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VU SUR LE NET: Chloé, ma belle-soeur (5)

VU SUR LE NET: Chloé, ma belle-soeur (5)



En laissant Chloé la dernière fois devant chez elle, je lui avais dit que je la rappellerai le lendemain. En fait je n’en fais rien car j’ai décidé de la laisser mariner et penser à tout ce que je lui ai fait subir. Si elle a suivi mes instructions elle doit être désormais libre comme l’air et avoir quitté définitivement Laurent. Je pars en déplacement professionnel une semaine et à mon retour j’aviserai. Il faut qu’elle soit en état de manque vis-à-vis de moi pour que je puisse maintenir mon emprise sur elle.

Pendant toute mon absence je reçois des SMS de Chloé qui s’étonne de mon silence. Je me garde bien de répondre…
Dès mon retour je l’appelle, j’ai quelques jours de congés après mon déplacement, et, sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui dis que je passe la chercher dans une demi- heure au bas de l’immeuble où elle habite chez ses parents. Mes ordres fusent :
• En jupe et chemisier ! Pas de culotte, pas de collants, pas de soutif !
Et je raccroche.

Je la trouve comme prévu au lieu indiqué montrant ainsi sa soumission totale. Elle monte dans ma voiture et je démarre sans prononcer une parole. Elle ne dit rien non plus attendant mon bon vouloir.

Je parcours quelques kilomètres et m’arrête dans un chemin creux. Chloé me regarde avec appréhension. Je défais ma ceinture de sécurité et je me penche vers elle pour lui rouler une pelle d’anthologie. Nos langues s’enroulent dans une furie qui trahit son attente pendant laquelle elle est restée sans nouvelles de moi. Elle tremble de bonheur. J’en profite pour passer ma main gauche sous sa jupe. Elle écarte ses jambes pour me faciliter l’accès à sa moule déjà trempée dans laquelle je n’ai aucun mal à faire pénétrer les quatre doigts de ma main… Je libère sa bouche et lance un ordre :
• Recule ton siège et abaisse le dossier!
Elle s’exécute. Dans cette position je peux alors mieux jouer avec ma main. Mon pouce rejoint mes doigts et, lentement, tout en effectuant des va-et-vient avec mon bras, je fais tourner ma main pour agrandir sa chatte et l’introduire en entier jusqu’au fond de son vagin. Elle feule de bonheur, pousse de petits cris, me dis des mots insensés :
• Baise-moi bien avec ta main, aarhhh, j’aime, encore, je n’en pouvais plus d’attendre, tu peux faire de moi ce que tu veux je suis ta chose… Ahhh je jouis !
Elle trésaille emportée par l’orgasme violent qui l’envahit.

Toutes ces paroles dites ne tombent pas dans l’oreille d’un sourd et vont faciliter le scénario de la journée !
Néanmoins cet épisode ne m’a pas calmé, au contraire. Il faut que je me soulage. Profitant de sa position allongée, j’enlève mon short et mon caleçon, puis j’enjambe tant bien que mal son corps (l’habitacle de la voiture ne facilite pas les choses…) et je frotte mon gourdin bien bandé sur sa figure. Chloé ouvre sa bouche et commence un léchage en règle de mes bourses, puis de ma queue. Je ne peux résister plus longtemps à ce traitement car je suis en manque suite à mon absence et au fait que Sophie, ma femme, sa sœur, a ses règles depuis quelques jours. J’éjacule en longs jets sur son visage, ses cheveux et finalement dans sa bouche. Avec ma main j’étale mon sperme comme une crème de beauté sur ses paupières, son nez, son front. Je ricane en lui disant :
• Pas besoin d’aller chez l’esthéticienne, c’est bien meilleur et c’est moins cher ! Tu n’es vraiment qu’une trainée pour te faire traiter comme ça par le mari de ta sœur.
• Oui c’est vrai mais je ne peux plus me passer de toi. Cette semaine, sans un seul mot de ta part, sans une réponse à mes SMS, a été un vrai supplice. J’ai rêvé de toi toutes les nuits en me masturbant et en me godant avec une bouteille de Coca-Cola.
• Tu te rends compte de ce que tu me dis ? Tu es prête à m’obéir sans barguigner ? Tu sais que je vais te détruire, t’avilir à un point que tu ne soupçonnes pas ? Es-tu d’accord sur cette approche ?
• Oui j’y suis prête !
• Bon dès maintenant ton éducation va se poursuivre. Tu m’obéis et tu ne parles que quand je te le demande. OK ?
• OK

Je reprends le volant. Chloé remets en place son siège et s’essuie, du mieux qu’elle peut, son visage avec des Kleenex. J’en profite pour passer ma main dans son corsage et lui tordre violemment son téton droit. Elle pousse un cri et grimace de douleur.
• Chut ! Tu dois désormais souffrir en silence !
• Oui mais c’est trop dur.
• Ce n’est que le commencement !

Nous reprenons la route, destination un hôtel Formule 1 discret près d’ici. Arrivés sur le parking, je prends une petite mallette dans le coffre de ma voiture et nous montons dans la chambre que j’avais pris la précaution de réserver auparavant.

A peine la porte de la chambre refermée, je plaque Chloé contre celle-ci, je déboutonne son chemisier, dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds, je la retourne le nez contre la porte, j’empoigne ses deux seins dans mes mains et commence un malaxage en règle. Chloé gémit. Je presse mon sexe déjà dur contre ses fesses. Je libère l’une de mes mains pour baisser mon short et mon caleçon. Mon sexe nu revient dans la raie de son cul. Je la fais reculer et j’appuie sur sa tête pour qu’elle se penche en avant. Je fais glisser ma bite vers sa rondelle encore vierge et j’appuie. Elle pousse un cri :
• Non pas là !
• Tais-toi ! Je vais te dépuceler du cul et tu en redemanderas…

Suit une suite de ses commentaires dont je fais fi. Elle hurle lorsque j’amorce ma pénétration car j’ai décidé, pour lui donner une leçon et bien la dominer, de faire ça à sec. Je lui claque les fesses pour la détendre et m’enfonce d’une seule poussée dans son anus. Je remets mes mains sur ses seins et tout en les massacrant je commence mon enculade violente. Elle crie – heureusement à cette heure l’hôtel est vide – elle pleure, puis gémit et, enfin, hurle sa jouissance. Ses sphincters serrent ma bite qui durcit de plus en plus. C’est incroyable même quand j’ai sodomisé ma femme Sophie pour la première fois je n’ai pas senti un tel plaisir. J’ai l’impression d’avoir une batte de base-ball en lieu et place du sexe. Je la défonce encore et encore, je veux que ça dure le plus longtemps possible. Mais après plus de dix minutes de ce régime je ne peux plus résister et je me répands dans ses entrailles. Elle m’a vidé ! Que ce fut bon ! Elle s’écroule épuisée. Un flot de sperme s’écoule le long de ses fesses. Je me baisse et lui présente mon chibre débandé pour qu’elle le nettoie. Elle l’empoigne et le lèche avec volupté semblant ignorer qu’il sort de son fondement.

Elle me regarde avec amour, vaincue, domptée définitivement confirmant cet état par ses propres paroles :
• Je suis à toi. Tu peux faire de moi ce que tu veux. Tu peux me prostituer, m’enculer selon ton bon vouloir. Je suis ta chose. Tu me fais trop de bien avec ta queue et je ne pourrai pas m’en passer. Je ne te veux pas pour moi uniquement car je sais que tu aimes trop ma sœur et que pour toi je ne suis qu’un garage à bites.
Je sais alors que je peux passer au deuxième acte de la journée que je lui ai préparé. Ce sera une surprise pour elle et une étape de plus vers son avilissement.

Je lui demande de s’allonger sur le lit les bras et les jambes en croix. Je prends ma mallette d’où je sors des godes de différentes tailles, des menottes pour attacher ses poignets et ses chevilles aux montants du lit. Elle me laisse faire sans rien dire se demandant bien ce qu’il allait lui arriver maintenant. Je lui rehausse ses fesses avec un coussin. Je choisis dans la panoplie un phallus artificiel de taille moyenne – 3 cm de diamètre pour 15 cm de longueur – et je lui enfile délicatement celui-ci dans l’anus. Cette intromission est facilitée par le sperme qui baigne ses parois. Grâce à une télécommande je mets en route le vibrateur que contient cet olisbos afin de tester son efficacité. Chloé commence à gémir. Ça fonctionne ! J’arrête cette action. Je ne veux pas qu’elle jouisse maintenant.

Je m’adresse alors à elle en ces termes :
• Dans quelques minutes un visiteur va arriver. Il a payé cher pour utiliser ton corps sans limite, hormis te sodomiser. Il utilisera ta bouche, ton sexe, tes seins comme il en aura envie. Tu ne devras rien lui refuser. Un simple refus de ta part et je m’en vais définitivement. Tu as bien compris ?
• Oui j’ai compris je ne veux pas te perdre je ferai tout ce que tu veux.

On frappe à la porte. Chloé redresse sa tête. Je vais ouvrir et fais entrer l’oncle Georges, déjà en partie décrit dans ce récit. Veuf de 55 ans, au teint rubicond, il ne respire pas la propreté depuis la mort de sa femme il y a un an.
Chloé me lance un regard terrorisé.
• Non pas oncle Georges ! Il est de ma famille ! Il n’est pas propre et il sent mauvais !
• Et alors ? Justement en famille on aime faire plaisir. N’est-ce pas oncle Georges ? Quant à sa saleté il faudra t’y habituer. T’es une pute et une pute n’a pas à choisir !
• Oui d’autant qu’elle me chauffe depuis un moment et que j’ai vraiment envie de la sauter. L’autre jour chez la cousine je me la serais bien faite tellement elle faisait pute. Je ne savais pas quand qu’en payant je pourrai me la faire et pour 500 €, ce n’est pas cher. Merci mon neveu (par alliance) pour cette belle offre. Je sens que je vais lui faire sa fête pendant un moment. Depuis que je n’ai pas baisé il faut que je compense…
• Vous aurez tout le temps qu’il faudra et vous pourrez renouveler l’expérience à condition que je sois toujours présent. Seul son cul vous est interdit. D’ailleurs il est déjà rempli par un gode vibrant que j’actionnerais grâce à sa télécommande pour accentuer votre plaisir à tous les deux. Ah, une dernière chose Chloé, oncle Georges a une particularité. Vous voulez lui montrer ?

A ces mots oncle Georges se déshabille complètement et, tel un serpent qui jaillit de sa boite, il bande déjà, libère son sexe qui s’avère monstrueux : près de 30 cm de long pour un diamètre en rapport. Chloé est horrifiée à la vue d’un tel engin.
• Alors qu’en penses-tu Chloé ? Tu vas voir comme je vais te faire du bien. Ta tante, Dieu ait son âme, ne pouvait pas s’en passer.
• Jamais je ne pourrai absorber une telle bite… En plus elle est sale.
• Quand tu m’auras sucé ça ira mieux. Tu t’y habitueras. Et ne t’avises pas de vomir quand tu avaleras mon sexe.
Je surenchéris en lui rappelant tout ce qu’elle m’a promis. Chloé acquiesce du regard, matée encore une fois.
• Bon dans la position où tu es on va commencer par un bon 69. Je vais te bouffer la moule et tu vas me lécher le cul pendant que je mettrais ma matraque entre tes seins. T’as compris ?
• Oui.
• Oui mon oncle !
• Oui mon oncle.

Oncle Georges se met en position. Je commence à filmer la scène car c’est digne d’un grand porno. Il abaisse son cul sur la bouche de Chloé qui détourne la tête vaincue par l’odeur de saleté que dégage son anus. Je filme en gros plan et, tel un metteur en scène, je donne des indications aux deux acteurs :
• Allez Chloé bouffe lui le cul !
• ….
• Bon je m’en vais c’est ce que tu veux ?
• Non.
• Alors vas-y !
Sa langue commence son travail de nettoyage. Elle est au bord du vomissement mais elle résiste d’autant qu’oncle Georges sait y faire avec sa langue qui lui titille le clitoris et ses gros doigts qui s’introduisent dans sa chatte, vite remplacés par sa langue. Elle gémit… et fait pénétrer elle aussi sa langue mais dans son anus. Elle a vaincue son dégout : encore une étape de son avilissement franchie.

Les mains de Georges étant libres il en profite pour presser les seins de Chloé contre sa grosse bite qu’il fait aller et venir pour se branler entre eux. Ce traitement d’une fille magnifique qu’il n’aurait pas, même dans ses rêves, envisagé de baiser, conjugué à une longue période d’abstinence, font que son sexe est vite secoué par une suite d’éjaculations abondantes. C’est à ce moment que je presse la télécommande du godemichet pour la mettre au maximum de vibrations ce qui entraine un orgasme fulgurant de Chloé.

Oncle Georges se relève, se tourne et va se faire nettoyer , en finale, sa bite malodorante par la bouche de Chloé. Elle le suce avidement sans aucun dégout cette fois.
• Merde ! Elle est vraiment bonne. Je sens que je ne vais pas tarder à remettre le couvert. Mais cette fois-ci j’aimerais que ce soit elle qui agisse de son plein gré. Je veux qu’elle me fasse la totale. On va la détacher si tu veux bien.
• OK

(à suivre)

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