salauds ! Il faudra qu’on en parle !
Mais je n’ai pas le temps, il faut que je retrouve ma famille qui m’attend.
A suivre
Phantome

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