Depuis qu’elle m’a embrassé, l’excitation ne me quitte plus. Je ne peux plus me sortir ce film de la tête.
« Dans sa voiture, alors que je m’approche d’elle pour lui faire un bisou avant de partir, elle saisit mon visage entre ses mains. Pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue force ma bouche à la recevoir. Je m’ouvre. Nos langues se trouvent et s’emmêlent dans un baiser passionné… Et moi, je me laisse aller… Je perds toute raison, je sens même mon sexe s’humidifier et mes tétons se dresser, tant ce baiser est voluptueux… Et quand Lilou essaie de me déboutonner le jean, je m’enfuis … »
Ce baiser enflammé m’a émoustillée à un point ! Moi qui me croyais hétéro 100%, j’étais submergé par des sensations nouvelles qui mouillaient mon entrejambe et faisaient gonfler mes seins …
Jusqu’à hier soir, j’étais sure de n’avoir aucune tendance homo. J’étais marié avec mon amour du collège, c’est lui qui m’a défloré, dans ma chambre d’adolescente. Je n’ai pas connu d’autre garçon, ni aventure amoureuse avec quiconque d’autre, pas même un baiser. Je suis heureuse, et jusqu’à hier, je vivais une vie sexuelle épanouie avec mon homme, qui me faisait grimper au rideau, même après tant d’années à faire l’amour ensemble.
Mais voilà ! Il y a eu hier soir. Ce premier baiser extra-conjugal donnée par Lucie, mon amie. Étant seule pour la semaine, (mon mari en déplacement professionnel) après le cours de Yoga c’est donc avec grand plaisir que j’avais accepté de finir la soirée avec Lilou dans un bar à vin, pour tromper ma solitude … Mais pas Renaud.
Alors que nous sortions de cet endroit un peu pompettes . Un simple baiser, avant de se quitter, le premier baiser d’une fille, a déclenché un véritable tsunami dans mes entrailles et dans ma tête. Je m’étais enfuie … Physiquement … Pour la tête et la raison, c’est une autre histoire !
Car depuis que je suis sortie de la voiture, la pensée d’être avec elle, de l’embrasser, la toucher. Comme sentir ses lèvres et ses doigts à elle sur mon corps m’obsédaient, je ne me reconnaissais pas ! Je voudrais juste sortir Lilou de mon esprit, étouffer cette pulsion. Ah ! si mon mari était là ! il m’aurait baisé, fait jouir avec sa queue, je l’aurai pompé à lui vider les couilles et ma tension sexuelle aurait été assouvie.
Je me suis masturbée, avec mes pensées lubriques, plusieurs fois pendant la nuit, que j’en ai les yeux cernés, mais rien à faire, l’obsession et l’envie de Lilou sont toujours là ! … Et ma chatte constamment humide. Je la voulais. Je voulais que ce soit elle qui me fasse jouir et pas Renaud … Ni mes doigts.
Avais-je des tendances lesbiennes ? Il fallait que je sache. J’ai pris sur moi et je l’ai appelée. Il était 20 heures :
– Allo, Lilou …
– Julie ?
Elle semblait surprise. L’estomac noué, je me suis mise a bafouillé
– Lilou, je suis désolée … Je t’appelle pour ce qui s’est passé hier soir… Je suis partie comme une voleuse…
– Oui ? …
– Le baiser que tu m’as donné …
– Oui ? …
– Je ne voulais pas gâcher notre amitié … Puis Renaud …
– Non, c’est bon, Julie. Vraiment ne te fais pas de souci avec ça …faut-dire que le vin était bon, finit-elle en rigolant.
Puis un silence s’installe … Je prends sur moi et j’essaye d’orienter la discussion sur mon envie
.
– Humm … en fait … Je ne vais pas jouer les hypocrites … Si je t’appelle à ce sujet … C’est aussi pour te dire que ce baiser, ta langue dans ma bouche, ta main sur mon ventre, tout cela me hante depuis hier soir. Et avec le recul, je suis en plein questionnement sur le comment cela aurait pu se terminer même s’il y a Renaud entre nous.
– Tu veux dire que maintenant, avec ce recul, tu aurais aimé vivre cette expérience ?
– Peut être … Oui !
Je l’entends respirer plus profondément, apparemment ce « peut-être, oui » ne la laisse pas insensible, ni indifférente
Après quelques secondes de réflexion, c’est elle qui reprend
– Bon … Écoute, tu veux venir pour en discuter ?
– Si je ne te dérange pas…
– Non, je suis seule, comme toi, nous passerons la soirée entre fille comme hier soir ! Me dit-elle en rigolant
– Ok, je suis là dans trente minutes…Avec une bouteille de vin pour passer la soirée ma belle !
– Génial ! A de suite
Quand Lilou m’ouvre la porte, la première chose que je remarque se sont ses tétons qui pointent sous son débardeur qu’elle porte sans soutien-gorge.
– Coucou ! … Entre !
– Comme promis, ! Lui dis-je en tendant la bouteille en souriant.
Après m’avoir claqué deux bises tout près des lèvres, ce qui n’arrange pas mon état lascif, elle me dit de m’installer sur le canapé, le temps pour elle d’aller chercher deux verres.
Je profite de ce qu’elle se dirige vers la cuisine,pour mater le cul parfait que lui fait son pantalon de Yoga.
« Lilou et moi avons le même âge 26 ans, toutes les deux, grandes et minces, avec des petits seins. L’on pourrait croire que nous avons été faites dans le même moule si ce n’était ses cheveux bruns et courts, avec des yeux émeraude, un corps bronzé. Alors que moi, je suis blonde aux yeux bleus avec une peau de porcelaine … »
Tchin-tchin, à nos amours ! … Me dit-elle en trinquant son verre contre le mien et en s’asseyant à mes cotés.
La soirée se passe agréablement, après quelques verres, nos discussions sont de plus en plus gaies. Une gaieté qui augmente au fur et mesure que le niveau de la bouteille baisse. Pour finalement nous retrouver légèrement éméchées … Comme hier soir. Donc, en quelque sorte un retour « à la case départ ». Sauf que l’on n’était plus dans la voiture devant chez-moi, mais sur son canapé, chez-elle. Et ce qui devait arriver, et que j’attendais consciemment, arriva …
Lilou prend mon verre, le pose sur la table basse, avant de reprendre ou elle s’était arrêtée hier au soir dans la voiture, tout en me couchant sur le canapé. Et bien entendu, cette fois-ci, je ne me suis pas enfuie …
Je frissonne quand tout en continuant de m’embrasser passionnément, je sens sa main qui déboutonne mon jean. Zippe la fermeture éclair et s’insinue directement sous la culotte.
Je gémis lorsque je sens ses doigts sur mon sexe. Je me tends sous sa caresse et l’embrasse encore plus éperdument. Soudain, elle s’arrête, retire ses doigts, s’écarte, et me dit en me tirant par la main :
– Viens !
Et elle m’emmène dans sa chambre…
Lilou me pousse sur le lit, me déshabille entièrement, puis sans quitter mon corps des yeux, elle se met nue a son tour avant de venir s’allonger sur moi.. Là, je prends conscience que nous allons vraiment faire l’amour toutes les deux.
Nos corps s’emboîtent parfaitement. Elle m’embrasse tout en bougeant son bassin, je fais comme elle et nous ondulons ensemble. Je lui caresse le dos. Elle gémit. Mes mains descendent s’agripper sur ses fesses pour la presser plus sur mon sexe. Lilou imprime le rythme de nos ondulations et en même temps les contrôles. Nous sommes parcourues par des ondes d’excitation qui nous enflamment et nous arrache des gémissements.
Quand Lilou arrête ce jeu, sa bouche goûte chaque parcelle de ma peau. Me mordille le lobe des oreilles, pendant que ses mains s’occupent de mes seins. Je pars dans un autre monde quand elle joue avec mes tétons érigés par le plaisir que je prends et qu’elle me donne en experte du plaisir féminin.
Puis elle se redresse, sa bouche joue avec mes seins et mes tétons bandés avant de descendre sur mon ventre. Ma respiration se bloque lorsque ses lèvres descendent plus bas. Je les sens proche de mon bijou, sur l’intérieur de mes cuisses. Rien que d’imaginer la suite, je suis prise de frémissement, je pourrais presque jouir sans qu’elle me touche tellement je suis surexcitée.
Je sens sa langue sur le pli de l’aine. Je m’agrippe aux draps. Sa bouche, sa langue, me rende folle. Je mouille tellement que j’en ai presque honte. Soudain, c’est l’extase, je sens ses lèvres se poser sur mon bouton et je suis de suite prise de spasmes extatiques que je ne peux pas controler. Intérieurement, je me dis que si je suis dans cet état alors qu’elle commence à peine à embrasser ma chatte ; qu’est ce que cela va être au moment de l’orgasme !
Sa langue caresse la longueur de ma fente puis s’insinue dans mes nymphes. Suce, aspire mon clitoris. J’ondule, c’est divin ! Rien à voir avec Renaud quand il me lèche, elle sait exactement ce qu’il me faut, ce qu’il faut me faire pour me faire décoller.
Et je décolle quand sa langue se met à tourner autour de mon bouton. Parfois, elle le lèche, parfois, elle le suce, parfois, elle l’aspire. Tout en faisant, Lilou me pénètre lentement d’un doigt qu’elle fait coulisser, avant d’y joindre un deuxième et commence de longs va-et-viens qui me font gémir et mouiller encore plus au point de me consumer littéralement
– Ne t’arrête pas Lilou ! … Finis-moi ! … Fais moi jouir ! … S’il te plaît, achève-moi ! … Fais moi jouir !
Enfiévrée par mes supplications, elle n’a plus de retenue dans ses mouvements et je sens la jouissance qui monte… Qui monte… Qui monte….
Lilou ! Je … Je vais jouir ! …. Je viens Lilou … Je viens ! … Oh seigneur , je coule partout !
Et c’est l’explosion ! … Un orgasme monstrueux !
Je tremble, je m’arque, je serre les cuisses, les ouvres, les refermes, mes genoux se croisent… Les spasmes se succèdent … je divague de plaisir. C’est céleste, paradisiaque … Sublime ! Je finis complètement anéantie. Jamais Renaud ne m’avait fait jouir aussi fort !
Je suis étendue sur le lit, dans un état de semi-inconscience. Lilou remonte sur moi pour m’embrasser et je goute dans sa bouche à mon propre plaisir. Je l’embrasse passionnément en lui murmurant « des mercis ma chérie », car c’est ma première fois avec une fille, et elle me fait découvrir des émotions insoupçonnées…
Sans dire un mot, Lilou se met à califourchon au-dessus de moi, se positionne avec sa chatte au-dessus de mon visage, je pose mes mains sur ses hanches et fixe du regard ce sexe offert et baveux qui se pose sur ma bouche.
Je n’aurai jamais cru un jour mangé une chatte. Rien à voir avec le sexe de mon homme que je suce plus pour lui faire plaisir que pour mon propre plaisir. Le goût, l’odeur m’enivre et m’excite au point que je me suis jeté sur sa vulve pour la boire et sur son clito pour le dévorer ; faisant tourbillonner ma langue dessus et la faisant entrer et virevolter dans son con.
Mon visage, mon nez, mon menton sont vite barbouillés de son jus. Jamais je n’aurai cru qu’une femme arrive à me procurer de telles sensations.
Je la lèche, je la suce, sans retenue, je me régale de ses sucs intimes. Son corps ondule, sa chatte se presse encore plus sur ma bouche. Ma langue tourbillonne sur son bouton. J’introduis un doigt, puis deux ; c’est tout mouillé et chaud.
Dans ce puits à plaisir, aux spasmes qui serrent mes doigts, je sens sa jouissance monter. A faire jouir une femme, à l’entendre gémir sous les caresses que moi l’hétéro je lui procure, je suis en transes.
Je sens quel est au bord de l’orgasme. Mais contre toute attente, alors que je crois qu’elle va exploser dans la seconde, elle se décolle de ma bouche, s’écarte sur le coté ; et me dit.
– Pas comme ça… Regarde …
En même temps elle se penche pour sortir de la table de nuit un gros gode . Et avec un sourire coquin, qui en dit long sur ses intentions, elle me conte que c’est avec son « Doudou » qu’elle se donne du plaisir quand elle est seule. Et que c’est avec lui qu’elle veut que je la finisse. Mais avant cela, elle va me faire une démonstration sur moi, comme ça, je saurai ce qu’elle désire pour jouir pleinement.
Et j’allais vite sentir qu’elle savait s’en servir. Comme Renaud de sa bite.
Tout en me branlant le bouton, elle me fait jouir avec ce gode planté dans ma vulve. Au point que comme tout à l’heure, je ne peux pas contenir l’expression de ma jouissance. Le plaisir suprême fut long. Je fus très secouée et mon orgasme extrêmement bruyant.
Quand Lilou me demande de la faire jouir à son tour avec « Doudou » J’imite ses gestes. Et pour la première fois, je fais jouir une femme, j’entends une femme jouir à pleine voix. J’en tire une intense satisfaction…
Je me couche à côté d’elle. Elle m’enlace, me couvre de bisous. Je lui prends la bouche et nous nous embrassons tout en nous caressant.
Serrées l’une contre l’autre, nous nous regardons amoureusement. Même si nous sommes flapies, nous ne voulons pas dormir, nous voulons profiter de notre première nuit.
Alors nous recommençons à nous gouiner, encore et encore. Jusqu’au petit matin, ou repus d’orgasmes, et épuisées, nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre …
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