Départ au stage
Dimanche 15h00, voiture chargée de mon matériel plongée, j’arrive au point de
RDV pour le covoiturage. Mes passagers sont là, deux copines d’environ 20ans, un petit
gars du même âge et une femme d’une cinquantaine d’année. Si les deux copines sont,
comme nous avons coutume de le dire, des jolis petits lots, je suis de suite subjugués
par cette femme mûre, Isabelle, qui paraît sûre d’elle et très chaleureuse. Les
premières présentations faites et les bagages dans le coffre, chacun se répartit, les
« petits jeunes » laissant madame devant. Alors qu’elle enlève son manteau avant de
s’assoir en cette froide journée d’avril, je ne peux m’empêcher de la détailler : des
jambes galbées par le port de chaussures à talon gainées dans un pantalon qui vient
lui mouler superbement ses fesses qui me paraissent bien bombées, une poitrine
volumineuse qui se remplit un pull près du corps, des cheveux blonds mi-long, un
visage très souriant. Sentant mon regard, elle m’adresse d’ailleurs un sourire qui me
fait rougir au moment où je met le contact, m’intimidant comme lorsqu’une femme me
regardait adolescent.
Les premiers kilomètres sont avalées au gré des différentes discussions. C’est
ainsi que j’apprends que madame se rend chez sa sœur à Hendaye pour une semaine de
vacances alors que j’y descend pour un stage de plongée. Rendez-vous est d’ors et déjà
pris pour le retour le samedi suivant bien que l’heure ne soit pas encore fixée.
J’apprends ainsi qu’elle est infirmière, célibataire et se définit comme amatrice de
bonne chère. Je n’ose lui demander si elle parle uniquement de nourriture…
Quelques kilomètres après Bordeaux où nous avons déposé le jeune homme
discret, lors d’un arrêt, alors que les deux copines se sont rapidement rendues aux
toilettes, en voulant prendre des affaires dans son sac, j’ai droit à une vue
magnifique sur un string magnifique qui montre le bout de son nez au dessus de sa
ceinture de pantalon. Quel délicieuse vision dont je pense garder le souvenir.
Dernier arrêt avant Hendaye à Bayonne où j’abandonne les deux filles, nous continuons
à parler de manière toujours aussi décontractée. Alors que notre destination se
rapproche et qu’elle n’arrive pas joindre sa sœur, je lui propose de passer la
déposer. Arrivé devant la maison, elle m’invite à boire un verre pour me remercier du
détour.
J’ai alors le plaisir de faire connaissance avec sa sœur, intimidée autant par
sa prestance et son décolté que par la maison qui fait très bourgeoise. Lors de
l’apéritif, lorsque la maîtresse de maison, Patricia, apprend que j’ai prévu de loger
en camping et qu’il faut donc que je me dépêche d’aller monter ma tente, elle m’invite
à m’installer chez elle, arguant que cela leur fera du bien d’ avoir un peu de
compagnie en soirée. Je prend alors possession d’une vaste chambre. L’un des murs
reçoit une armoire, le second une bibliothèque chargée de livre et le troisième mur
commun avec la chambre de mon hôtesse est recouvert d’un grand miroir. La salle de
bain dans laquelle je me rend est spacieuse, avec une grande baignoire d’angle.
Je rejoins rapidement les deux sœurs pour partager un repas fort agréable
durant lequel mon regard se perd régulièrement sur la naissance de la poitrine de la
dame qui me fait face. Après une veillée rapide, je regagne rapidement ma chambre afin
d’arriver à ma première journée en forme. RDV est pris pour un petit déjeuner aux
alentours de 7h30.
Ayant l’habitude de lire un peu avant de m’endormir, je jette un œil sur la
bibliothèque et tombe sur une étagère de livres pour adultes. Je jette finalement mon
dévolu sur un livre au titre explicite : Le Secrétaire très particulier où trône en
couverture une femme en tenue de cuir au pied de laquelle se tient un homme nu, les
mains entravées dans le dos, embrassant la jambe de madame. Autant dire que ce livre
renvoie à mes fantasmes les plus fous, où je suis à la merci d’une femme mûre et
autoritaire. En me glissant dans le lit, j’aperçois un bout de dentelle qui dépasse du
tiroir de la commode. Curieux, je jette un œil dedans et ce qui j’y découvre m’excite
au plus au point. Les dessous en dentelle se partage la place avec quelques pièce en
cuir, des jouets pour adultes profitent de cet écrin. Entendant la propriétaire
s’agiter dans sa chambre, je referme le tiroir et rejoins le lit où j’entame ma
lecture rythmée par une lente masturbation de mon sexe gonflé. J’éjacule finalement
abondamment dans mon T-shirt de la journée avant de sombrer dans un sommeil agité.
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