Je voyais Amalia assez regulierement. Le plus souvent en réunion de famille, et de plus en plus, je voyais qu’elle cherchait à m’éviter. Mais elle revenait toujours d’elle-même, vers la fin du mois, ne pouvant ni me rembourser, ni payer ses nouvelles factures. Cette semaine, elle n’avait pas répondu à mes sms. Et je voyais sur Facebook qu’elle passait du bon temps avec ses copines, à manger au restaurant et se faire les magasins.
Je décidai de ne plus rien lui donner, je l’avais certes baisée plusieurs fois, mais là je sentais qu’elle me prenait pour un con tout juste bon à lui faire des chèques de temps en temps. Je décidait d’attendre, de voir venir.
Et je n’eu pas trop longtemps à attendre.
Au début du mois, elle m’envoya un email assez court indiquant :
« salut, j’ai été assez occupée ces derniers jours, désolée de ne pas t’avoir répondu. Peux tu me faire un virement rapidement pour mon loyer. Merci. »
Je trouvais cela trop facile. Elle me contactait par email, il n’y a rien de plus impersonnel, et ensuite en la payant par virement, je n’avais même plus à la rencontrer. Je laissais le message sans réponse, et deux jours plus tard, elle m’en envoya un autre :
« As tu fait le virement ? toujours rien recu »
Là, je sortais mon téléphone pour l’appeler, et oh miracle ! , elle me répondit.
– Je m’inquiétais, me dit elle. Ca va ?
– Je ne vais plus te passer d’argent Amalia.
– Quoi tu me dis ça comme ça ? mais comment je vais faire ?
– Je sais pas… c’est ton problème.
Et je raccrochais.
Elle a tenté de me rappeller deux fois, puis plus rien.
Enfin presque plus rien, puisque un quart d’heure plus tard, on sonnait à la porte de la maison. J’ouvrais, et Amalia se tenait devant moi, en tenue de survetement Addidas. Elle entra sans un mot, et je n’avais pas commencé à fermer la porte qu’elle se mettait à genoux devant moi et me deboutonnait le pantalon. Je la laissais faire sans dire un mot. Elle sortit ma queue, et l’engouffra dans sa bouche. Elle se mit à me sucer langoureusement, ce qui me fit bander. Je la laissais faire pendant deux minutes, puis je reculais un peu, et lui fit signe d’aller avec moi dans le salon. Je m’arretais au niveau de la machine à laver le linge, qui n’avait pas encore tournée, et en sortait une culotte sale de ma femme, avec de belles traces blanches au centre.
Je tirai un fauteuil face au canapé. Je regardais Amalia et lui dit :
– A poil et tu t’assieds là. Garde juste ta culotte.
Et je m’installais dans le canapé en me calant bien entre les coussins, tout en regardant Amalia retirer le sweet de son survetement, laissant apparaitre un beau soutien gorge noir et rose transparent, en dentelles, qu’elle retira également, mettant à nu ses seins généreux.
Puis elle retira ses chaussures et baissa son pantalon, devoilant une culotte assortie au soutien gorge, tout aussi transparente. Elle s’asseya dans le fauteuil situé à 2m en face de moi, et je pouvais voir parfaitement sa chatte au travers.
– Branle toi la chatte à travers ta culotte, en me regardant, et lèche ça en meme temps.
J’envoyais la culotte de ma femme à Amalia, qui la rattrappa, et l’ouvrit. Sans se donner le temps de reflechir, elle amena la culotte à sa bouche, et commença à lécher les traces blanches de sa soeur, tout en commençant à faire tournoyer ses doigts sur sa culotte.
– Branle toi plus fort. Branle toi comme une grosse salope en fait.
Amalia arreta de faire tournoyer ses doigts, et se mit à frotter ses doigts de haut en bas sur sa culotte.
– Je veux qu’elle soit toute propre la culotte, que tu leches toutes les traces, et ensuite, j’irai la remettre dans son tiroir avec son linge propre. Et je veux que tu jutes dans ta culotte par contre, je veux que ça sente la mouille dans toute la pièce.
Amalia se frottait la chatte de plus en plus vite, et je pouvais entendre le petit bruit mouillé de sa moule qui commençait à couler de plaisir. Elle léchait la culotte à pleine langue, regardant de temps en temps où il restait des places.
Tandis qu’Amalia gémissait de plus en plus, j’entendis des petits pas discrets derrière moi.
– Cherie, viens voir, ta soeur est venue nous rendre visite.
Ma femme entra dans le salon et stoppa net, bouche bée, devant sa soeur, qui elle aussi s’immobilisa en essayant de cacher la culotte et se mettant les bras pour tenter de couvrir son corps.
(à suivre)
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