Une rencontre
J’ai toujours été attiré par les femmes plus âgées que moi. lorsque j’étais ado, c’était les amies de ma mère ou les mères de mes potes qui me hantaient. Jusqu’à cet épisode avec ma tante (voir histoire précédente) Puis ce furent les femmes des voisins qui me firent bander. J’ai très vite appris à montrer à ces femmes qu’elles me plaisaient, avec des résultats mitigés allant de la gifle à la fellation. J’ai eu toutes sortes d’expériences et actuellement je découvre ce que sont les vraies cougars, la cinquantaine… pas les pseudo salopes qu’on voit à la télé, non des femmes assoiffées de désirs et en manque de sensations qui adorent avoir dans leurs griffes un jeunot motivé. J’ai appris à être tendre et vicieux pour leur plaire.
Mais je ne suis plus du tout le seul à être attiré par ces femmes (mariées) matures et dévergondées… Depuis quelques années maintenant, il y a une vraie mode cougar. on en parle la télé, à la radio… on en fréquente tous une… ou du moins on connaît tous des femmes qui ont le style cougar je vais dire. Et cette ‘mode’ est depuis longtemps sortie du ghetto des amateurs de porno ou des dvd’s spécialisés… Sur TF1 ou M6 il ne se passe plus une semaine sans qu’un reportage nous présente une cougar fière de l’être… la cinquantaine, toujours très maquillée, à la limite du vulgaire … moulée dans un mini – short ou une jupe fendue, perchée sur des talons immenses et les seins parfois refaits, tétons bien dressés moulés dans un body léopard. Elles disent adorer le sexe et affichent leur goût pour les jeunes mâles virils et les aventures d’un soir.
Honnêtement cette mode n’est pas pour me déplaire, que du contraire, car même si elles n’en n’ont souvent que l’apparence, voir toutes ces dames apprêtées déambuler dans nos supermarchés en se disant qu’elles rêvent sans doute d’une bonne grosse bite ou d’un amant qui les feront jouir plusieurs fois (le même soir), est plutôt réjouissant pour quelqu’un comme moi qui les ai toujours désirés.
Mais d’un autre côté, les jeunes sont eux aussi plus nombreux à fantasmer sur ces kinky ladies. Il n’est plus du tout gênant de s’afficher avec une vieille chaudasse. Certains endroits se transforment dès lors en véritable marché aux bestiaux pour ses dames qui n’ont que l’embarras du choix si elles cherchent l’étalon… Je pense à certains club où ce sont les jeunes mâles qui constituent le ‘troupeau’ convoités par quelques femmes mures bien décidées à s’envoyer en l’air. Alors qu’avant elles recevaient plutôt des regards moqueurs plutôt qu’envieux.
Pour ma part, j’avoue avoir une préférence pour les mères de familles bcbg, bien élevées d’apparences sages qui se lâchent le temps d’une bonne baise sans tabou. J’ai toujours eu un faible pour les grandes bourgeoises à première vue intouchables. Pas vraiment des ‘cougars’ comme on l’entend, mangeuses d’hommes, allumeuses et ultra libérées .Peut être qu’elles m’intimidaient tout en m’excitant mais en réalité avant de rencontrer Marie-Christine je ne savais pas si elles existaient vraiment ces femmes cougars gourmandes et terriblement sexy. Jusque-là c’était plutôt moi qui prenais les initiatives ; J’aimais les intriguer puis les exciter en leur faisant penser à des cochonneries qui ne leur seraient jamais venu à l’esprit. J’ai toujours un certain succès auprès des femmes (mariées) qui veulent être baisées comme des pornstars tout en étant cajolées et tripotées comme des princesses. Je passe parfois plusieurs heures avec elles avant de sortir mon sexe… et souvent, j’arrive à ce que ce soit elles qui s’en emparent en me suppliant de les baiser et j’adore ça.
Imaginez cette dame qui ressemble plus à une banquière ou une avocate avec son tailleur bcbg, qui traîne par terre, ses seins sortis de son soutien-gorge hors de prix, ses tétons durs comme de la pierre mais sensibles à tous les stimuli. J’adore le genre coincé en ville, torride au lit, avec leurs coiffures impeccables qui ne ressemblent plus à rien en pleine action et leur rouge à lèvres qui a coulé sur ma bite, leurs baisers gourmands… goulus. Sans parler de leur façons d’engloutir une grosse queue entre douceur et gloutonnerie… ce que je préfère c’est quand elles sont affalées comme ça sur un canapé, a moitié nue en train de me dévorer la bite alors que je frotte leur clito en les regardant se dandiner alors que j’osais à peine leur adresser la parole dans la vie de tous les jours. Et quand je croise une superbe femme en ville je ne peux plus m’empêcher d’essayer d’imaginer sa tête en train de jouir.
Avec une cougar c’est différent, on se sent comme un bout de viande… mais c’est aussi très plaisant et vraiment excitant.
La première fois que j’ai vu Marie-Christine elle était assise au bar, sur un tabouret dans la salle de billard que j’aime fréquenter de temps à autres. Je jouais avec un ami mais mes yeux ne pouvaient se détacher du corps de cette femme de 50 ans en robe moulante et hyper courte. Je l’avais très vite repérée et avait détaillé sa tenue de bas en haut. Elle avait une silhouette plus qu’attirante, dressée sur des chaussures rouges à lanières qui lui enserraient les chevilles et des talons qui lui galbaient les jambes dès qu’elle était debout. Elle portrait des bas nylons dont je me demandais comment ils tenaient et une mini robe noire qui lui moulait le cul, rebondi mais qui semblait ferme. On voyait distinctement son string tellement sa robe était serrée. Ses seins semblaient déborder de son décolleté … ses cheveux roux – bruns légèrement frisés tombaient sur ses épaules… ses yeux verts parfaitement maquillé et sa bouche pulpeuse peinte, son vernis à ongle flashy et son bracelet doré à la cheville. ; J’avais tout vu et apprécié. Je n’étais pas le seul à la mater plus ou moins discrètement dans la salle d’ailleurs, les hommes de tout âge lui jetaient des regards tantôt envieux, tantôt gênés, parfois complice souvent lubrique.
Elle adorait ça manifestement, se sentir désirée. Perchée sur un tabouret de bar à siroter du cognac. ; Seule, discutant un peu avec le barman… se trémoussant comme une bimbo bien consciente d’attirer les regards envieux. Elle observait chaque jeune mâle présent d’un air intéressé. Et la manière dont elle fixait leurs culs pendant qu’ils jouaient au billard ne laissait que peu d’équivoque sur ses intentions. Elle était en chasse.
Je l’avais fait remarquer à mon collègue et une fois notre partie terminée nous décidâmes d’aller lui offrir un verre, de tenter de faire connaissance. Avec déjà pleins d’idées biens salaces derrière la tête mais sans trop d’espoir. Pourtant elle m’avait déjà bien fait fantasmer rien qu’en la regardant et si j’avais juste suivi mon instinct, l’envie qu’elle avait déclenché en moi, je lui aurais fourré ma queue presque dure en bouche sur le champ. Je l’imaginais à genoux, me branlant le sexe et grattant mes couilles avec ses longs ongles peints… mon gland en bouche… Je pensais d’ailleurs très fort à cette image en l’abordant…
En approchant le désir ne fit que s’amplifier. Elle portait un parfum assez lourd qui éveillait vraiment des envies bestiales…
– Bonsoir nous aimerions vous offrir un verre… ou plusieurs.
Lui dis-je poliment avec un large sourire. Vincent mon pote un blondinet rachitique un peu plus jeune que moi se tenait à mes côtés en la fixant la bouche ouverte, c’est à peine si la bave ne lui coulait pas sur les joues. Il esquissa un sourire gêné accompagné d’un clin d’œil… lubrique et maladroit.
– Avec joie. Je bois du cognac … et j’adore la compagnie de beaux jeunes hommes.
Répondit-elle naturellement en se trémoussant un peu sur son tabouret agitant son verre vide. Nous fîmes connaissance, elle nous dit être avocate, divorcée … et constata amusée qu’en additionnant l’âge de mon collègue et le mien on était encore en dessous du sien. Ce qui nous permit de la couvrir de compliments et de réflexions flatteuses sur son physique, sa tenue …son allure.
Elle gloussait en se trémoussant en nous écoutant. Elle parlait fort en trempant sa langue dans son verre de manière très suggestive. Elle nous expliqua qu’elle venait d’une autre ville mais que de temps en temps elle s’offrait un petit weekend end coquin. Pour ce faire elle descendait dans un grand hôtel et puis partait à l’aventure (pour ne pas dire en chasse). Elle venait souvent dans cette salle de billard pour débuter la soirée car elle connaissait le barman et s’y sentait à l’aise et en sécurité… Elle nous parla aussi d’une discothèque où elle avait ses habitudes… Pour le deuxième verre elle nous proposa d’aller nous installer à une petite table au fond sur une banquette. Je me risquai à lui effleurer le cul lorsqu’elle descendit du tabouret… elle me sourit sans rien dire… du coup, sans me poser de questions je lui ai collé une main au fesses bien franchement… malaxant doucement en avançant. Elle gloussait toujours et se retourna à nouveau pour me lancer un clin d’œil en continuant à tortiller du cul. Là je commençais à être surexcité, la proximité de cette superbe femme peu farouche, allumeuse, me faisait bander et vu la tête de mon ami, lui aussi l’aurait bien sautée tout de suite. Mais il était presque muet, intimidé par cette ‘cougar’ hyper sexy qui se trémoussait comme une ado en chaleur devant nous et se laissait tripoter par des inconnus. Elle s’arrêta devant une table et se retourna avant de s’asseoir.
– Sérieusement vous me trouvez comment ? dit-elle d’une voix suave en se cambrant un peu
– Superbe et très attirante répondis-je sans hésiter.
– Et vous avez déjà fréquenté des femmes de mon âge ?
– Oui, très souvent… mais rarement aussi sexy que vous.
– Et ça ne vous gênes pas d’être vu en ma compagnie ?
– Que du contraire… ce serait un honneur de vous accompagner … où bon vous semble… ;
– Tu es assez mignon et tu me parais aussi déterminé… coquin… et ton camarade je lui plais aussi ?
dit-elle en fixant mon pote qui n’avait rien dit et qui la matait toujours la bouche ouverte, les yeux écarquillés….
– Euh … oui madame vous êtes splendide marmonna t il
– Tu m’as l’air beaucoup plus timide que ton ami… c’est mignon
Elle se laissa glisser sur la banquette, j’étais assis à côté d’elle et la sentait se relâcher. Face à nous Vincent se trémoussait sur sa chaise… cherchant à reluquer sous la mini robe de notre chaude nouvelle amie qui ayant remarqué son cinéma écarta un peu plus les cuisses. J’en profitai pour poser ma main sur son genou… et remonter sur sa cuisse en la massant doucement. Elle sursauta, m’adressa un regard vicieux, ses grands yeux verts plongèrent dans les miens.
– Audacieux… hummm… prouvez moi ce que vous me disiez…. Que vous n’avez pas honte d’être avec une vieille… Me chuchota-t-elle en posant un petit baiser du bout des lèvres sur ma bouche.
Je ne me fis pas prier. Je l’embrassai à pleine bouche tout en continuant à lui caresser les cuisses a travers ses bas. Elle répondit à mon baiser avec fougue, enroulant sa langue autour de la mienne … ses lèvres aspirant les miennes. Elle m’enlaça immédiatement … me caressant le dos à travers ma chemise. Mes mains se promenaient un peu partout sur elle. Vincent nous fixait, bien raide sur sa chaise, mi- gêné mi- excité… il n’était pas le seul à nous fixer… une bonne partie de la salle nous observait plus ou moins discrètement mais moi je ne les voyais plus. Elle embrassait vraiment bien et je commençais à bander comme un fou.
– Je pense qu’on pourrait passer de bons moments ensemble mon petit chéri. Me chuchota-t-elle collée à moi en me caressant la nuque.
Je la pris par la taille pour l’attirer encore plus contre moi. J’étais maintenant affalé sur la banquette une magnifique cougar sur les genoux. Je lui murmurais les cochonneries qu’elle m’inspirait en lui léchouillant le cou tout en lui massant le ventre, les cuisses … Hyper docile elle s’était laissé faire et soupirait d’envie à chaque mot cru qu’elle m’entendait lui chuchoter à l’oreille… elle avait repris son verre et riait fort… tout en se laissant tripoter. Je sentais mon sexe durcir dans mon jeans, compressé qu’il était dans mon boxer. Je lui attrapai la main pour la poser discrètement sur la bosse de plus en plus visible. Elle se mit de suite a palper ma queue sans ménagement, malaxant mon paquet, mes couilles et tout ce qui dépassait sans se poser de questions. Dans mon pantalon qui allait exploser, je bandais comme un dingue excité par cette cochonne gourmande qui avait toujours la main collée à mon entrejambe.
– Vous voyez que je ne bluffais pas… vous me faites beaucoup d’effet.
– Hummmm oui je le sens… et tu n’as pas honte de tripoter une vieille en public
– J’en ferais beaucoup plus si l’endroit s’y prêtait… lui dis-je en tentant de glisser ma main sous sa robe sous les regards pervers de quelques mecs qui avaient remarqués notre cinéma.
– Il va falloir que l’on trouve un endroit plus intime… tant pis pour la discothèque. Dit-elle.
– Moi je suis prêt à continuer où vous voulez jusqu’au petit matin à vous tripoter partout avec ma langue dans votre bouche ou ailleurs et devant qui vous voulez si il le faut….
Elle me fourra sa langue au fond de la gorge pour toute réponse dans un baiser goulu bien mouillé
– Mais ton ami ? me dit-elle en jetant un regard du coin de l’œil à Vincent qui n’en perdait pas une miette son verre à la main.
– Il est assez grand pour rentrer seul, ne t’inquiètes pas. Dis-je sans même le regarder.
– Tu ne crois pas qu’il préférerait nous accompagner ?
– Heu… sans aucun doute… enfin si tu en as envie… moi ça me déranges pas.
– Si il a trop peur il n’aura qu’à mater… mais je me sens assez d’appétit pour vous dévorer tout les deux… on ne va pas l’abandonner le pauvre minet….tu n’es pas jaloux ?
Elle se leva et vint se mettre devant Vincent, éberlué… elle se pencha vers lui, lui tenant la nuque… elle lui mordilla l’oreille avant de lui chuchoter je ne sais quoi qui le fit rougir. Puis elle posa un baiser mouillé sur ses lèvres se retourna et me lança en se trémoussant.
– Bon. On va baiser maintenant ?
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