Le mardi suivant, j’allais chercher Lique devant l’institution catholique où elle étudiait en classe de 5éme européenne. C’est fois ci je ne pouvais la conduire chez moi ma mère ayant pris un jour de congé.
Je décidais de l’emmener sur les bord du Rhône, un peu loin du lycée, près des lônes, dans un coin tranquille. Elle était vêtue d’un corsage blanc bordé d’une légère dentelle anglaise, un gilet en laine bleu marine, son kilt court en tartan écossais, d’une paire de collant blancs clairs et de ballerines rouges. Elle était belle, les cheveux attachés en écolière modèle, nul n’aurait pu deviner que malgré son jeune age, elle se laissait doigter, lécher, avait squirté sous mes doigts et branlait comme une princesse.
J’aimais le décalage. Le feu, sous une apparence sage.
Je devais apprendre plus tard avec l’expérience que bien souvent les bourgeoises catholiques sont bien plus vicieuses et libérées que les prolétariennes de la campagne. Que les « MST », Mocassins, Serre-tête sont bien plus ouvertes à se faire sodomiser que la caissière de chez Leclerc. Ainsi en ait il de mon expérience sexuelle sociologique. Je préférais toujours, question de goût, une femme à l’allure sage, qu’une demi pouffiasse exhibant ses atours avec des mini-jupes raz le bonbon. Je n’avais pas d’attrait pour les femmes vulgaires et les femmes exotiques, à l’exception d’une : Nadia, très belle arabo-berbère, grande et classe que je devais rencontrer plus tard sur les bancs de la fac de droit. Mais ceci fera l’objet d’une autre séries d’histoires.
Je guidais donc Lique sur les bords du Rhône, il faisait chaud en ces derniers jours d’avril, nous trouvâmes un bosquet un peu à l’écart avec un bout de mur romain. Elle ne fit part d’une envie pressante.
Face à moi, elle tomba en même temps son collant et sa culotte de coton blanc, s’accroupit m’offrit la vue de sa vulve juvénile couverte de sa petite toison rousse et soyeuse, un jet clair de pisse en jaillit. Le ton était donné. Nous nous regardions avec complicité, une pointe de lubricité dans le regard, une envie réciproque de pousser plus avant nos explorations mutuelles. Je lui tendis un mouchoir en papier, elle s’essuya la moule soigneusement et profondément. Elle allait remonter tout son attirail quand je l’arrêtais.
« Enlève ta culotte sous le collant, ça sera plus pratique ». lui dis-je
Elle acquiesça, en ex-petite gymnaste, elle avait l’habitude de porter le collant sans rien dessous juste sous le juste au corps pour éviter les épaisseurs à l’entrejambe. Elle quitta une jambe nylonée, ôta la culotte de la jambe droite, se contorsionna tel un flamand rose sur une jambe, remonta le collant a mis-jambe et fit pareil de l’autre coté. Elle mis sa culotte dans son sac de classe. remis ses ballerines rouges et vint à coté de moi sur le murets en pierre.
Je l’embrassais doucement, lui soufflait dans le cou, respirait ses cheveux blonds. Elle posa sa main sur ma braguette et commençait à me caresser à travers le coton de mon Chino beige. Elle apprenait vite Angélique, prenait des initiatives, mut par le plaisir qu’elle allait recevoir. J’ouvris le bouton de mon pantalon, passais mon boxer sous me bourses et sorti mon sexe tendu vers elle. Elle eu un geste attendri en me prenant la queue pour me branler. Je me tournais vers elle, en la prenant sous les aisselles je la fit asseoir sur mes cuisses. Elle régla d’elle même la bonne distance entre elle et mon sexe. Les jambes écartés mon sexe frottant contre l’entrecuisse de Lique. J’aimais le contact de ma queue sur le nylon, la vue de sa petite chatte de pucelle sous son collant blanc sans culotte. Je lui caressais les seins en ayant ouvert le corsage. Ces petits seins poussaient à vu d’œil me semblait t’il. Elle pointait déjà, en me roulant des pelles mouillées, j’imaginais qu’il est était de même de sa petite chatoune ruisselante de mouille.
Nos baisers se firent plus profonds et plus chauds, elle oscillait sur mon faisant frotter mon gland sur l’entre-jambe de son collant. Je découvris ce jour là, avec Angélique les plaisirs du contact du nylon sur nos sexes. les allées et venues de mon gland sur le haut de son sexe, firent sortir son clito, presque rond comme un petit poids. Elle prenait beaucoup de plaisir à s’astiquer la moule ainsi sur moi. Je sentais son humidité sur mes couilles, cela m’excitait beaucoup. Son souffle devint plus court, ses mouvements plus amples et saccadés.
-« Branle toi sur moi » lui ordonnais-je en murmurant à son oreille.
« Vas-y fais toi jouir ».
Elle se frottait sur ma queue avec ferveur et désir de jouir, le contact du nylon de son collant chauffait mon gland et son cilto gonflé au max était stimulé par la fibre. C’était bon et doux, je l’a sentais s’électriser, entrer en vibration. Avec lenteur et fermeté je sentis, ses ongles se planter dans mon dos et ses dents mordre mon épaule.
Elle me faisait vraiment mal, mais je ne bronchais pas. Je ne voulais pas la perturber dans son orgasme d’adolescente post-pubère. Une forte chaleur l’envahit montant de son bas ventre, jusqu’à la racine de ses cheveux, elle explosait.
Son orgasme si intense et délibérément sans retenue eût pour conséquence de me faire cracher avec un léger retard sur elle. J’aspergeais sa chatte nylonée de blanc, par mon jus chaud, raccord par la couleur avec ses collants. Je glissais ma langue dans son oreille pendant que je me vidais sur elle. Le temps fut suspendu durant de longues minutes, nous restâmes Angélique et moi enlacé l’un de l’autre. Repus d’une jouissance partagée en extérieur sous le soleil blanc de printemps.
J’allais remballer ma queue pleine de sperme dans mon boxer, lorsque Lique se leva et porta sur ma bite un bisous doux et claqué à l’endroit où il y avait le plus de jus. Un coup de sa langue se chargea d’essuyer ses lèvres rosées de pucelle.
Vu son jeune age, j’avais pas encore osé lui présenter ma queue pour lui la faire sucer. Lui apprendre comment un homme aime être pompé, j’avoue que le baiser sur ma queue m’avait ouvert une perspective. Peut-être, était elle demandeuse Angélique, curieuse de faire sa première félation.
Elle était taiseuse Angélique, difficile de dire ce qu’elle voulait ou cherchait vraiment. Je ne voulais ni la braquer ni la dégoûter de plaisirs simple et vrais. J’étais en train d’apprendre que le désir féminin avait parfois du mal à s’exprimer, contrairement au nôtre. Que la ligne entre désir, contrainte librement consentie et abus était très ténue. aussi fine que le fil d’un rasoir.
Je découvris aussi qu’il y a un temps pour tout, comme l’écrit Qohélet dans L’Ecclésiaste, que la synchronicité est mère de toute les audaces : le bon endroit, le bon temps, la bonne action. Cela ne s’enseigne pas, c’est une question d’instinct et de ressenti d’écoute du désir de l’autre et un peu de divination.
Je devais faire quelques erreurs, parfois maladroit, lent, hâtif ou en retard mais jamais gougeât ou malandrin.
Je l’a raccompagnais à l’arrêt de bus lorsque je la quittais je remarquais une coulure de mon sperme sur le haut de ses cuisses collantées de blanc. Je souris satisfait.
Je lui fit la bise comme nous étions en public.
-« C’est bon d’être sans culotte sous un collant » glissa Lique à mon oreille.
-« N’en mets pas pour la prochaine fois » lui dis-je
Elle sourit et monta dans le bus, elle me fit un signe de la main pour dire au revoir, passa sa main droite sous son kilt, essuyant un peu de ma semence au passage, mis sa main foutrée à plat, paume vers le ciel, devant sa bouche et souffla pour m’envoyer un baiser. Ce fut mon seul baiser « spermé » envoyé de mon existence, j’y repense avec tendresse,à l’heure où j’écris ces lignes, l’adolescence a une naïveté rare et une lubricité spécifique.
Je me perdais un peu entre ces trois femmes d’age différents, Jeanine quadra,mère de famille et maman d’Angélique, Lydie ma camarade de classe et Angélique la collégienne de 4 ans ma cadette. Sans parler des autres femmes que je désirais posséder et sur lesquelles je me branlais en imaginant des scénarios aussi improbables que cocasses.
A suivre
« Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite » 😉
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