Le récit que je vous rapporte ici s’est produit ce printemps à Paris, à l’arrivée de la première vague de chaleur sur la France. Comme souvent dans ces conditions, chacun est ravi de se dévêtir après de trop longs mois d’hiver : les jupes courtes, robes sexy et petits hauts font le retour pour le plaisir de tous. Je trouve que l’on sent alors comme une vague d’excitation quasi palpable, certes plus masculine, mais pas exclusivement (les lectrices de cette histoire en attesteront peut être ;)). Les regards sont appuyés et des sourires coquins sont échangés. Ces attitudes sont d’autant plus présentes dans le métro parisien, en raison de la proximité.
Ce matin là, je pars pour le boulot. Mon métro est assez plein et je sens monter en moi de fortes envies à mesure que je vois ces jambes fines, ces seins, ces nuques dévoilées devant moi. J’échange de petits regards avec d’autres voyageuses. Certaines n’apprécient pas et je n’insiste pas bien entendu. D’autres en revanche, sont flattées de se sentir désirées et me le rendent avec ces petits sourires que je mentionnais plus tôt. Après 20 minutes de trajet, je dois changer de ligne.
Alors que je suis vraiment brûlant de désir en attendant le métro après toutes ces petites situations émoustillantes, une jeune fille arrive sur le quai. Elle a la trentaine comme moi, elle est black et, surtout, elle est incroyablement sexy. Elle porte une robe bleu turquoise qui lui arrive juste au dessus du genou et qui met en valeur son cul splendide (chacun son truc, moi ce sont les culs qui me rendent dingue : croyez moi que là, je suis servi). Et là, nos regards se croisent… Son regard n’est rien d’autre qu’un pur et violent appel au sexe… Des yeux de chatte ! Je lui rend bien, et nous nous sourions immédiatement. Nous gardons cependant quelques mètres de distance. Quand le métro arrive, elle s’approche et rentre dans le wagon par la même porte que moi. Je suis alors quasi persuadé que la demoiselle veut plus que de simples regards ! Elle me dépasse, je la suis et m’assois à côté d’elle. Je rapproche ma jambe de la sienne, et elle répond instantanément par de petits mouvements. Impossible de m’y méprendre à présent, on est en phase ! Après un court moment passé à nous caresser les jambes, je prends alors mon sac est le place de façon à nous cacher des femmes qui nous font face, pour ne pas mettre mal à l’aise ma délicieuse inconnue. Je glisse alors ma main sur sa cuisse. Sa peau est douce, sensuelle. Elle écarte presque instantanément ses jambes, de façon à me laisser plus de liberté. Je continue à la caresser, remontant peu à peu vers son entre jambe… Une de nos voisines se lève alors et change de siège : nous nous sommes complètement oubliés et elle a dû se sentir un peu de trop ! Pas du tout refroidi, je continue ma progression mais, elle m’arrête juste avant que je ne puisse sentir sa chatte. Je la regarde : d’un sourire, elle me désigne notre deuxième voisine qui ne sait visiblement plus où se mettre non plus !
Son arrêt arrive rapidement (j’ai raté le mien depuis longtemps ;)). Alors qu’elle passe devant moi pour descendre, je remarque qu’elle a oublié son sac : je l’att**** et descends pour le lui rendre. Elle m’a avoué après n’avoir absolument pas fait exprès ; son imaginaire l’avait emmenée bien loin, et moi avec ! Je lui propose de prendre un café et elle accepte. Nous discutons rapidement de nos vies. J’apprends notamment qu’elle est mariée, qu’elle est
Martiniquaise et qu’elle s’appelle Alisée. Elle travaille juste à côté et nous décidons d’aller nous balader avant qu’elle n’embauche. On s’arrête une première fois sur un banc d’une grosse artère parisienne, mais on touche à l’intimité zéro. Nous trouvons finalement une petite rue et nous asseyons sur le rebord d’un bac de plantes. Notre discours change subitement : je lui dit qu’elle est superbe. Elle me réponds que je suis pas mal non plus (ça fait toujours plaisir, qu’en pensez-vous mesdames ?). Je lui dit que ses jambes m’ont rendu fou et je recommence à écarter sa robe (en portefeuille, ce qui me permet de ne pas la mettre totalement nue dans la rue). Je remonte jusqu’à son cul, que je peux enfin saisir à pleine main et à même la peau car elle porte un tout petit string. Elle sourit mais semble un peu intimidée (il est tout de même environ 10h, un jour de semaine en plein Paname !). Elle me demande ce que je veux. Je lui réponds « ça », en repassant par dessus sa cuisse et en lui caressant doucement sa chatte à travers ses sous-vêtements. Elle soupire « Arrête, pas ici », mais ne fais rien pour s’opposer à mes doigts. Elle est complètement trempée, je n’ai jamais, mais vraiment jamais, vu ça chez une femme… Un homme s’approche au loin et je dois me dégager. Elle reprend ses esprits et m’embrasse à pleine bouche, laissant exploser son envie.
Alisée me dit qu’elle doit absolument aller bosser. Je tente de l’en dissuader en ressaisissant son cul et en lui murmurant que nous avons bien mieux à faire. Je sais me montrer persuasif et lui propose de trouver un hôtel. Elle accepte sans hésitation. Elle vérifie que j’ai des capotes : en homme prévoyant, j’en ai toujours sur moi ! Nous cherchons alors un hôtel dans le quartier et ne tardons pas à trouver. Le trajet qui nous y mène n’est que caresses : elle passe pour la première fois sa main sur ma queue. Je vous laisse imaginer la gaule que j’ai… Laissez moi vous dire que mon jean a été mis à dure épreuve 😉 On ne peut toutefois pas se laisser aller, car son boulot est dans le coin.
Arrivés à l’hôtel, le temps de remplir les papiers est interminable… Pendant que je fais le check in avec le réceptionniste, elle me masse mon cul. Je le cambre légèrement pour qu’elle puisse immiscer sa main et caresser mon petit trou… Je finis par recevoir la clé. Dans l’ascenseur, on se lâche, en s’embrassant de nouveau rageusement. Je choisis mon mot car cela fait bien une heure que nous avons commencé notre petit jeu et nous n’en pouvons tout
simplement plus ! Arrivé dans la chambre c’est l’explosion. On se retrouve à poil en deux secondes. Elle se met à genou et me prend dans sa bouche. Ses lèvres, son regard, son index qui s’est légèrement enfoncé dans mon anus : c’en est trop… Je lâche tout dans sa bouche, et suis pris d’une violente série de spasmes de plaisir. C’est fou ce que j’ai joui… On dit que les orgasmes féminins sont plus intenses que ceux des mecs : je peux vous dire que j’ai découvert la part de femme qui sommeille en moi ce jour là !!! Le temps que je reprenne mes esprit, je l’ai prise debout contre le mur. Elle a joui, à son tour secouée par le plaisir. Je n’ai pas tardé à la rejoindre une nouvelle fois… Nous avons finalement discuté de nouveau sur le lit, tendrement cette fois. Nos corps étaient complètement vidés. On a continué à parler sexe. Elle m’a dit adorer la sodomie, mais ne s’était pas offerte à moi car elle n’avait pas vraiment prévu les évènements de cette matinée. J’étais bien frustré de n’avoir pas goûté à cette pratique qui m’est toujours inconnue… Elle est finalement partie de la chambre. On ne s’est rien dit et avons juste échangé un dernier regard complice. Nous ne nous sommes pas donné nos numéros et, même si je le regrette certaines soirées, je pense que c’est pour le mieux. Cette rencontre restera unique et c’est très bien ainsi !
J’espère que mon récit vous a plus 😉 N’hésitez pas à commenter et à me laisser de petits messages : je les adore ! Enfin, mesdames, n’hésitez pas à m’envoyer à poster des photos de vous si mon histoire vous a donné du plaisir 😉
Lubriquement votre,
totoX
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