ML était une collègue avec qui j’avais pris l’habitude de plaisanter ‘innocemment’ sur le fait que de petites erreurs qu’elle commettait mériteraient bien une fessée.
J’avais bien remarqué qu’elle se mettait souvent dans une situation qui allait lui valoir cette remarque et je n’ai donc été qu’à moitié surpris quand un soir elle m’a téléphoné pour me dire qu’elle n’en pouvait plus, qu’elle n’arrêtait pas de penser à mes remarques et qu’elle pensait que je ne faisais pas que plaisanter.
J’ai confirmé et lui ai demandé si elle voulait qu’on aille plus loin sur ce chemin.
Elle retenait sa respiration puis à finalement lâché un ‘oui’ plaintif.
Je lui ai fixé rendez-vous 2 jours plus tard pour une première brève rencontre chez elle et lui ai demandé sa pointure et son tour de taille.
Deux jours plus tard, quand je sonne à sa porte je suis surpris : elle ne s’habillait jamais de manière très féminine au travail et là elle avait une courte jupe noire qu’elle rabaissait sans arrêt pour masquer le haut de bas noirs autoportants et un chemisier blanc tellement entrouvert qu’il ne l’était plus.
Après être rentré je lui ai demandé sèchement pourquoi elle s’était habillée comme ça.
Surprise elle a répondu que c’était pour me plaire.
Je lui ai demandé si elle croyait que j’étais attiré par les salopes.
Elle a réagit en disant qu’elle n’était pas comme ça.
Et quand je lui demandé comment elle appelait une femme qui téléphonait à un homme pour lui dire qu’elle n’arrêtait pas de penser à lui en train de la fesser puis l’accueillait chez elle en mini-jupe et lui montrait quasiment ses seins, d’abord elle n’a rien dit puis a répondu ‘une salope’.
Je lui ai dit que j’étais d’accord, qu’il fallait vraiment être une salope, une pute pour agir comme ça mais que puisqu’on était d’accord sur ce qu’elle était, autant qu’elle s’habille comme une vraie chienne et salope.
Je voyais qu’elle tressaillait à chaque insulte. D’envie, pas de dégout.
Je lui ai ordonné de se déshabiller ce qu’elle a fait, presque sans hésitation, gardant juste ses bas et son string noir. Je lui ai passé le corset en satin noir (un modèle qui ne couvre pas la poitrine) et l’ai serré doucement. Un collier de cuir noir avec des anneaux en métal a été passé autour de son cou. Puis j’ai sorti une paire de chaussures à talons aiguilles très hauts et avec une bride entourant la cheville fermée par un petit cadenas. Elle avait du mal à tenir debout tant les talons étaient hauts et étroits. Une fois un peu habituée, je suis revenu au corset qui entretemps avait eu le temps de se faire à corps pour le resserrer le plus possible.
Je me suis assis et lui ai dit de marcher devant moi en lui disant que maintenant elle était vraiment une pute, une salope, une traînée… mais que je voulais qu’elle s’habitue à ce nouvel état et que je reviendrais le lendemain pour m’occuper sérieusement d’elle.
Comme je ne voulais pas la décevoir avant de partir, je l’ai fait pencher en avant, à angle droit, les coudes appuyés sur une table et lui ai baissé son string sur les chevilles. Il était humide et son sexe trempé.
Lentement et régulièrement, mais de plus en plus fort, j’ai commencé à la fesser en lui demandant à plusieurs reprises si c’était ça qu’elle imaginait en pensant à moi, si c’était ça qu’elle attendait… Les ‘ouis’ de ses réponses avaient d’abord été timides mais devenaient de plus en plus rauques et violents.
Puis, brusquement, j’ai arrêté et lui ai dit que je reviendrais le lendemain à la même heure et que je voulais la voir équipée et qu’elle devait m’attendre dans la position la plus humiliante à laquelle elle pouvait penser.
A suivre….
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