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L’internat

L’internat



Je révais de Julien. Il m’avait demandé de me déshabiller entièrement. Il avait fait de même. Son sexe plus gros que le mien était tendu vers moi. J’étais impressionné. On s’était glissé sur le lit. Lui au-dessus de moi. Il avait entamé une série de va et viens. Son sexe dur frottait contre mon ventre. C’était bizarrement très agréable. Au bout de quelques instants, ses soupirs s’étaient accrus. J’avais glissé la main sur mon ventre et j’avais remarqué qu’il était maintenant humide. Son sexe glissait de plus en plus vite. Et il y avait eu ce drôle de petit soupir. Rauque. L’impression d’humidité s’était accru comme si quelque chose s’egouttait sur mon ventre. Le liquide visqueux et épais qui avait giclé sur mon ventre était du sperme et j’en avais conçu une intense excitation…
 
Le bruit de la douche me ramène à la réalité. Je suis allongé sur mon lit dans le box d’un internat d’un lycée de province. Je pensais être seul. Mes camarades avaient profité de cette belle après midi pour courir les filles du quartier. Je prends conscience de la chaleur qui règne dans la pièce. Une douche. Je me déshabille et passe une serviette autour de ma taille. Au passage, le reflet des miroirs de la salle de bain collective me renvoit l’image d’un jeune homme blond mince. Le bruit de l’eau semble provenir de la dernière douche. Piqué par la curiosité, je m’installe sans faire de bruit dans la douche à côté. Je remarque un bruit légèrement masqué par le son de l’eau sur le carrelage. Je tends l’oreille. C’est un bruit humide, saccadé. Je colle mon oreille sur la paroi de la douche. Un halètement. Soudain je comprends la personne dans la douche d’à côté est en train de se masturber.
L’image d’une queue tendue traverse mes pensées. Mon cœur se met à battre à tout rompre dans ma poitrine. j’entends distinctement les halètements de l’homme. Une boule d’excitation se forme dans mon ventre. Ma queue commence à s’étirer lentement. C’est à ce moment que la flacon de posé en équilibre sur le porte savon décide de se fracasser contre le sol de la douche. Je mords mes lèvres et prie pour que mon voisin n’ait rien entendu. Peine perdue.
– il y a quelqu’un ? C’est la voix de Paul, le surveillant d’internat. Le bruit de l’eau cesse instantanément. Qui est là ?
– c’est Thomas… Je prends une douche.
– tu n’es pas avec les autres ?
– non, j’avais du retard. Je suis resté pour travailler.
– ok, tu es seul, alors ?
– ben, oui.
Il semble réfléchir quelques secondes, puis lance
– tu n’aurais pas du savon ?
– euh, oui j’en ai. Je regarde le flacon qui semble me regarder, goguenard, au fond de la douche.
– tu peux m’en passer ?
– oui, bien sûr. Je ramasse l’empecheur de tourner en rond.
– Attends, j’arrive.
– je suis nu.
J’ai à peine le temps de plaquer la main contre mon sexe. Il entre dans ma douche.
– on est fait pareil de toute façon lance-t-il d’une voix qui se veut enjouée.
– pas tout à fait.
Ses épaules et ses seins massifs sont parfaitement dessinés. Sa poitrine est couverte de poils drus. Mes yeux glissent vers le bas. L’image de sa queue épaisse se grave dans mon cerveau. Trop tard, il a saisi la courbe de mon regard. Mes joues s’empourprent.
Il sourit et s’approche de moi. Il saisit mon bras et écartes ma main. Je ne lui oppose aucune résistance. Mon sexe apparaît à l’équerre.
– ça c’est très cool, vraiment cool.
Aussitôt, je vois sa queue démarrait son ascension.
– j’étais en train de me masturber tout à l’heure. À deux c’est beaucoup mieux. Tu l’as déjà fait avec un mec ?
– non
Il s’approche de moi jusqu’à ce que touche mon ventre. Sa main glisse sur ma hanche.
– On va y aller doucement alors. Tu es d’accord ?
– Oui.
Mon cœur tambourine dans ma poitrine. Il est en train de battre un record.
Tout en se caressant lentement la queue, il flatte ma hanche de la paume. Son gland apparaît rouge, lisse, à chaque mouvement. La peau de son sexe est brune couverte de veines. Il a l’air dur comme un cèpe de vigne.
– vas-y touche la.
Je saisis sa queue délicatement et la caresse doucement.
– Elle te plaît ?
– oui, carrément.
– Tu veux me sucer ?
Je m’affole un peu.
– euh, non, je préfère pas.
– Pas de problème. Il faut que cela vienne de toi. continues
Je presse son engin entre mes doigts. Elle est vraiment large et parfaitement tendue.
– tu me fais de l’effet Thomas.
Ses mains parcourent ma poitrine, mon ventre, mes hanches.
Je decalotte son gland complètement. Il est gros.
Une goutte de liquide translucide se forme à son sommet.
– tu me fais mouiller.
Ses mains passent dans mon dos pour att****r mes fesses. Il les pétrit doucement en connaisseur.
J’accélère les mouvements de mon poignet. Il grogne. Son gland est maintenant couvert de ce jus translucide.
Il délaisse une de mes fesses pour glisser ses doigts sur son gland et avant que je n’ai le temps de réagir il les pose sur mes lèvres.
– allez Thomas, ouvre la bouche, goûtes mon jus.
La caresse de ses doigts mouillés fait céder toutes mes reserves. Ses doigts brillants s’enfoncent dans ma bouche.
– mmm, ta petite langue. C’est bon.
Il promène ses doigts sur ma langue y laissant une partie du lubrifiant.
– c’est bon, hein ? Tu en veux encore du jus de ma bitte ?
Ses doigts récupérent un peu plus de liqueur pré coitale et ma langue s’affole de cette nouvelle saveur.
– tu sais ce qu’il te reste à faire si tu en veux plus.
Il presse sa queue pour faire sourdre une grosse goutte de liquide.
À ce moment je suis en proie à une intense lutte intérieure. Une partie de moi se refuse à aller plus loin, tandis que l’autre veut goûter la queue brillante.
Au loin des éclats de voix résonnent, tandis qu’une lourde porte battante se ferme dans un claquement sec. Le bruit interrompt immédiatement le cours de mes pensées.
– oh, mince, tes copains reviennent. Je peux pas rester comme ça. Il faut que je me finisse.
Il att**** ma main et la glisse sous ses bourses velues.
– caresses les.
Une lueur d’inquiétude traverse mon regard
– T’inquiètes ça va aller vite. Tu m’as trop excité.
Il saisit son membre et lui applique un vigoureux va et vient.
– Thomas, tu es où ? c’est la voix de Julien.
Un éclair de frayeur cisaille mon ventre.
– Je suis dans la douche.
– Ok, tu as fini le devoir de maths.
je lui réponds en continuant de masser les couilles de mon partenaire. Sa main se plaque sur mes fesses.
– Oui, il est dans le tiroir… je ne peux finir de répondre. Mon attention se fixe plus bas. La queue du surveillant se dresse pour expulser des giclées puissantes sur mon ventre. Le sperme dégouline sur mon avant bras et s’écrase sur le sol. Excité je tends mon sexe en avant pour recevoir les derniers jets.
Il essuie rapidement son gland sur ma hanche et me donne une petite claque sur les fesses en guise d’au revoir.
Seul, je regarde les stries de plaisir qui parsèment mon ventre. Soudain une idée me donne le vertige. Mes doigts se figent dans une giclée de sperme. Puis sans réfléchir je plonge mes doigts souillés de semence entre mes lèvres. La saveur épicée emplit ma bouche. Mon corps ne résiste pas à cette nouvelle experience. Une vague de plaisir me plaque contre le carrelage froid.

J’étais maintenant à mon bureau. L’etude est particulièrement silencieuse ce soir. Encore un peu sonné parce que je viens de vivre. Paul le surveillant est plongé dans ses travaux. Il ne m’a pas adressé la parole, ni accordé la moindre attention depuis notre entrevue de l’après-midi. Je me demande s’il a prévu que l’on se revoit. J’en rêve. Je veux sucer sa queue. Ressentir son membre coulisser entre mes lèvres.
La sonnerie de la fin d’étude du soir brise mes rêves brûlants.
Les camarades de chambrée s’égayent en tous sens. Je reste un peu en retrait. Paul referme son livre et griffonne une note sur une page qu’il déchire. J’épie chacun de ses gestes dans l’attente d’un signe. Finalement il se lève et se dirige vers sa chambre. Je soupire. Dépité, je prends ma serviette pour rejoindre la joyeuse bande dans la salle de bain collective.

– Allez les garçons, extinction des feux.

Je saute dans mon lit, fatigué par les émotions de la journée. Mais à 23:30 je n’ai toujours pas trouvé le sommeil. Je me lève. En passant à côté de la porte de la chambre du surveillant. De la lumière filtre sous sa porte. Je m’approche et cogne légèrement. Paul ouvre la porte et m’attire à l’intérieur.
– je pensais justement à toi. J’ai envie de toi.
– moi aussi. dis-je le cœur battant.
– je vais te baiser alors. Retire ton pyjama et assied toi sur le bord du lit.
Il retire son pantalon et fait glisser son caleçon. Sa queue apparaît en pleine lumière aussi excitante que dans mes souvenirs. Il se place en face de moi. Sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Elle est magnifique.
– Suce moi Thomas.
Il décalotte son gland et l’enfonce dans ma bouche ouverte.
– Oh, c’est le pied.
Enfin je goûte la saveur épicé de son gland. Il remplit ma bouche. Je resserre mon étreinte sur sa queue. Excité, il amorce une série de va et vient lents et profonds. Je lèche son gland avec application.
– c’est bon, continue.

Ses mains att****nt ma nuque. Je sens le lubrifiant couler sur ma langue.
Puis il sort sa queue brillante de salive comme pour mieux profiter du spectacle de sa queue s’enfonçant à nouveau entre mes lèvres.
– Allonges toi
Il monte sur moi. Sa queue comme dans mon rêve racle sur mon ventre. Puis elle descend plus bas. Elle glisse entre mes fesses. Je sens ses mains qui poussent sur mes cuisses pour les écarter d’avantage. Sa queue cogne contre mon anus.
– tu sais ce que je vais te faire ?
– oui, je sais.
– dis, le moi.
Mon cœur se met à battre à tout rompre.
– tu vas m’enculer.
– oui, tout à fait. Et tu vas aimer.
Ses mains descendent plus bas. Je sens qu’elles m’ecartent les fesses, que ces doigts m’ouvrent. C’est douloureux. Et puis, je le sens rentrer. Ses mains sont maintenant à la hauteur de mon visage. J’accompagne ces coups de reins qu’il ponctue de grognement de plaisir. Ses mouvements s’amplifient.
– c’est bon de te baiser Thomas.
– j’aime aussi.
Puis, il accélère le rythme pendant plusieurs longues minutes.
– ça y est je remplis ton cul de foutre.
Il s’ arrête quelques secondes pendant que sa queue expulse le sperme au fond de mon ventre. Puis il donne quelques coups de rein pour accompagner la fin de son orgasme.
Je jouis quelques secondes plus tard…

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