Je m’appelle Alain j’ai 54 ans, marié depuis 23 ans, à une très jolie femme, et père de 2 garçons.
Il y a 4 ans environ, je me suis mis à fantasmer sur les hommes. Je regardais ma femme me sucer, et je me disais qu’une bite bien raide dans la bouche ça devait être bien agréable.
Un jour je suis allé sur un site gay, je me suis laissé draguer par un homme de 40 ans, j’ai accepté le rdv chez lui. C’est comme ça que je suis devenu bi. Ce fut une rencontre pleine de douceur et de plaisir. Je l’ai sucé longuement et je me suis fait sodomiser pour la première fois.
Depuis ce jour j’ai renouvelé l’expérience une dizaine de fois.
La dernière fois c’était au mois de mai de cette année. Je vais sur un site pour une rencontre, le we du 8 mai, ma femme part avec sa sœur, je suis seul. Je cherche un homme dans le même cas que moi, pour passer ses quelques jours à baiser.
Je tombe sur Jean, 45 ans bi, marié à Sophie. Nous discutons pendant plusieurs heures, de tout et de rien, de nos vie et de nos envies, de nos femmes qui ne veulent pas se dévergonder au niveau sexe, alors que nous serions prêt participer avec elles à beaucoup de choses.
Voyant que nous avons les mêmes envies, je lui propose une rencontre coquine.
Ne pouvant recevoir à cause de mes ados à la maison, il me dit que sa femme serait absente le we du 8 mai, que je pourrais passer le samedi et le dimanche avec lui à faire des galipettes.
Nous avions une semaine à attendre, nous avons fait plus amples connaissance avec skype. Il était comme moi, ni gros ni maigre, pas très grand, poivre et sel. Nous nous sommes fait jouir par cam interposée en attendant avec impatience le jour j.
Le samedi comme convenu, j’arrivais vers 16h, il avait une jolie maison, avec un beau jardin arboré, sans vis-à-vis, je me pensais on va pouvoir baiser comme des folles en plein air.
Il m’ouvrit tout sourire, il était habillé d’une chemise blanche en lin en d’un short moulant. Je lui offris 2 bouteilles de champagne et de quoi se nourrir pendant 2 jours.
Une fois dans la maison il me prit dans ses bras et nous nous embrassâmes longuement.
Jean (en se reculant) : allons y doucement nous avons tout le we, vient je vais te faire visiter.
Dans chaque pièce la température montait, dans la chambre parentale je me retrouvais nu avec ma queue dans sa bouche, mais il interrompit la fellation
Jean : je me suis promis que je ne tromperais pas Sophie dans notre chambre
Moi : ok allons dans le salon
Jean : ok c’est parfait, le canapé est grand, il y a la télé pour mater des films, et même un ordi avec cam si on veut faire une exhibe sur le net.
Sur le canapé en train de nous caresser :
Jean : tu as déjà pris des stimulants pour être en forme plus longtemps
Moi : non mais si on veut baiser jusqu’à demain on va en avoir besoin. Tu en as ?
Jean : oui mais on ne doit pas en abuser. On va en prendre tout de suite car l’effet est effectif au bout de 2 heures minimum.
Puis tout en regardant un film de lesbiennes nous avons, repris nos baisers et nos caresses. Nous avons jouit une première fois en 69, chacun dans la bouche de l’autre. J’ai senti son sperme chaud couler dans ma gorge et sur ma langue. Je fis de même.
Nous étions face à face à nous embrasser langoureusement et à mélanger nos salives et nos spermes, quand tout à coup la porte du salon s’ouvrit brusquent, sur une femme en furie, se précipita sur nous, pour nous frapper en hurlant.
La femme : Salaud salaud, je savais bien que tu me trompais,
Elle me regardait comme si j’étais un extraterrestre, entre deux sanglots
La femme : mais pas avec ça, un homme
Elle criait, pleurait, marchait de long en large en essayant de nous frapper.
Je fis signe à Jean de ne pas bouger, de laisser passer la crise.
Puis tout à coup, elle s’arrêta net, et tomba dans un fauteuil en pleurant doucement.
Nous avions devant nous une femme effondrée mais ravissante dans sa robe légère, courte qui ne cachait rien de ses jolies jambes galbées.
Sa poitrine généreuse se soulevait doucement.
Nous nous sommes approchés lentement.
Jean : tu vas mieux ?
La femme : salaud
Et en me regardant : c’est qui lui ?
Jean : c’est un ami
Moi : bonjour je m’appelle Alain
Voyant qu’elle allait refaire une crise je pris les choses en main
Moi : (un peu fort) vous allez m’écouter
C’est vrai vous trouver votre mari dans une situation compromettante nu avec un homme, visiblement en train de passer du bon temps. Mais pourquoi il en est là ? Peut-être parce que vous ne lui donner pas toute la tendresse dont il a besoin, et vous n’acceptez plus la douceur qu’il aimerait vous donner.
Elle avait cessé de pleurer, elle me regardait avec ses grands yeux bleus, ne bougeait pas.
Moi : dites-moi, ça fait combien de temps que vous n’avez pas fait de préliminaires avant de faire l’amour ? mieux ça fait combien de temps que vous n’avez pas fait l’amour ?
Jean : (qui c’était assis sur l’accoudoir) je t’aime tu sais mais j’ai besoin de tendresse tu sais Sophie
Sophie : et tu vas la chercher dans les bras d’un homme ?
Jean : (en la prenant par les épaules) oui il est doux et tendre et tu es la seule femme de ma vie.
Elle se calmait lentement, Jean lui faisait de légers bisous, dans les cheveux, tout en caressant son cou et ses épaules. Elle se laissait faire, elle fermait les yeux. Il se mit à genou devant elle, posa sa tète sur ses cuisses.
Jean : pardonne moi je t’aime tellement
Elle posa ses mains dans ses cheveux, qu’elle massait doucement. Il enfonça son visage au tant qu’il peu entre ses cuisses, qu’elle gardait très serrées. Jean lui caressait les cuisses.
Sophie : (les yeux fermés, la tête en arrière) non ne fait pas ça
Ne perdant pas une miette de la scène, j’étais passé derrière le fauteuil, et j’avais posé mes mains sur ses épaules pour pratiquer un massage dont j’ai le secret.
Elle était perdue, elle ne savait que faire, se laisser faire ou partir.
Les caresses de Jean sur ses cuisses, et mes légers massages sur ses trapèzes commençaient à faire effet.
Elle se détendait doucement, j’en profitais pour passer mes mains sur son cou, te je descendais doucement sous la robe, en effleurant sa peau douce. Elle sursauta, surprise par mon audace, ses mains, se crispèrent sur mes poignets pour stopper leur progression.
Dans le même temps Jean profita d’un léger relâchement des cuisses pour passer sa tête et commencer à lui lécher le sexe à travers sa jolie culote blanche.
L’activité de Jean faisant effet, je continuais ma progression vers ses seins, ses mains ne me retenaient plus, mais m’accompagnaient. Je libérais ma main droite pour défaire, quelques boutons de la robe, qui en s’ouvrant laissa apparaitre une magnifique poitrine qui ne demandait qu’à sortir du soutien gorge blanc à balconnets. Mes mains prirent procession de ses seins, au moment où elle s’affaissait dans le fauteuil en écartant largement les jambes pour laisser le champ libre à son mari.
Il ne se fit pas prier pour écarter le léger tissu et poser sa bouche délicatement sur le sexe offert. Il commença par lui faire de doux baisers, puis il lui lécha et introduisit, sa langue dans son vagin pour venir ensuite titiller le clitoris tout gonflé. Il joua ainsi à faire monter et durer le plaisir pendant plusieurs minutes.
Tout en les regardant j’avais réussi à faire sauter le soutien gorge, et je lui massais les seins à la peau soyeuse. Elle se laissait faire en gémissant doucement la tête en arrière les yeux fermés. Je bandais comme un taureau devant cette superbe femme, qui tout à coup se mit à jouir sous la bouche de son mari. Elle bougeait le bassin dans tous les sens pour que la langue frotte encore plus fort sa chatte dégoulinante. Jean aspirait et léchait le bouton rose au rythme des ondulations du bassin.
Sophie : bouffe moi la moule c’est bon ouiiiiiiii
Et elle jouit d’un coup dans un râle de plaisir en resserrant les cuisses au risque d’étouffer son mari, qui récoltait la cyprine avec sa langue et l’avalait en savourant.
Elle avait la tête en arrière, les yeux fermés la bouche légèrement ouverte, elle reprenait son souffle, les reins cambrés, pour permettre à son mari de bien la nettoyer.
Les mains toujours sur sa poitrine, je me penchais en avant pour effleurer ses lèvres, à ma grande, mais agréable surprise, sa langue vint immédiatement à la rencontre de la mienne, et nous partîmes dans un baiser fougueux ou nos salives se mélangeaient.
Délicatement elle me repoussa, se mit à 4 pattes sur le fauteuil, bien offerte
Sophie : vas-y Jean prends moi vite vite
Jean ne se fit pas prier, il se mit debout et présenta son sexe tendu à l’entrée de la grotte de sa femme, qui cambrait les reins pour la pénétration, il lui empoigna les hanches et la pénétra d’un coup sec. Sous la poussée sa tête vint heurter mon sexe, tout raide. Jean la besognait lentement en savourant la vue de sa bite qui entrait et sortait du vagin.
Le regard de Sophie croisa le mien et sans rien dire elle ouvrit la bouche et sortit sa langue, qu’elle bougeait de gauche à droite comme un serpent. Je compris le message j’approchais ma verge que Sophie goba d’un trait.
Je failli jouir sous la caresse de cette langue experte qui montait et descendait le long de ma tige, s’arrêtait sur le gland, le léchant comme une glace, puis redescendant sur mes couilles, quelle gobait.
Les yeux fermés je savourais,
Jean : je ne tiens plus je vais jouir
Sophie (la bouche pleine) : moi auchi, je vais chouuiiiirr
Ne pouvant me retenir plus longtemps, je pris la tête de Sophie entre mes mains et je jouis dans sa gorge dans un rale de plaisir.
Au même instant, elle jouit en sentant le sperme de son mari gicler sur les parois de son vagin.
Apres quelques instants pour récupérer, nous avons glissé sur le tapis et sans parler nous sous sommes caressés et assoupis.
A mon réveille, je trouve Sophie allongée sur Jean, ils s’embrassent se caressent, rigolent. Je ne bouge pas, ils n’ont pas vu que je les observais. Très vite la situation évolue. Les baisers étaient plus profonds, plus longs. Puis Sophie replia ses jambes, passa une main entre leurs corps, libéra le sexe tendu de Jean, qui naturellement vint se placer sur son intimité. Elle se laissa retomber et s’empala sur le membre dans un soupir de plaisir.
Les yeux fermés, elle bougeait le bassin d’avant en arrière, les reins cambrés les bras au-dessus de la tête. Jean la laissait mener le jeu en lui malaxant les seins.
Je m’approchais, me relevais et me plaçais derrière Sophie, qui sursauta quand elle sentit ma présence. Je l’embrassais délicatement dans le cou, elle tourna la tête pour que nos bouches se soudent et nos langues se rencontrent. Mes mains descendaient le long de son dos, et avec mon majeur je frôlais sa raie, jusqu’aux couilles de Jean, puis je remontais. A chaque passage, j’insistais un peu plus sur sa rosette. Elle ne disait rien, elle se laissait aller, quand mon doigt la pénétra
Sophie : mais, mais que fais-tu ?
Moi : rien tu vas voir c’est super
Sophie (en voulant s’en aller) : non je ne veux pas de sodomie, c’est salle et ça fait mal
Jean : (en l’attirant sur lui pour la retenir) : comme ça tu sauras ce que nous ressentons. Vas-y Alain sautes là.
Sophie (vaincue) mais alors fais doucement
Elle était penchée en avant, Jean la bite toujours plantée dans sa chatte, écartait avec ses mains, les deux lobes de ses fesses. Elle respirait fort, elle était crispée. Jean essayait de la rassurer en lui disant des mots doux
Jean : laisses toi aller, détends toi, tu vas voir il est doux. Embrasses moi
Leurs bouches se soudèrent, j’humidifiais avec de la salive le trou vierge de Sophie, forçait un peu le passage avec mon majeur, je restais sans bouger, puis lentement je commençais par faire des mouvements circulaires pour assouplir et détendre les muscles.
Quand Sophie se mit à bouger le bassin, je compris qu’elle était prête, je retirais ma main, me plaçais, à genoux, derrière elle, remettait avec ma langue de la salive, puis j’avançais mon sexe raide.
Le gland força légèrement sur la rosette, et rentra doucement
Sophie (haletante et gémissant) : aie aie, ça fait mal, non arrête, j’ai mal
Moi : le gland est passé, le plus dur est fait, ne bouge pas
Jean : ne bouge pas il va faire doucement, embrasses moi
La sentant un peu calmée je repris ma progression, enfoncé dans ses fesses jusqu’aux couilles, je sentais entre la fine paroi qui sépare le vagin de l’anus, le sexe de Jean qui frémissait.
Moi : ça va Sophie ? C’est moins douloureux ? Tu nous sens bien tous les deux ?
Sophie : oui ça va, je vous sens je suis bien remplie
Puis elle se mit à bouger, d’abord très doucement, puis de plus en plus fort, elle se frotte sur Jean et se cambre très fort pour sentir mon sexe au plus profond de son intestin.
Nous sommes tous les trois au bord de l’explosion. C’est Jean qui le premier jouit en libérant son sperme sur les parois du vagin de Sophie. Je sens sa bite se contracter.
Jean : je jouis je jouis, tu es trop bonne ma chérie une vrai salope
Sophie : oui mon amour fait toi du bien, j’adore ta biiiiiite
Moi : je vais jouir Sophie je ne tiens plus
Sophie : oui vas-y fort fort défonce moi le cul.
Ne pouvant me retenir plus longtemps je lui prends les hanches et sans retenue je la lime de plus e plus fort, nous sommes en sueur. Dans un dernier sursaut je me bloque au fond de ses fesses et j’éjacule en longs jets chauds
Moi (jouissant) : tu es trop bonne, ma salope ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouis
Sophie se sentant jouir et prise d’un formidable orgasme se met à crier je jjouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ou c’est trop bon, j’aime vos bites, tes couilles qii frappent mes fesses j’aime le sexe je suis une salooooope, encore encore encoooooooooooooooooore
Puis elle s’effondre sur Jean essoufflée à demi consciente.
Apres quelques minutes à reprendre nos esprits
Sophie ( grand sourire aux lèvres et un doigt sur le clitoris) les gars c’est vrai que je suis une salope ?
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