Comme ma première expérience de soumise m’avais bien plu, mon mari avait décidé de recontacter mon Maître. Nous devions y retourner deux semaines plus tard, mais cette fois-ci, en après-midi.
Je me préparais donc à cette séance de dressage mentalement. Je ne savais pas du tout ce qui allais ce passer et Mickael, m’avais dit que lui non plu ne savais pas, le Maître déciderai de lui-même. A l’heure de partir, je mettais donc juste mon imper en restant nue en dessous comme me l’avais clairement expliqué le Maître. J’étais très impatiente et très excitée aussi pendant le trajet, je sentais ma chatte se lubrifier doucement, quand même des fois je suis vraiment salope…
Arrivé sur les lieux, nous nous dirigions vers la porte, le Maitre venait nous ouvrir et nous firent entrer dans le hall. Je posais mon imper noir au porte-manteau, me mis à genoux et sortis la bite du Maître de son pantalon. Cette fois-ci, il était mou. Je l’introduisais dans ma bouche et commencais des mouvements de succion et de va et vient. Au bout de quelques minutes, alors qu’il était devenu bien raide, il m’arrêta et m’avais dit:
– Très bien.
Il mis sa main dans sa poche et en sorti un collier avec une laisse. Il m’accrochait le collier autour de ma gorge, c’était un collier étrangleur. Il tira d’un coup sec sur la laisse:
– Avance à quatre-pattes comme une vraie chienne et obéis à tous mes ordres, as-tu compris?
– Oui Maître.
Dans quoi je m’embarquais? Je ne le savais pas vraiment, j’avais eu à ce moment un petit frisson de peur. Mais pas question d’arrêter, je voulais aller plus loin.
Il me fit donc entrer dans la salle comme si j’étais une chienne, il m’entrainait au milieu de cette salle. Le sol était recouvert d’un plastique froid, il m’avais dit de me mettre au milieu de se plastique et de ne plus bouger. Je levais la tête et apperçu une jeune femme nue, qui était debout les jambes légèrement écartées car entre ses pieds se trouvait une bassine. je ne compris pas pourquoi. Elle avait une vingtaine d’années, asiatique, les cheveux long noir détachés, la silhouette très mince et des seins de taille moyenne.
Le Maitre étais partis dans une armoire chercher des accessoires. Il revenait avec deux batons de deux tailles différentes avec de chaque côté des menottes. Il m’en mis un entre mes bras et l’autre entre mes cuisses, de cette façon, m’avait-il dit, je ne pouvais faire aucun gestes. J’étais complètement sous son emprise comme ça. Celà m’excitais drôlement.
Il se mis devant moi, sortit lui même sa queue flasque et me la mis dans la bouche. Comme j’étais attaché, il faisait lui-même les mouvements. Il y allait à fond, touchant mes amygdales. Heureusement, j’avais l’habitude car mon mari adore les gorges profondes. En même temps qu’il me labourait la bouche il se mis à me titiller les tétons. Au départ gentiment, et puis plus violemment. Il me les serraient, les tournaient dans tous les sens, celà m’arrachais des cris de douleurs. Il s’arrêta sans avoir joui. Il appella sa soumise, la jeune asiatique:
– Soumise, pisse dans ta bassine.
Elle s’éxécutait, elle se baissait et je pu voir son jet doré couler. Une fois fait, elle se relevait sans rien dire.
– Maintenant viens ici, allonges-toi devant, ma chienne va te laver.
Elle obéissait, se mettait sur le dos les jambes écartées devant ma bouche.
– Chienne, nettoie-la avec précision, lèche la comme une vraie chienne.
J’eu le cours d’un instant un petit haut le coeur en sentant l’odeur d’urine mais j’obéissais. Je baissait la tête et commencais son nettoyage. Ma bouche se posait sur son clito, je le léchais, l’aspirais entre mes lèvres. Je faisait glisser ma langue le long de sa vulve et la pénétrait. Elle poussait de léger gémissements. J’aimais la lécher, elle était douce. Je continuais ainsi pendant plusieurs minutes, alternant, l’aspiration de ses lèvres, de son clito et la pénétration de ma langue en elle. Je réussit à le faire jouir, sa mouille coulait beaucoup, je prenais tout dans ma bouche, elle avait un goût sucré. Mon Maître arrêta se plaisir en me tirant d’un coup sec sur ma laisse ce qui me bloquait la respiration le temps d’une seconde.
– Soumise, lève toi et va chercher la gamelle de ma chienne, elle a soif.
Je m’attendais à ce qu’elle m’apporte de l’eau ou bien même du lait, mais non, dans la petite gamelle en inox se trouvait… du sperme. Une gamelle rempli de sperme d’inconnus.
– Chienne, tu vas laper tout ça comme une vraie chienne, je ne veux aucun reste.
Celà ne me dérangeais pas plus que ça, j’aiamais le goût du sperme. Je commencais donc à lécher doucement ce liquide visqueux et salé quand d’un coup, je sentais le Maitre derrière moi. Il avait introduit un doigt dans ma chatte. Il faisait des va et viens rapide, puis deux doigts. Je gémissais de plaisir, j’aimais ça.
– Lèche ta gamelle, sale chienne.
Je repris donc mon breuvage. De son autre main, le Maitre me pincais le clito, celà me faisait assez mal. Je gémissait de plaisir et en même temps de douleur, je ne savais plus quoi penser, alors j’essayais de me concentré sur ma gamelle de foutre.
Le Maitre passait de deux doigts à trois, puis quatre puis… la main. C’était la première fois qu’on me fistait la chatte. Il y allait avec entrain, rentrait sa main et la resortais avec facilité. Je mouillais comme une salope. Le Maître ferma sa main et me fourrait alors son poing, ce qui eu l’effet de me faire crier car en plus il avait serré mon clito très fort. Il faisait ceci de plus en plus vite, et sans comprendre pourquoi, je réussissais à jouir.
Il revenait devant moi, se masturbait au dessus de la gamelle, que j’avais fini et joui dedans. Bien sur j’avais compris que je devais lécher aussi. Il repassait alors derrière, je me demandais pourquoi faire, c’est alors que j’avais senti un truc chaud et liquide arriver sur mes fesses. Mais oui je ne rêvais pas, il me pissais dessus. Sa pisse me coulais le long de mes trous. C’était aussi la première fois qu’on me faisait de l’uro. Une fois qu’il c’était bien vider les couilles, il m’avais dit:
– Tu es une très bonne chienne. Viens je te ramène à ton mari.
– Voici votre pute, elle a réussi son dressage. Si vous voulez me revoir, recontactez moi.
Depuis, nous n’avons pas recontacté le maître, j’avais connu le monde du SM et pour l’instant celà me suffis. Mais il m’est arrivé encore plein de petites aventures…
Ajouter un commentaire