Un soir que Sonia ma maîtresse m’avait fait baiser par JO un ami black à elle, il lui a donné l’idée de me louer pour une nuit à un foyer de travailleurs qu’il connaissait pour y avoir habité un temps et y avoir encore quelques connaissances. Il lui dit que ce dont souffraient le plus les étrangers à leur arrivée en France était le manque de sexe et que je serais parfaite pour les soulager. De plus il rajouta pour finir de la convaincre que mon cul pourrait lui rapporter et que ce serait sans risque pour moi car il connaissait bien le maître des lieux et avait confiance en lui. L’idée d’être amenée dans un foyer de travailleurs m’avait d’abord excitée mais le soir arriva et au moment de partir j’étais morte de trouille. Maîtresse m’avait dit de m’acheter du popers pour être bien dilatée car mon cul allait être très utilisé. Où m’emmenaient-ils ? Combien de temps ? Combien seraient-ils ? Seront-ils violents ? J’avais beau m’être préparée physiquement et psychologiquement je n’en menais pas large sur la banquette arrière. Quand la voiture s’est arrêtée devant une grande bâtisse c’est Jo qui me fit sortir et m’amena en laisse car les ¾ étaient des musulmans qui n’accepteraient peut-être pas l’autorité d’une femme toute dominatrice soit-elle. Visiblement on m’attendait car la pièce commune était bien remplie et j’ai eu droit à quelques murmures, sifflets et autres quolibets. Jo sans plus de tact leur annonça : voilà la marchandise promise, si on fait affaire elle est à vous jusqu’à demain matin aux conditions convenues. J’avais là une première réponse à mes questions, ils m’avait monnayée pour la nuit.
– Présente-toi salope ! me dit-il, je récitais alors la tête basse ce que maîtresse m’avait
ordonné de dire :
– Bonsoir messieurs, je suis une bonne chienne soumise, j’aime les queues des noirs et
des arabes, ma bouche est un bon réceptacle à foutre et mon cul est un garage à bites. Vous pouvez m’insulter, me fesser, me partouzer, m’humilier, je serais votre pute soumise et obéissante toute la nuit ».
Pas de saignements, uro, s**to et capotes obligatoires pour la baise et pas d’obligation d’avaler leur sperme, étaient en fait les seules règles à respecter ; en disant cela Jo me fit pencher en avant en me faisant tourner sur moi-même afin que tous puissent admirer mon cul blanc et son plug enfoncé dans l’anus. Il le retira et tout en fessant mon cul lisse et bien ouvert il leur dit :
– Alors messieurs ce cul dilaté de salope ne vous fait-il pas envie ? Il est tout propre et
elle l’a bien préparé pour vos queues toute l’après-midi !
Sous les approbations, celui qui semblait être le patriarche prend la laisse sans ménagement et m’amène dans une pièce voisine en disant quelques mots en arabe aux femmes qui étaient là. Visiblement le marché était conclu, et même si je savais que Jo devait rester là au cas où je n’en menais pas large avec une boule au ventre mais aussi une certaine excitation. J’étais prise en mains par 2 femmes musulmanes (sans doute les femmes du patriarche) qui riaient et se moquaient de moi en me nettoyant avec une eau très chaude et parfumée les parties intimes. Bien que mi homme mi femme, j’étais acceptée comme une des leurs car elles s’étaient toutes découvertes en ma présence. L’une d’entre elles, après m’avoir appliqué une crème anale, m’amena dans la chambre du mari, m’allongea un gros coussin sous le ventre puis remonta ma jupe au dessus de mes fesses, ainsi offerte et partit en riant. Quelques minutes interminables plus tard, son entrée me fit sursauter, il s’est approché, il a « tâté » un moment la marchandise, il m’a enfoncé 2 doigts dans le cul puis me les a faits sucer ; il m’a aussi malaxé et claqué les fesses d’une main en se touchant de l’autre la queue que je devinais de belle taille sous sa djellaba. Puis sans se déshabiller et en remontant son habit il s’est allongé de tout son long sur mon dos, je pouvais sentir son souffle chaud dans mon cou et sa queue contre mes fesses. Il m’a écrasée sous son poids il a commencé à me pénétrer lentement, son gland d’abord puis d’un seul coup mon anus bien huilé a avalé tout son membre. Là il a commencé à me pistonner rageusement sans se soucier s’il me faisait mal. Ma position n’était pas très confortable d’autant qu’il me faisait serrer les fesses sur sa queue, il me pistonnait le cul avec sa grosse bite comprimée en baragouinant des mots en arabe que je ne comprenais pas ; il a joui en râlant et en s’affalant de tout son poids. Nerveusement comme s’il m’en voulait d’avoir joui il m’a éjectée sur le pallier en prévenant les autres que j’étais disponible. Un autre algérien a vite pris ma laisse et m’a traîné jusqu’à sa chambre qu’il a fermée à clé. Là, il a commencé par me gifler, me faisant bien comprendre que j’avais intérêt à me soumettre. J’ai dû lui faire sa toilette intime puis il a voulu inspecter mon entre jambe parfaitement lisse, il s’amusait à rentrer ses doigts un par un dans mon petit trou puis me les donnait à sucer. Il me flanqua aussi une bonne fessée sur ses genoux, il était un peu sadique et voulait me faire mal ; il m’a alors assise sur le rebord du lit, il était sec et nerveux et pendant qu’il m’obligeait à le branler doucement il me giflait sans retenue. Il m’a pris la nuque et enfonça sa queue directement au fond de la gorge la faisant aller et venir en m’insultant en arabe, j’en avais des hauts le cœur et les larmes aux yeux. Il devait être en manque car heureusement pour moi il a vite rempli ma bouche d’une grande quantité de foutre épais et amer. Il m’a fait tirer la langue pour constater lui-même la dose prise puis m’a dit dans son accent en me giflant une dernière fois : « dégages sale pute ! ». Je ne suis pas restée longtemps seule dans le couloir sombre, régulièrement on y guettait ma présence, j’ai eu à peine le temps de recracher son sperme dans mon mouchoir que déjà j’étais poussée dans une autre chambre. Il y avait là un gros noir qui, à peine rentrée me recouvrit entièrement de sa djellaba ; lui aussi était à poil dessous et son gros chibre d’ébène pendait devant mon nez, il était clean mais je sentais cette odeur bien particulière que les sexes noirs dégagent (pour ceux qui connaissent). Même au repos j’avais du mal à le mettre en bouche, il a commencé à durcir sous ma langue, il était devenu vraiment énorme. Il aimait aussi que je lui lèche ses grosses couilles pendantes et bien pleines elles aussi ! Quand il a été tendu à mort il m’a donné du gel et une capote « maxi size » que j’enfilais tant bien que mal et qui lui comprimait la verge en la recouvrant partiellement, c’est vous dire la taille de l’engin ! J’ai eu très peur quand il m’a attrapée d’un seul bras et m’a mise en en levrette sur un tapis épais le cul bien en l’air que je devais écarter au maximum avec mes deux mains. J’avais pris soin de bien me graisser l’anus, je m’étais même enfoncé le tube pour en mettre aussi à l’intérieur. Il est resté debout, a fléchi sur ses genoux, puis tout en me maintenant fermement par les hanches il a poussé son gland énorme dans mon œillet. Il a eu du mal à rentrer au début mais je me rappelle avoir ouvert la bouche et écarquiller les yeux quand il m’a transpercée entièrement (c’est le mot). Son gland devait être aussi gros que le poing de ma maîtresse, j’avais la tête collée sur le tapis, le cul en l’air, les yeux hagards je me demandais ce qui était en train de m’arriver et surtout si j’allais supporter longtemps cette matraque dans le cul. En fait, une fois le plus gros passé je me suis sentie un peu mieux, pourtant j’étais copieusement dilatée, je sentais mon intimité non pas remplie mais plutôt envahie par cet énorme corps étranger qui à chaque va et vient allait buter contre ma prostate et me faisaient mal. Etonnamment j’éprouvais aussi un certain plaisir car il était assez calme et doux, il se régalait de ce que la plupart des femmes ne pouvaient lui offrir en m’empalant de la sorte. Moi je me suis sentie sa femelle, fière de réussir à le prendre en entier et à le combler car il n’a pas tardé à jouir en soufflant comme un buffle et en tremblant sur ses jambes. Il s’est effondré sur moi m’écrasant de tout son poids sur le tapis. Ces quelques secondes m’ont paru longues car je ne pouvais absolument plus bouger mais je sentais sa queue dégonfler peu à peu dans mon cul jusqu’à un « floc » de sortie, il roula alors sur le côté et je pus constater par sa capote bien remplie qu’il y avait longtemps qu’il n’avait pas pris son pied. Bien que mon cul ait du mal à se refermer, j’étais heureuse de ce résultat.
J’ai fini par trois jeunes en même temps, récemment débarqués d’Afrique et qui n’avaient pas encore de piaule individuelle. Ils m’ont partouzée sur un matelas de fortune dans une sorte de cagibi. J’ai pris leurs queues dans le cul à tour de rôle mais ils ont tous voulu éjaculer dans ma bouche, à croire que les africaines ne pratiquent pas la pipe. Il était 2h du matin quand le patron m’a à nouveau donnée « à nettoyer » à ses 2 femmes encore éveillées. Cela faisait bien 5h que je me faisais mettre, j’avais sommeil, mal au cul et je puais le sperme. J’ai été lavée avec la même eau parfumée et presque bouillante, puis elles m’ont appliqué un baume relaxant sur tout le corps et une crème apaisante autour et dans mon conduit anal. Je croyais alors avoir mérité un peu de repos mais une claque cinglante m’a ramenée à la réalité du moment. Après un re poudrage en règle l’ancien me montra une chambre laissée vide par son occupant parti en weekend et qui devait me servirait de chambre de passe. Il me confia à un de ses hommes de confiance Mourad qui me guetterait dans la rue pendant que je tapinerais. Le « vieux » avait même tout prévu, lingettes, préservatifs et lubrifiant, il voulait rentrer dans ses sous voire un peu plus. Ses menaces physiques étaient sérieuses, j’avais peur et j’en voulais alors à Jo qui avait disparu de la circulation et à ma maîtresse qui n’avaient pas prévu d’interdire cela. J’étais coincée, n’ayant d’autre choix que de tapiner pour eux car j’étais bel et bien devenue leur pute du moment à part entière. De 3h à 7h du matin j’ai dû faire une dizaine de passes à 50€ et autant de pipes à 20€. Des clients éméchés à la fermeture des bars et des boites de nuit du quartier ont trouvé en ma personne une bonne occasion de bien se faire vider les couilles à pas cher avant de rentrer chez eux. Heureusement tout s’est bien passé malgré 1ou 2 clients à l’hygiène douteuse (vive les lingettes !). A 7h le vieux s’est réveillé, il était satisfait de la somme que lui avait rapporté Mourad et du bénéfice réalisé avec mon cul. Il m’a alors dit qu’il comptait bien me relouer pour être à nouveau sollicitée, que j’étais une bonne vide couilles et une pute en devenir. A 9h Jo est réapparu avec ma maîtresse pour me ramener chez moi.
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