Dès notre arrivée dans la chambre de notre hôtel Balima, à Rabat, en face du Parlement, mon ami Jamal et moi nous nous mettons complètement nus, puis allongés sur le lit, nous entreprenons une longue fellation mutuelle en position de 69, pour nous mettre dans de bonnes conditions, on se suce longuement aussi bien la queue que le cul et les couilles, on se met aussi la langue dans le trou, mais nous nous arrêtons avant de jouir.
Je me couche ensuite sur le ventre en me cambrant un maximum pour lui montrer et lui offrir ma rondelle, et je lui dis :
-Viens prendre mon cul, Jamal ! Fourre-moi comme une chienne! Plante ta grosse pine dans mon petit trou pour que je la sente bien me pénétrer et me ramoner…Saute-moi, vas-y, baise-moi comme une bête… »
-Tu aimes la bite Karim ?
-J’adore ça…surtout la tienne car elle est bien longue et bien large et tes couilles ont besoin d’être vidées car elles sont bien grosses !
Il se saisit de son zob en érection qu’il présente à l’entrée de mon cul bien rond et de mes fesses bien fermes que j’écarte avec mes mains. Voulant faire durer les préliminaires, il me l’enfonce une première fois, et à mi-course, il se retire pour ensuite jouer avec son gland en le faisant entrer et sortir plusieurs fois de mon trou, avant de le pousser au plus profond de mon ventre.
-Oh oui, comme ça, Mumm…C’est trop bon ! Tu es monté comme un âne Jamal ! Je sens bien ton gland frotter sur les parois et toucher le plus profond de mon boyau !!
Après de longs allers-retours dans mon tube bien huilé, je me lève pour qu’il me prenne debout car j’adore cette position, elle me procure une sensation d’entière soumission et une jouissance inégalée, j’ai en effet l’impression d’être violé et entièrement à la merci de celui qui me prend par le cul !
Je me mets donc face au mur les bras levés et posés bien à plat, et je lui offre mes fesses bien écartées, il se cramponne à ma taille puis me pince les tétons tout en me pénétrant, il entame alors une longue série de va-et-vient lents et profonds puis beaucoup plus rapides dans mon trou bien serré, en me plaquant bien sur le mur, et en me caressant le sexe ou en me palpant les fesses, j’aime sentir son corps collé contre le mien, je me sens tout à lui, il me possède complètement et c’est bon.
Il me retourne ensuite et me met, face à lui, il me soulève par les jambes en me plaquant dos au mur et m’enfourne violemment, nos bouches se rejoignent et nos langues entrent en action, il me pilonne alors le fion vigoureusement avec son gros gourdin pendant que mes jambes enserrent sa taille, c’est trop bon, il me tient par les fesses en les écartant régulièrement et ses couilles battent mon cul à chaque pénétration.
Pendant plus d’une demi-heure, il me nique avec vigueur et me défonce le cul dans différentes positions, c’est un baiseur hors pair :
Je m’empale sur sa queue dans un sens, puis dans l’autre, alors qu’il est couché sur le dos, je lui pompe alors le nœud consciencieusement.
Puis, nous nous mettons de côté couchés face au miroir de la penderie et il me fourre pendant que je me branle frénétiquement, en regardant sa belle pine entrer et sortir de mon anus.
Il me prend aussi en missionnaire, mes jambes d’abord autour de sa taille, puis bien levées et posées sur ses épaules.
Pour finir, il s’allonge de tout son long sur moi alors que je suis couché sur le ventre, et il reste bien collé pendant qu’il m’encule savamment, je sens bien ses couilles taper sur les miennes à chaque aller-retour de sa bite dans mon conduit.
Lorsqu’il sent le plaisir se rapprocher de son paroxysme, il me dit :
— Putain Karim, Je ne vais pas tarder à cracher mon jus !
— Oh oui, donne-moi toute ta sève Jamal, vas-y à fond ! Crache ! Crache !
Les yeux clos par l’intensité de l’action, je me fais sodomiser par mon meilleur ami en gémissant de plaisir, car chaque coup de reins que je reçois de mon amant, suivi d’un râle, d’un cri, d’un commentaire salace…m’excite terriblement.
— Oh, je vais exploser…oui…tu vas tout recevoir dans ta chatte de pute…hurle Jamal
— oui…oui…vide tes grosses couilles et mets-moi tout dans le cul, Jamal ! C’est trop bon, vas-y à fond, vas-y lâche toute ta purée !!!
Jamal sent la chaleur de son éjaculation imminente se propager dans son bas-ventre et il libère par saccades tout son sperme qui inonde mes entrailles, avec un long râle de plaisir, puis il continue de limer lentement et longuement mon étroit fourreau, bien graissé par la grande quantité de foutre que sa grosse paire de couilles avait gardée à mon intention ;
Il se relâche enfin et il reste allongé sur moi et bien au chaud au fond de mes fesses.
Je bande comme un cerf et je ne mets pas longtemps à expulser de longs jets de foutre sans même m’être masturbé, c’est la première fois que cela m’arrive et c’est une sensation particulièrement extrême, mon éjaculation provoque la contraction de mes sphincters sur ce zob qui me donne tant de plaisir et que je veux garder le plus longtemps possible dans mon boyau car j’adore ça.
Il se retire enfin et comme j’ai encore envie de profiter de cette belle et vigoureuse queue, je lui prodigue une très longue fellation, caressant ses couilles, son cul, ses fesses et en finissant par lui doigter le trou jusqu’à recevoir une dernière fois dans ma gorge une bonne dose de sa semence que j’avale goulument.
FIN.
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