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Henri et Colette (2)

Henri et Colette (2)



Henri et Colette (2)

Nous commençons bien sûr par un apéritif, Colette et Henri s’avèrent donc de bons buveurs et comme je ne crache pas non plus sur les bonnes choses c’est au bout du troisième Ricard que nous commençons enfin à manger les buffets froids, le tout évidemment abondamment arrosé ! Si pour moi comme pour la plupart des hommes l’alcool diminue les possibilités d’érection il n’en est rien chez Henri, il arbore en permanence un arrogant mandrin au gland plus luisant que jamais, j’en suis encore impressionné !

Quand il se lève et marche je regarde la longue et puissante queue qui se balance doucement, tout en mangeant je la caresse et la suce sous le regard amusé et quelque peu excité de Colette, elle me caresse le cul et le sexe en tentant en vain d’obtenir une érection et je me sens de plus en plus « gai » pour ne pas dire plus.

En riant aux éclats elle sort alors de la glacière une mortadelle de belle taille, elle me fait poser à quatre pattes et commence à m’introduire l’énorme saucisson de près de 50 centimètres de longueur, je suis très large mais je le sens quand même passer !

A vrai dire nous avons déjà descendu trois bouteilles de Beaujolais et ils sont bien mûrs mes deux amis, l’alcool inhibe maintenant tous sentiments de respect et de pudeur, pour eux comme pour moi et je sais que l’après midi va être brûlant.

La bouche remplie par les couilles de l’homme je sens que Colette veut absolument m’enfoncer entièrement la mortadelle jusqu’au plus profond de mes entrailles, ceci dit le l’ai déjà fait mais seul on maitrise la progression et éventuellement la douleur, ce qui n’est pas le cas présentement !

Je sens alors nettement que l’objet pénètre mes intestins, Colette s’interrompt quelques instants pour boire un grand verre de vin et remet ça de plus belle, trop occupé à sucer son mari je ne la vois pas mais je la devine de plus en plus excitée et soudain elle hurle,

— Voilà !

D’un violent coup elle a réussi et je le sens vraiment passer ! Je porte alors ma main à mon anus et effectivement je ne sens sous mes doigts que l’extrémité arrondie de la mortadelle, la dernière fois que je l’avais fait je n’avais pas pu dépasser les trois quart! Je la sens parfaitement en moi quand elle me demande de marcher j’ai quand même du mal à me relever, ils sont morts de rire quand ils me regardent déambuler en canard les cuisses écartées, enfin je sens que l’objet étranger glisse doucement hors de moi.

Il tombe sur l’herbe, il est légèrement maculé et Henri m’ordonne de le nettoyer, si je pratique et aime l’urolagnie je n’ai jamais été particulièrement attiré par la s**tologie, en état normal je pense que j’aurai d’abord tenté de refuser mais je ne le suis plus trop, il m’impose maintenant de me mettre à quatre pattes tel un chien pour lécher la mortadelle. Me voici donc à nouveau le cul largement ouvert et parfaitement ouvert à d’autres jeux. Tandis que je lape les morceaux d’excréments je vois Colette qui se révèle finalement assez sadique prendre des oeufs durs… Je me suis déjà rempli le rectum de petites saucisses apéritives ou d’olives mais je n’avais jamais penser à essayer l’oeuf !

Ils sont maintenant positivement ivres, je suis encore un peu plus lucide mais je ne suis plus quand même en état de résister ou de refuser leurs pratiques démoniaques. Finalement c’est à peine si je suis dégoûté par la matière que je lèche, elle a une saveur spéciale, indéfinissable et très amer, Colette a maintenant le rire caractéristique d’une personne ivre et commence même à avoir des difficultés d’élocution, et il n’est pas quatre heures de l’après midi !

Elle enfonce d’abord ses doigts dans mon cul pour élargir davantage l’ouverture et je sens qu’elle fait glisser le premier oeuf et c’est comme si je le gobais… Henri est maintenant affalé dans un fauteuil en rotin, il regarde la scène d’un air goguenard un verre de cognac à la main, il ne bande plus et sa longue queue molle pend doucement , le gland touche presque l’herbe! Finalement elle en glisse six et je suppose que si elle pouvait en avoir d’autres elle aurait continué, j’ai fini de nettoyer la mortadelle et c’est maintenant un cul parfaitement cambré que j’offre à ses délires. En riant, un rire gras et d’une voix pâteuse, Henri lui dit :

— Maintenant t’as plus qu’à rajouter la mayonnaise et des feuilles de salade !

Elle éclate de rire et sans hésiter m’enfonce le tube de mayonnaise dans l’anus, je sens alors la sauce qui coule en moi, elle est très fraîche mais le contact avec la muqueuse est quand même assez douloureux, ça me brûle un peu mais quelque peu inconscient je la laisse continuer en gémissant malgré tout. Elle vide le tube puis enfonce des feuilles de salade, et ma rondelle est à présent tellement dilatée que c’est à peine si je me rends compte qu’elle enfonce sa main à l’intérieur, je sens alors les oeufs qui roulent sous ses doigts, sur l’instant je ne prends pas conscience des risques encourus par ces pratiques et ce n’est que rétrospectivement quelques jours plus tard que j’en ai réellement pris conscience. Quand elle sort sa main c’est presque instantanément que je relâche une bouillie d’oeufs et de mayonnaise, elle la reçoit dans un saladier et elle dit :

— Maintenant faut nettoyer le mixer !

En titubant elle va vers le robinet d’arrosage, branche le tuyau et ouvre l’eau, elle et son mari semblent vraiment s’amuser et finalement moi aussi ! Quand elle enfonce l’embout c’est un bouillonnement terrible qui se produit dans mon rectum, l’eau fraîche calme vite la sensation de brûlure et je ressens un bien immense, de plus par une chaleur pareille une douche anale n’est pas désagréable ! J’aime me faire des lavements, au début avec l’embout la pomme de douche j’arrivais à garder l’eau un moment pour la faire jaillir mais depuis longtemps mon anus est trop dilaté et l’eau ressort aussitôt et c’est ce qu’il se passe en ce moment bien que l’embout du tuyau plus épais bouche mieux l’orifice.

Je m’écroule sur le dos dans l’herbe mouillée un peu épuisé par tout ce que je viens de subir et comme de bien entendu Colette s’accroupit au dessus de ma bouche, je ne me suis jamais fait pissé dessus par une femme et c’est impressionnant de voir jaillir de tels flots de liquide, elle écarte ses lèvres avec ses doigts et je peux parfaitement voir l’orifice d’où se déverse dans ma bouche l’odorant liquide, avec tout ce qu’elle a bu l’urine est très chargée, d’un jaune ocre et elle a un goût salé très fort. J’en bois le maximum mais la quantité est trop importante et ma tête baigne maintenant dans une boue de pisse mélangée à la terre.

Lorsqu’elle a terminé c’est bien sûr au tour d’Henri mais évidemment Colette a de nouveau une idée sadique, elle me fait retourner et c’est mon visage qui est maintenant dans la boue, elle me fait soulever le postérieur et m’ouvre le trou avec ses doigts puis elle invite son mari à pisser dans mon rectum. Je sens alors le liquide chaud me remplir, il pisse lentement si bien que l’urine coule parfaitement dans la poche anale et j’ai l’impression qu’elle y reste même. Effectivement lorsque je me redresse je peux sentir et voir l’écoulement…

Pour terminer l’après midi nous dégustons la bouillie d’oeuf mayonnaise façonnée dans mon cul, une petite halte qui permet à mon cul de prendre un peu de repos, si bien entendu je n’ai pas bu une goutte d’alcool durant tout le temps de mon travail anal mais ce n’était pas le cas de mes amis, Colette est bien plus bourrée que son mari et je redoute la suite si elle résiste au sommeil !

Elle me fait mettre à quatre pattes à ses pieds, je suis sale, mes cheveux sont gras et mélangés à la boue pisseuse presque sèche, ma peau est maculée de terre, d’herbe et de foutre séché, elle me tripote alors dédaigneusement les fesses et la raie du cul avec le bout de son pied, de temps en temps elle glisse son gros orteil dans mon anus en poussant des ricanements, Henri vient s’agenouiller devant moi, il a la bite bien raide, je me demande comment il peut encore bander après avoir bu autant d’alcool ! Bref j’entame ma fellation et Colette entreprend de me bourrer le cul avec son pied.

— Salope de chienne ! Tu n’es bonne qu’à te faire défoncer par un pied gluant de pisse !

Elle enfonce facilement ses orteils et je les sens remuer en moi, elle s’est assise pour pouvoir exercer une pression plus forte et je devine facilement la scène quand son pied glisse doucement en moi, c’est la première fois que je subis ce traitement et je ne sais si c’est possible mais… vu mon état actuel je suis loin de penser à ça! Je sens maintenant qu’il se redresse dans mon rectum et le talon force nettement pour entrer, je ne souffre pas mais je sens bien la progression et la pression dans mes entrailles déjà bien malmenées depuis le début de l’après-midi.

Soudain c’est comme si on me déchirait, je sens le pied glisser d’un seul coup, c’est une sensation terrible et je pousse un cri rauque très puissant, je m’écroule haletant entre les cuisse d’Henri le cul dressé vers Colette, elle rit :

— T’as vu mes nouvelles pompes? Elles sont super confortables !

Henri se relève pour examiner de plus près la chose, il rit.

— C’est pas vrai, ce mec est un vrai tunnel de chemin de fer ! Je t’avais bien dit qu’on allait rigoler !

Elle garde quelques minutes le pied dans mon cul en m’obligeant à rester dans mon humiliante position, de toutes façons je ne peux en prendre d’autres car au moindre mouvement le membre enfoncé me fait trop souffrir. Elle le retire enfin et je m’étale sur le sol complètement groggy par l’alcool et par ce qu’elle vient de me faire subir.

Il fait nuit lorsque j’émerge, je m’aperçois que je suis maintenant attaché sur une table jambes et bras en croix, je dois être dans le garage, un grand silence règne dans le local mal éclairé par une lampe à bout de fil qui diffuse une lumière glauque, je me demade alors ce qui va se passer maintenant, je suis un peu dégrisé et si je n’ai pas vraiment peur je ressens malgré tout une sensation de crainte.

Je pense qu’ils doivent cuver leur alcool dans la maison, je ne sais quelle heure il peut bien être mais je n’ai plus sommeil.

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