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Assistante de direction

Assistante de direction



Je m’appelle Séverine. J’étais une mère et une femme modèle, avec une carrière au top ; je suis devenue une véritable salope. Je vais vous narrer les différentes aventures qui me sont arrivées ces derniers mois et qui ont faits de moi un objet sexuel offerte à tous.

Les jours qui ont suivis le weekend totalement orgiaque avec mes enfants (voir histoire précédente) ont été plutôt calmes. Je n’ai eu aucun rapports avec eux, je pense que la participation de Chloé n’est pas étrangère à cela et ce doit être elle qui, maintenant, profite le plus de mes deux fils. Avec mon mari, c’est également le calme plat puisque depuis son retour il ne m’a pas touché, malgré mes tentatives et mes propositions de plus en plus ouvertes… Je lui propose des fellations, la sodomie, diverses positions… rien n’y fait ! Je lui ai même proposé de le masturber quand il le voulait mais il m’a répondu qu’il pouvait se débrouiller seul.

Je ne savais plus quoi penser de son comportement et j’étais finalement plus seule que jamais. Je me réfugiai donc dans le travail, ne comptant pas mes heures et décrochant finalement pas mal de contrats. Ce regain d’efficacité me fit remarquer auprès de mon patron qui me proposa d’aller à un diner d’affaire, le soir même, avec deux clients japonais très importants. Cette proposition me ravit car c’était une opportunité à ne pas rater et en plus elle me permettait de sortir un peu de chez moi.
Alors que je sortais de son bureau, satisfaite de cette invitation, mon patron me lança :

– Heu… par contre, essayez de vous habiller, disons…classe, vous voyez ?
– Pas exactement M. Roland… Plus classe que ce que je porte là ?
– Dans un autre genre… Plutôt une tenue de soirée, vous voyez ?
– Vous voulez dire « sexy » en gros ?
– Pas forcément sexy, mais disons que les japonais ne sont pas insensibles aux belles françaises qui savent se mettre en valeur.
– M. Roland, j’espère que vous ne m’invitez pas pour mes jambes plutôt que pour ma connaissance du dossier !?!
– Bien sûr que non ! Faites juste en sorte qu’ils se souviennent de cette soirée. C’est tout ce que je demande…
– Bon… je verrai ce que je peux faire.

Le soir même je fouillais dans ma garde robe pour trouver quelque chose. J’opte finalement pour une robe noire moulante descendant à mi-cuisse, des bas, un soutient gorge « push-up » qui me fait un décolleté attirant mais pas vulgaire et un string car une culotte aurait fait une marque disgracieuse sous la robe. Ayant prévenu mon mari devant son ordinateur que je ne mangerai pas à la maison, je souhaite une bonne soirée à mes enfants, dans le salon, qui me sifflent en me disant que j’ai rarement été aussi sexy. L’effet est donc réussit. Les garçons en profitent au passage pour me soulever ma robe et me font faire un tour sur moi-même pour me mater en string et bas.

– Oui, décidément très sexy ! me dit Hugo en me mettant une petite claque sur les fesses.

Je réajuste ma robe et sort de la maison. M. Roland est là et m’attend comme convenu pour aller au dîner. Je m’assois dans son coupé sport (que j’ai toujours trouvé ridicule) et il démarre. Au bout de quelques centaines de mètres, il regarde ma tenue et me dit qu’il n’en demandait pas tant. Je ne comprends d’abord pas pourquoi il me dit cela puis je regarde mes cuisses. Mince ! Assise ainsi, ma robe remonte en haut de mes cuisses et révèle largement la dentelle de mes bas et mon entrejambe. Je tire sur ma robe, un peu gênée, pour dissimuler mes cuisses mais rien n’y fait : la robe finit toujours par remonter. Devant le regard amusé de mon boss, j’essaie de m’en sortir avec un trait d’humour en disant qu’au moins les japonais n’auront pas fait le voyage pour rien !

Nous arrivons au restaurant et retrouvons nos clients. Ils sont très chaleureux, voire charmeurs, mais cela reste très poli. Le repas se passe sans soucis et nous discutons politique et croissance. Le vin coule à flot et les japonais semblent de plus en plus joyeux… Ils proposent ainsi d’aller finir la soirée dans un club branché. Il est encore tôt, nous acceptons.

Le club est en effet très « select » mais l’ambiance y est clairement libertine. La lumière est tamisée, des danseuses légèrement vêtues dansent dans des cages, les serveuses sont elles mêmes peu farouches et, dans les banquettes rouges, des hommes regardent les filles danser et des couples se caressent dans des coins plus isolés.

Nous prenons place autour d’une table basse et je m’assois dans la banquette. Immédiatement, comme dans la voiture, ma robe remonte et révèle mes bas. Les japonais, qui m’entourent, ne ratent rien du spectacle, tandis que mon boss, sur le pouf de cuire en face, commande une bouteille de whisky et regarde la scène, amusé. Je n’arrive pas à trouver une position qui me convienne et ne cesse de croiser et décroiser les jambes, de tirer discrètement sur ma robe qui remonte dès que je me penche pour aller prendre mon verre sur la table basse. L’alcool aidant, mes japonais sont de plus en plus entreprenants.

L’un d’eux pose une main sur ma cuisse en me félicitant pour ma gestion du dossier pendant que l’autre entreprend de me masser les épaules en complimentant mon physique. Lorsque je retire une main, souriante mais gênée, une autre se pose si bien que je n’arrive pas à contenir ces clients de plus en plus pressants. Ma volonté s’effrite également d’autant que mon verre de whisky est bizarrement toujours aussi plein malgré ce que je bois… Les japonais se font plus audacieux et massent mes cuisses et mes épaules à grand renfort de compliments pour mon physique.

Je continue de faire semblant d’écouter la musique et de boire mon verre comme si de rien n’était. Mais les japonais eux ne pensent qu’à me toucher et mon patron regarde de manière intense le spectacle sous ses yeux. Une main à droite s’aventure sur le flanc intérieur de ma cuisse et remonte vers la dentelle de mon bas tout en essayant d’écarter ma jambe. C’en était de trop et je dégage fermement la main et lançant à l’homme à ma droite un regard sévère. Mais je sens aussitôt une main faire pareil à gauche et l’homme me dit discrètement avec un fort accent japonais :

– Détendez-vous, Séverine, mon patron vous apprécie énormément et désire juste contempler un peu plus votre corps…
– Mais enfin, ce ne sont pas des manières ! répondis-je, choquée.
– Pourtant vous tenue laisse suggérer que vous aimez vous montrer et M. Roland nous a promis un peu de… divertissement pour célébrer le contrat.

A ces mots, mon patron confirme d’un hochement de tête.

– Ne soyez pas farouche, Séverine, ils veulent juste s’amuser un peu…

Je voulais protester mais sans que je m’en rende compte, l’assistant japonais à gauche me caressait le haut de la cuisse et tandis que son patron revenait à la charge à droite. Ces caresses, couplées à l’alcool et aux femmes dansant presque nues autour de nous commençaient à échauffer mes sens. Les mains remontaient le long de mes cuisses et repoussaient un peu plus haut ma robe. Mes bas étaient à présent entièrement révélés. Tout en aventurant des doigts sur ma peau à nu au dessus de mes bas, les 2 hommes écartaient petit à petit mes cuisses. Ils me massaient également le ventre et posaient de tendre baiser dans mon coup. Le charme faisant effet et je n’opposais plus guère de résistance à ses attouchements.

Alors qu’ils continuaient d’écarter mes jambes, caresses après caresses, ils en vinrent à me toucher les seins au travers de ma robe. Ils les palpaient et les pressaient délicatement en embrassant de temps en temps le haut de ma poitrine qui dépassait du décolleté. Mes mains, qui jusque là me défendaient, accompagnaient maintenant leurs caresses. L’excitation montait terriblement en moi et je commençais à mouiller. J’avais les yeux fermés le plus souvent mais je les ouvrais de temps en temps pour regarder mon patron boire tranquillement son scotch en me déshabillant du regard.

Alors que mes cuisses étaient à présent bien écartées, montrant à mon boss mon entrejambe et mon petit string, les japonais passent leurs mains sous ma robe à hauteur de ma poitrine et la tirent sur les coté pour révéler mon soutient gorge. Je suis à présent en soutif et jambes écartée devant deux inconnus, ce qui ne me dérange plus vraiment, vous vous en doutez, mais surtout devant mon patron que je côtoie au quotidien…

Les deux japonais continuent de me toucher partout. Mes jambes sont totalement écartées et leurs mains caressent à présent l’intérieur de mes cuisses mais aussi mon sexe au travers du string et mon ventre, directement sur ma peau, le bas de ma robe étant maintenant retroussé au niveau de mes hanches. Ils me touchent aussi les seins au travers et dans mon soutif, en jouant avec mes tétons et en embrassant toute ma poitrine. Je suis totalement excitée d’être exposée ainsi devant mon boss et les autres clients du club. Mes mains se glissent de chaque coté et viennent caresser l’entrejambe des japonais au travers de leur pantalons. Dans les deux cas, les sexes ne sont pas forcément énormes mais sont bien durs. Ce geste que je pensais mesuré déclenche une surexcitation des japonais. L’un d’eux, le patron, glisse sa main dans mon string et caresse mon sexe trempé tandis que l’autre sort mes seins du soutien-gorge et suce mes tétons. Je ne peux m’empêcher de gémir à ces caresses et des commentaires en japonais fusent de chaque coté.

Mon patron s’est maintenant penché en avant sur son siège pour ne rien louper de la scène et il se masse le sexe, que j’imagine bien dure, sans se cacher.

Je me fais littéralement masturber par ses 2 clients qui « s’échangent » mon sexe et mes seins au grès de leurs envies. De mon coté, j’arrive à sortir leurs bites de leur pantalons et les masturbe également. Effectivement, ils ne sont pas très gros… L’assistant lâche mon sein pour enlever mon string délicatement. Me voilà donc seins et chatte à l’air devant mon patron et… une petite troupe de client du club qui regardent le spectacle.

Aussitôt, l’assistant insère un doigt dans mon sexe et entreprend de me branler. Mais il est très vite remplacé par son patron qui recommence à son tour des vas-et-viens et des cercles sur mon clito avec un doigt. Le plaisir monte rapidement et je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Moi-même j’accélère mes mouvements et branle de plus en plus rapidement ces deux petites queues asiatiques.

Il y a à présent 2 doigts dans ma chatte qui dégouline de mouille, un autre en train de titiller mon clito et chacun de mes tétons est léché, sucé ou mordillé. Mes soupirs se font plus rapprochés et je sens que l’orgasme monte. J’ouvre les yeux et vois cette troupe de clients excités me fixant en train de prendre mon pied. Aucun ne se masturbe, tous restent très classes, mais ils veulent clairement me voir jouir. Ce qui ne tarde pas à arriver puisque quelques seconde plus tard, un magnifique orgasme m’arrache un long gémissement et déclenche une salve d’applaudissements de mon public.

Sous l’effet de l’excitation et de mes caresses, mes deux japonais craquent également et se déchargent sur mes mains en train de les branler. Toujours très classe, le patron japonais se saisis d’un mouchoir et m’essuie mes doigts enduits de son sperme tandis que son assistant en fait de même. Je n’aurais pas été contre avaler toute ce breuvage pour me nettoyer (vous commencez à me connaître…) mais je n’en ai pas eu l’occasion. Je reste ainsi plusieurs secondes jambes écartées et chatte bien exposée à tous, à me faire nettoyer les mains et à me remettre doucement de mon orgasme. Je sens mon sexe encore sensible et ne peut m’empêcher d’allumer du regard tous ces hommes qui ne me quittent pas des yeux.

Mon patron me regarde avec un air mêlant satisfaction, respect et un « je ne sais quoi » de mystère qui me fait penser qu’il a, à ce moment précis, une idée me concernant…

Je réajuste mon soutien-gorge et ma robe et commence à remettre mon string, ce qui provoque la dispersion de petit groupe de mateurs, mais le boss japonais me demande de lui offrir mon string. J’accepte avec plaisir.

Après nous être fait offert la note par le patron en remerciement du show, nous quittons le club et saluons nos chers clients japonais qui eux-mêmes me remercient chaleureusement pour cette soirée inoubliable. Nous remontons en voiture.

– Vous avez été magnifique Séverine, me dit-il au bout de quelques minutes.
– Vous m’avez piégée, M. Roland ! Vous saviez très bien ce que les japonais avaient derrière la tête !
– C’est vrais, mais je voulais voir comment vous réagiriez… Si vous saviez le nombre de contrats qu’on peut obtenir de cette façon !
– Et en quoi ça me concerne ??
– Et bien… que diriez vous de devenir mon bras droit, de continuer à gérer vos dossiers comme avant, mais de m’aider, comme ce soir, à concrétiser certains contrats « délicats »…
– Vous voulez que je fasse la pute pour la boite ?
– Absolument pas ! Avez-vous eu l’impression que je vous prostituais ce soir ? Mais des hommes durs en affaires seront facilement séduis par vos… charmes… Réfléchissez-y au moins, s’il vous plait.
– Je serais votre bras droit ? Concrètement ça veut dire…
– 30% d’augmentation et divers avantages.
– J’ai… j’ai besoin de réfléchir… L’alcool brouillait clairement mon raisonnement car cette proposition indécente m’intéressait carrément !
– Aucun soucis. En tout cas, vous avez été… superbe… même si moi, je suis un peu resté sur ma fin ! me dit-il en sortant son sexe de sa braguette. Un beau sexe, bien dur et de taille très correcte. Il pose une main sur ma cuisse et s’aventure sur mon sexe encore sensible.
– Je vois… je suppose que votre offre est conditionnée à l’état dans lequel vous rentrerez chez vous ?
– Pas du tout ! Vous êtes libre de faire ce dont vous avez envie.

Sans réfléchir et sans doute un peu ivre, je me penche vers lui et prend son sexe directement dans ma bouche. Je le suce adroitement et le prends loin dans ma gorge. Au bout de quelques minutes, il craque et jouit dans ma bouche une belle quantité de sperme chaud. J’avale la totalité de son foutre et replace son sexe ramollit dans son pantalon.

Il me regarde avec un grand sourire et me dit :

– Mon Dieu, Séverine, j’espère que vous allez accepter ! Nous pourrions faire un malheur tous les deux !
– Merci, mais je dois réfléchir…

Nos arrivons enfin devant chez moi. Alors que je sorts de la voiture, il me dit de prendre ma journée demain et de lui donner une réponse jeudi.

Une journée ne sera effectivement pas de trop pour une décision comme ça… Ce fut finalement plus facile à me décider que prévu !

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