Il y a quelques semaines, nous avions tenté notre premier bondage. J’avais plutot bien réussie à lui serrer un sein, le redant dur et sensible, l’autre étant peut être moins réussie.
Nous avons profité il y a peu de temps pour retenter l’expérience.
Seul un soir, ma femme et moi, avons commencer à nous caresser, je lui faisait rapidement tomber son boubou, afin d’adirer ses courbes africaines, son postérieur bien rebondi, et ses hanches fines, remontant son dos cambré pour m’attardé sur ses seins tombant légérement mais avec de beaux tétons bien tendus et de belles auréoles.
Sans trop attendre, je lui demande si elle veux que j’aille chercher la ficelle. Elle me dit de faire ce que je veux. Je vais donc prendre et au passage, je ramase un pot contenant une surprise.
Entre temps, elle a fini de se mettre nu, elle m’attends sur le lit. Délicatement, je lui masse les seins, puis lui demande de se retourner comme la fois précédente. Je lui souléve les bras, et commence a dérouler la ficelle, un premier tour au dessus de la poitrine, puis un dessous. Ensuite je les resserre un peu, puis enroule la ficelle entre ses seins pour commencer à les serrer, je fais de même avec l’extérier. Elle se laisse faire, ses tétons pointent de plus en plus et je les voie se durcir. ce n’est pas la seule chose qui durcit, mon sexe est lui aussi tendu.
Je m’arrete un peu, pour lui lécher sa peau ébéne et du bout de ma langue lui faire le tour de ses mamelons. Sa poitrine se souléve a chcune de ses inspiration. Je reprend mon ouvrage et cette fois, j’enroule la ficelle autours de ses seins. Elle me dit que ça lui fait un peu mal, mais ne m’arrête pas, je ne fais pas trop de tour me serre le plus possible. Déjà la couleur de sa peau change, le sang lui gonfle d’avantage encore des mamelons.
Je la fait se retourner vers moi, et l’admire quelques instants avant de me mettre à lui prendre sa potrine à pleine bouche. Sa peau est si tendue ! Elle aime que je lui mordre les tétons, et comme là ils sont si beau, je me fait aussi plaisir. Alors qu’un de ses seisn subit les assauts de ma bouche et de mes mordillements, l’autre et pressé encore un peu plus par ma main.
Enfin, je lui caresse son ventre, passe doucement mes doigts pour faire le tour de son nombril, puis plus bas, je lui écrate les jambes pour ici aussi lui faire le tour du lieu saint. mais sans annonce, je lui prend un mollet et la force a s’allonger sur le lit en travers. je reprends la ficelle et commence à lui attacher. Je fait le tour d’un barreau a ma tête du lit. Elle ne dit rien, mais dans ses yeux, je lit plein de questions. Elle me tend la main, et je lui écarte bras et jambe pour bien l’attacher.
Du côté du pied du lit, je recommence la même chose. Et elle se retrouve à ma seulle merci. Sa chatte est humide, je lui passe les doigts dessus, son clitotis est si réactif qu’elle gémit à chaque fois que je m’attarde dessus. Mais aujourd’hui se sont ses seins qui m’intéresse. Je prend alors le pot que j’avais amméner et en sort nos pinces à linge. Elle voie ce que je fait, mais ne dit toujours rien, la première pince va directement sur un de ses tétons, elle essaie de redresser la tête pour voir le résultat. Puis l’autre seisn à son tour a le droit d’être pincer, je titille un peu les cordres et fait des plis pour pouvoir lui ajouter des pinces. Elle se retrouve bientôt avec une demie douziane de pince sur chaque mamelon.
Enfin, elle me dit qu’elle me veux en elle. Forcément je m’éxécute, elle ne peut preque pas bouger, mais comme elle est au bord du lit, la chatte grande ouverte et bien lustré, il m’est facile d’entrer d’un cou en elle. D’abord, nos mouvements sont lents, mais très rapidement, la cadence monte, et je la bourine de plus enplus vite et du plus en plus en profondeur. Je lui ordonne de crier ce qu’elle fait. Pour la première fois de ma vie je l’entends jouir en hurlant. Son corps entier en tendu, je voie ses mains tenir et rellacher la ficelle qui l’a retient. La sueur perle sur sa peau, elle se cambre et essaie de m’échapper à chaque coup de rein supplémentaire que lui donne. « JOUIES SUR MON VISAGE » je l’entends crier juste à temps pour que je me retire d’elle et saute sur le lit. Toute ma semence blnche lui gicle de la bouche au front. Elle ferme les yeux et les rouvrent pétillants.
Quelques surbessauts la prenne encore quand j’entreprends de lui retirer a coup de ciseaux ses entraves. Maladroitement, elle laisse une pince s’ouvrir et se refermer sur un de ses tétons, je me dépéche de lui retirer toute la ficelle et lui masse les seins. Puis nous nous allongons ensemble en cuillère et finissons la nuit ainsi l’un dans l’autre.
LA prochaine étape serait de l’amener au Strip, un bar-sauna pas loin de chez nous. Je n’ai aps encore trouver les mots pour ça. Ou bien aussi de lui faire accepter de prendre de nouvelles photos. Mais dans les deux cas, j’ai besoin d’un peu de persuations…
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