Bruno et Tommaso (Chapitre 5)
Le jour suivant, Ernst reçu la visite d’un vieux religieux, le Père Alcide, un collaborateur de l’archevêque Di’Santos. Il était accompagné d’un jeune prêtre fraichement ordonné. Ernst les accueillit avec solicitude dans son presbytère.
-Que me vaut l’honneur de votre visite, demanda-t-il au vieux prêtre.
-Notre archevêque nous a demandé de venir prendre quelques photo pour compléter votre dossier concernant la nomination de l’évêque dont a besoin notre archevêque.
-D’accord, dit Ernst, je suis à votre disposition. Vous pourrez prendre toutes les photos que vous voudrez. Je suppose que je dois me dévêtir.
-Oui, j’espère que cela nous vous importune, dit le Père Alcide. L’abbé Dino Jalucchi prendra les photos.
Le Père Alcide choisit la pièce où seront prise les photos.
-Nous serons prêts quand vous le serez, dit le Père Alcide.
Ernst enleva sa soutane et il se retrouva nu devant les deux religieux. La séance de photos dura quelques vingt minutes. Ils prirent des photos sur plusieurs angles afin que le dossier soit le plus illustré que possible. Naturellement, le Père Alcide et l’abbé Jalucchi furent pris dans une érection de leur pénis à la vue de la nudité et la pilosité d’Ernst. Lui de son côté avait déjà l’érection bien développée quand il eut retiré sa soutane. Le Père Alcide ne cessait de se toucher le pénis par-dessus sa soutane.
-Vous êtes très poilu, vous avez de bonnes chances d’être choisi, lui dit le Père Alcide.
-Je ferai la volonté de ceux qui décideront de mon sort, dit Ernst.
-Dino, aidez-moi à enlever cette soutane.
Le jeune prêtre passa la soutane sur la tête du Père Alcide qui lui aussi était nu sous sa soutane. Le Père Alcide avait des aisselles très poilues lui aussi. De longs poils poivres et sels couvraient sa poitrine et une grande partie de ses épaules. Une fois complètement nu, il se prit le pénis de sa main droite et se le flatta lentement. À son tour Dino se dévêtit de tous ses vêtements et prit place près du Père Alcide, lui caressant une aisselle pendant que le vieux prêtre parlait avec Ernst.
-Vous êtes curé ici depuis quand?
-Ça fait bien 7 ans maintenant. Je fus vicaire pendant 2 ans quand l’abbé Vitale était le curé. J’ai eu la place quand il a quitté. J’ai pris soeur Hildegarde pour prendre soin du presbytère. Elle est travaillante et c’est une belle femme bien de service.
-Est-ce qu’on pourra la rencontrer? demanda le Père Alcide.
-Bien sûr, dit Ernst, elle pourra vous rendre de bons services aussi aux cours de visites éventuelles. Vous serez charmés.
Le Père Alcide s’approcha d’Ernst et lui mit la main gauche dans le dos et le flatta doucement. Ernst fut un peu surpris, mais il prit cette caresse avec plaisir, se voyant bien aux yeux du Père Alcide. Il répondit à cette caresse en lui caressant une aisselle.
-Poilu comme vous êtes, vous auriez pu l’être mon Père, dit Ernst.
-Je sais, mais au fond, je préférais servir l’Église et je n’ai rien sollicité. Bien sûr, Mgr Di’Santos est très content de mes services et j’aime beaucoup le satisfaire. Tous les deux jours, je lui donne son bain et je le masturbe avec soin et érotisme en lui exposant mes aisselles, il est un voyeur des plus passionné. Il a les aisselles très poilues, mais il a la poitrine sans poil, ça fait drôle.
Ernst se risqua à prendre le pénis du Père Alcide et se mit à le sucer comme une carpe qui suce une hameçon. Le Père Alcide eut la figure qui sembla très heureuse et il se mit à transpirer sous les aisselles. Il soudoya une aisselle très poilue d’Ernst. Dino de son côté n’avait cessé de caresser une aisselle du Père Alcide.
Pendant que les trois hommes se plaisaient, soeur Hildegarde entra dans la pièce et vit les trois hommes nus dans leurs actions.
-Oh, fit-elle, je m’excuse!
-Pas besoin de vous excuser, dit le Père Alcide. C’est plutôt à nous de s’excuser.
Ernst continua à sucer le Père Alcide au pénis comme si rien n’était.
-Comme vous êtes tous beaux, dit la religieuse. J’aime tellement les hommes…
-Dino, dit le Père Alcide, veux-tu accompagner cette bonne soeur?
-Oui mon Père, ce sera pour moi un honneur.
Dino s’approcha d’Hildegarde et la déshabilla lentement. Quand elle fut toute nue, il la prit dans ses bras et il la pénétra doucement dans le vagin et entreprit des mouvements de va et vient.
-Ah, quel bonheur, dit Hildegarde, c’est paradisiaque…!
Dino haleta de plaisirs à chaque mouvement, son pénis bien raide sentant le glissement des parois du vagin de la soeur Hildegarde, pendant que le Père Alcide éjacula dans la bouche d’Ernst…
Après que le Père Alcide et Dino ainsi qu’Hildegarde eurent repris leur esprit, Ernst demanda à Hildegarde de servir le vin. Tous portèrent un toast aux aisselles poilues d’Ernst.
À suivre…
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