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Etudiante cherche appartement

Etudiante cherche appartement



J’étais en train de me servir un verre de vin quand on sonna à la porte d’en bas. Il devait être 19 heures. J’habitais dans un studio situé au premier étage d’un immeuble en centre-ville et, quand on sonnait chez moi, je n’avais qu’à ouvrir la fenêtre de mon salon pour vérifier qui c’était. C’est ce que je fis ce soir-là, et il me fallut quelques instants pour identifier la fille qui avait levé la tête et me souriait. Elle était venue chez moi quatre jours auparavant, avec une amie à elle et la propriétaire de l’immeuble, pour visiter le studio. J’avais déposé mon préavis et je prévoyais de déménager quelques semaines plus tard, dans un appartement plus grand.
La visite avait été assez rapide, à cause de la propriétaire qui était pressée ce soir-là. J’avais cependant eu le temps d’enregistrer le visage de cette fille. Pas très grande, les cheveux bruns et bouclés, mi-longs, et un très léger strabisme. Je lui avais donné 20 ans. Une étudiante, sans doute. J’avais croisé son regard à plusieurs reprises ce soir-là. Ses yeux étaient grands et marrons. Sa peau très claire. Je n’avais rien retenu d’autre.

Il y avait de la circulation dans la rue, et quand la fille ouvrit la bouche pour me parler, je lui répondis que je n’entendais rien du tout. J’ai refermé ma fenêtre et j’ai pressé le bouton d’ouverture de la porte d’en bas. Puis les pas ont monté l’escalier, doucement, et j’ai ouvert la porte au moment où la fille arrivait sur le palier.
Elle m’a aussitôt dit :
« Je suis désolée de vous déranger. Je vous aurais bien prévenu, mais je n’avais pas votre numéro. »
« Vous ne me dérangez pas. Je me souviens de vous. Entrez. »
Je me suis dérobé et j’ai refermé la porte. La fille a fait quelques pas dans mon salon, puis s’est tournée vers moi :
« La visite a été trop rapide, l’autre soir. J’avais besoin de revoir les lieux pour me décider. »
« Il n’y a pas de problème, ai-je répondu. Prenez tout votre temps. »

Avez-vous en tête l’infime strabisme de l’actrice Asia Argento ? Eh bien cette fille avait le même, mais pas le même physique. Je dirais qu’elle était un peu plus en chair, moins grande. Et pas du tout la même physionomie. Sa peau était encore plus claire que ce que j’avais cru, et je notai cette fois-ci qu’elle avait une forte poitrine.
Elle s’est déplacée dans le salon, en regardant autour d’elle, mes meubles, ma déco, mes bouquins. Elle portait une robe noire, élégante, qui lui arrivait juste au-dessus des genoux, des collants et des bottines en daim également noirs. Un sac à main à son épaule, rouge vif.
« Je vous offre un verre ? Je viens de m’en servir un. »
Elle s’est tournée vers moi :
« Je viens d’en boire deux avec une amie, mais pourquoi pas. »
Je me suis précipité vers le placard où je rangeais mes verres, puis je lui en ai servi un. Entre temps, elle avait posé son sac rouge sur mon canapé beige. Le studio faisait une trentaine de mètres carrés. On en avait très vite fait le tour, mais je ne voyais pas d’inconvénient à ce que cette jeune personne exige une heure pour se décider à le prendre ou pas.

J’ai posé son verre près du mien, sur la table basse au centre de la pièce, entre le canapé et mon lit, tandis que la fille s’était approchée de la fenêtre qui donnait sur la rue.
Elle s’est retournée en disant :
« Vous n’avez pas de problème de vis-à-vis ? »
« Non. L’immeuble en face est occupé par un vieux monsieur qui vit tout seul. Je le vois très rarement à sa fenêtre. »
Elle a hoché la tête et j’ai repris son verre pour le lui tendre.
« Merci, a-t-elle dit en le prenant. Je suis vraiment désolée de débarquer à l’improviste. Vous aviez sans doute quelque chose de prévu. »
« Je n’ai rien prévu du tout. Faites comme chez vous. »
Elle a souri et j’ai pris mon verre. On a trinqué et elle s’est remise à se déplacer dans la pièce.
« Il y a quelqu’un au-dessus ? »
« Oui, un étudiant. Il est discret, je ne l’entends jamais. »
« C’est bien, a-t-elle dit en s’asseyant au bout du canapé. Ça me changera de la fille au-dessus de chez moi. Je sais tout d’elle, à croire que le plafond est en papier. J’entends tout, y compris quand elle baise. »
Je n’ai pas répondu.
Elle a pris une gorgée de vin sans me quitter des yeux, puis elle a croisé les cuisses. Ce n’était pas des collants qu’elle portait, c’était des bas.
Elle a continué :
« Mais si vous me dites que le voisin du dessus est discret… »
J’ai répondu en souriant :
« Je ne l’ai jamais entendu baiser. »
Elle a souri aussi, puis terminé son verre cul sec. Je me suis approché pour la resservir. Je me suis resservi aussi.
« Merci, a-t-elle dit. Je ne voudrais pas abuser. »
« De l’alcool ? »
« Non, de votre hospitalité. »
« Vous n’abusez en rien. Si jamais vous venez vivre ici, autant que vous vous sentiez bien. Prenez tout votre temps. »

J’adorais son sourire, mais plus encore son strabisme. Ses gestes étaient lents et gracieux. Et en effet, je n’avais jamais entendu mon voisin du dessus, ni baiser, ni même tousser ou tirer sa chasse d’eau.
La fille a repris :
« Et vous dites que le vieux monsieur qui habite en face regarde rarement par sa fenêtre ? »
« De temps en temps, il jette un œil dans la rue, c’est tout. En deux ans, on a dû se saluer trois fois depuis nos fenêtres. »
« Tant mieux, dit-elle. Il m’importe d’avoir un minimum d’intimité dans l’endroit où je vis. D’autant que j’ai tendance à me promener chez moi en petite tenue. Pas vous ? »
« En caleçon, au réveil, ai-je dit. »
Elle a pris une gorgée de vin et reposé son verre sur la table.
Décroisé et recroisé les cuisses.
Puis elle a dit :
« Je ne voudrais pas choquer un vieux monsieur. »
« Je comprends. Je vous resserre ? »
Elle a souri.
J’ai refait le service. La bouteille tirait sur sa fin. J’en avais deux autres dans un placard du coin cuisine. Ce soir-là, j’avais prévu de regarder des épisodes d’une série norvégienne sur Arte. Pas de partager des verres de vin avec une étudiante à la peau claire qui portait des bas noirs.
La dernière fois qu’une femme avait mis les pieds ici remontait à deux semaines. C’était mon exe, Sarah. On se voyait de temps en temps et on se donnait des nouvelles de nos vies respectives. On avait bu quelques verres et je l’avais prise en levrette à l’endroit exact où cette fille était assise, à me regarder, en buvant.

Puis elle m’a dit :
« Pour savoir si je me sens bien dans ce lieu, je crois qu’il faut que je m’y promène en petite tenue, si ça ne vous ennuie pas. »
J’ai bien failli avaler mon vin de travers.
Je lui ai répondu :
« Il n’y a pas de problème. Faites comme chez vous. »
Elle a fini son verre, puis elle s’est levée.
Elle a défait la fermeture de sa robe, dans son dos, puis elle l’a laissée s’effondrer sur le sol. Dessous, elle était à poil. Ses nichons tombaient sur son ventre, ornés de larges auréoles, et sa chatte était poilue. Elle est allée vers la fenêtre et j’ai regardé son cul, blanc comme la neige. Elle ne portait plus que des bas et des bottines.
Je me suis mis à bander et, dos à moi, elle a ajouté :
« Cela dit, ça ne me dérange pas qu’on me voie. J’y prenais même du plaisir, quand j’étais ado. Le nombre de fois où le voisin d’en face m’a vue toute nue dans ma chambre. Je vous choque ? »
« Non. »
Elle s’est tournée vers moi. Sa chatte était vraiment poilue, aussi noire que ses cheveux bouclés, et ses nichons tremblaient comme des îles flottantes dès qu’elle faisait un geste.
« C’était rigolo, au début, quand j’avais douze ou treize ans, mais ensuite c’est devenu excitant. Il a aussi eu l’occasion de voir plusieurs de mes copines de lycée se mettre toute nue dans ma chambre. Savez-vous si votre voisin du dessus est là ? »
J’avais le souffle coupé, mais je parvins à répondre :
« Oui, il me semble. Pourquoi ? »
« Parce que, dit-elle en reprenant son verre, je voudrais être sûre qu’il ne m’entendra pas quand je regarderai un film à la télé ou quand je baiserai. Ça vous ennuierait d’aller le voir pour lui demander ? »
« Pour lui demander quoi ? »
Elle a vidé son verre, l’a reposé sur la table, puis répondu :
« S’il m’entend crier quand vous allez me baiser. »

L’avant-dernière fois, c’était une femme de mon âge, la quarantaine, que j’avais rencontrée dans un bar, un samedi soir. Elle avait accepté de boire un dernier verre chez moi et nous avions baisé. On était ivre et je l’avais prise dans toutes les positions possibles, sodomie incluse. J’avais éjaculé dans sa bouche et, au petit matin, elle s’était levée en disant : « Putain, mon mari va se demander ce que j’ai foutu cette nuit. »

Je l’ai fait.
Je suis monté voir mon voisin et je lui ai demandé de me dire si, dans le quart d’heure qui allait suivre, il entendait du bruit chez moi. Il m’a dit qu’il allait tendre l’oreille, et si jamais il entendait quelque chose, il descendrait pour me le dire.
Je suis redescendu et j’ai trouvé la fille assise au bord de mon lit, en appui sur un coude, en train de se masturber.
Je me suis déshabillé et elle m’a dit :
« Je suis vraiment désolé de vous demander tout ça. »
Je lui ai répondu qu’il n’y avait pas de problème, puis j’ai approché ma queue de sa grosse chatte poilue. Je l’ai enfoncée doucement, jusqu’au fond, puis je me suis mis à faire des va-et-vient en tripotant ses nichons qui se balançaient.
Elle gémissait discrètement, les yeux fermés, en se branlant le clito, et moi j’observais le mouvement de ses doigts et celui de ma bite et de mon gland qui pénétrait cette moule.
Puis elle s’est mise à crier.
Assez fort.
Elle poussait des « Ah ! Ah ! Ah ! »
Puis des : « Oui ! Oh putain, oui ! »
Et de nouveau des : « Ah ! Ah ! Putain ! »

Ensuite, elle s’est mise à quatre pattes. Son anus était cerné de poils bouclés. Je l’ai reprise par la chatte, une main tendue sous son ventre pour atteindre ses nichons qui remuaient comme les cloches d’une église.
Elle a crié encore plus fort :
« Oui ! Oui ! Défonce ! Défonce bien ! Putain ! C’est bon, putain, tape au fond de ma chatte ! »

Ensuite, je l’ai enculée. Et j’ai redouté que tout le quartier entende les cris qu’elle poussa dans le studio, malgré le double-vitrage.
Des « Ah ! », des « Oh, putain ! » et des « Vas-y, défonce ! »
J’ai giclé sur son cul. D’abord au niveau de la raie, puis sur son anus. Et ensuite au bord des lèvres de sa chatte. La dernière goutte, je l’ai étalée sur mon gland, en grimaçant et en criant à mon tour.
Mon voisin n’est pas venu frapper.
A aucun moment.

La fille a sucé ma queue engourdie, puis j’ai repassé mon caleçon. Elle est restée assise au bord de mon lit, à poil, et j’ai ouvert une autre bouteille. On a bu un verre, sans rien se dire, puis je suis revenu vers elle, d’un seul coup, et je l’ai de nouveau pénétrée.
Elle a joui en hurlant, juste avant que j’éjacule une deuxième fois, deux ou trois gouttes dans sa grosse touffe, puis on a repris un verre.
Il n’y avait pas un seul bruit au deuxième étage, et j’ai fini par monter pour cogner à la porte. Deux fois. Quand mon voisin ouvrit, il était en sueur, en caleçon, et il m’a dit :
« Je n’ai rien entendu. »

La fille s’appelait Anaïs. J’ai eu la lueur d’esprit de le lui demander, juste avant qu’elle reparte.
Juste avant qu’elle me dise :
« Je pense qu’il faut que je revienne encore, pour bien sentir les lieux. Demain à la même heure, ça te conviendrait ? Je serai sans doute avec une copine de fac. La petite blonde qui était avec moi le jour où on est venue avec la propriétaire. »
Je lui ai répondu qu’il n’y avait pas de problème. Qu’elle pouvait faire comme chez elle.

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