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Fruits mûrs4/ nu sur la jolie vieille dame plantur

Fruits mûrs4/ nu sur la jolie vieille dame plantur



-Solange 72 ans, bien pomponnée, fourrée par un jeune homme dans sa chambre à coucher…je vois l’image!
-C’est ça, n’imagine pas trop de scènes en dehors de cette images, car il n’y avait pas de fioritures érotiques dans ces séances de pénétration soulageante et bienfaitrice, que nous décidions de pratiquer parfois au tout dernier moment, lorsque nous avions un moment libre devant nous.
-Je dois juste faire glisser l’image à 45 degrés. Solange, bien droite, toute petite mais énergique, avec ses petites mains baguées, sa gorge pigeonnante, sa coiffure sophistiquée avec une mèche subtilement décolorée…couchée dans l’attente de ton coup de queue.
-C’est cela, on pourrait presque dire, dans l’attente de la saillie. Imagine-la sans ses vêtements tape-à-l’oeil, juste une belle blancheur, de beaux coussins de chair avec de larges mamelons, une petite touffe grise, une vulve assez discrète, sans rien de spécial, ni lèvres très ouvertes, ni mouille abondante. mais une bonne chatte qui a envie de se faire remplir.
-…et que tu avais envie de piner, vicieux! J’aimerais te voir baiser une vieille.
Marlène a beau avoir dix ans de plus que moi, elle est si fine et gracieuse qu’elle ne fait pas son âge. Pour elle, les vieilles sont les dames de 70 ans et plus, que j’ai fourré de sperme, qui m’ont fait juter avec tant de plaisir, un plaisir que le souvenir et le récit semblent prolonger, jusque dans le vagin de Marlène, qui se serre sur ma queue quand je lui parle.
-Et tu jouissais toujours facilement avec Solange?
-Dès que mon gland avait franchi la frontière grise de ses poils, je savais si les va-et-viens de ma queue me conduirait inéluctablement et facilement à la jouissance. Dans ce cas, il me suffisait de laisser monter le sperme, en prenant mon temps, jouissant cérebralement de me répéter, comme dans une litanie: tu es couché sur Solange, tu la baises en l’absence de son mari, tu es bien dans sa chatte, personne ne soupçonne ce que tu fais, ton sperme va fuser dans le vagin de la dame, oh, peu importe la norme, c’est si bon de jouir dans le vagin d’une femme très mûre qui gante ta bite si délicieusement…
-Tu vas me donner des complexes, avec tes récits de dames plantureuses…moi qui ne peut même pas te branler entre mes seins…
-Avec Solange, on n’a jamais pratiqué la branlette espagnole.
-Ah bon? Comme Monique? Et moi qui aime tellement te voir gicler sur mes petits nénés… le monde est mal fait.
-En plus, ni Monique ni Solange n’aimaient particulièrement se les faire sucer. Ce n’est pas comme toi, qui gémis lorsque….
Je joins le geste à la parole, en aspirant non seulement le mamelon, mais une partie du sein de Marlène qui tient dans ma bouche. Aussitôt montent de douces plaintes de sa gorge.
-Et puis, personne ne suce comme toi.
-Solange non plus, elle ne te suçais pas?
-J’ai bien essayé de lui demander de me lécher les couilles. Mais tu sais, elle n’est pas francophone, elle n’est pas portée vers l’érotisme verbal. Je n’ai jamais pu lui dire crûment: lèche-moi les couilles. Une fois, on s’est placé dans un sorte de soixante-neuf, je broutais vaguement sa touffe, tendant la langue à la recherche des points sensibles à léchouiller. Ma queue bien tendue était à portée de sa bouche. Elle continuait de me branler, sans grande efficacité. Je lui ai alors demandé, en me branlant soudain moi-même, relevant le bassin vers elle, les couilles en avant: « Est-ce que tu pourrais me lécher…là? ». C’était comme si elle découvrait quelque chose de bizarre. Sa langue un peu raide a fait des allers-et-retour sur mes boules, mais le coeur n’y étais pas, je ne ressentais pas grand-chose. A la limite, je jouissais plus de l’aspect visuel de l’acte. J’interrompis mon cunni expérimental pour tourner les yeux vers ce spectacle dont la représentation intérieure m’avais plusieurs fois foutu la trique quand je me branlais en pensant à elle: la dame distinguée avec mes couilles dans la bouche. Mais en terme de sensation pure, rien à comparer avec ta langue…ma salope!
-Je sais que les hommes adorent ça. Ils baiseraient leur femme plus ardemment si leur belle-mère leur léchait les couilles de temps en temps pendant l’acte

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