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Achat de mon 1er jouet

Achat de mon 1er jouet



Pascal m’a donné des instructions très précises pour cette sortie.
Il y a les préparatifs à la maison où je dois me préparer en bonne cochonne puis je devrais sortir en ville pour quelques formalités administratives et je clôturerais par une course dans mon magasin favori.

Dans la nuit, je me réveille avant son départ, je consulte mes mail pour voir, si j’ai un message de Pascal. Pas encore, je lui en envoie un petit pour lui dire que la pression monte pour moi. Son message ne devrais pas tarder, je me caresse en attendant. Le message de Pascal arrive. Il est étonné moi qui dors si bien d’habitude. Il me félicite pour mes travaux réalisés chaque soir depuis 10 jours et me rappelle que je dois dormir et ne pas jouir. En fin de message, il me glisse quelques pour tout à l’heure, il sait pourtant que les mots qu’il m’écrit m’exciteront encore plus. J’arrête de me toucher et j’essaie de me rendormir.
Au matin, c’est dur après cette nuit un peu agitée, mais ma journée de repos me permet une grâce matinée. Rien d’exceptionnel mais mes parents doivent être déjà partis au travail pour que je puisse réaliser avec le moins de contraintes possibles les instructions de Pascal. Il ne sera disponible pour moi que l’après-midi, charge à moi de m’organiser pour que ce soit réalisé à son retour et avec un compte rendu écrit.

Je me lève et je leste de suite mes grandes lèvres avec 100 grammes environs. Pour ce faire, je tire sur la première lèvre pour la distendre avant de la placer mes pinces bricolées et de serrer les vis papillon à chaque extrémité. Je fais de même pour la seconde. Les poids sont de la récupérations avec de petites bouteilles d’eau et poids est réglable avec le niveau d’eau.
Je vais prendre le petit déjeuner ainsi. je relève ma chemise de nuit pour m’assoir. Je suis assise au bord de la chaise et je dois laisser les cuisse écartées. Je vois ainsi mes lèvres étirées. Bien évidement, je ne peux m’empêcher de caresser mon sexe en mangeant. Ce n’est pas propre, je le sais mais c’est plus fort que moi.

Avant de débarrasser la table, j’ajoute une pince sur chaque téton tout en gardant ma chemise de nuit. Je commence ma vaisselle et je range la cuisine; les poids balancent entre mes cuisses. J’aime cette sensation où mes lèvres sont étirés et bougent au rythme de mes mouvements. Les poids s’entrechoquent lorsque je marche.
Je vais chercher mon rasoir, un peigne et des ciseaux dans la salle de bain et j’ôte ma chemise de nuit et je reviens dans le couloir pour être devant la grande glace. Je prends également une chaise et je m’installe dessus les jambes grandes ouvertes. Je dois travailler ma chatte pour la rendre plus inesthétique. Je devrais arrêter lorsque le rendu m’excitera.

Pour rappel, je l’avais « rafraichie » la dernière fois il y a une semaine. J’ai la lèvre gauche rasée au niveau du vagin, la droite au niveau du clito. Une rectangle rasé sur le mot de vénus et le haut à gauche rasé.
Je fais un trait fin d’un demi centimètre environ dans le haut à droit sur l’axe nombril-aine. Un trait de la même taille qui part du dessus du clito et qui croise le trait précédant sur tout le pubis. Je repasse le rasoir dans les trous précédent mais de façon imparfaite.
Je passe le peigne dans ce qu’il reste de poils, je les étire et je coupe aux ciseaux le long des zones rasée. il faut que les trous soient bien visibles.
Ce n’ai pas conventionnel, j’en ai honte mais ça m’excite terriblement, ma mouille coule le long des poids.

Je pousse la chaise et je passe l’aspirateur pour nettoyer de sol jonché de mes poils pubiens.

Je vais maintenant me laver. Je garde les pinces et les poids, je n’ai pas d’instruction particulière à ce sujet. Je dois juste bien laver mon anus et le ne pas laver ma chatte. Je m’exécute.

Je me sèche et je vais chercher ma robe blanche à petit fleur rouge. Elle tombe entre mi-cuisse et au dessus du genoux, me couvre les épaules et le décolleté est une U. Ce sera mon seul vêtement pour sortir excepté une petite laine s’il fait froid dehors.

Je retourne dans le couloir avec un marqueur permanent noir à pointe fine. Je dois écrire COCHONNE en haut de ma chatte en m’appliquant.
Huit lettres en tout, 4 de chaque coté du milieu 12 cm de long et 2 cm de haut. ça me semble pas mal.
Je commence par le H et le O au milieu. puis le C et le N, le O et le N et enfin le C et le E. Je double le trait sur toutes les lettres. Je me regarde dans la glace, c’est sans équivoque !

J’enlève mes poids et mes pinces. Cela fais un peu plus d’une heure que je les portes. mes tétons me font mal lorsque j’ôte mes pinces. je m’empresse de les masser pour les calmer. Ils sont devenus tout sensible.
Pour les poids c’est plus facile. la charge est répartie tout le long de la lèvre ça ne me fais que des chatouilles fort agréables pendant que mes lèvres reviennent à leur place.

J’enfile la robe, la caresse délicieuse du tissu sur mes tétons devenus très sensibles me fait frissonner. Je mets des petites ballerines blanches.
Je sors pour ressentir la température. Il me faut une petite laine. Ce sera un gilet de laine blanche. Ce gilet permettra de cacher mes tétons que je devine à travers le tissu de la robe.

Je pars, je n’ai pas le droit d’avoir une culotte de secours dans mon sac à main.

J’ai de petites taches administratives à faire avant de retourner dans le magasin érotique pour faire l’achat d’un article dont je connaissais pas vraiment l’existence il y a un mois. Je me rends compte que j’ai bien progressé et que j’ai passé certains de mes blocages.

Je passe à la banque qui est sur le même chemin que le bus. Il n’y a personne, je rempli mon bordereau de dépôt que je remets au guichet puis je retire un peu d’espèce. Cela se passe bien sans gêne. Je me dirige vers l’arrêt de bus.

La marche me vivifie, il y a un peu de vent et j’ai l’impression d’être nue. j’avoue que cela m’excite.
Je dois attendre quelques minutes à l’arrêt de bus, je suis seule et j’en profite pour serrer les jambes et contracter mon périnée.
Le bus arrive. il est presque vide et je m’assois dans le sens de la marche à la première place à coté de la porte en montant. J’ai bien sûr un idée derrière la tête : derrière la vitre légèrement teintée, J’écarte légèrement les cuisses et je remonte légèrement le bas de ma robe. J’espère secrètement qu’un personne attentive regarde sous ma robe. J’arrive dans le centre, personne n’a rien vu tout le monde dit bonjour au chauffeur.
Cette place est mieux que celle que j’ai déjà essayé. Si on vois ma chatte, ce ne sera que furtif, je trouve cela plus rassurant car je ne suis pas prête à l’exhiber ouvertement.

Arrivé dans le centre, je descend plus tôt que d’habitude pour aller m’inscrire au sport que je pratique depuis plusieurs années maintenant. Je pense que ça va être pour moi, plus dur que la banque car je connais beaucoup de monde ici. Je me calme avant de rentrer, si je pique un phare ils pourront se douter de quelque chose.
J’ai tout ce qu’il me faut : le certificat médical que j’ai pris grand plaisir à obtenir, la photo pour la licence et le chèque de règlement. Nous discutons de nos vacances respectives et de nos projets, de la rentrée… Bref, cela ce passe parfaitement bien et je les quitte.

Il me faut marcher un peu en ville pour arriver au magasin la pression monte, il est presque 11h30. J’entre.
Je passe au rayon lingerie avant, il y a peu de chance que je trouve mon bonheur pour mon petit budget, mais il n’est pas interdit de rêver.
J’ai chaud et je dois enlever mon gilet, je me sens toute nue dans le magasin. Il va falloir que j’aille chercher le modèle de plug anal que Pascal m’a désigné. Il voudrait que je le prenne en couleur chair et je ne trouve que le noir. Je suis un peu paniquée d’un coup.

La vendeuse, la même que la semaine passée doit voir ma gène et me demande si j’ai besoin d’aide. Anxieuse, je lui réponds que oui, j’ai alors des contactions dans le bas ventre. Pas facile de parler et je deviens toute rouge, je respire à fond pour tenter de me contrôler.
Je lui demande si le modèle de plug que je tiens maintenant dans les mains est disponible en beige, je n’arrive pas à dire l’autre couleur. Je lui donne l’article et elle va vérifier. Elle revient et me dit qu’elle n’a que le noir. Je lui répond que je vais le prendre.
Elle me propose, sans que je ne lui demande rien, un lubrifiant pour pourvoir l’utiliser. J’ai la bouche très sèche et je demande s’il est suffisamment gras, j’ai honte mais Pascal veut un tel lubrifiant pour moi. Elle m’en conseille un qui sera adapté, elle me sourit et je n’en ai que plus honte.
Elle me demande alors si j’ai ce qu’il faut pour le nettoyer. Heuu, non et me donne ce qu’il faut.

Il y a un monsieur pour régler des achats et elle l’encaisse. Je suis derrière, mes articles dans les mains et le monsieur me regarde, me toise et fixe mes articles quelques instants puis me regarde dans les yeux et me souri. Je ne peux supporter son regard et je baisse les yeux comme fautive et je me sens toute rouge. Je mouille.
La vendeuse m’encaisse à mon tour, j’ai prévu des espèces comme la dernière fois, je lui donne la monnaie. Elle mets les articles dans le même sac rouge que la dernière fois. 3 articles, ça ne rentreras jamais dans mon sac à main, surtout le plug. Je n’avais pas du tout prévu cela, moi qui veux tout contrôler, cette fois c’est raté.

Je ressort, j’ai très chaud et le petit vent frais m’aide beaucoup. Il est bientôt midi, si je ne veux pas beaucoup de monde dans le bus je vais devoir me dépêcher. Dans le sac, on voit l’image du plug sur la boite. Impossible de te tenir à la main, surtout dans le bus. Je mets le sac sous mon bras comme si je le portait à l’épaule, cela en resserre l’ouverture et masque le petit logo.

J’attends quelque minutes, le bus arrive. Cette fois je reste debout en me faisant la plus petite possible. Je serre les jambes et je profite des contractions de mon bas ventre. C’est un vrai bonheur tout le trajet, j’ai réussi et je suis fière.
Je rentre à la maison. je dois rester cul nu toute l’après-midi. j’enlève la robe et je mets seulement le gilet, je le boutonne au niveau de la poitrine et je laisse ouvert sous le nombril. Je vois l’inscription qui doit me rappeler ce que je suis. J’ai très envie de jouir mais j’ai encore plus envie de le faire tout à l’heure avec Pascal en essayant mon plug. J’ai remis du gel chauffant et je vais manger et écrire le compte rendu attendant Pascal.

Lorsque Pascal arrive, il me guide pour utiliser mon jouet. Ce ne sera pas évident mais je réussirai. J’ai passé une très très bonne près midi.

Je devais garder l’inscription jusqu’à 17 h, j’ai désobéi car je ne l’ai pas effacée.
Je n’aurais pas le droit de jouir le lendemain, si je désobéi cette fois, je serais punie et je l’ai été.

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