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je veux que tu sois une salope (2)

je veux que tu sois une salope (2)



– Alors, chérie, tu as vraiment décidé d’être une salope, une vraie, rien que pour moi ?
– Totalement ! Je te l’ai dit, ça m’a beaucoup excitée quand tu m’as tout expliqué ce que tu voulais que je fasse.
– Tu sais qu’elle jour on est ?
– Samedi, non ?
– Alors, on va allez en boite, si tu vois ce que je veux dire.
– D’accord, j’ai hâte de te montrer que je peux le faire !
Je me changeai rapidement, histoire de ne pas être refoulé à l’entrée de l’établissement. Pour elle, par contre, il n’y avait aucun risque : petites bottines New-Rock, bas qui montaient jusqu’à mis cuisses, petite jupe plissée suffisamment courte pour que le moindre coup de vent permette de voir qu’elle n’avait pas de culotte, chemisier avec suffisamment de boutons ôtés pour que le décolleté que cela lui faisait ne laisse aucun doute sur l’absence de soutien-gorge, ras-du-cou et gants de velours qui montaient jusqu’aux coudes. Tout en noir, parfaitement assorti avec ses longs cheveux de la même couleur. Elle était parfaite !
Un peu avant d’entrer dans la boite de nuit que j’avais choisie, je lui demandais quand même confirmation :
– Tu veux vraiment le faire ?
– Absolument.
– Tu avaleras tout ?
– Oui, tout : ce n’est pas ce que font les salopes ?
– Si, et sans limite : tous ceux qui te le demanderont…
– J’avalerais tout, promis, me coupa-t-elle. Je t’ai dis qu’à partir d’aujourd’hui, je suis une salope, donc je me comporterai en salope : je sucerais et vidangerais tous ceux qui le voudront ce soir dans les toilettes de cette boite, et j’espère bien que tu ne rateras rien du spectacle, car je veux que tu sois fier de moi.
– Ok, alors allons-y, ma petite salope, et montre moi comme tu aimes le foutre.
Je payais l’entrée, et nous entrâmes. A peine arrivés, le videur faisait déjà un sous-entendu sur le fait que Pauline, car tel est son prénom, n’avait sûrement pas besoin de payer un vestiaire. Elle piqua un fard.
Immédiatement, elle se jeta sur la piste de danse, et commença à onduler. Pendant ce temps, je m’installais au bar, et sirotais une bière en admirant le spectacle. Elle se frottait sur tous les mecs qui passaient à proximité, et déjà certains montraient un vif intérêt pour elle. Ses fesses se collaient langoureusement aux pantalons, ses tétons, qui commençaient à pointer sous son chemisier, frôlaient les torses. Certains lui parlaient parfois à l’oreille : en général, cela la faisait rire, puis elle répondait quelque chose. A chacune de ses réponses, son interlocuteur se faisait plus pressant.
A un moment, collée à l’un de ses admirateurs qui commençait manifestement à avoir la gaule, Pauline fit un mouvement descendant en dansant : la minijupe resta accrochée à la ceinture du gars. Du coup, comme elle avait les cuisses légèrement écartée à ce moment là, les quelque danseurs qui se trouvaient face à elle ne devaient sûrement n’avoir rien rater de sa jolie chatte à la fine toison sombre parfaitement taillée. L’avait-elle fait exprès ? Je ne sais pas, mais l’effet fut certain : plusieurs danseurs se rapprochèrent.
– Eh ben, lâcha le barman derrière moi, y a de la sacrée salope sur la piste.
– Vous parles de la brunette ? Demandais-je innocemment.
– Ouais… je serais pas étonné qu’elle se face culbuter dans les chiottes avant la fin de la nuit.
– Qui sait ? Les propos du barman me remplirent de fierté. Pauline remplissait déjà bien son rôle.
– Elle est plutôt jeune celle-là, en plus : à peine 18 ans à vue d’oeil, reprit le barman
– Depuis un mois à peine.
– Quoi ?
– Je disais qu’elle a 18 ans depuis à peine un mois.
– Tu la connais?
– Ouais.
– Et tu la baises ? Le côté directe de la question me désarma quelques instants.
– Dès que j’en ai l’occasion.
– Veinard : elle doit être chaude, non ?
– Une vraie petite salope.
– C’est-ce que je disais, ouais…
Sur la piste, elle se retourna, et colla sa main sur la bosse de celui sur lequel elle se frottait. Je ne suis pas sûr, de là ou j’étais, mais il me sembla que la bosse grossit. Elle insinua alors une main dans le pantalon du type. Parfait : elle suivait le scénario point par point. Pour une première, cela partait bien : elle faisait tout ce que j’avais demandé. Le mouvement de sa main était sans ambiguïté : elle le branlait !
Un des autres danseurs, un peu plus entreprenant, passa une main entre ses jambes. Pauline écarta légèrement les cuisses en continuant sa chorégraphie serpentine. Son autre main plongea dans un autre pantalon, tandis qu’un autre gars se colla à elle dans son dos, et commença à lui caresser le ventre pour doucement remonter jusqu’à ses seins.
A partir de se moment, cela commença à devenir confus : trop d’hommes autour d’elle pour que je continue à l’admirer à l’oeuvre depuis le bar. Le groupe s’ébranla alors doucement : Pauline traînait deux de ses partenaires par la ceinture, non sans encourager les autres à suivre. En passant devant moi, ma chérie me gratifia d’un grand sourire et d’un clin d’oeil complice en se passant la langue sur les lèvres. Je me hâtais de suivre le groupe qui se dirigeais vers les toilettes pour hommes.
Pauline fit mine d’inspecter la propreté des cabines avant d’en choisir une, histoire de me laisser le temps de m’installer aux premières loges pour ne rien rater du spectacle. Une fois que je fus en place, elle s’installa, à genoux, lançant à la ronde :
– Alors, lequel de ses messieurs profitera de ma bouche en premier ?
L’un des hommes s’avança. Ma chérie s’attaqua à sa ceinture, et bientôt, son pantalon et son boxer furent sur ses chevilles, tandis que sa bite était déjà entre de bonnes lèvres.
Je n’y croyais pas : Pauline le faisait vraiment. Ma chérie venait d’allumer des inconnus sur une piste de danse et commençait à les sucer dans les chiottes, incroyable ! Et elle y mettait du cœur : le gars bandait déjà très fort tandis qu’elle lui tétait le gland, lui léchait la hampe, engloutissait son membre dans sa bouche. Elle ne le quittait jamais des yeux, si ce n’est pour parfois me lancer des oeillades perverses où je pouvais constater à quel point elle était excitée par le fait que je sois moi même également excité de l’admirer en train de sucer un inconnu ; car excité, je l’étais effectivement au plus haut point : Pauline ne pouvait pas rater la bosse qui déformait mon pantalon. Jamais je n’avais du bander à ce point !
Très vitre, les mains du mec se crispèrent dans les cheveux de ma copine. Il grommela plusieurs fois en se tétanisant : manifestement, il se vidait dans sa bouche. Pauline n’en perdit pas une goutte. Quand elle relâcha la bite du gars, elle le fixa de nouveau dans les yeux, et avala le tout.
– J’adore les suceuses qui avalent… t’es une bonne salope, toi, lâcha-t-il.
– Merci, je suis flattée. Qui est le suivant ?
– Je vous la conseille, les mecs : sa bouche c’est du velours !
Une bite déjà bien raide se présenta devant elle, et Pauline l’enfourna sans même regarder son propriétaire, suçant encore avec vigueur et savoir faire. Je ne pouvais détacher mon regard de ses lèvres qui allaient et venaient autour de cette deuxième bite. Elle le faisait : elle suçait et avalait le foutre d’inconnus dans les chiottes d’une boite comme une vrai bonne salope ! J’étais de plus en plus fier d’elle, et de plus en plus excité. Et le plus fort, c’est qu’elle y prenait manifestement du plaisir. En effet, imperceptiblement, l’une de ses mains s’était glissée entre ses cuisses, et elle se caressait tout en suçant le membre qui lui était offert. Pauline prenait plaisir à faire la salope : ma chérie était enfin une vraie bonne petite salope de 18 ans. Encore une fois, le gars dont elle s’occupait se vida les couilles dans sa bouche.
– Tiens, salope, tiens, avale mon foutre, tiens !
Elle n’en perdit encore une fois pas la moindre goutte, aspirant tout, nettoyant le gland à coups de langue consciencieux, et avala la semence de ce deuxième inconnu, cette fois-ci en me regardant. J’ai adoré !
Elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soir, que déjà une troisième bite s’enfonçait dans sa bouche. Plusieurs gars autour avaient commencé à s’astiquer en admirant le spectacle. Les commentaires commençaient à se faire entendre :
– Putain, elle avale tout !
– Première fois qu’on profite d’une salope pareille ici !
– Je ne sais pas combien de bites elle a l’intention d’essorer, mais je ferai parti du lot, y a pas moyen !
– La vache, ce regard de chienne qu’elle a quand elle avale !
Plus les commentaires étaient graveleux, plus Pauline semblait apprécier, car je remarquais que sa main s’agitait avec plus d’énergie, à chaque fois, entre ses cuisses. Elle s’acharna tant et s’y bien que très vite, elle eut sa troisième dose de foutre à avaler. Elle déglutit encore une fois.
– Oh putain, j’en peux déjà plus… ouvre ta bouche, grosse salope !
Le gars s’approcha en se branlant, bousculant celui qui se refroquait après s’être vidé. Ma chérie obtempéra de suite : elle tourna le visage vers le mec, et ouvrit grand sa belle bouche. Juste à temps pour recevoir les giclées blanches sur sa langue généreusement offerte. Le gars eut une éjaculation abondante, et le foutre, recouvrant entièrement la langue de Pauline, commençait à se déverser dans sa bouche. Elle resta comme ça quelques secondes, s’offrant en spectacle aux téléphones qui filmaient la scène depuis déjà un moment. Sans honte, elle s’exhibait la bouche pleine d’un foutre inconnu qu’elle allait avaler.
– C’est bien, tu peux avaler, maintenant, petite pute, lui dit alors le mec qui venait de lui remplir la bouche.
Elle avala lentement en me regardant, laissant les vidéastes amateurs ne rien manquer du spectacle.
– Reste la bouche ouverte, chiennasse ! Lança un autre type.
Un groupe de cinq mecs, manifestement potes, tous la bite à l’air, s’approcha. Pauline les regardait en ouvrant grand sa bouche. Ils se branlaient autour d’elle.
– Tu vas prendre notre foutre à tous les cinq dans la bouche, sans avaler : t’attendra qu’on te le dise pour le faire, ok ?
– D’accord, remplissez ma bouche de salope.
Un à un, les cinq potes se vidèrent dans sur sa langue. Pauline laissait ensuite tout couler dans sa bouche. Elle avait un peu de mal à respirer vers la fin avec la bouche ouverte pleine du foutre de plusieurs mecs, mais elle garda la pose, bien cambrée, bien offerte, toujours en train de se tripoter le minou de la main gauche. Certains des gars avaient déboutonner son chemisier, et lui tripotaient les seins sans vergogne. Pour ma part, j’avais également sortie mon téléphone, et filmait les cinq éjaculations qui se déversaient à tour de rôle dans la bouche offerte de ma salope. Jamais je n’avais trouver Pauline aussi jolie, aussi bandante qu’ainsi offerte aux foutre de nombreux inconnus. Elle était merveilleuse.
– Bien, lâcha un des 5 types, regarde moi maintenant, chienne.
Elle s’exécuta, quelques flash crépitèrent. Il réglait son téléphone en mode caméra.
– C’est bon, putain, tu peux tout avaler maintenant.
D’un seul trait, Pauline avala les cinq doses généreuses de foutre qui lui emplissaient la bouche. Puis ses épaules s’affaissèrent, elle baissa la tête, elle fut comme prise de spasme : allait-elle vomir ? S’en était trop pour elle ? Non. Ses gémissements et ses contractions apportèrent une réponse plus intéressante : elle jouissait. Se tripoter la chatte, ses faire tripoter les seins, tout en avalant le foutre d’inconnus qui la traitait de salope, de chienne ou de pute la faisait jouir ! Et pas qu’un peu, car il s’agissait manifestement d’un sacré orgasme !
Pauline était encore un peut pantelante de son plaisir quand un gros type qui avait l’âge d’être son père l’attrapa par les cheveux, lui colla d’autorité sa bite entre les lèvres, et commença à lui baiser la bouche à grand coup de reins. Ma chérie se laissa faire.
– Regarde moi, sac à foutre !
Elle ouvrit les yeux, et fixa le regard de celui qui tringlait la bouche sans ménagement.
– Elle est bonne ta bouche, putain !
Un filet de bave coulait au coin des lères de ma chérie. Ses joues se distordaient à chaque fois que le gros type lui enfonçait sa queue profondément dans la bouche. Mais elle encaissait, elle se laissait faire docilement, le regard rivé sur les yeux du salop qui lui défonçait la mâchoire. Comme les autres, il finit par décharger.
– Tiens, prends, bouffe mon foutre comme un bon vide-couilles !
Pauline semblait presque étouffer, mais encore une fois, elle avala tout, avec application : pas une seule goutte de sperme n’avait été jusque là perdue. Tout était dans son estomac. Encore une fois, le gars qui l’avait gratifiée de sa semence la filmait à l’oeuvre.
– Regarde moi, maintenant.
Elle s’exécuta.
– Ca t’as plu ?
– Oui.
L’affluence dans les chiottes se fit de plus en plus importante : manifestement, certains de ceux qui avaient eu le plaisir de donner à boire à ma copine devait passer le mot à leur pote qu’il y avait moyen de se vider les couilles gratuitement dans la bouche d’une avaleuse de foutre pleine de bonne volonté dans les chiottes pour mecs.Du coup, les volontaires intéressés s’empressaient de venir. Je crois même que pendant la soirée, j’ai pu repérer quelques types qui sont revenus se soulager dans la bouche de ma petite salope plusieurs fois ! Pour ma part, je ne ratais rien du spectacle que Pauline m’offrait. Je ne ratais rien des regards qu’elle me lançait régulièrement, cherchant manifestement mon approbation. Les grands sourires que je lui renvoyais, la bosse énorme dans mon pantalon et la fierté qui devait se lire dans mon regard illuminait son visage à chaque fois qu’elle venait d’avaler une éjaculation, et elle repartait de plus belle, faisant dégorger dans sa bouche une bite de plus.
Les éjacs s’enchaînèrent ainsi jusqu’à 4 heures du matin. Tantôt Pauline prenait tout dans la bouche, les lèvres rivées au membre qui se vidait, tantôt elle s’offrait tête en arrière, bouche grande ouverte, langue avidement tendue pour recevoir les giclées de foutre. Elle avalait directement, ou alors laissait parfois les téléphones immortaliser sa bouche ouverte pleine de sperme avant d’avaler en fixant un objectif ou un autre. Un moment, elle accepta même de recevoir dix éjacs dans la bouche avant de déglutir. Il y a avait tellement de sperme que ça débordait presque de sa bouche. Cette fois là, c’est à mon appareil photos que Pauline s’offrit en spectacle en avalant tout cul sec. Elle était parfaite, sexy, bandante.
Elle jouit plusieurs fois pendant la soirée en se tripotant. Quand elle n’en put plus d’être à genou, Pauline s’assit sur la cuvette, cuisses bien écartées, offrant le spectacle de sa chatte trempée à ses usagers.
Au petit matin, c’est le videur qui vint mettre fin à sa prestation pour annoncer la fermeture de l’établissement. Il vira tout le monde sans ménagement.
– Avant de partir, ça vous dit pas d’en profiter aussi ? Lui demandais-je.
Il la regarda : torse nue, les seins en avant, les tétons dressés, les cuisses béantes, la chatte trempée, la bouche entrouverte, et un regard de salope à damner un curé !
– Je dis pas non, qu’est-ce que tu en dis la salope ?
– Viens me faire boire ta liqueur, je suis là pour ça.
Ce fut la dernière queue qu’elle épongea dans les chiottes.
Pauline se rhabilla, et nous sortîmes. Nous retournâmes à la voiture sans un mot. C’est une fois en route qu’elle me demandait :
– Alors, j’ai été une bonne salope ?
– Parfaite mon amour, tu as été parfaite ! Au delà de mes espérances !
– Ca t’a plu alors ?
– Tu as remarqué comme je bandais ?
– Oui, et ça m’a terriblement excitée de voir que tu adorais que je sois une telle chienne. Je peux voir les vidéos ?
– Tiens, je lui donnais mon téléphone, j’ai saturé la mémoire tellement je voulais garder des traces de ta performance !
Elle zappa d’une vidéo à l’autre, se contemplant en train d’avaler, et d’avaler encore du foutre d’inconnu.
– Tu es un pervers, tu as vraiment filmer les moments les plus vicieux !
– Que veux tu, tu est tellement belle quand tu as la bouche pleine de foutre, tellement belle quand tu suces… tellement bandante quand tu avales tout ça !
– Tu filmes aussi beaucoup quand je me fais insulter.
– c’est pas des insultes : tu t’es comportée en salope, alors c’est ainsi que tu t’es fait appeler. Mais j’avoue que ça m’excitait beaucoup de les entendre de traiter comme ça. Tu avais l’air d’aimer, non ?
– Je sais pas… je dois admettre que sac à foutre et vide-couilles me dérangeaient un peu.
– C’est pourtant ce que tu as été ce soir, non ?
– Oui, je sais… c’est bien pour ça que cela m’a aussi beaucoup excité !
– Vu le nombre de fois où tu as jouis, je suppose que ça t’as plu à toi aussi, cette petite séance ?
– Enormément ! J’ai pris un pied d’enfer !
– C’est bien… tu n’as pas fait la salope alors, tu l’a été.
– Oui, et j’en suis assez fière.
– Tu peux l’être. Je le suis aussi ! 79 bites d’éponger pour une première, bravo !
– Comment ça ?
– Je les ais toutes comptées ! Ce soir, tu as avalé 79 éjaculations, venant de plus de 60 mecs différents ! Plus 60 inconnus t’ont fait avaler leur foutre… parfois plusieurs fois, et tu as tout avaler consciencieusement, tu as pris de plaisir à le faire : tu peux être fière de toi, en effet !
– Quelle salope je fais ! Je suis contente que tu m’ais raconté ton fantasme, tiens. Mais il manque quelque chose.
– Quoi ?
– Toi : je ne t’ai pas encore vider les couilles… et avec toi, ça ferait 80, alors si tu veux bien te garer…
Je manquai d’avoir un accident tellement je me garai brusquement sur le bas côté de la route. Pauline se jeta sur mon pantalon. Je bandais encore vue notre conversion. Elle me suça voracement. J’allumais le plafonnier :
– Regarde moi.
Elle leva les yeux vers moi.
– Tu as une bonne bouche de salope, tu sais ?
Elle acquiesça.
– Tu es une bonne petite putain, maintenant, hein ?
Elle acquiesça encore une fois. Elle s’interrompit juste le temps de me dire :
– Et je serais toujours partante pour te servir de vide-couilles, parce que je suis heureuse d’être un bon sac-à-foutre à ton service.
Je vis dans ses yeux qu’elle pensait chaque mots qu’elle venait de prononcer. Je luis agrippais la tête, replongea ma bite entre ses lèvres, et dans un spasme de plaisir, je me vidais dans sa bouche, une quantité de sperme bien supérieure à ce dont je l’avais jamais gratifiée. Elle avala lentement, avec un plaisir manifeste :
– 80. Je suis définitivement la reine des salopes.
– Attends chérie… demain, je fais venir les potes à la maisons. C’est pas tout de sucer, va falloir aussi te faire baiser. Et vu comme tu as joui ce soir, je suis sûr que demain, tu va prendre un pied d’enfer !
– J’ai hâte ! Répondit-elle avec un sourire.
Nous reprîmes la route…

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