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La perversité communicante

La perversité communicante



Cela faisait longtemps, j’ai décidé de m’y remettre après quelques tumultes personnels. Je vous laisse le soin de parcourir cette histoire.

Nous sommes en Octobre 2015, en milieu de semaine ; je dois me rendre à Toul pour passer quelques examens de routine suite à une opération bénigne. C’est une amie à moi qui m’emmène et nous avons décidé ensuite de faire un peu de shopping dans le centre-ville. Sab est une de mes meilleures amies, j’en ai très peu et je ne suis pas ces femmes entourées de cent pintades, je suis assez casanière et m’épanche peu. Les choux gras et gossip ne sont pas ma tasse de thé. Avec Sabrina, c’est différent, elle est discrète comme moi, sérieuse, mère de deux jeunes enfants, mariée avec un homme sympathique, pas moche dirais-je, le couple que nous pourrions qualifier de modèle. Ils bossent tous les deux, des vacances en hiver et en été, quelquefois nous allons dîner chez eux, amateurs de bonnes choses. Sabrina est de celles qui aiment papoter, et j’apprécie ceci, autour d’un café, toutes les deux.
Nous nous retrouvons au village, je gare ma petite 106 dans leur allée de garage, je sonne, c’est leur fille qui ouvre. Maman arrive, rentre.
Je rentre, une odeur de parfum léger flotte dans la maison, le petit est à la crèche et la grande en pause.
J’entends crier :
Rentre assois toi, je ne suis pas tout à fait prête. Je dépose la petite chez mes parents et nous partons.
J’ai rendez-vous à 15h00, nous sommes dans les temps. Elle sort de la salle de bain, jean, chemisier, parfumée, maquillage léger, ma Sab qui sort quoi. Tour de la maison vite fait, on monte en voiture, on dépose la petite et nous voici parties. Nous nous garons sur le parking à 14h45, je vais à mon rendez-vous, puis à 16h00 je ressorts. Sab m’attendait à l’accueil.
Hop on est parti.
Cool, café ?
Bien sûr. Place Ronde ?
Obligées.
Et nous marchons, flânons devant les vitrines, arrivons au café. Un double expresso et un capuccino. Nous discutons de tout et de rien. Puis je lui demande si elle connaît un certain type du village d’à côté, assez sportif, grand, bla bla bla bla.
Oui, il est originaire de tel endroit ; un sacré gaillard, il fait du 4×4, il ne sourit pas beaucoup.
Oui, c’est ça.
Pourquoi ?
Oh comme ça, il est intriguant.
Oui, un peu plus même. Il parle peu, je ne sais pas s’il a une copine et il est souvent parti.
Je ne sais pas. Je rougis à cette phrase.
Sab me regarde et elle sourit.
Yann le connaît ?
Non. Toujours rouge pivoine.
Et toi ?
Euh oui…
Ah bon, raconte… Peu le connaisse, et j’ai vu la Ludivine la semaine dernière qui l’a croisé dans les bois en train de courir, il ne l’a même pas salué, il ferait presque peur.
Ah oui, pourtant il ne fait pas peur.
Tiens donc, et bien je t’écoute cocotte, tu en sais plus que je ne pense.
En fait, je le connais bien. Et là, je commence mon histoire de cet été avec le vététiste, et tout ça. Sab me regarde la bouche bée, elle déglutit, boit son capuccino, mais ne sait que dire. Elle me connaît. Elle sait que j’aime le sexe, nous en parlons parfois, son mari assure, contrairement au mien… bref, elle n’en croit pas ses oreilles. Elle ne sait que dire. Je viens de lui raconter toute l’histoire.
Et tu aimes ça ?
Oui, clairement.
Ah… elle détourne les yeux. Elle ne sait que dire. Le silence est pesant, la radio du café comble ces pointillés.
Bon, on file faire des emplettes ? Elle brise sauvagement cette glace, comme si elle essayait d’échapper à cette conversation.
Oui, Camaïeu ?
OK, allons-y, il faut que je me trouve une robe bustier pour la fin d’année.
J’ai besoin de rien mais on ne sait jamais.
Et nous voilà parties, l’histoire est oubliée, nous rigolons, notons que certaines modes ne nous atteindrons pas, que celui-là a un beau petit cul et que celle-ci ferait bien de revoir sa garde-robe.
Nous voilà chez Camaieu.
Bonjour Mesdames. Vous cherchez quelque chose ?
Oui bonjour, une robe de soirée, pas trop tape à l’œil, mais bien habillée.
Bien, suivez-moi.
Nous avons ce modèle, assez léger, à porter avec un top foncé et qui se marie avec tout.
Nous avons aussi ce modèle, plus léger, légèrement transparent, à composer idéalement avec un autre ensemble.
Et enfin, cette jupe crayon avec chemisier, différent mais très classe.
Bien, je vais essayer.
Par ici s’il vous plaît.
Sab entre dans une cabine avec ces vêtements, j’attends devant. J’entends qu’elle s’affaire. Puis :
Psssst
Oui
Viens voir me dire ce que tu en penses.
Elle entrebâille le rideau, la première robe lui va bien malgré son petit ventre de deux grossesses, il est clair que son soutif est de trop, et qu’un top serait mieux. Mais ça lui va bien.
Ok, attends.
Elle rentre à nouveau dans la cabine puis rouvre le rideau. Elle n’a plus son soutien-gorge. C’est la première fois qu’elle est peu pudique comme ceci avec moi. On devine ses seins lourds sous cette robe, ses épaules nues et ses jambes d’un blanc immaculé.
Ah oui, c’est mieux, attends, je vais demander un top à la vendeuse.
Yes.
Je reviens avec un top noir, avec de fines bretelles. Je lui passe. Elle ressort, c’est pas mal. Sa poitrine paraît ferme et ses têtons pointent… Courts mais gros.
J’essaie l’autre.
Quelques minutes s’égrènent et je flâne dans le magasin, il n’y a qu’une vieille cliente avec son mari qui l’attend dans l’entrée. Les deux vendeuses vaquent à leurs rangements.
Pssst, viens voir.
J’arrive.
Elle entrebâille le rideau. La robe est VRAIMENT transparente. Elle n’a pas remis son top et je ne distingue pas de sous-vêtements. Son reflet dans la glace du fond me le confirme ; aucune trace de culotte et son popotin blanc tranche avec le voile noir de cette robe.
Tu es magnifique !
Merci, elle rougit doucement.
Mais c’est transparent.
Oui, mais il faut que tu mettes quelque chose en dessous, comme une nuisette en satin ou une robe courte.
Sors voir pour que tu te rendes compte.
Mon stratagème marche, je veux qu’elle se sente observée, dévorée du regard. Malgré qu’il n’y ait personne. La vendeuse approche et ajuste la robe.
C’est parfait Madame, mais voyez, il faut quelque chose en dessous.
Oui, rougit-elle.
Remets tes talons et marche un peu, lui dis-je.
Elle me foudroie du regard. Mais s’exécute. Elle est belle. Elle s’assied dans la cabine, ne tire pas le rideau et enfile ses talons habituels. La robe laisse entrevoir de grosses lèvres charnues, avec peu de poils. Elle ne prête pas attention à cette scène et sort. Elle déambule dans le magasin. Salue la vieille et son mari. En revanche, lui a vu. Et il n’en perd pas une miette. Sab est magnifique.
Tout ceci ne dure que quelques minutes, mais la tension entre nous deux est à son comble. Je suis moite, je voudrais connaître ce que ressent ma copine. Elle rentre dans la cabine, le frottement des vêtements, j’essaie de voir un entrebâillement du rideau, mais rien. Un bruit de cintre, il reste la jupe crayon et le chemisier blanc. 2 minutes. Elle ressort, le chemisier est transparent, ses tétons dardent et on devine des aréoles roses foncées, des seins fiers, elle est rouge, mais pas déstabilisée.
Ouah, Madame la Directrice !
Tu rigoles, c’est kitch et vieille France.
Mais non, regarde-toi.
Son cul est mis en valeur, ses mollets, sa poitrine, bref, elle brille de mille feux.
Madame, cela vous va bien.
Et bien je prends les deux.
Elle retourne dans la cabine, et là, je vois tout, sa peau laiteuse, blanche, ses seins lourds mais qui ne pendent pas tant que cela, sa petite toison de poils fins, son ventre flasque, elle se regarde dans la glace et se redresse, elle se contemple. Soupèse ses seins, flatte son cul. L’œil pétillant. Et elle me voit, elle rougit et tire sur le rideau énergiquement.
Ça va dit-elle derrière son rideau.
Très bien et toi ?
Moui… Il fait chaud ici.
Il n’y a pas qu’ici me répond mon esprit…
Elle ressort, rhabillée, avec les vêtements sur son avant-bras, souriante, empourprée.
Combien vous dois-je ?
135€ s’il vous plaît Madame. Vous avez notre carte de fidélité ?
Oui, je crois, attendez je cherche.
Elle cherche dans son sac, et je note la présence d’une culotte, mise en boule dans un coin avec un soutien-gorge. Je n’en crois pas mes yeux mais je ne relève pas, j’attends. Elle paie, prend son sac et nous sortons.
Tu es une perverse, me dit-elle gratuitement.
Oui, je sais. Mais tu me connais.
Oui, malheureusement, rigole-t-elle.
Je rigole.
Mais toi aussi.
Elle me regarde interloquée.
Où est ton soutif et ta culotte ?
Elle rougit.
Sur moi pardi.
Montre ? Au moins ton lance pierre.
Non, pas là comme ça, il y a du monde.
Nan, mais juste la bretelle que je voie.
Merde tu me fais chier, je ne l’ai pas remis.
Ah bon, pourquoi ?
Rien. On rentre.
OK.
Je ne sais si je l’ai vexée, brusquée ou encore énervée, mais elle ne dit rien jusqu’à l’auto. La marche est rapide. Nous nous engouffrons dans la voiture. Et elle me regarde, le regard noir, des mitrailleuses dans ses yeux. Elle ouvre les boutons de son chemisier. Sa poitrine est libre, magnifique.
Voilà, et je connais notre grand voisin.
Fin de la conversation, je suis clouée. Son « je connais notre grand voisin » me laisse soupçonner qu’elle y a goûté.
La route est longue. Silencieuse. Puis, à peine arrivée à sa maison, le silence est rompu.
Tu ne dis rien à Ludo.
Bien sûr que non. Mais il faut que tu me racontes.
Oui, rentrons, j’irai chercher la petite après, Ludo ne rentre pas ce soir.
Café ?
Oui.
Nous nous asseyons dans le canapé. C’était en Juillet, Sab se promenait avec les enfants sur les chemins quand elle a croisé un type en VTT, grand, barbu, qui roulait vite.
Bonjour
Salut répondit-il. Et ça, ça l’a marqué. Un type qui répond avec un tel aplomb. Et il s’est retourné sur elle comme aucun homme ne l’avait fait dit-elle. Elle y a pensé le soir. J’ai compris. Le lendemain, pendant la sieste des enfants, elle prit le risque de quitter la maison et de faire ce petit bout de chemin dans l’espoir de recroiser ce type, pourquoi, elle ne sait pas, le magnétisme peut être. Mais rien. Puis son esprit fut quitté de ces pensées. Le samedi, en partant en course en famille, ils le croisèrent en train de courir, et machinalement, elle a levé la main pour le saluer. Il leva le menton. Mais Ludo lui demanda si elle le connaissait. Sa réponse fut confuse et Ludo surpris de sa réponse. Sans plus relever. Le dimanche après-midi de la même semaine, elle décidait d’aller marcher, il faisait chaud, basket, short, top. Elle montait la côte du dépotoir du village pour arriver en haut du plateau puis redescendre à la maison, une petite boucle simple. Et dans la côte, un vélo arrive derrière, son cœur se mit à battre à la chamade. Elle ne se retourne pas.
Salut
Salut
C’est lui ! Dans un cuissard moulant. Mais il ne s’arrête pas. Pourquoi s’arrêterait-il d’ailleurs ? Pour me baiser, tout simplement. Me prendre là, me pilonner la chatte, me défoncer.
Je n’en revenais pas de ses mots, sortis de sa bouche. Là. Cette bonne mère de famille, sérieuse, bosseuse, exemple pour nombreuse. Et un mari tout aussi sérieux.
Elle déglutit et reprit. Arrivée en haut de la côte, le bellâtre buvait dans sa gourde. J’accélérais le pas pour arriver à sa hauteur.
Fais chaud.
Tu m’étonne.
Sabrina enchantée.
Enchanté. Mais il ne me dit pas son prénom le muffle. Je suis toute moite, de chaleur corporelle et climatique.
Vous allez loin ?
Non, je rentre au village.
Dommage que je ne sois pas à pieds, je vous aurais accompagné.
Ben marchez avec moi.
Avec les godasses là, ce n’est pas simple. En effet, ses chaussures étaient avec un drôle de truc en dessous qui t’empêche de marcher correctement.
Demain, je fais le même parcours. Pourquoi ai-je dit ça, je ne sais pas, en plus les enfants sont en vacances, je n’ai pas à loisir de me balader comme ça.
Ben c’est bien. Réponse de tueur.
Et il repart. Je rentre, je me déshabille moite et fait l’amour avec Ludo, ça n’a jamais été aussi bon, je me suis offerte à lui comme une salope. Il a été surpris et m’a demandé pourquoi tout cela. Je n’ai pas su lui répondre. La nuit est longue, je pense à LUI. J’ai encore envie de me faire prendre. Pourquoi ? Mais pourquoi ?
8h00, je me tire des plumes. Les enfants dorment encore, la douche est plus longue que d’habitude et je m’épile, me rase, coupe les poils rebelles, tu vois ce que je veux dire et profite du jet tiède. Je sors de la douche, les fenêtres sont ouvertes, on peut me voir, je m’en fous. Short, top, rien de plus. J’appelle ma mère et prétexte une visite Thermomix en début d’après-midi, elle gardera les enfants.
13h00, je dépose les gosses, ma mère me dit que je suis rayonnante. Merci, à tout à l’heure. Puis je vais marcher, plus lentement que d’habitude. Mes seins sont durs, mes tétons pointent, j’ai envie de baiser. Ma chatte est trempée. Tout mon corps est en ébullition. 14h30, la cloche sonne une fois. Personne à l’horizon. Du haut de la colline, j’aperçois une silhouette près d’un petit bois. Je vais dans cette direction, mon cœur bat à la chamade. Est-ce lui ?
Je continue, mes seins ballottent dans mon haut, mes tétons me font mal. Oh mon dieu c’est lui, en tenue de coureur, il est au prés de ce bois, je ne sais pas ce qu’il fait. J’approche.
Oh tiens coucou.
Salut
Tu vas bien
Oui et toi ?
Bien merci.
Très jolie (tu m’étonnes, on ne devine plus mes seins, on les voit tellement tout est dressé).
Merci. Tu courrais ?
Oui, mais avec la chaleur, une pause à l’ombre est appréciable.
Oh c’est sûr.
Il fait plus frais dans le bois.
Ah bon.
Oui, c’est sûr, tiens.
Et nous nous engouffrons dans ce petit bois. Il se retourne, me toise et m’enlace. Je suis sur le point d’exploser. Sans mot dire, il caresse ma vulve, mes seins, soulève mon haut, gobe mes tétons, puis descend mon short. Je suis livrée, là, trempée.
Mais tout est trempé et au large ouvert là…
Hmmm, oui…
Je vais l’agrandir, ton mari ne se sentira plus à l’étroit.
Je m’en fous, je suis libérée, offerte.
Baise-moi.
Mais c’est ce que je vais faire…
Il sort un superbe chibre, que tu connais, droit et fier, et me baise la bouche, de longs fils de bave restent sur sa pine, il me souille. Il éjacule dans ma bouche, je suis déçue…
Soudain, de ces gros bras, il me soulève, me retourne, me fait mettre à quatre pattes, et me bouffe littéralement le cul et la chatte. Sa langue pénètre l’entrée de mon anus, Ludo ne l’a jamais fait, ça chatouille, c’est agréable. Je jouis sous ses coups de langue. Il bande à nouveau. Je le suce, il enfile une capote. Me fait agenouiller. Et je sens doucement sa bite me remplir, effectivement, le passage est différent de Ludo, je sens que c’est plus gros, ça me brûle puis ça passe, je jouis à nouveau, il me laboure le minou puis se retire. Oh non pas tout de suite. Non, il se présente à mon anus, vierge, Ludo n’y a jamais touché et je n’aime pas. Mais là, c’est différent, j’ai envie de tout. Ça me fait mal, ça tire, ça brûle, je peste mais j’ai envie. Il pousse, ça rentre. Oh c’est bon… ma chatte dégouline comme jamais, la fraîcheur du bois est apaisante. Je crie, il se retire. Il jette sa capote et jouit à l’entrée de mon cul. Puis me présente sa bite. Quelle horreur, l’odeur âcre qui est dessus me révulse. Il me somme de le lécher. Ce que je fais. Puis il se rhabille et se sauve. Je suis là, la chatte béante et trempée, le cul qui dégouline. Je me rhabille et sort du bois, je marche. Mes seins me font mal, le frottement du jean sur mon minou me brûle, mon anus est encore ouvert… je file prendre une douche, mon short est maculé de sperme. Je jette mes affaires, prends ma douche, vais récupérer les enfants. Tu as l’air fatiguée me dit ma mère. Oui, elle m’a saoulée…
Ludo rentre, je prépare machinalement à manger, je suis fatiguée, je vais me coucher, je me refuse à lui.
Voilà, tu sais tout.
Oui, je suis finalement confuse d’entrer dans ce secret.
Maintenant, tu comprends mon excitation au magasin, car ces souvenirs sont revenus.
Et tu l’as revu ?
Oui… comme toi…
Et ?
Et Ludo est cocu. Profondément cocu…

Et moi, je repense parfois à ce ténébreux voisin, silencieux et dur. Nous nous écrivons souvent.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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