Je me souviens de tout, je me souviens de nous.
Je me souviens du soir où j’ai découvert ton esprit sadique.
Il est 7h du mat’, lorsque nous nous levons. Le temps que tu prennes une douche, je prépare le petit déjeuner.
Un verre de jus d’orange et un café chacun, deux tartines grillées et beurrées pour moi et deux tranches de brioches pour toi. Une avec de la confiture de fraise, l’autre avec du nutella.
Nous avalons le tout en moins de deux et nous partons ensemble en cours.
En attendant le tramway, je te regarde, tu es radieuse aujourd’hui avec ton chignon et tes lèvres, parsemées de gloss rose bonbon, qui brillent. Petit blouson en cuir sur un sous-pull blanc moulant, une mini-jupe en jean’s, des bas noirs et tes fameuses Dr Martens noires aux pieds. Tu es magnifique, même quand tu pestes.
Tu n’aimes pas le mercredi, c’est la journée la plus chargée de ta semaine, et ce matin, tu commences par une conférence de 4h sur je ne sais plus quel thème.
– Ca me saoule d’y aller ce matin, je suis sûre que ça va être trop chiant. Viens on rentre, on va faire des bébés.
– J’aimerais bien, mais moi je ne peux pas sécher ces cours-là.
Moi, j’attaque par mon option « Santé-Nutrition » et j’enchaîne sur 1h30 de judo.
Tu descends du tram’ la première, un petit bisou et je m’arrête quelques stations plus loin.
Il est 11h15, lorsque je sors du vestiaire. Je chope mon portable dans la poche gauche de mon blouson et je découvre que tu m’as laissé 3 messages.
Le premier est tout simple:
« Coucou mon coeur, ta matinée se passe bien? Moi je m’emmerde trop, le prof nous endort avec son discours. »
Je lis le suivant:
« J’aimerais être avec toi et glisser ma main dans ton kimono pour caresser ta grosse queue. »
Ce message m’émoustille, je m’apprête à répondre et je clique finalement sur le dernier texto.
« Je suis surexcitée en ce moment, j’aimerais trop que tu me baises sur le tatami du donjon. »
Mon coeur s’emballe et ma tige gonfle dans mon boxer. Un pote me surprend:
– Pourquoi tu te marres tout seul?
– Pour rien, c’est ma chérie qui me taquine.
Illico presto, je te réponds:
« Bah alors ma petite coquine, qu’est ce qu’il t’arrive ce matin? Tu m’as l’air bien excitée. Si tu veux ce soir je remets mon kimono et je te fais des prises à la David Douillet… »
Bip-bip:
« Ne commences pas, ma libido est déjà assez aiguisée comme ça! »
Désolé, mais c’est toi qui as commencé, moi aussi j’ai envie maintenant avec tes bêtises. »
Je reprends à 14h, j’ai le temps de rentrer manger à l’appartement. Il me faut assouvir le pulsions que tu as fait naître en moi. A peine arrivé, j’allume l’ordi, je vais sur Internet, je clique sur notre site favori et me retrouve sur XNXX.COM
Le curseur pointé sur la catégorie « anal », la page des vidéos s’affiche et c’est parti, pour vingt minutes de porno hard.
Assis dans le canapé, froc baissé et bite en main, j’entame une bonne petite branlette. je ne peux m’empêcher de te torturer:
« Si tu me voyais en ce moment…Je me tripote devant une super scène de sexe. »
Arrêtes sale vicieux, mon string est trempé. »
Hum, j’aimerais titiller ton clito du bout de la langue et lécher ta mouille. »
Stop, ranges ton machin et gardes ton énergie pour ce soir, tu en auras besoin. »
L’actrice se fait défoncer le cul et j’éjacule dans une feuille de sopalin.
12h30, mon téléphone retentit:
« Je n’ai pas pu me contrôler, je viens de me masturber dans les toilettes de l’amphi…ça m’a un peu calmée, hihihi. »
« Je t’adore ma rousse, tu es vraiment une belle salope. »
« Oui c’est vrai, mais je suis TA salope. »
Nos échanges de sextos se sont poursuivis tout l’après-midi et je sais par avance que ce soir ça va être grandiose.
Fin de journée. Je rentre, prend une douche et enfile un short simplement. Mais lorsque tu débarques, je suis en pleine conversation téléphonique. Un petit bisou et tu me questionnes en chuchotant:
– C’est qui?
– C’est ma mère.
– Passes lui le « bonjour »
Je te trouve étrangement sage après cette folle journée et je ne me doute absolument pas de ce que tu prépares, lorsque tu me préviens que tu va te changer. je te regarde disparaître dans ta chambre et lorsque tu réapparais, je suis obnubilé par ce que je vois, ne pouvant plus décrocher un mot.
Je me souviens, tu es là, sur le pallier de la porte presque nue. tu n’as gardé que tes bas noirs. Les mains posées de chaque côté de l’encadrement de la porte, une jambe légèrement fléchie devant l’autre qui cache ton minou et un regard qui en dit long sur tes intentions.
Tu te caresses les seins, puis le sexe en faisant passer ta langue sur tes lèvres. Tu me cherches, tu me provoques délibérément sachant que je ne peux rien faire pour le moment. Mais cela me file une gaule monumentale.
Tu t’approches de moi et pendant que je parle avec ma mère, je te fais signe de la main de ne plus avancer. Mais tu n’en as rien à faire, tu as envie de moi, là, maintenant.
Tu passes derrière moi et ton corps vient se coller au mien. Je sens tes tétons tous durs s’écraser dans mon dos. Ta main sur mon ventre s’achemine dans mon short et tu saisis mon Zob qui a doublé de volume. Tu me masturbes rapidement et je reste impassible en écoutant ma génitrice me dire de bien réviser pour mes futurs examens.
– Oui maman, je sais, je m’y mets dès ce soir, j’ai des choses à revoir en anatomie. Cela te fait rire.
En voyant que je me maîtrise parfaitement sous tes doigts cajoleurs, tu décides de passer aux choses sérieuses.
Tu passes devant moi, tu t’agenouilles et d’un regard pervers, tu abaisses mon short.
Je pose ma main sur le haut-parleur du téléphone:
– Non, arrêtes ma puce, ne fais pas ça, je vais me faire griller.
Avec un sourire narquois, tu me dis:
– Tu n’as qu’à raccrocher…
– Tu sais bien que je ne peux pas faire ça, laisse moi cinq minutes s’il te plaît.
– Non, non, tant pis pour toi.
D’un seul coup tu me prends en bouche.
Reprenant honteusement la discussion avec ma mère:
– Excuse-moi maman, Laura avait un truc à me dire, tu disais?
Ma créatrice continue de blablater et ne se doute de rien, je ne bronche pas mais je vis un calvaire. Ta langue virevolte sur ma queue, tes lèvres suçotent mon gland et tu accélères le rythme. C’est tellement bon, que je ne peux te repousser. Je suis gêné d’être aussi excité alors que j’entends la voix de ma mère et en même temps terriblement frustré de ne pouvoir crier mon plaisir. Tu en joues, tu t’amuses à me mordiller le sexe et les testicules. Mon index fléchi dans ma bouche est meurtri de mes morsures. Je ne réponds que par de brèves onomatopées:
« mmmmm ou hun, hun »
Tu te mets à me gober les couilles, tu les lèches et aspires leur peau, ma queue dégouline de ta salive. Je suis contraint d’éloigner mon portable pour lâcher un « Oh Putain ».
De retour au téléphone ma mère me demande:
– Ca va mon grand, tu n’as pas l’air dans ton assiette?
– Si, si, ça va, mais je prépare le repas en même temps.
Tu te régales de me voir souffrir ainsi, cela t’excite tellement que tu te pénètres à deux doigts et tu te masses le clitoris avec le pouce en me suçant goulument.
Et ma daronne qui enchaîne:
– Et il y a quoi de bon au menu?
Je suis au bord du craquage et lui annonce la première idée qui me vient:
– Saucisse-purée, d’ailleurs il faut que je te laisse car mes patates sont en train de bouillir. Je te rappelle ce weekend. Bisous.
Pendant que je pose mon portable, tu sors mon sexe de ta bouche et tu me dis en rigolant:
– Très bonne idée de repas, j’ai déjà la grosse saucisse et j’attends impatiemment la purée.
Je pose ma main sur ta tête en plaquant tes cheveux en arrière et en me branlant au dessus de toi:
– Ne t’inquiète pas, la purée arrive, je l’ai préparé spécialement pour toi, je vais te la servir bien chaude.
Tu ouvres la bouche, docile, tu tires la langue et je beugle en jutant sur ta frimousse. Un premier jet de sperme long et épais, balafre ton visage et se termine dans tes cheveux, un second s’étale sur ta langue, ta narine, ta paupière. Les derniers jets finissent dans ta bouche que tu avales sans sourciller.
La figure souillée et moqueuse:
– Et bien, il faudrait que tu appelles plus souvent ta mère, ça à l’air de t’exciter à mort…
– Toi ma cocotte, tu ne perds rien pour attendre.
Ma vengeance ne tardera pas.
A Suivre…
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