Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe travesti

Mûres17/Brigitte,73ans,salope sur le tard

Mûres17/Brigitte,73ans,salope sur le tard



A cause de certaines déficiences physiques, et vu son grand âge, Brigitte bénéficiait d’une aide à domicile, qui l’aidait à faire son ménage.
Elle recevait ainsi deux fois par semaine la visite d’une dame portugaise très active, qui devait se demander ce que faisait régulièrement ce jeune homme chez cette vénérable bourgeoise blonde à chignon.
Brigitte dégageait une telle austérité, malgré la finesse de ses traits, elle était si soignée, d’un maintien si hautain, que la dame portugaise ne pouvait soupçonner quelles orgies de sexe venaient de se dérouler dans ce salon bourgeois, quelques instants avant son arrivée.
Brigitte et moi venions de prendre le petit déjeuner. Nous étions en robe de chambre. Comme c’était souvent le cas, je me mis à embrasser Brigitte debout, contre la table de la salle à manger.
Ce matin là, nous étions plus excités que d’habitude. Tout en léchant sa langue, je ne pus m’empêcher de porter la main sur la fente rasée de Brigitte.
Depuis que je lui avais déplumé la chatte, elle appréciait d’autant plus que je lui suçote les grandes lèvres. Je passais plus de temps à faire rouler les doux pétales de sa vulve dans ma bouche assoiffée de vieilles chattes frémissantes.
Elle devait par contre régulièrement maintenir son entre-jambe aussi lisse que celui d’une petite fille. Je surprenais parfois Brigitte dans la salle de bain, se passant un petit coup de rasoir sur la motte, histoire d’entretenir cette douceur envoûtante, si excitante quand je la maintenais les jambes en l’air, et que je baissais la tête pour voir ma queue lui pistonner la moule, ce qu’elle aimait également contempler.
Comme on peut l’imaginer, je me mis ce matin là à baiser la jolie vieille comtesse en robe de chambre, qui debout contre la table où demeurait les restes de notre petit déjeuner, regarder ma bite s’enfoncer entre ses lèvres lisses et mouillées.
D’un léger mouvement, je la fis asseoir sur le coin de la table. Elle maintint son équilibre solidement pendant que je relevais légèrement ses jambes, de manière à positionner ma queue sur son oeillet. De face, je ne pouvais l’enfoncer très profondément, mais suffisamment pour me faire jouir, qui à me tenir la queue pendant que je ne mettais que le bout.
Sa chatte était suffisamment mouillée pour lubrifier son cul. J’enfonçai par petits coups mon gland encore humide dans le cul de Brigitte, en me tenant la queue, comme je l’avais fait lorsqu’elle se branlait le clito avec un vibromasseur.
Peu de temps après, l’aide familiale vint sonner à la porte.
Toute guillerette, la voix chantante d’amabilité, ma vénérable Brigitte fraîchement enculée, du sperme encore dégoulinant dans sa culotte, vint accueillir la dame.
Brigitte aimait se voir en train de baiser, en train de sucer. Nous sommes plusieurs fois descendus à l’étage inférieur de sa maison, qui était comme une sorte de cave, parce qu’il y avait de grandes armoires aux portes vitrées. Par terre, à même la moquette un peu râpeuse, elle se mettait à quatre pattes, et je la fourrais en levrette. Elle était belle avec son chignon, joliment maquillée, saillie comme une chienne sous mes coups de bite.
Pendant que nous entendions le bruit de l’aspirateur, Brigitte se faisait quelques émotions en se laissant rapidement enfiler par mes soins. L’oreille aux aguets, nous étions debout dans sa chambre à coucher, ou dans cette sorte de cave. Elle était en robe, en ayant eu soin d’enlever sa culotte. J’adorais la douce chaleur de son vagin que je pénétrais furtivement, dans cette position peu pratique, le pantalon à moitié baissé, les genoux fléchis.
Je ne peux m’empêcher de me branler en y repensant.
Elle avait connu une relation très forte avec un ami impuissant, qui pour compenser ce que la nature lui refusait, se rabattait sur des jeux qualifiés de pervers, de sales, et qui même ici pourrait attirer la censure.
Sur ma demande, Brigitte accepta de partager avec moi quelques pratiques. Elle craignait de me choquer, mais j’insistai.
Un soir, Brigitte avait mis sa combinaison en cuir, si bien qu’elle ressemblait à la fois à une vieille institutrice et à une pute vicieuse. Son sexe rasé baillait dans la culotte de cuir ouverte, les seins sortaient, blancs sur le fond noir et agressif du bustier.
Couché dans la baignoire, je la contemplais d’en bas, car elle voulait d’abord se branler debout.
Ah! Sa vieille chatte qui clapotait entre ses doigts quand elle se touchait! Je devais faire attention de ne pas gicler tout de suite.
La douche était actionnée. L’eau ruisselait de partout. Soudain, tout en continuant de se branler, je vis le visage de Brigitte se crisper comme dans une jouissance douloureuse. Elle ressemblait à ces statues au milieu des fontaines, qui font partie intégrante du système aquatique. Je parle à mots couverts.
L’eau giclait de partout, j’étais au milieu de la fontaine, cela giclait fort, la statue vicieuse s’était figée dans une expression extatique.
Comme c’est beau, une vieille dame qui se branle debout, toute en cuir ou latex, surtout si on peut la contempler d’en bas, avec une vue imprenable sur sa vulve, dans un tel festival d’éclaboussements.
Peu à peu, la tension disparut de ses traits.
Quelle expérience, quel soulagement d’avoir partagé cette intimité…
A peine séchée, je la fourrais en missionnaire dans sa chambre à coucher.
Encore une giclée de sperme pour Brigitte.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire