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Tic ! Tic ! – 6

Tic !  Tic !  – 6



La folle poursuite

Tic-Tic

Tic-Tic ne manquait rien du spectacle hallucinant que les femmes lui donnaient depuis tout à l’heure en les suivant toujours à quatre pattes. Leurs séances de masturbation en marchant, leurs orgasmes, Marie-France Corbeil qui lui avait même montré ses seins et qui avait failli le voir d’ailleurs. Et là, cacher derrière la même armoire que Marie avait heurtée, il regardait sans y croire ; Marie Lemieux qui se faisait prendre les seins par une femme. Wow ! Il faillit vraiment en venir dans son short de cuir cette fois, en s’assurant de bien filmer tout ça en étirant le cou. Il s’imaginait déjà de retour dans son loft demain pour se mettre nu et regarder tout ce qu’il aurait filmé en se masturbant. Il venait de gagner le gros lot, même s’il n’avait que ça comme passe de cul avec Marie Lemieux, il avait aussi les seins de l’autre vedette. Soudain, il arrondit les yeux en voyant que la femme soulevait la camisole de Marie Lemieux pour laisser ses doigts glisser dans ces poils pubiens noirs. « Merde, elle est pas vraiment rousse, » se dit-il nerveux. N’empêche qu’il s’en bavait dessus. Il ne put s’empêche de descendre la fermeture éclair de son short pour sortir son gros vit très dur et se caresser lentement en essayant de ne pas trop bouger la tête. Concentrer sur cette scène il ne vit pas tout de suite Paul approcher. Ce n’est que quand son hombre s’étira jusqu’à lui qu’il l’aperçut. L’idiot de mari venait vers lui… et armé…

Papa inquiet

Charles-Benjamin Deslaurier, 3e du nom, était très inquiet pour son unique fils dans sa grande demeure du lac Brome. Seul et en robe de chambre, il tournait en rond dans son grand salon en buvant verre sur verre de cognac, un cognac rarissime qu’il goûtait à peine tant le téléphone qu’il venait de recevoir de la police de Montréal l’inquiétait. Son garçon avait de graves problèmes psychiatriques et celui-ci devait prendre une flopée de médicaments régulièrement, il avait donc promis à un juge qu’il s’assurerait que son fils suive sa médication. Mais là, il était sans nouvelle de lui depuis plus d’une semaine. Loin de Montréal, il payait une personne pour s’occuper de lui, mais cette personne l’avait appelé plusieurs fois pour lui dire que son étrange fils ne répondait plus à la porte ni au téléphone depuis plusieurs jours. En plus, la police venait de lui apprendre qu’il le cherchait et se préparait à entrer dans son loft par la force parce que, apparemment, il s’introduisait encore chez des femmes pour les filmer la nuit et plaçait ses petits films sur le Net. En plus !

Charle-Binjamin Deslaurier leur avait conseillé d’être très prudents avec son fils, même s’il se doutait bien que les policiers avaient déjà consulté l’épais dossier de son garçon. Quand son fils ne prenait pas de médicament, il devenait vraiment étrange et se prenait pour un chien. Il devenait alors très agressif et mordait parfois les gens, il avait même mordu une policière. Le père prit un autre verre en craignant que cette fois… il l’abatte.

Un sourire triste aux lèvres, il décida de retourner à sa chambre en attendant des nouvelles. Il déposa son verre, enleva sa robe de chambre et en slip de femme et soutien-gorge, sortit de son salon majestueux pour prendre le grand escalier qui menait au deuxième. Un ministre l’attendait dans son lit, lui aussi habiller en femme et solidement menotter.

Paul, un peut plutôt

Tic ! Tic ! — Tic ! Tic !

Je figer près d’un loup noir de Yellowstone naturaliser en me frottant la bite toujours douloureuse à cause des dents du maudit carcajou, se qui ravivait mon érection. Encore ce maudit bruit. J’aurais du prendre une lampe de poche et il devait y avoir des fantômes dans ce musé finalement, car j’avais cru entendre des rires et des voix de femme puis des murmures et des gémissements en plus de se maudit bruit qui semblait se déplacer en me narguant à moins que quelqu’un ne se fût levé, mais j’en doutais. Ça m’avait semblé venir de la gauche en sortant de cette salle, mais maintenant, je n’entendais plus rien. Je pris à droite pour entrer dans une autre salle. Celle-là faisait toute la largeur de la maison et donnait sur la cour arrière du musée. C’était autrefois l’atelier de restauration et il y avait un bric-à-brac incroyable qui s’entassait ici, mais surtout de vieux os de dinosaures. Et soudain, encore ce tic tic, mais derrière moi, dans le couloir. Je lever le casse-tête indien, me préparant a fracassé le crâne d’un rat probablement en reprenant le couloir. Je crus apercevoir des silhouettes disparaître rapidement, mais sans mes lunettes, je n’y voyais pas grand-chose de loin. Allons voir. J’avançais doucement dans le couloir en voyant mon hombre s’étirer quand je retendis ce maudit bruit derrière moi. Harasser, je retourner dans l’atelier.

Encore les filles

Marie avait du empoigner la main droite de la prof pour la ramener sur ses seins et la maintenir la avec l’autre. Ça l’agaçait trop et voulait attendre de se retrouver au lit avec elle. Puis elle risqua un coup d’œil en se penchant vers l’avant sentant ses fesses écraser le ventre de la prof plus petite qu’elle. Paul avait tournée de bord et entrait encore dans l’ancien atelier. Elle voulut enlever les mains de sur sa poitrine, mais son coude gauche s’enfonça dans l’un des gros seins mous de Dorine juste à côté. Celle-ci sourit en se le frottant les yeux coquins. Elle se dégagea finalement des bras de la prof, embarrasser plus que jamais, et elles repartirent.

— Pourquoi y a juste moi qui me fais peloter les filles ? Demanda Marie tout bas en souriant.
— Parce ce que vous êtes la maîtresse de maison, fit la prof. Les honneurs du premier pelotage entre filles vous reviennent, Madame.
— Wow, je suis gâté et je me sens importante.
— Té surtout rouge comme une tomate, dit Marie-France en riant. J’ai rarement vu tes mamelons pointer autant. J’en suis jalouse.
— Tout comme les miens, murmura la prof. En tout cas, vos seins sont bien ferme Marie.
— Je peux toucher, fit l’écrivaine en riant.

Il y eut des petits rires étouffés tandis que Marie bombait le torse, tant qu’à faire.

Paul

À peine revenue dans l’atelier j’entendis clairement ce bruit, mais encore derrière moi et un ombre filait dans le couloir, comme un énorme rat. Peu importe ce que c’était, cette fois j’en avais plein le cul et j’allais en finir. Je fonçai à toute vitesse

Le matou

— Shuuut, coupa Marie qui entendit tout à coup tic-tic entre ses jambes. Elle pencha la tête et vit entre les bars de l’écrivaine qui lui palpait les seins le chat qui c’était faufiler dans la maison quand elle avait laissé la porte arrière ouverte deux jours plutôt pour laisser la fumée de son omelette brûler s’évacuer. Il portait un collier avec une clochette en plastic qui s’entrechoquait. Cela faisait, Tic Tic. Le matou qui venait de sortir de l’atelier leur passa entre les jambes et fila comme s’il avait le diable aux trousses et soudain elle entendit quelqu’un courir vers elles. Paul !

— Vite, cachez-vous les filles ?

Elles eurent juste le temps de se faufiler dans une salle sombre sur la droite, qu’elles virent Paul passé en courant avec son sexe bander dur qui sursautait en brandissant son casse-tête iroquois au-dessus de sa tête.

— WAIS, cette fois y a plus de doute Marie, fit son amie en prenant un air triste, ton Paul a complètement perdu la tête. On va se coucher les filles ?
— Ben non fit Marie, y peut se blessé.
— Ou tuer quelqu’un. Fit l’écrivaine visiblement inquiète.

Marie se pencha pour regarder où il allait et les filles lui pognèrent encore le cul. Seigneur ! Au même moment, elle entendit Paul crier ;

— T’es qui toi ?

Et quelqu’un répondre apeurer :

— Moi juste Tic-Tic, pas tuer svp, pas faire mal a Tic-Tic.
— Eye ! Sauve toué pas le pervers. Viens icitte !!!

Sans rien comprendre, Marie vit Paul partir à courir après une ombre pour disparaître à son tour dans une autre salle d’exposition.

— Je pense les filles qu’il veut tuer le chat. Dit-elle sombrement. Venez-vous-en, il a vraiment besoin d’une bonne médication.
— Un chat ça ne parle pas Marie, observa Marie-France. À moins que ton homme se parle tout seul et se réponde. Mais avec lui… ça ne m’étonnerait pas.
— Paul est bizarre oui, mais pas fou, enfin, je pense. Mais je veux en avoir le cœur net avant de le faire interner
— WAIS, trop bizarre, fit la prof. Je le vois rire tout seul parfois dans le musée, comme si un fantôme lui parlait.
— Absolument fit l’écrivaine, je l’ai vue aussi. Mais c’est si excitant cette histoire. Alors on court nous aussi après lui, sans soutien-gorge les filles ?
— La dernière arriver sert d’esclave aux autres, fit la prof tout exciter.
— Ooooh, fit Marie-France les yeux tout petits, bonne idée.

Elles se regardèrent toutes comme des gamines se préparent à faire un mauvais coup, et Marie dit en filant vers la porte :

— Je passe en premier, c’est chez moi ici.
— Non c’est moi. Fit Dorine en la coinçant dans le cadre.
— Non moi. Fit Marie-France en essayant de se faufiler entre elles avec la prof. s’en suivit une petite bousculade ponctuer de rire et attouchements volontaires de seins et de fesses avant qu’elle ne trébuche toutes les quatre dans le couloir. Elles se relevèrent en riant comme des folles et partirent à vive allure en se bousculant toujours et riant toujours tout en courant comme des malades. Leurs pieds nus martelaient le vieux plancher de bois tandis que leurs poitrines revolaient merveilleusement sous l’œil attentif des caméras de sécurité.

La vieille Madame Dumoulin se retourna dans son lit en rêvant que des zèbres couraient dans le musée poursuivi par une tribu d’Amazone qui riait.

Cartier St-Henry, Montréal.

Les policiers du SWATT venaient de forcer la porte du loft à l’explosif et entraient les uns derrière les autres en s’éclairant avec leur lampe torche attacher au canon de leurs armes. Ils étaient sur le qui-vive, criante — POLICE, POLICE — leurs mires au laser vertes cherchant une cible dans tous les recoins ; apparemment il devait appréhender une espèce de fou potentiellement dangereux qui s’introduisait chez des femmes la nuit pour les filmer, placer les films sur le web et qui avait tendance à mordre les gens et à se prendre pour un chien quand il ne prenait pas sa médication. Bref, un méchant débile. Et ce qu’ils virent les stupéfièrent ; des centaines de petites culottes accrocher tout partout, des tas de mannequins vêtus en sado-maso avec des godes en ceinture projetant des ombres inquiétantes sur les murs, des poupes gonflables de toute sorte et des tas de grillage avec des menottes et des chaînes. Un des gars, nerveux, vida un chargeur sur un mannequin le réduisant quasiment en charpie. Les autres le regardèrent méchamment avant de sourire.

— Eh, désoler les gars.

Ils explorèrent toutes les pièces en riant finalement avant de déclarer que la cible n’était pas là. Les lumières furent allumées, des ampoules de Noël suspendu un peu partout, et le Swatt se retira, toujours en riant. Quatre patrouilleurs entrèrent arme a la main au cas ou le gars aurait échapper au SWATT, mais ils en doutaient fortement.

— Mon Dieu, fit Corinne Côté, en découvrant le décor. Une jolie petite Noire très busté et policière depuis 10 ans. Elle en avait vu de toute sorte, mais ça…

Elle voyait des slips de femme partout, accrocher ça et la, suspendu a des cordes ou coller au mur en forme de cœur ou de chien. En plus, il y avait des dizaines d’affiches sado-maso, des grillages avec des entraves pour attacher les gens et des tas de gadgets sexuels qui traînaient partout, dont une collection impressionnante de poupées gonflables et de mannequins habillés de cuir clouté et des piles de magazines pornos très heavy. Au fond de la pièce principal trônait une grande table de métal remplie de matériel informatique qui ronronnait doucement. Tous les écrans d’ordinateur étaient fermés.

— Tu me parles d’un obséder, fit son collègue de patrouille, le grand Bob. On se sépare et on fouille les pièces les gars, on laisse les ordis au technicien et aux inspecteurs qui s’en viennent.
Ils avaient tous le sourire aux lèvres et Corinne entra en pointant son arme dans ce qui, apparemment, servait de chambre au gars. Elle resta statufiée en découvrant qu’il dormait sur un simple matelas dans une grande cage installée au milieu de la pièce. Comme une cage a chien, mais géante et remplie elle aussi de slip de femme et de poster de femmes nues très hardcore et d’un bol d’eau. Seigneur ! Ou il enlevait des femmes et les gardait là, mais elle en doutait, vu qu’apparemment ce malade-là se prenait pour un chien parfois. Tout de même c’était si étrange qu’elle frissonna. En plus, sur le mur était écrit au pinceau — Niche de Tic-Tic, priver, n’entrez pas.

« Rien à comprendre, » se dit-elle.

— Il a dû entrer chez des centaines de femmes pour en avoir autant ou en voler dans les magasins ou les acheter. Fit Corinne dégoûter en retrouvant 3 de ses collèges devant les ordinateurs quelques minutes plus tard, y as des slips partout. En plus il dort apparemment dans une grande cage à chien le malade.

— La plupart sont à Marie Lemieux, la journaliste, lâcha le plus grand du groupe, son collège, Bob.

Corinne et les autres le regardèrent en souriant en rangeant leurs armes et il rougissait à vue d’œil.

— Tient dont, fit Corinne amuser en fixant son coéquipier, comment tu sais ça toi ? Tu les as examinés de près. Il y a ses initiales dessus.
— Ou son odeur, fit un autre provocant un rire général.
— Ben drôle, fit-il en rougissant. Je vais vous prouver que je suis, moi, un bon policier. Il y a deux indices et… ma femme.
— Ta femme ? Dis Corinne morte de rire en le voyant rougir jusqu’aux oreilles. Qu’est-ce que ta femme a à voir le dedans mon Bob ?
— Ben, eh.., elle a le même magazine que celui-là. La, sur la table a coté de l’ordi et en le lisant elle m’a dit l’autre jour : ( tu devineras jamais Bob, j’ai dit quoi. La Marie Lemieux celle qui fait l’émission sur le paranormal, l’ancienne journaliste, a collectionne les bobettes, a n’as des centaines ça l’air. ) Et deviner quoi les petits comiques ?
— Quoi, fit un des gars, mort de rire.
— Dans une pièce du fond il a un véritable musé dédier… deviner a qui ?
— A Marie Lemieux, fit Corinne soudain sérieuse.
— Bingo ! Et de grosses broîtes de carton qui provienne de chez elle continua Bob et qui devait être expédier en Inde, mais qui on aboutit ici. Il y a même encore des petites culottes dedans.
— Ben voyons, fit Corinne intriguer. Elle aurait voulu expédier des broîtes de slip en Inde, elle en vend ou quoi ? Trop bizarre les gens riches. Et ce malade aurait réussi Dieu sait comment à mettre la main dessus. Il devait l’espionner pour être au courant de ça. Elle a du les déclarer voler c’est broîte. Faut vérifier ça. On fait du bon boulot hein les gars, grâce a la femme de Bob et de Bob.

Encore un rire général et un Bob en train de se fâcher.

— Ciboire, fit un autre penché vers des écrans d’ordinateur géant qui venait de s’allumer tout seul.
— Quoi, fit Corinne ? Té pas supposé toucher à ça.
— Ça s’est ouvert tout seul quand j’ai posé mes fesses contre la table, regarder ça. On dirait un web Cam attacher a un casque sur cet écran et un musé sur les autres, et on dirait quelqu’un qui court dans ce musé, c’est bizarre. Il a tourné la tête un instant et j’aurais juré voir un gars nu et armé d’une espèce de batte de baseball lui courir après suivit par une gagne de femme a moitié nue. C’est peut-être notre moineau, le gars qu’on cherche celui avec la caméra.
— Marie Lemieux habite dans un ancien musée, dit Bob en fixant les écrans comme les autres. Eh, c’est ma femme qui…
— Central, fit aussitôt Corine à sa radio.
— À l’écoute.
— On de bonnes raisons de pensées que l’individu rechercher serait peut-être présentement entré par infraction chez la journaliste Marie Lemieux. Il a une grosse obsession pour elle. Faudrait trouver son adresse et envoyer des unités là-bas tout de suite.
— C’est au 3 avenue des Ciprès, un cul-de-sac qui se prend par côte des neiges a 5 minutes d’icitte, dit Bob, juste en haut de la côte, y as l’adresse de l’expéditeur sur les broîtes. On y va Corinne ?
— Vu que t’en meurs d’envie, vas s’y Bob, dit un des policiers en riant, nous on este ici. Faut attendre les inspecteurs. WAIS, regarder, y as un gars habiller en sado-maso qui est poursuivi par un gars tout nu.

Surprise générale.

— Allons s’y, fit Corinne… avant de donner l’information a la répartitrice, et vite, ce gars la apparemment est très dérangé.

En sortant, elle tourna la tête pour voir ses collègues se tirer des chaises pour regarder le spectacle.

Une fois dans l’auto-patrouille qui fonçait tout gyrophare allumé sous la pluie battante, Corine regarda Bob qui conduisait et dit :

— J’ai l’impression moi que c’est pas ta femme qui a lu le magazine qui parlait de Marie Lemieux, et j’ai aussi l’impression que tu connaissais son adresse par cœur. Il y a longtemps que je te connais Bob. Je suis comme ta femme et je le vois tout de suite quand tu mens.
— Eh, fit-il mal à l’aise, ben…
— Une petite obsession toi aussi ?
— Ben, WAIS, merde, parle en pas a Johane, pitié.
— Pitié. Corinne rit un moment et rajouta : Ta peur de ta femme a ce point la, toi, le grand Bob.
— Oh oui. C’est juste que, enfin.. Marie Lemieux est… eh…
— Bandante, Bob.
— WAIS !
— Moi je la trouve ordinaire. Et là, tu te sens comme un preux chevalier prêt à aller sauver la belle dame en détresse.
— Parle en pas au gars sil te plaît.
— OK, ça me donne un point de pression sur toi, tu en es conscient.
— Je t’en dois une, j’ai compris.
— J’espère mon Bob, parce que subtiliser une pièce à conviction dans l’appartement d’un suspect c’est un délit grave, surtout pour un policier.
— De quoi tu parles ?
— De la petite culotte qui dépasse de la poche de ton pantalon.

Corinne éclata de rire en le voyant regarder sa poche. Elle n’avait rien vu en réalité, mais le soupçonnait de ne pas avoir pu résister à la tentation. Les hommes sont tous pareils. Elle jubilait, elle allait enfin pouvoir se taper le beau grand Bob. Quand il l’a regarda après avoir compris qu’elle l’avait piégé, elle bomba le torse en disant :

— Tu vas pouvoir t’amuser avec mes grosses boules Bob, au motel, ce soir.
— Ah ! Wow !

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