Chapitre2
Cette fois, et contre toute attente, elle y dévoilait sans détours son identité, et plus encore, elle avait joint une photo personnelle. Sur cette photo, elle y était légèrement vêtue, un simple déshabillé transparent la couvrait, sans rien dessous. Elle prenait une pose provocante, jambes écartées, face à l’objectif, sans la moindre pudeur. Un petit sourire enjôleur en coin, elle semblait vouloir exciter le photographe.
Pas de doute possible, cette élève que j’avais eu le matin même dans ma salle de cours, au troisième rang c’était bien Elodie Schmitt. J’étais tellement excité par ce cliché que je ne pouvais détourner le regard de cette obsédante image, je devais me résoudre à l’idée, ces formes ne me laissaient aucunement indifférent.
Cependant je n’étais pas au bout de mes surprises quand je déchiffrais au bas du mail un post scriptum, que je relus à plusieurs reprises pour être bien sûr de ne pas avoir rêvé.
« ps : si tu as envie de te branler sur ma photo, ne te gêne surtout pas. Mais n’oublie pas de prendre un cliché pour moi. Avec ton smartphone, fais-moi un MMS, que je puisse à mon tour jouer avec mon petit bouton. »
Elle concluait en donnant son numéro de téléphone portable.
J’étais en apnée ayant du mal à respirer. Le mail d’Elodie avait fait l’effet d’un bombe sur mon psychisme, cette innocente élève qui de prime abord n’avait rien éveillé en moi de particulier depuis le début de l’année scolaire, tout d’un coup avait boosté ma libido à un niveau rarement atteint par le passé ! Je bandais. Si ma copine avait été présente peut être aurais je réussis à me calmer en la baisant comme un fou, malheureusement elle bossait en ce mercredi après midi.
Soudain j’entendis la porte d’entrée, je fermais rapidement ma boite mail et tentait tant bien que mal de masquer mon érection.
« Il y a quelqu’un ? »
Je reconnu la voix de Sophie, la plus jeune fille de ma concubine.
« Oui ici, je suis à l’étage… »
Après quelques secondes je vis apparaître la superbe frimousse de ma belle-fille, dans l’encadrement de la porte.
« Dis moi Serge, je viens de la gym là et je voulais profiter du lave linge de maman pour laver mes affaires sales et j’aimerais bien prendre une douche cela te déranges ? »
« Pas du tout ma grande fais comme chez toi, laisses tes affaires dans la panière à linge du cellier, ta mère fera surement une lessive ce soir en rentrant, tu pourras les récupérer en fin de semaine. »
« C’est cool merci. J’y vais j’ai rendez-vous après avec Sylvain, ciao ! »
Je l’entendis descendre les escaliers et pousser la porte du cellier, ensuite elle pris la direction de la salle de bain.
Me voila plus excité que jamais, j’imagine la fille de ma copine nue sous sa douche sans compter la photo alléchante d’Elodie, qui m’attend sur l’ordinateur.
Dés que j’entend la douche couler, je ne peux résister, je me précipite alors dans le cellier pour fouiner dans le bac à linge et je ne mets pas longtemps à dénicher une culotte en coton blanc, cachée sous un legging. Je portais la culotte à mes narines pour me délecter des odeurs intimes de Sophie les traces blanches de sa chatte ne laissent pas beaucoup de doutes sur son excitation lors de sa séance de gymnastique. Certainement une bonne cochonne comme sa mère qui doit couler de la chatte dès qu’elle matte les corps superbes de garçons faisant des agrès.
Alors que Sophie est toujours à la douche, du moins le croyais je, je remonte dans mon bureau, pour rouvrir le mail d’Elodie. Fiévreux, je déboutonne avec peine mon jean, baisse mon slip, sort mon sexe qui me faisait mal tellement il était dur, et commence à me branler en admirant la posture provocante de cette élève dont j’étais loin d’imaginer la perversité lorsque je l’interrogeais sur une question de cours. Alors que j’avais toujours la culotte de Sophie sous le nez, je faisais courir mes doigts sur la hampe de chair que constituait mon sexe bandé.
Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour jouir entre les doigts, et la honte m’envahit alors. Je n’avais pas fait attention au fait que je n’entendais plus la douche couler, alors en panique, je remontais mon slip et mon pantalon bien que le sperme collait encore mes poils pubiens et je jetais rapidement la culotte de Sophie sous un lit d’appoint, puis je mettais le mail d’Elodie à la poubelle et la vidait sans attendre, pour ne laisser aucune trace sur l’ordinateur familial.
Je remarquais un mouvement furtif dans l’embrasure de la porte, mon cœur battait à 100 à l’heure, pourvue que Sophie n’ai rien vu. J’y pensais toute l’après-midi, et Murielle mon amie dût s’apercevoir de mon malaise lorsqu’elle rentra. Je n’osais la regarder dans les yeux, encore sous le coup de la honte.
« Dis mon amour j’ai croisé Sophie tout à l’heure en ville, elle m’a parlé de toi… »
Mon cœur cessa de battre, je fus pris d’une nausée subite, je me liquéfiais sur place…
A suivre…
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