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Un voyage en train : Chapitre I

Un voyage en train : Chapitre I



J’arrive à la gare pour prendre le train pour Paris, l’endroit est désert, je prends un café, histoire de patienter. Mon train arrive, je rentre dans le wagon. Je cherche ma place, je me retrouve assis à côté d’une dame très classe la cinquantaine, je range mes affaires et je m’installe pour le trajet.
Le train démarre je commence à bouquiner, mais du coin de l’œil je remarque ma voisine qui joue avec sa chaussure. C’est une chaussure à talon haut, qui va très bien avec son style. Je ne comprends pas pourquoi son petit jeu attire mon regard. Je délaisse mon livre et observe, discrètement, son petit jeu. Elle balance sa chaussure à l’extrémité de son pied droit, doucement puis le pose par terre, puis recommence, étrangement ce spectacle est assez hypnotisant.
Tout à coup, la chaussure tombe laissant apparaître un pied magnifique, je ne peux m’empêcher de le regarder, il est vraiment parfait.

– « Monsieur ? Monsieur ? »

La voix de ma voisine me ramène à la réalité.

– Oui ? excusez-moi j’étais ailleurs.
– Comme vous l’avez surement remarqué j’ai perdu ma chaussure, est ce que vous voulez bien me la retrouver ?
– Oui bien sûr.

Elle a donc remarqué que je regardais son pied. Ce n’est pas grave je retrouve sa chaussure cet incident sera clos. Je regarde sous le siège et je me rends compte que sa chaussure est passé derrière. Je la récupère je reviens à ma place et lui tend sa chaussure. Elle pose ses jambes sur mes cuisses, ses deux pieds sont à présent déchaussé, elle s’amuse à faire bouger ses orteils et me dit :

– J’espère que ça ne te gêne pas.

Avant même que j’ai le temps de répondre je suis hypnotisé par le mouvement de ses orteils et je réponds juste un non de la tête.

– Masse-les, ça me fera du bien

Sans réfléchir je m’occupe de ses deux trésors. Je ne comprends pas trop ce qu’il passe, mais le fait de masser ces deux pieds magnifiques me fait énormément bander.

– Tu ne comprends toujours pas c’est bien ça ? Embrasse-les tu verras.
– Embrassez vos pieds ? C’est très étrange non ?
– Tu en meurs d’envie regarde comment ils sont mignons, embrasse les une seule fois ça restera entre nous.
– D’accord.

J’embrasse le pied droit.

– Embrasse le gauche aussi regarde il est jaloux.

J’embrasse le pied gauche.

– Tu vois ce n’étais pas si compliqué. Une dernière chose et je te laisse tranquille, embrasse l’intérieur de mes chaussures, remet les sur mes pieds.

J’exécute ses ordres, j’embrasse sa chaussure droite, profitant de son parfum, et je la remets sur son pied droit. Je fais pareil avec sa chaussure gauche.

– Bien, maintenant si tu en veux plus il va falloir que l’on parle de ta soumission.

Je la regarde étonné, ses jambes sont toujours sur moi. Elle ne dit plus rien, je ne comprends pas ou elle veut en venir. Elle recommence à faire balancer ses chaussures du bout de ses orteils, sauf que cette fois ci un léger parfum enivrant arrive à mes narines. J’essaye de ne pas y faire attention, mais après avoir pu en profiter dans ses chaussures l’envie d’y replonger mon nez deviens de plus en plus insistante.
J’essaye de passer à autre chose en entamant une conversation banale, j’apprends que ma voisine s’appelle Sofia, qu’elle descend à la même gare que moi et qu’elle a cinquante-deux ans. Elle ne les fait pas, elle est vraiment ravissante et ses pieds… L’odeur se fait de plus en plus instante et je n’ai envie que d’une seule chose c’est qu’elle fasse à nouveau tomber une de ses chaussures, pour y mettre mon nez dedans.
Comme rien ne se passe je décide de feindre une maladresse pour la déchausser et arriver à mes fins. Je fais semblant de chercher quelque chose dans mes affaires, et je m’arrange pour faire tomber sa chaussure droite.

– Excusez-moi Sofia je vais vous rechausser tout de suite.

Un grand sourire se dessine sur son visage et elle me dit :

– Tu crois vraiment que cela va être aussi facile ?
– Je ne comprends pas, que voulez-vous dire ?
– Tu as fait exprès de faire tomber ma chaussure, tu veux admirer mon pied peut être ?
– Non je vous assure…
– Ramasse ma chaussure !
– Oui très bien mais…
– Regarde comme il est magnifique

Je ramasse sa chaussure, et lorsque je pose mes yeux sur son pied je la vois bouger ses orteils.

– Ne t’en fais pas ce n’est que le premier pas vers ta soumission à mes pieds. Je vois que tu meurs d’envie de t’occuper d’eux c’est un bon début. Tu bandes déjà en les voyants.

Je reste sans voix je ne sais pas quoi lui dire, mais elle a raison, je veux m’occuper de ces divins pieds. Elle tend son pied déchaussé vers moi et dit :

– Embrasse-le comme signe de soumission et je te laisserai peut-être jouer avec eux.

Je baisse la tête et j’embrasse son pied.

– Encore

Je recommence la manœuvre, mais là elle me met ses orteils dans ma bouche et me regarde en souriant.

– Régale-toi, bien je sais que tu n’attendais que ça.

Elle a raison, depuis que j’ai vu ses pieds je ne pense qu’as m’occuper d’eux. Elle s’amuse à faire bouger ses orteils dans ma bouche. Comment lui résister ? Je n’en ai pas envie je me régale je lui suce chaque orteil en y prenant un étrange plaisir, j’adore ce gout, c’est si envoûtant. Elle retire son pied de ma bouche et me dit :

– Voilà tu as franchi une étape, respire à fond ma chaussure comme acceptation de ta soumission et je te ferai découvrir tous les plaisirs que peuvent te procurer mes pieds.

Je prends sa chaussure et oui, je respire à fond, l’odeur est si forte, si délicieuse. Elle me regarde avec un grand sourire satisfait, et je n’ai envie que d’une chose retourner m’occuper de ses pieds divins.
Elle me regarde en train de m’enivré de son parfum, elle ne dit rien. J’ai le nez enfoui au fond de sa chaussure, j’en ai presque la tête qui tourne. L’odeur suave me monte à la tête. Sofia, toujours avec son sourire satisfait, m’ordonne d’arrêter. Étrangement je ne peux plus lui résister, je retire mon nez de sa chaussure. Elle me dit alors :

– Tu as apprécié on dirait, vue le temps que tu en as profité.
– L’odeur était si… enivrante.

Elle me prend sa chaussure de mes mains et ma la plaque contre le nez à nouveau en me disant :

– Respire bien, profite en encore, chaque respiration que tu prendras te rapprocheras de mes pieds, c’est un cadeau que je te fais, et de ta soumission totale aussi bien entendu.

Je ne fais pas vraiment attention à ce quelle dit et profite encore de ce qu’elle m’offre, je respire à plein nez son parfum divin. Après quelques, trop courte, minutes elle retire la chaussure de mon nez. Je bande comme jamais. Elle reprit la parole :

– Maintenant que tu as bien profité de ma chaussure, finissons ton éducation.
– Que voulez-vous dire Sofia ?
– Ne fait pas l’étonné, depuis que tu es assis à côté de moi, ton attention est fixée sur mes pieds. Il est temps pour
toi d’accepter ce que tu veux vraiment, les chérir, me servir même.

Tout comme Sofia prononcé ces mots, mon attention était attirée par son pied droit, sans chaussure, dont elle fait bouger les orteils.

– Tu vois tu ne fais même plus attentions à ce que je dis c’est devenu une obsession.
– Pardon Sofia ? Vous disiez ?

Sofia a un grand sourire comme si elle était arrivée à ses fin, elle enlève sa seconde chaussure, ses pieds magnifiques sont de nouveau à portée de moi, elle s’approche de mon oreille et me dit doucement :

– Voilà comment ça va se passer, je vais ouvrir ton pantalon et mettre ta bite, qui bande bien déjà, dans ma chaussure et te branler. Tu dois éjaculer dans ma chaussure, maintenant il y a quelques règles, si pendant que je fais ça tu touches, ou lèche mes pieds, je veux que tu comprennes bien que ta soumission sera totale, tu deviendras mon esclave.

Sofia ouvre mon pantalon, je la sens sortir ma bite. Je ressens le contact du cuir de sa chaussure. Elle commence des va et viens de haut en bas. Je vois ses pieds, magnifique, surélevé devant, juste devant mon visage. Je sens leur odeur juste devant mon nez, cette odeur qui me rend fou. Je vois aussi qu’elle s’amuse à faire bouger ses orteils. Divin, tout ça devant ma bouche, il me suffirait de me pencher pour profiter de ces trésors. Sofia continu de me branler, je ne pensais pas que le contact de sa chaussure me procurerait autant de plaisir. Cette odeur me monte à la tête, c’est comme si chaque orteil couvert de nylon me disait de le lécher.
Je n’en peux plus, je penche ma tête vers un de ses pieds. J’ouvre la bouche. Je commence par lécher son gros orteil, puis je le prends dans ma bouche, le suce, je fais bien le tour avec ma langue. C’est un délice. Je continu avec chaque orteil. Dans un plaisir immense, j’éjacule dans sa chaussure. Elle l’enlève, referme mon pantalon et me dis :

– C’est bien esclave tu connais enfin ta place, mais passe à l’autre pied maintenant qu’il ne soit pas jaloux.
– Oui, très bien Maitresse Sofia
– Et ne t’inquiète pas, le voyage n’est pas fini ça fait que commencer.

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