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Unif Sissy transformation (Ep. 1)

Unif Sissy transformation (Ep. 1)



Je m’appelle Alexandre. J’ai 19 ans. Ayant juste commencé l’université, mes parents – qui ont les moyens – ont acheté un appartement en ville, juste à côté du campus universitaire. Appartement que je partage avec ma sœur jumelle, Alycia.

Enfin, plus exactement, que je partageais. Parce qu’après quelques mois de colocation, Alycia a préféré s’en aller. Il faut dire, je ne sais comment notre « œuf » a été partagé, mais bien qu’elle soit la fille, elle a toujours été les muscles, style garçon manqué, et moi la tête, plus intelligent mais plus faible qu’elle. Plus maladif et sensible aussi. Et un peu pervers. La voir se balader dans l’appartement en petite culotte et sweet-shirt me rendais fou. Après de longue soirée de fantasme masturbatoire, je me suis enhardis et ai piqué quelques-unes de ses culottes usagées pour me masturber dedans… le contact doux de ces tissus contre mon sexe m’ont tellement plu, que je me suis mis à mettre ses petites culottes, et à me masturber avec la culotte sur moi… c’était divin ! Malheureusement elle m’a pris sur le fait. Je me suis retrouvé en moins de deux secondes au sol, elle sur moi, à me baffer et me traiter de pervers… puis elle a décidé de quitter l’appartement, et d’aller prendre une chambre dans un dortoir de l’université, avec ses amies. Elle ne voulait plus partager un appartement avec un « pervers » selon ses propres termes… en plus elle est partie en laissant ses vêtements, car ne sachant pas ce que j’avais fait et avec lesquels, elle se disait « dégoutée », et qu’elle « n’oserait de toute façon plus jamais les remettre sur elle ».

Je me retrouvais donc seul dans ce grand appartement… ce qui me plaisait énormément. Etant considéré comme un « geek » je n’avais pas beaucoup d’amis, et ayant difficile à créer des liens sociaux… être seul était ce que je préférais ! Enfin, c’est le mantra que je me répétais sans cesse… bien sûr je rêvais d’avoir pleins d’amis, je préférais être cool, beau, joyeux, sociable, je fantasmais avoir plein de filles folles de moi, et avoir du sexe à n’en plus finir… mais voilà, mission impossible pour moi. Alors je préférais me répéter que j’étais mieux seul, dans mon grand appartement tout vide…

Le hic, c’est que mes parents ne l’entendaient pas de cette oreille ! Les coûts et charges de l’appartement en plus des charges du dortoir d’Alycia étaient assez conséquents, et même si ils pouvaient le payer, mon père gagnait bien assez pour cela, mais ils voulaient me responsabiliser face au coût de la vie. Alycia étant partie par ma faute, je devais trouver un nouveau colocataire. Les charges qu’il ou elle payerait me serviraient d’argent de poche, car je n’en recevrais plus de eux. Je tins un bon mois et demie… puis, à sec et la mort dans l’âme, je fus obligé de mettre les affiches un peu partout dans les halls de l’université pour mon annonce de recherche d’un colocataire.

Je n’eus pas longtemps à attendre, je reçu un mail de « Joliminoi » avec l’extension de l’unif, me demandant quand une visite de l’appart était possible. Ce samedi après-midi, j’attendais sa visite, nerveux, une boule dans le ventre… quitte à être obligé de partager l’appart pourvu que ce soit avec une jolie fille… et peut être un peu nymphomane ce serait pas mal ? Pourvu que… ah on sonne…

* *

Je m’appelle Mike. J’ai 19 ans. Après une bonne année de glandouille, mon père m’a quasi obligé à aller à l’université. Faut dire qu’on est une lignée de magistrats influents et autre médecins éminents de père en fils depuis des générations… alors un chômeur ça fait pas bon dans l’arbre généalogique… Ceci dit mon rêve n’est pas de glandouiller évidemment. J’étais le meilleur quater back de mon école. Une carrière sportive, c’était ça mon rêve. J’avais le physique pour. Grand, bien bâti, le teint halé des « riches blancs du sud », les cheveux blonds coupés en brosse, je suis un cliché sur patte. Mais je suis né comme ça, qu’y puis-je ? Et j’ai le mental pour aussi. Ambitieux, fort, un mental d’acier.

Le souci, c’est que je m’y suis pris un peu tard pour l’unif. J’ai pu m’inscrire en fac de droit sans soucis, mais pour dormir… Pas question de faire les navettes entre chez moi et l’unif, c’était bien trop loin. Et plus aucune place qui se libérait dans les différents dortoirs loués par l’unif… tous les appart était pris, et le seul qui s’était libéré m’était passé sous le nez. Un groupe de filles était juste passé avant moi. Très jolies au demeurant, surtout la petite, Alycia. Je l’ai même un peu draguée, mais quel caractère, elle m’a rembarré, ce qui ne m’arrive pas souvent ! Lesbienne, pour sûre… aaah parfois j’aimerais bien être une mouche et assister à leurs soirées, dans leurs chambres de fille… ça doit être hot, hot, hot !

Mais cela ne résout pas mon souci de logement. Mon père réussit à persuader sa bigote de sœur, ma tante, à me loger. Mais elle n’habitait pas tout près de l’unif, et du style vieille fille acariâtre, on faisait pas mieux. Bien vite, j’en eu marre de faire la navette et de supporter le caractère de ma bigote de tante ! C’est à ce moment que je tombais sur une affiche, pour une colocation. Un bel appartement selon la description. Et juste en face du campus. Génial ! Je demandais à une copine de classe si je pouvais envoyer un mail à partir de son adresse, car ma tante n’ayant pas d’ordinateur, et encore moins internet, je n’avais pas encore créer la mienne. Le lendemain, elle m’annonça qu’une réponse était arrivée, et que le gars, un certain Alexandre, m’attendait samedi. Génial ! Mon problème de logement allait sans doute se résoudre bientôt ! Bon j’aurais préféré que ce soit une colocation avec une superbe blonde, et un peu nymphomane sur les bords… ça n’aurait pas été mal… mais bon, on se contentera d’ « AlbatorAlex », selon son pseudo…

Le samedi, à l’heure pile, je me rendis à l’appart, idéalement situé, et sonnais plein d’espoir…

* *

On sonne… je vais ouvrir et découvrir « joliminoi ». Une rousse en minijupe, s’il vous plaît, une… j’ai ouvert la porte et reste pantois… merde ! « Joliminoi » est un type, de deux fois ma carrure, une fois et demie ma taille, le teint hâlé… l’archétype du type que je déteste (et qui me le rendent bien !) : le gars beau, grand et fort !

* *

J’ai sonné, et on vient m’ouvrir. Raté pour la blonde nymphomane, ça je le savais déjà, mais le « Alexandre » me dévisage, la bouche pendante… bon, il ne s’attendait pas à moi non plus. Comme le gars ne semble pas beaucoup bouger, je décide de prendre les devants. « Bonjour ! Tu dois être Alexandre ? Je suis Mike, et je cherche vraiment un logement… je peux entrer ? » Je suis convaincu que la vie, c’est comme le foot : s’il n’y a pas d’ouverture possible, faut enfoncer les lignes et créer toi-même l’ouverture ! Sourire sympathique, main tendue et serrée (il a les mains moites !) et je joue un peu de mon physique, gentiment, mais fermement et me retrouve vite dans le living. Je connais de loin ce type, le geek en fac de commerce. Les copains du foot s’en moquent souvent. C’est vrai qu’il est pas très grand, plutôt frêle de constitution, pâle de peau, pas très poilu, lunette dépassée et T-shirt au logo d’une marque d’informatique… il s’est mis sur son 31 le coco !

Il me fait visiter l’appart, pas vraiment enchanté. Mais l’appart est génial ! La chambre est grande, la salle de bain aussi et super équipée, tout comme la cuisine, le living est lumineux et spacieux et la TV HD et à écran plat. Le rêve. Et à cinq minutes du campus. Même pas, une rue à traverser. Cet appart il me le faut, il est trop génial !

* *

Génial ! Je le connais en plus le gars, c’est la nouvelle star du foot de l’unif. C’est pas « joliminoi », c’est « Capitaine Belle gueule ». J’aurai sorti mon plus beau T-shirt pour rien. Et en plus à peine je lui ai serré la main, il était déjà dans le living, avec son sourire « Pepsodent ». Je n’en voulais pas de ce gars, pas chez moi, mais je n’osais pas le chasser. Les grands et forts ont toujours eu une sorte d’assise sur moi, je n’ose jamais leur dire non. Je lui ai donc fait visiter l’appart. Et en plus il semblait emballé. Zut, et re-zut. Je n’osais pas le baratiner, lui dire que l’appart était déjà pris. Il ne me restait plus qu’une solution, la dernière parade : la visite terminée j’allais chercher le contrat de colocation, et à son insu changeait le montant de la colocation, pour une somme plus importante que ce que j’avais prévu… une somme dissuasive ! Puis je le lui tendis, expliquant les règles à respecter… j’attendis avec une anticipation sadique le moment où ses yeux tomberaient sur le montant, et où il allait pâlir et me rendre le contrat les larmes aux yeux, se cherchant une excuse pour ne pas me dire que c’est impayable pour lui… hé, hé, hé…

* *

C’est quasi fait, je le sens ! Il est allé me chercher le contrat de colocation, je suis presque dedans. Bon, il me baratine les règles d’usage, normal. De toute façon on fera un peu comme on veut, c’est toujours comme ça. Alors, les clauses me semblent conformes, et le montant de la colocation… wouah, il se mouche pas du pied le gars… ceci-dit, l’appart en vaut la peine. Je suis sûr que mon père payera cela sans sourciller, rien que pour plus avoir ma tante lui téléphoner chaque vendredi pour se plaindre de mon attitude non chrétienne et remettre en question sa façon d’élever son fils ! Je souris au gars et lui demande un stylo pour signer le contrat. Oh, oh oh, sa tête ! Il s’y attendait pas, pour sûr ! Aurait-il essayé le coup du montant dissuasif ? Il était bien en dessous alors ! Raté, le geek ! Tu devras me supporter, hé hé…

* *

Quoi ? Nooooon ! Il n’allait pas signer ? Si, il allait le faire ! Il me demandait même un stylo ! Et moi, comme un con, au lieu de l’envoyer bouler je lui en tendis un, en lui demandant avec ma petite voix « Un stylo-bille ça fera l’affaire ? ». Il sourit « C’est parfait ! », le prit et signa le contrat. Nom de nom ! J’allais devoir faire avec lui comme colocataire ! Oooooh… pourvu qu’il ne ramène pas de filles tous les soirs, bonjour le bruit… à moins que… je pouvais peut être faire un trou dans le mur pour espionner leurs ébats et… Une tape sur l’épaule me ramena aux réalités présentes…

– Alexandre, je suis vraiment content d’avoir signé ! Je sais qu’on ne se ressemble pas beaucoup, mais l’appart est génial ! On va faire connaissance et je suis sûr qu’on va bien s’entendre !
– Je… Merci Mike. J’espère vraiment que ça va aller. En tout cas, c’est signé, tu emménages quand tu veux.
Je lui tendis le double des clés, que j’avais préparé pour « joliminoi ».
– Je vais chercher mes affaires chez ma tante, et je reviens, vieux ! Je ne vais pas perdre une minute ! En plus, y’a match pour le super bowl ce soir !

Il me sourit, re-tape sur l’épaule et s’en va, claquant bruyamment la porte. Et merde !

* *

J’étais sur un petit nuage ! J’avais signé, j’allais vivre dans cet appartement génial ! Je pris la voiture, alla chez ma tante, empaquetant mes maigres affaires en un temps record. Je remplis mon coffre et le siège arrière de la voiture de cartons, sacs, vêtements,… J’aurais voulu l’envoyer bouler la vieille bique, mais on en aurait parlé pendant au moins trois générations lors des dîner de famille… donc je fus le plus gentil possible, lui expliquant que je ne voulais pas la déranger plus, que ce serait mieux pour moi d’habiter près du campus et que je la remerciais beaucoup beaucoup. Je savais que la première chose qu’elle ferait quand je serai parti sera de téléphoner à mon père pour le lui dire, et le mettre en garde contre la vie de débauche des étudiants, mais je n’en avais cure ! J’avais déjà laissé un message sur la broîte vocale de mon père (pour le montant de la colocation surtout), et il m’avait répondu d’un laconique sms « Ok ». Je roulais, l’esprit léger vers mon nouveau chez moi. Et mon colocataire ne semblait pas bien méchant. Fallait juste que je le ménage un peu, tous ces geek, sont juste un peu frustrés, avec de la gentillesse et des bonnes manières, ça devrait aller, j’en étais sûr.

En plus je pouvais prendre sa place de parking dans le garage de l’immeuble, lui ne conduisait pas. Le pied ! Je pris le premier carton, et remontais à l’appart.

– Alex, je suis de retour…

Il sortit de sa chambre, un peu pâle et confus.

– Je… tu as besoin de mon aide, pour les cartons ?
– Non, je ne vais pas t’imposer ça. Je vais le faire à mon aise, et ranger au fur et à mesure que je monte les cartons.
Il avait des muscles en chewing-gum, je n’étais même pas certains qu’il puisse soulever les caisses que j’avais bien chargées.
– Ah d’accord. Je… Je retourne dans ma chambre, j’ai un gros test lundi, je bosse dessus.
– Pas de soucis, vieux ! Tu ne voulais pas regarder le super bowl avec moi ? J’ai de la bière et des chips !
– Non, non merci !

Et il retourna dans sa chambre, refermant la porte derrière lui…

* *

Sitôt la porte de ma chambre refermée, je pus souffler. Il avait failli me surprendre sur le fait ! Je déboutonnais mon jeans et l’enlevais. En dessous, je portais un des strings en dentelle rose d’Alycia. Trop de pression, fallait que je dépressurise ! Le contact de mon sexe bandé contre la dentelle était divin ! Je me frottais doucement la tige, pensant qu’Alicya avait porté sa petite culotte contre son sexe à elle, sexe que j’imaginais humide, ouvert pour moi… je fis descendre et monter le culotte le long de ma hampe, me caressant avec l’élastique du slip, pendant plusieurs minutes, puis rentrais de nouveau mon membre tendu et le branlant furieusement par-dessus le tissu… je ne tardais pas à jaillir, éjaculant dans le string en dentelle rose… j’enlevais mon T-shirt et mes chaussettes, et me mis au lit comme ça, juste en string. L’humidité de mon sperme me faisait fantasmer comment Alycia devait mouiller ses petites culottes quand elle était excitée…

Je m’endormis rapidement, épuisé par le stress vécu cet après-midi. Le lendemain, je m’éveillais assez tard, on était dimanche. Encore à moitié endormis, je passais un pantalon jogging sur le string rose, et allais à la salle de bain… après un petit pipi, brossage de dents, puis douche, puis… soudain j’entendis le bruit de la porte de la chambre s’ouvrir… mes cheveux se dressèrent quasiment sur la tête ! J’avais déjà oublié que je n’étais plus seul… heureusement que j’avais passé un pantalon de jogging !

* *

Après un super match de foot, quelques bonnes bières, je fis le lit de ma chambre et passais une nuit divine ! Le lendemain matin, dimanche, dès le réveil, je commençais ma journée par des exercices pour garder la forme. 50 pompes, 50 abdos, et quelques exercices de stretching, comme chaque matin. J’en étais à ces exercices quand j’entendis du bruit vers la salle de bain. Alex devait être levé. En short, basket et t-shirt, j’avais l’habitude de courir une bonne heure avant de prendre ma douche. Je sortis de la chambre et vis très vite qu’Alex avait laissé la porte de la salle de bain ouverte. Prenant cela comme une invitation, je passais la tête.

– Bonjour Alex, bien dormi ?

Il cracha de surpris l’eau avec laquelle il se gargarisait la bouche. Peut-être qu’il ne s’attendait pas à ce que je le salue dans la salle de bain… J’avoue que je ne suis pas vite gêné. La nudité ne m’a jamais choqué, même la nudité masculine. Après l’entraînement au foot, les douches sont collectives. Et je ne suis pas du genre timide. Donc ça ne me dérange pas de discuter dans un vestiaire, dans une douche ou dans la salle de bain, en slip ou sans. De toute façon il était habillé d’un pantalon jogging, et moi aussi… alors pas de soucis… Il s’essuya la bouche avec son essuie.

– Heu… je… non merci… je suis pas très sport…
– Il faut, mon vieux. C’est comme ça qu’on reste en forme ! Quoique tu n’es pas très gros pour un gee… heu… je veux dire pour quelqu’un qui reste souvent assis…
– Bof, tu sais quand j’étais plus petit, j’étais beaucoup plus gros. Et tout le monde se moquait de moi. Alors je fais attention maintenant. Et je fais du sport, mais sur la Wii, où personne peut me voir…
– Faut pas être gêné mon vieux, et la Wii n’enlève pas ces petits bourrelets là !
Pour le taquiner un peu, et oui j’essayais de créer de la complicité entre nous, j’attrapais un petit bourrelet au niveau de son ventre… de surprise il en lâcha son essuie…
– Et là, mais… pas toucher !

Il était gêné, je compris qu’il ne fallait pas insister. A ce moment, il se pencha pour ramasser son essuie. Et ce que je vis me laissa pantois ! Son jogging descendant, par un mouvement inverse le haut d’un string rose, en dentelle apparut… le tissu dentelé enserrant ses hanches, la partie plus fine s’insinuant entre ses fesses… J’en étais sur le cul ! Jamais je n’aurais cru ça !
Il comprit ce que je venais de voir, et devint tout rouge dans son visage… Je lui souris, encore étonné…

– Tu… tu te travesti ?

La couleur de ses joues s’accentua, il me cria un « c’est pas ce que tu crois ! » et courut s’enfermer dans sa chambre. Je restais quelques minutes sans bouger, puis descendis pour faire mon jogging.

* *

Nom de nom de nom ! Comment avais-je pu être aussi stupide ! En me baissant je lui avais fait voir le string que je portais ! Mon secret allait être éventé ! J’allais être la risée de l’unif ! Comment avais-je pu le laisser regarder ! Mike avait vu mon string ! Mike avait vu mon string. Mike avait vu mon string rose en dentelle. Mike avait vu mon string rose en dentelle avec la ficelle descendre entre mes fesses… putain, pourquoi répéter cela me faisait bander ? Je bandais comme un fou dans le string. Était-ce le fait d’avoir été vu qui m’excitait comme cela ? Étais-je vraiment un pervers fétichiste ? Et je ne pouvais m’empêcher de me branler par-dessus le tissu rose, bandant plus dur que jamais. Et j’éjaculais une grosse quantité de foutre dans le string, avant de me coucher, honteux, sanglotant et encore excité… Pour sûr, j’aurais besoin de me branler encore quelques fois aujourd’hui…

* *

Courir me faisait un bien fou. Il fallait que je digère cette nouvelle donne. Pas du tout que cela me choquait. Je suis très ouvert, surtout sexuellement. Lorsque j’étais à l’internat il m’était même arrivé de branler un copain qui me branlait. C’était bon. Et regarder le sexe des autres sous la douche ne me dérangeait pas, certains étaient pas dégeu. Je devais être hétéro – bi curieux, comme disent les sites de rencontres. Et il faut dire qu’Alex avait des hanches et un cul pas mal pour un garçon. Non, mais l’idée qui me taraudait la tête était : que faire de l’information. Le pragmatisme, je tiens ça de mon père. Je pouvais évidemment le répéter, la nouvelle se répandrait en moins de deux dans tous le campus et on se marrait bien. Oui, mais je n’y gagnais rien. Me fâcher avec un Alex humilié, et risquer de perdre l’appart. Non, ce serait trop bête. En plus il y avait un côté d’Alex que j’aimais bien. Que je trouvais sympa. Non, il fallait utiliser cela autrement, à mon avantage. Pour renforcer ma complicité avec lui, et qui sait en récolter quelque bonus.

Une jolie blonde qui faisait son jogging vint à ma rencontre, dans le sens inverse. En me voyant, elle me sourit. Je lui fis un clin d’œil. Puis courut avec elle. Mon charme naturel avait encore agis, je sentais que je n’allais pas passer l’aprem seul !
Je ne rentrai que fort tard le soir. L’appart était silencieux, Alex devait déjà dormir. Je me mis au lit et dormit comme un loir, l’esprit léger et plein d’idées, et les couilles vidées par une charmante blonde…

* *

Je dormis très mal… je n’avais pas vu Mike de la journée. Il allait se moquer de moi et le raconter à tout le monde. J’allais être la risée du campus. Le lendemain j’avais envie de brosser les cours, mais j’avais ce test important, pas question de me faire porter pâle. L’estomac noué, je me levais et sortis de ma chambre. Mike était déjà parti, il était matinal…

Après une rapide toilette, habillé de mes habituels jeans et t-shirt informes, je pris le chemin du campus. Je m’attendais à être la risée de tous, mais rien ! Je croisais les étudiants qui m’ignoraient comme d’habitude. Pas de moqueries, pas de vacheries balancées. Même dans ma classe, à part Pitt qui me donnait comme chaque matin une tape sur la tête, rien ! Il semblerait que personne ne soit au courant. Mike aurait tenu le secret ? Étonnant, serait-il possible que j’aie enfin un… ami ?

Le corps libéré de ma peur, je cartonnais au test. Je me sentais tellement mieux ! La journée se passait bien, et à midi je déambulais dans les couloirs de l’unif… et tombais nez à nez avec ma sœur et ses copines !

– Bonjour Alycia, ça va ?
– Mis à part que j’ai un frère pervers ? Oui ça va…

Son ton était glacial. L’histoire n’était toujours pas passée. Bon, je comprenais, me voir me branler dans ses sous-vêtements devait avoir été un choc pour elle. Tandis qu’elle me tournait le dos, fraternellement, je mis ma main sur son épaule…

– Ecoute Alycia, je…

Mais je ne pus ajouter un mot qu’elle me tordait déjà le bras, je ne pouvais plus bouger…

– Ne me touche pas ! Jamais ! Tu entends ?

Bon, elle devait m’avoir aussi entendu prononcer son nom en me branlant dans ses sous-vêtements. Elle continua à me tordre le bras, bon sang que ça faisait mal. Elle semblait vraiment, vraiment très en colère. Puis d’un coup elle lâcha, puis me repoussa, tourna le dos et continua son chemin avec ses amies, qui gloussaient comme des poules. Le souci, elle m’avait repoussé si fort que j’étais rentré dans un gars derrière moi. Gars qui en laissa tomber le snack qu’il mangeait, à cause de l’impact. Il se retourna vers moi, furieux.

– C’est quoi ton problème, mec ?

Il me prit par le t-shirt, et m’envoya valdinguer contre les casiers du couloir. C’était Roberto, un des centres avant de l’équipe de foot. Il me détestait, et avait l’habitude de se foutre de moi. J’allais déguster c’est sûr. Alycia continua son chemin sans se retourner. Lui me repris par le t-shirt, me souleva de terre et levait son poing pour me frapper. Mes jambes tremblaient de peur. Ma vie défila devant mes yeux, remplie de solitude, de moquerie, de coups reçus… mais soudain une main se posa sur l’épaule de Roberto.

– Laisse tomber, Rob, il n’a pas fait exprès. J’ai tout vu, c’est cette gonzesse qui l’a poussé sur toi.

C’était Mike ! Mike qui prenait ma défense, ça alors !

– Je vais le déglinguer j’te dis !!!
– C’est sûr, et il va se plaindre au proviseur et tu seras encore suspendu pour le match prochain. Le match contre Berkley, Roberto. Alors qu’on a besoin de toi !

La brute sembla réfléchir un peu. Il me secoua encore contre le casier, puis me lâcha. Mes jambes tremblaient tellement que je ne tins pas dessus, et me retrouva assis au sol, le dos contre les casiers.

Les gars s’en allèrent, se moquant de ma faiblesse. Seul Mike resta en face de moi, m’observant. Puis il me tendit la main, et m’aida à me relever.

– Je… merci.
– Cette Alycia, une vraie peste. Tu devrais pas draguer ce genre de fille, c’est trop fort pour toi, tu sais.
– C’est ma sœur *soupir*
– On dirait pas… tu veux qu’on en parle ?

Et ainsi, je passais l’heure de midi avec Mike, au resto du campus. Il paya le lunch, et je lui racontais tout : ma naissance avec ma jumelle, mon enfance difficile, avec Alycia d’abord éternelle protectrice, jusqu’au moment de l’adolescence où je devins un boulet pour elle, l’achat de l’appart par nos parents, le partage de l’appart avec Alycia, mes fantasmes sur elle et sur ses sous-vêtements, comment j’en suis venu à me masturber avec puis dans ses sous-vêtements, comment elle m’a surpris, puis son départ à elle et sa venue à lui. Et comment il se fait que je portais un string rose le dimanche matin… Après avoir tant parlé – c’était la première fois de ma vie que j’avais dit autant de mots en une seule fois – je me tus, honteux. Je réalisais que j’avais parlé de mes secrets les plus intimes et les plus honteux avec Mike, qui était encore quasi un inconnu… le silence qui suivit fut un peu gêné…

* *

J’avais passé la matinée à la bibliothèque du campus, à la fois pour travailler, et aussi pour faire des recherches. L’histoire d’hier avec Alex m’avait fait cogité pendant la nuit, et je parcourus le matin des articles et extraits d’ouvrages qui parlaient de gens comme lui, timides, faibles, influençables, ainsi que d’autres sur les profils des garçons qui se travestissaient, qui avait un côté féminin très prononcé. Enfin, je terminais par la théorie sur les rapports de domination qui peuvent s’exercer entre gens faibles et forts. Le lien entre tous ces articles fut évident pour moi. Si je créais un rapport de domination sur Alex, je pouvais en tirer quelques avantages. La psychologie m’avait toujours beaucoup plus intéressé, plus fasciné que le droit. L’expérience me tentait vraiment. Je ne voulais pas être méchant avec Alex, mais si ce que j’avais lu était vrai, il se sentira mieux dans un rôle de « dominé ». C’était en quelque sorte un peu pour son bien.

En sortant de la bibliothèque je tombais sur lui au moment où il s’était fait malmené par la fille qui m’avait piqué le dernier appart du campus, Alycia, et où il allait se faire rosser par Roberto. Je pus le tirer de ce guêpier, et lui payait un repas. Il me suffit de quelques questions bien posées, et le voilà qui me racontait sa vie. Pourquoi se confiait-il à moi ? Parce que je l’avais sauvé, moi qui l’ai surpris en questionnement de genre… je deviens sans qu’il le sache un « mâle », un fort, qui l’a protégé. Et tout ce qu’il me disait cadrait bien avec ce que j’avais lu. Je cernais de mieux en mieux son profil psychologique, il avait vraiment un profil de « dominé »… je rêvais de pousser mon expérience plus loin.

– Tu sais Mike, je suis pas gay, hein, c’est pas parce que je mets des sous-vêtement féminin que…
– Oh, tu sais Alex, ça n’a pas d’importance ça. De nos jours, ce qui compte ce n’est pas le genre, mais le plaisir. Que ce soit avec des femmes, des hommes, les deux, qu’importe. Le respect et le plaisir c’est ce qui compte. Dis-moi, tu es encore puceau ?

Il baissa la tête le rouge aux joues. Evidemment qu’il l’était encore. Tout en adéquation avec son profil psychologique. Il fallait pousser mon avantage plus loin.

– Dis-moi, qu’est-ce que tu voudrais vraiment, le plus, au fond de toi ?

Il réfléchit quelques instants.

– Être accepté par les autres…
– Accepté, tu es sûr ?
– Non… aimé… je veux être aimé de tout le monde, qu’on m’apprécie, qu’on ait du plaisir à me voir, être cool… être bien… peut être un peu beau aussi…
– Et si je te disais que je pouvais t’aider à cela ?
– Quoi ! Vraiment ? Impossible !
– Alex, tu me fais confiance ?

Je dardais mes yeux sur lui. C’est maintenant que le lien se ferait, ou ne se ferait pas. L’instant décisif.

– Je… oui… j’ai confiance en toi.
– Je suis ton ami et je vais t’aider. Mais il faudra que tu fasses tout ce que je te dis, d’accord ? Je vais t’aider à être aimé de tout le monde, ou presque.

J’avais appuyé sur le mot « ami ». Il me mangeait dans la main ! Il hochait de la tête, encore un peu hésitant, mais je savais qu’il le ferait.

L’après-midi commençant, il rejoint ses cours, moi je retournais à la bibliothèque. Je terminais mes passionnantes lectures. Je fis aussi un détour par les bureaux de l’unif. L’année commençant, je pouvais encore changer d’orientation. Je laissais tomber le droit pour la psycho…

* *

Les cours de l’après-midi passèrent tellement vite. Il faut dire que je n’y étais pas vraiment. Mon esprit vagabondait. Je repensais à ce que m’avait dit Mike. D’abord je n’en revenais pas de lui avoir tout raconté, jusqu’à mes pensées i****tueuses sur ma sœur ! Alors qu’avant-hier je ne le connaissais pas, je lui avais révélé toute ma vie, mes fantasmes, ce que j’avais de plus intime ! Comment avais-je pu faire cela ? Était-ce parce que je me sentais à l’aise avec lui ? Il faut dire qu’il m’avait bien aidé : il avait gardé mon secret et m’avait protégé, face à un type de son équipe de foot. Surtout, il se disait mon ami. Je n’avais jamais eu d’ami avant.

Je repensais aussi à ce qu’il m’avait dit : il pouvait me faire aimer des autres… mais comment ? Était-ce seulement possible ? Et cette question sur la confiance. Oui, j’avais confiance en lui. Je voulais avoir confiance en lui, car là, à part lui je n’avais plus personne. A part lui j’étais vraiment seul, maintenant que ma sœur m’avait tourné le dos.

Tout cela tournait dans ma tête, et j’étais un peu perdu entre perplexité et espoir. J’étais content de retourner à l’appart le soir.
Mike était dans le living, et il m’attendait. Il me fit asseoir en face de lui.

– Alex, on va commencer mon programme, tu es prêt ?

Quoi qu’encore indécis à l’intérieur, je hochais de la tête.

* *

J’avais potassé mon programme toute l’après-midi, j’étais prêt lorsqu’il rentra le soir. Je l’attendais dans le living, et après l‘avoir mis en confiance, je commençais.

– Tu sais Alex, deux piliers pour se faire aimer des autres, c’est le look et la confiance en soi. C’est peut-être idiot, et pas juste, mais l’apparence joue un rôle important dans nos interactions sociales. Ton look est à revoir. Mais on verra ça plus tard parce que le look c’est le plus facile à changer. L’estime de soi, l’assurance joue aussi un grand rôle dans nos rapports avec les autres, parce que ça se sent. On sent les faibles, comme on sent les forts. Pour le moment je ne vais pas faire de toi un fort, mais quelqu’un qui est fier de ce qu’il est. Tu aimes porter des petites culottes de fille à l’appart ? Et bien sois en fier ! Pourquoi le cacher ? Si c’est ce que TU aimes, TU dois en être fier. Alors, à partir d’aujourd’hui, je veux que sitôt rentré à l’appart, et quoi que tu portes, tu enlèves ton slip d’homme, et tu passes un sous-vêtement féminin. Que tu garderas jusqu’au moment de sortir de l’appart. D’accord ?
– C’est… c’est tout ?
– C’est le début.

Et je lui montrais la porte de sa chambre. Sans mot dire il se leva et alla dans sa chambre. J’étais certain qu’il allait enfiler un sous-vêtement féminin…

* *

J’étais complètement déstabilisé par ce qu’avait dit Mike. C’était ça, son « programme » ? Juste faire ce que je faisais déjà ? Enfin, à un détail près. Avant c’était en cachette. Maintenant je devais en être fier. J’enlevais donc mon jeans, mon slip, et passais une petite culotte boxer bleu marine. Le tissu de la culotte sur mon sexe me fit tout de suite bander. Mettre un sous-vêtement féminin me faisait toujours cet effet. Je remis mon jeans et revint dans le living.

– Tu en as mis une ?

Mike me regardait. J’acquiesçais, gêné.

– Et quel effet ça te fait ?
– Je… j’aime bien. Le contact de ma peau avec le tissu de la petite culotte, c’est bon. J’aime bien.
– Parfait, sois en fier !

Et nous continuâmes nos occupations. Nous dinâmes, racontèrent nos journées, à chaque mouvement je sentais la petit culotte contre ma peau. Je ne débandais pas de la soirée. Enfin seul dans la chambre, je ne pus m’empêcher de me masturber. Le plaisir me semblait déjà un peu meilleur lorsque je vins dans la culotte.

Le lendemain, de retour de l’unif, je mis une autre culotte. Une mauve. De nouveau, je bandais à peine la culotte posée sur mon sexe. Nous passâmes de nouveau la soirée, et de nouveau je dus me soulager le soir. A la fin de la semaine, je dus faire la lessive de mes sous-vêtements féminins. Mike arriva à ce moment.

– Je vais t’aider !

Je rougis instantanément.

-Mais non, tu dois être fier d’aimer mettre ces petites-culottes ! Tu as du goût, en plus, elles sont jolies. Mais toutes salies au même endroit.

Je rougis encore plus. Il en renifla une.

– Dis-moi, est ce que ça te fait bander de mettre ces petites culottes ?

Je fis « oui » de la tête. Je me sentais humilié, mais en même temps, je commençais à en ressentir un peu de fierté. C’est vrai qu’elles étaient vraiment jolies ces culottes.

– Et tu te branles dedans, c’est ça ? Non, sois fier mon ami. C’est ton plaisir ! Un plaisir que tu aimes, c’est bien !

Il m’aida à les mettre dans la machine à laver. Voir ses mains d’hommes sur mes petites culottes me faisait quelque chose. Je ne savais pas dire quoi. Mais ça me faisait quelque chose. Il en laissa tomber une à terre. Automatiquement, je me baissais pour la ramasser. Mon jeans large laissa apparaître le haut du string noir que je portais ce jour-là.

– Oooh, joli le string noir !

Je rougis, je me sentais humilié à nouveau, et voulais disparaître sous terre. Mais je ne m’enfuis pas comme la dernière fois. Il souriait.

– C’est bien ! Tu dois être fier d’être joli en string noir !

Il passa sa main sous l’élastique, et tira doucement. Le triangle de tissu noir se colla contre mon sexe, je sentis mon pré-sperme qui mouillait déjà le tissu. En même temps, le fin tissu allait et venait entre mes fesses… quelle sensation étrange ! J’avais l’impression que Mike faisait exprès de m’humilier et de me rassurer en même temps.

* *

J’avais choisis un moment de faiblesse pour le premier contact physique. Il était rouge dans son visage, mais ne s’enfuit pas. Les choses suivaient leur cours, lentement, mais sûrement.

– Alex, je t’ai concocté aussi un petit programme de sport. On va un peu relooker ton apparence. Tu dois faire ces exercices tous les matins. Et du jogging avec moi le weekend.

Il acquiesça de la tête. Les exercices que j’avais choisi lui feraient perdre un peu de ventre, mais pas trop, garderait ses fesses fermes sans enlever leur léger arrondi, et garder ses jambes comme elles étaient. Il y avait bien là quelque gène féminin qu’il avait piqué à sa sœur, pas de doute !

Il fit ses exercices, et le jogging avec moi. La semaine suivante, j’allais pouvoir monter le programme d’un cran.

Je savais qu’il rentrerait plus tard le lundi, il allait manger avec un pote de son club d’échec. Lorsqu’il revint, j’étais à l’aise, en slip dans le divan. C’était la première fois que je me mettais autant à l’aise. Il me regarda hésitant. Puis il alla dans sa chambre, enfiler une petite culotte. Puis il revint dans le living.

– Fait chaud aujourd’hui, je me suis mis à l’aise. Vient t’asseoir, le film est cool. Dis-moi ça a été ta journée ?

Il me raconta sa journée, et nous discutâmes tout en regardant le film. Je voyais bien que de temps en temps il zyeutait mon entre-jambe. C’était masculin, il devait se demander si j’en avais une plus grosse que lui, quelle genre de sous-vêtements je mettais. J’avais un boxer bleu clair, assez serrant, sous lequel on devinait sans peine la bosse que faisait mon sexe à demi-bandé. Il semblait avoir chaud lui aussi. Bon, j’avais monté un peu le thermostat, pour être sûr qu’il ait chaud !

– Tu as l’air d’avoir chaud, mets-toi à l’aise ! On est entre homme, on peut se promener sans pantalon, y’a pas de honte à avoir !

Il me regarda, interloqué. Hésitant. Puis il obtempéra, enleva son jeans et son t-shirt. Il n’était pas très poilu, pour sûr, et le manque d’exercice et de nourriture diététique avait fait que la graisse se mettait au niveau de la poitrine. Typique. Et mes exercices n’allaient rien changer à cela ! Il avait mis une petite culotte en dentelle, jaune. Jolie. Son sexe était visible sous le tissu. De taille normale apparemment. Je fis comme si de rien n’était. On échangeait nos points de vue sur le film, qui se finissait. Puis, nonchalamment, je zappais, et tombais sur un porno.

– Tiens, un porno ! Y’avait longtemps… tu regardes toi, ce genre de film ?

Tout en parlant, je laissais la chaîne. Une fille en sous-vêtement aguichant se faisait peloter par deux gars. Un des gars lui massait sa généreuse poitrine, tandis que l’autre passait sa main dans sa culotte. Une culotte en dentelle, un peu comme celle que portait Alex, mais rouge. Les caresses semblaient l’exciter, car la fille laissa sa tête aller en arrière et roula une pelle au premier gars, puis au second.

– Non, je… je ne regarde pas souvent ce genre de film…
– Tu devrais, ça donne des idées tu sais…

Un des gars déboutonna son pantalon et sorti un sexe bandé, de belle taille, que la fille commença à lécher, puis à sucer, tandis que l’autre baissait sa petite culotte… voir la petite culotte passer sur les fesses de la fille fit tressaillir Alex, qui bandait déjà comme un fou. Sa petite culotte jaune était tendue à fonds. Je commençais doucement à bander aussi, ce qu’il vit du coin de l’œil. Mon sexe était plus grand que le sien, ça se voyait déjà et j’étais même pas entièrement raide. Dans le film, le gars lécha le cul de la fille, le long de sa fente, puis s’attarda sur son anus, qu’il lécha avec gourmandise. Ensuite il sortit son membre, lui aussi de belle proportion, et l’enfonça dans le cul de la fille, qui couina, tout en continuant à sucer le premier gars. Un classique du genre, quoi.

– Tu vois, je pense que… merde ! Mon portable qui sonne ! Jamais tranquille !

Je me levais et laissais Alex seul. Evidemment, personne ne m’appelait à cette heure, c’était mon alarme, tout était programmé. Seul, il commença à se caresser par-dessus le tissu du slip en regardant le film. La blonde suçait le premier gars avec passion, le tout en gros plan et en HD. Elle semblait se délecter de ce membre dans sa bouche. Puis, le gars qui était dans son cul sortit son membre et vint vers sa bouche. La fille suça le membre sans poser de question, tandis que le premier gars prenait le cul laissé libre. Celui qu’elle suçait vint bien vite dans sa bouche, elle se délecta du nectar blanc, le montrant bien à la caméra. Elle ouvrit sa bouche pleine de sperme, le fit gicler sur son menton, avant de le repousser en bouche d’un doigt gourmand. De nouveau, le gars qui la sodomisait se retira de son cul, vint vers son visage, et se fit gicler sur son visage. Le sperme atterri sur son front, ses joues, ses lèvres. Elle attrapa le pénis éjaculant avec sa bouche, le laissa terminer dans sa gorge, avant de le nettoyer complètement. Elle semblait ravie, et Alex venait de se lâcher dans sa petite culotte.

– Et alors Alex on se donne du bon temps ? Sacré canaille va !

Il devint rouge dans son visage.

– T’en fait pas mon vieux, c’est normal. Faut prendre du bon temps. Si tu veux je t’en enverrai quelque uns sur ton ordi, si tu as aimé ce film, tu adoreras les autres !

Il hocha la tête, et toujours gêné, disparu dans sa chambre. J’en profitais pour remettre le thermostat sur normal, et de sortir le dvd que j’avais mis, lui faisant croire que j’avais zappé par erreur sur une chaîne porno.

* *

Je m’éveillais le lendemain, encore un peu honteux. Je m’étais fait prendre la main dans le slip, si j’ose dire par Mike. Je me sentais déjà tellement pervers de fantasmer sur ma sœur, que je n’avais jamais vraiment osé aggraver mon cas en regardant du porno. Alors, le film m’avait fait forte impression. Je n’avais su me contrôler.

Après une rapide douche, je m’habillais, puis croisais Mike à la cuisine. Il fit comme si rien ne s’était passé la veille.

– Alors bien dormi vieux ? Tu veux une tasse de café, je viens d’en faire ?

Je hochais de la tête… un bon café, voilà ce qu’il fallait pour me mettre les idées en place.

– Avec du lait, je crois ?

Je n’en revenais pas ! Mike avait remarqué que je prenais du lait dans mon café ! Cela peut paraître idiot de s’arrêter sur ce genre de détail, mais personne ne faisait en général attention à moi. Alors, oui, ça me touchait qu’il ait remarqué, et qu’il y pense ! Il me tendit la tasse, et je le remerciais.

– Pas de quoi, allez je file, je vais être en retard aux cours. A ce soir !

La journée se passa sans incident notable, et le soir, Mike avait un sourire d’une oreille à l’autre : il avait récupéré son portable, il allait de nouveau pouvoir être connecté au net… Après avoir passé une petite culotte en coton rose, avec des fraises imprimées dessus, je lui donnais un coup de main pour réinstaller les programmes, puis filais dans ma chambre.

Comme chaque soir, je consultais mes mails avant de dormir. Mike m’en avait déjà envoyé un, pour preuve que tout fonctionnait bien. Il me remerciait encore du coup de main. En cadeau, il avait mis un lien, avec juste la phrase laconique « comme promis… » Je cliquais sur le lien et arrivais sur une vidéo porno, du même style que le film de la veille : une brunette avec un cul extraordinaire, deux gars bien membrés, du sexe anal, des fellations, des giclées de sperme… J’avais envie d’aller dormir, mais en même temps je ne pouvais détacher mes yeux des scènes pornographiques, de ses bites bandées qui allaient et venaient simultanément dans son cul et dans sa bouche, de ses gros seins qui se balançaient de façon hypnotisante, du sperme ensuite, qui coulait sur son menton et sur son cul. La vidéo finie, je regardais entre mes jambes : une grosse tache rose foncée se voyait sur la petite culotte, là où mon sexe avait éjaculé mon foutre chaud… inconsciemment je m’étais caressé par-dessus le tissu de la culotte en regardant la vidéo.

Les jours suivants se ressemblèrent, le matin Mike me servait mon café ou mes céréales du petit déjeuner, puis les cours, et le soir il m’envoyait des vidéos. En quelques jours j’en devins accro, j’avais difficile à m’endormir sans ma séance porno-masturbation. Toutes les vidéos qu’il m’envoyait tournaient autour des mêmes thèmes, qui m’excitaient énormément, sexe anal et fellation. De temps en temps, la fille était un trans, une fille avec un pénis. Si au début cela m’avait éberlué – je ne savais même pas que ça existait ! – je n’avais pas trouvé cela moche du tout. Au contraire, ça avait un petit je-ne-sais-quoi-en-plus de terriblement excitant. Avec le temps, il y eut de plus en plus de ce genre de vidéos, et ce n’était pas pour me déplaire… Je n’avais même plus remarqué qu’avec ces vidéos pornos, je ne fantasmais plus sur ma sœur… le programme de Mike semblait donc fonctionner !

Autre preuve que son programme me faisait du bien : pour la première fois de ma vie j’ai été invité à une boum ! Une fête avec les joueurs de l’équipe de foot et les pom-pom girls. Bien sûr, j’ai refusé. Je ne me sentais pas assez à l’aise que pour aller à une fête de ce genre… mais rien que le fait qu’on m’y invite officiellement était tellement nouveau pour moi !

* *

Alex semblait vraiment bien réagir à mon programme. Bon, d’accord, je l’avais rendu accro au porno… mais tous les hommes ne le sont-ils pas un peu ? En plus l’idée de demander aux potes de l’équipe de l’inviter à la fête lui avait fait un grand effet. J’avais l’impression qu’il était mieux, même physiquement. Je ne sais pas trop expliquer, il était plus lumineux, moins sombre, moins replié sur lui-même. Je me demandais vraiment jusqu’où je pouvais aller. Je voulais pousser plus loin autre chose…

Un soir, alors qu’on faisait la vaisselle, lorsqu’il s’était penché pour ranger un poêlon sous l’évier, je l’avais taquiné : tirant par le bout du string qui passait par-dessus son jeans, je tirais un peu, jouant avec le tissu du string entre ses fesses, et collant le tissu avant contre son sexe…

– Arrête Mike, c’est pas drôle !

Il me dit cela le rouge aux joues.

– Désolé Alex, je te taquinais. Dis-moi, c’est vraiment bon de mettre des sous-vêtements féminins ?
– Je… heu… oui, j’aime bien. C’est une sensation unique.

Il voulait comme d’habitude éviter ce genre de conversation. Mais je voulais pousser mon avantage plus loin.

– Pourquoi tu n’en mettrais pas en dehors de l’appart, quand tu sors ?

Il me regarda, bouche bée.

– Mais oui, Alex, penses-y ! Tu aimes ça, ça te fait du bien… tu te sentiras encore plus en confiance, encore mieux ! C’est bon pour le programme que tu suis ! En plus y’a que nous qui le saurons ! Ce sera notre secret !

Il rougit encore une fois. En entrant dans la confidence, je devenais plus que son ami, son complice. Il semblait pensif toute la soirée. Allait-il oser ?

Le lendemain, nous allions partir en même temps pour l’unif. Je lui demandais si il avait réfléchis à ma proposition… il déboutonna son jeans pour me montrer qu’il portait un petit slip en dentelle jaune. Il allait oser, il allait passer un cap !

* *

Au départ, je n’en revenais pas de l’idée de Mike. Mettre des sous-vêtements féminins pour sortir ? Mais, si on me découvrait ? Quelle honte ! En même temps, c’est ce que je connaissais même avec des sous-vêtements masculin… c’était toujours la honte pour moi, les moqueries… enfin beaucoup moins maintenant, depuis que j’étais le petit protégé du Capitaine de l’équipe de foot. C’est pour ça que aussi que je lui faisais confiance. Des jours sans moquerie, sans balaise qui me fait tomber, me frappe ou m’humilie en publique… En plus, comme un vrai ami, Mike voulait partager ce secret avec moi ! Moi, le geek, qui devient l’ami, le complice du capitaine de l’équipe de foot ! Je décidais donc de mettre une petite culotte pour sortir le lendemain !

Et je ne le regrettais pas ! Quel plaisir. Je marchais dans les couloirs de l’unif, au milieu de tous ces étudiants et étudiantes, sachant ce que je portais sur mes fesses. Une petite culotte en dentelles jaune. C’était euphorisant. S’ils savaient ! Et quel plaisir lorsque je m’assis, au cours, sentant le tissu contre mes fesses, contre mon sexe… c’était tellement euphorisant, que cela m’excitais. Je dû profiter de la pause de midi pour aller me masturber aux toilettes, tant cela me plaisait.

Lorsque je rentrais à l’appart le soir, j’étais vraiment sur un nuage. Quelle belle journée ! Mike m’attendait à l’appart. Il semblait fort embêté. Je lui demandais s’il y avait quelque chose qui n’allait pas…

– Ecoute Alex, je… je suis vraiment désolé… je… j’ai pas fait exprès…
– Exprès de quoi ?
– Tu te rappelles le tiroir de ta commode, que tu m’avais demandé de réparer ?

Je hochais de la tête. C’était la commode où je rangeais mes sous-vêtements.

– Un bête accident est arrivé ! La colle que je voulais utiliser pour coller le tiroir défectueux s’est renversée dans le tiroir… j’ai vraiment pas fait exprès.
– Y’a des dégâts ?
– Et bien… je pense que tous tes caleçons et boxers sont foutus… j’ai vraiment pas fait exprès… je… je suis si désolé…

Je courus voir dans ma chambre les dégâts. Effectivement, y’avait de la colle partout dans tous le tiroir. Tous mes slips et boxers étaient foutus, inutilisables. Heureusement, le second tiroir, celui où j’avais rangé les petites-culottes qu’avaient laissées Alycia, n’avait pas été touché par l’accident. Mike était sur mes talons.

– Je suis vraiment désolé vieux… si tu veux le mois prochain, quand j’aurai de nouveau de la tune, j’irai t’en acheter…

Il semblait vraiment désolé. Cela me touchait, d’habitude, on se moquait de moi quand ce genre de truc arrivait. Et puis je me rappelais la délicieuse journée avec la petite culotte à mes fesses.

– T’en fait pas Mike, y’a pas de soucis. Bon, ça presse pas pour me racheter des slips, je porterai ceux d’Alycia en attendant…

* *

D’accord, je le reconnais, j’y avais été un peu fort en bousillant ses sous-vêtements avec de la colle. Mais j’avais de plus en plus une idée précise de là où je voulais arriver. J’avais commandé via le net des hormones féminines, que je mélangeais au lait que buvait Alex. Et il en buvait pas mal, dans son café, avec ses céréales, avant de dormir. J’étais curieux de voir les changements que cela ferait sur lui. Pour la suite de mon programme, il était important que certains repères « masculins » soient gommés. Les sous-vêtements, c’étaient fait.

J’avais aussi lu un article sur certaines vidéos qui circulaient sur le net. Une sorte d’hypnose pour sissifier des gars. Il y avait
plusieurs vidéos, certaines pour faire ressortir leurs côtés féminins, d’autres pour rendre pute ce côté féminin, d’autres pour apprendre à apprécier les pénis, leur odeur, le sperme, d’autre pour apprendre à sucer, d’autres pour rendre désirable le sexe annal… y’en avait des tas. Je les recherchais sur le net, et en trouvait pas mal. Je décidais de remplacer subtilement les vidéos pornos par celle-là, pour essayer.

Enfin, une autre idée vint à moi. J’avais trouvé dans ma chambre des caisses de vêtements qui avaient appartenus à Alycia. Ayant besoin de place dans ma commode, je demandais à Alex si ça ne l’embêtait pas de prendre ces caisses dans sa chambre. Après tout, c’était les affaires de sa sœur. Il accepta. Le samedi, après le jogging et autres exercices physiques, nous transvasions donc les caisses d’une chambre à l’autre. J’avais saboté le fonds d’une des caisses, choisies à l’avance. Je m’arrangeais pour qu’Alex la prenne. Le fonds tint quelques instants, avant de rompre, les vêtements tombant au sol. Que des soutiens gorges et des bas.

– Merde !

– Et bien Alex, qu’est ce qui va pas ? Aaaah oui, je vois. La caisse a cédé. Oh, ça alors, ce sont les soutifs assortis à tes culottes.
Et des bas. Tiens, tu as jamais essayé de les mettre ? Après tout, si tu aimes la sensation des sous-vêtements sur toi, peut être que tu aimerais ça aussi. J’ai lu quelque part que la sensation des bas nylons sur la peau est incomparable !

Il haussa les épaules, comme si tout ça n’était que des conneries, et fourra les affaires dans une autre broîte. La première de la pile. J’étais certains qu’il y réfléchirait. Le soir, je lui envoyais la première hypno vidéo, pour être plus féminine, et aimer s’habiller comme une bimbo…

* *

Pffff, l’est con Mike, mettre des soutifs et des bas. J’ suis pas gay non plus. Maintenant, il faut dire qu’ils étaient aussi jolis que les petites culottes. Les dentelles, les petits nœuds. En plus il y avait pleins de bas fantaisies, des bas élastiques, qui montaient jusqu’aux cuisses… non, Alex, arrête de penser à ça. Rien de tel qu’un bon porno pour se changer les idées.

Comme d’hab, le mail de Mike était arrivé, avec le lien. Après avoir cliqué, je me rendis vite compte que cette vidéo n’était pas comme les autres. Pas de scène hard. Plutôt toutes des jolies filles, des très jolies filles, avec des sous-vêtements sexy. De plus en plus sexy… Et de temps en temps ce visage qui apparaissait à l’écran avec ces yeux scintillants. La musique était prenante aussi, et quasi aussi érotique que les images… je me rendis alors compte que toutes ces filles avaient… des pénis ! Toutes ! Il y avait même des garçons habillés en fille ! Et je ne savais détacher mon regard de l’écran, c’était tellement étrange, et en même temps passionnant. Erotique. Excitant. Lancinant. Je bandais comme un fou. La vidéo était finie… Je la remis une seconde fois, revisionnant les images, écoutant cette musique, et me branlant dans ma culotte blanche, maculant les dentelles de mon sperme. Le lendemain, dimanche, j’étais seul à l’appart, Mike était en famille. Comme je ne savais pas trop quoi faire, je visionnais une nouvelle fois la vidéo. Ces filles, qu’elles aient un pénis ou pas ne changeait rien à leur beauté, étaient tellement sexy avec ces dessous féminins. Ces dentelles, ces nœuds, ces tissus transparents, ces bas, ces jarretelles…

Et si j’osais ? Après-tout, j’étais seul… La petite culotte blanche que je portais étant déjà maculée de sperme – cette vidéo me faisait trop d’effet – je l’enlevais et la mis au linge sale. Je choisis dans mon tiroir un string en dentelle rose, semi transparent, et le mis. Mon sexe au repos entra sans problème dans le tissu léger, mais qu’est-ce que j’adorais cette sensation de la dentelle sur ma peau ! Et sentir le fin tissu se poser entre mes fesses et s’adapter à mon corps, c’était divin ! J’avais repéré le soutien rose assorti au string. Les bonnets étaient rose, surmontés de dentelles assorties, et il y avait de petits nœuds en dentelle sur les côtés. Alycia n’avaient pas vraiment de gros seins, le bonnet taillait B. Il était un peu grand pour moi. Même si je trouvais que j’avais un peu de poitrine, ce qui était fort inconvenant pour un homme, je devais être entre le AA et le A. Mais bon, ça allait, même si ce machin n’était vraiment pas facile à mettre ! Mais je réussis à l’ajuster… Je trouvais des bas beiges, avec des lignes verticales plus foncées. Ils devraient faire l’affaire. Je passais mon pied dans le premier… quel délice ! La caresse du nylon sur la jambe… c’était divin ! Je passais le second, prenant mon temps. Puis je me regardais dans le miroir. Ma tête mis à part, c’était pas mal ! Le soutient rose, le string assorti, les bas… C’était aussi joli que dans la vidéo. Je bandais comme un fou, mon gland sortant du string, j’avais envie de me toucher juste en me regardant… ce que j’allais faire. Un sifflement admiratif figea mon mouvement.

– Putain Alex, la classe !
– M… Mike ?

J’étais livide. Mes joues brûlaient, et mon cœur cognait dans ma poitrine.

– Ouais, y’avait trop de bouchon sur le périph j’ai abandonné, j’irai chez mes parents une autre fois. Putain, tu en jettes, ça te va vachement bien !

Je n’osais toujours pas bouger. Il s’approcha et m’admira, ce qui augmentait ma confusion. Soudain, sa main se posa sur mon derrière ! Il caressa ma fesse, puis sa main alla doucement vers le string, suivi le fin tissu entre mes fesses, appuya légèrement là où se trouvait ma rondelle, avant de s’envoler…

– T’as vraiment un cul terrible, t’as pas intérêt à sortir comme ça tu risquerais de te faire violer ! Bon, je te laisse, je vais voir le match amical à l’école. A ce soir !

Je n’avais toujours pas bougé, j’étais figé. Ou bien à cause du fait d’être surpris, ou bien à cause de sa fugace caresse, je ne sais, une tache sombre apparaissait à l’avant du string rose pâle, là où je venais d’éjaculer…

* *

Mon plan avait marché à la perfection. Je l’avais surpris en train d’essayer des soutiens et des bas… et sa tête après ma caresse. Il devait être en pleine confusion ! Je ne le vis pas en rentrant du match, il était dans sa chambre. Après un rapide souper, je continuais mon exploration sur le net, trouvant de nombreuses vidéo sissy hypno, que je préparais pour lui envoyer au fur et à mesure, dans le courant de la semaine. Je recommandais aussi des hormones, ayant mis la dernière dose que j’avais dans son lait.

La semaine se passa sans soucis notoire. Je réussis brillamment mon second test en psycho, me confirmant que j’avais fait le bon choix. Les matières me passionnaient de plus en plus, surtout les cours sur le conscient, l’inconscient, le subconscient, bref l’esprit humain. Vraiment captivant.

A l’unif, surtout dans l’équipe de foot, certains ne comprenaient pas mes consignes de ne plus ennuyer Alex. Au début ils pensaient que c’était juste parce qu’il était mon coloc. Mais ils suivirent mes consignes, même sans comprendre. Et je m’arrangeais par personne interposée qu’Alex sache que c’est à moi qu’il devait cette période de paix. Je devenais de plus en plus son protecteur. Il se fiait de plus en plus à moi. Certains gars de mon entourage remarquaient des changements chez lui. Il leur semblait plus sympa, moins geek. Y’avait quelque chose de changé chez lui, mais ils ne savaient pas dire quoi. Moi je savais. Et je venais d’apprendre une nouvelle qui me servirait plus tard. Alycia commençait à tourner autour de John, un gars de l’équipe. Il était black, grand, costaud, vraiment fort comme un taureau. Le « garçon manqué » avait trouvé plus fort qu’elle, et elle semblait apprécier. Connaissant le fantasme d’Alex pour sa sœur, et John ne sachant rien me refuser, je pourrais utiliser cela à mon avantage. Mais pas encore. Alex n’était pas encore prêt.

* *

La semaine se passa sans soucis notoire. Même si j’avais un peu plus de mal à me concentrer sur les cours. Pourtant je jouissais d’une période de paix comme jamais je n’avais connu, grâce à Mike. Mais mon esprit était troublé par tout ce qui m’arrivait. Je me questionnais sur moi, sur mon genre, sur ce que j’aimais, ce que je voulais…

Le soir, les vidéos que m’envoyaient Mike étaient de plus en plus ciblée sur le changement de genre, accepter la femme qui sommeille en nous, la laisser sortir, la laisser vaincre l’homme nul et faible que nous pensions être… cela s’accordait tellement bien avec moi… en plus les musiques étaient super, envoûtante, et les phrases restaient dans ma tête. Accepter. Obéir. Se soumettre. Aimer porter de jolis sous-vêtements. Ne pas aimer les sexes féminins. Aimer les sexes d’hommes. Les vrais hommes. Leur obéir. Rencontrer leur désir. Apprendre à aimer l’odeur du pénis. Sa texture. Son goût. Aimer le sentir entrer en bouche. Aimer le sentir palpiter et cracher son jus. Aimer l’odeur et le goût du sperme. Aimer sentir le sperme dans la bouche, sur la langue, couler doucement dans la gorge. S’en délecter. Perdre à jamais sa masculinité en sentant ce pénis raide, doucement s’enfoncer dans son anus, caresser de l’intérieur ma prostate, me faire jouir… Ce sont les mantras qui revenaient dans toutes ces vidéos, dont je devenais de plus en plus friand. Je remettais le soir des soutiens et des bas, et j’en vins à regretter qu’Alycia n’ait jamais aimé les jarretelles…

Plus je devenais accro aux vidéos, plus je me posais de questions… quel goût avait le sperme ? Était-ce si bon que les vidéos semblaient le dire ? Quelle sensation cela faisait d’avoir un sexe tiède en bouche ? D’avoir un orgasme anal ? Les vidéos semblaient dire que c’était meilleur qu’avec une fille, ce que je ne connaissais pas du tout… mais au moins, c’était à ma portée… tandis que coucher avec une fille, ça… je ne me faisais plus d’illusions…

Plus le temps passait, plus je me sentais devenir sensible aussi. Parfois, comme dans les vidéos, je caressais mes minuscules tétons en regardant l’ordi, et ils me semblaient plus sensible qu’avant… j’avais même l’impression d’avoir un peu plus de poitrine, le changement était infime, mais quand même… Je gardais une belle taille grâce à la gym de Mike, mais je prenais de la poitrine… incroyable !

Je prenais aussi de plus en plus plaisir à mettre des bas nylons, bas fantaisies, bas croisés, et des soutiens assortis à mes petites culottes. Je ne portais quasi que ça, le soir, sous mon jogging. Un jour, j’osais même garder un soutien sous ma chemise et mon pull, pour aller à l’unif…

Avec les vidéos, même mes rêves commençaient à changer : au lieu de rêver que je prenais Alycia de toute les manières possibles, je commençais à fantasmer que c’était moi qui était pris, dominé, utilisé… à en mouiller les draps ! Et les vidéos qui revenaient sans cesse sur le fait de goûter le sperme, d’y prendre goût… mais quel goût ??? Je venais de regarder la vidéo, et comme d’habitude j’avais éjaculé dans mon string. Un string en nylon, noir. Je l’enlevais, pour le mettre au linge sale, mais le tissu était tellement petit que mes doigts furent maculés de sperme… il avait cette odeur particulière, odeur qui je l’avoue m’excitais… les images de la vidéo tournaient et retournaient dans ma tête… doucement, ma main s’approcha de ma bouche… l’odeur devint plus forte, presqu’entêtante… hésitant d’abord, puis de plus en plus confiant, je léchais mes doigts. Il n’y en avait pas assez pour réellement le goûter, mais je dois avouer que ce premier contact n’avait pas été désagréable…

Le lendemain, je regardais de nouveau ces vidéos, étant quasi en transe, excité comme un fou. Mon sexe bandé sortait du petit string rose, je le massais doucement en regardant les vidéos. Alors que je me sentais venir, mon regard tomba sur une plaquette de chocolat, que j’avais entamée en rentrant de l’unif. Une idée folle me vint en tête. Je cassais vite un morceau de chocolat, assez grand, et l’approchais de mon sexe… puis je jouis, dirigeant mes saccades sur le chocolat… un jet, deux jets, trois… une petite flaque dont la couleur hésitait entre le blanc et le gris perle se détachait très nettement sur le noir du chocolat… Au moment où la vidéo montrait des filles avec de jolis pénis qui suçaient puis avalaient goulûment la semence, je mis le chocolat en bouche… le goût un peu âcre, ou salé, du sperme se mélangea avec le chocolat… c’était pas mauvais. Étrange, mais pas mauvais…

Bien vite, en continuant à regarder ces vidéos, j’en vint à goûter mon sperme de plus en plus régulièrement, puis sans passer par un autre aliment… d’abord, après avoir éjaculé dans un string noir, toujours très excité, j’enlevais le string, puis reniflais la tâche blanchâtre, avant de porter le tissu à ma bouche et de lécher le sperme. Je fis cela plusieurs fois, toujours excité, même après avoir joui. Puis, un jour, l’excitation fut si forte que je jouis dans ma main, n’ayant pas le temps de re-rentrer mon gland dans le tissu de la culotte… j’observais cette semence, tiède, sur ma main, p

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