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Trixie – Chap 9 – Une hotesse d’accueil parfa

Trixie – Chap 9 – Une hotesse d’accueil parfa



« Le Grand » comme nous le surnommions, m’avait appelée dans son bureau. Il me fit asseoir et bien sûr donna un tour de clé à la porte.

« Bien Tixie… Marion est absente… et j’aurais besoin… dirons-nous, d’une hôtesse. J’en ai parlé à ton responsable et il ne voit pas d’inconvénient à ce que tu pallies à son absence… Tu vas donc travailler avec moi demain toute la journée. Nous allons avoir la visite de monsieur Ndoumbè, Luzolo de son prénom. Il est pharmacien et au Congo, il dirige une entreprise d’importation de produits pharmaceutiques. Il vient examiner notre entité de fabrication et je suis chargé de lui faire visiter, l’usine. La Direction veut qu’à tout prix, il ait une impression favorable tant sur la fabrication que sur l’ensemble du personnel. Un contrat assez conséquent dépend de ses évaluations. Il faut mettre tous les atouts de notre côté. Je ne pense pas qu’il y ait de problème au niveau fabrication. D’un autre côté, tu seras une hôtesse parfaite ! Il va falloir que tu lui plaises, que tu l’aguiches… Et ça tu sais le faire à la perfection tant physiquement qu’intellectuellement…
Pour le physique, tu vas me l’émoustiller… bas, porte-jarretelles… jupe collante qui en laisse transparaître les attaches… pas de string… on ne sait jamais… si tu pouvais faire comme Sharon Stone dans Basic instinct ! Pour le haut pas de soutien-gorge… tu peux mettre ta veste qui baille lorsque tu te penches, elle est très érotique…
Si nous obtenons le contrat, je crois que la prime de fin d’année pourrait être assez conséquente… !
Donc tu as tout intérêt à jouer le jeu… Tu es d’accord avec ce que je viens de dire ?
– Oui, Monsieur… Si j’ai bien compris, vous me demandez d’enjôler complètement le noir qui va venir…
– C’est cela… pour qu’il soit emballé… par ce que nous lui présentons !! J’ai réservé la salle de réception des VIP, nous ne serons que nous trois. J’ai donné des ordres personne ne viendra nous déranger. Je ferai une présentation avec vidéo projecteur sur la marchandise que nous lui proposons. Ensuite, je m’absenterai… tu pourras lui offrir le café… et tu auras en gros 30 minutes pour le chauffer à mort, tu vois ce que je veux dire… !! En général, les noirs raffolent des petites blondes… c’est pour cela que je te demande de le recevoir ! Il doit arriver à neuf heures, tâche d’être là pour huit heures ! Puis nous l’emmènerons visiter les ateliers de fabrication… Et tu ne devrais rien prévoir pour ta soirée… !
– Et la prime… de combien ?
– Le Directeur m’a indiqué que vu, le montant du contrat qu’il espère lui faire signer, elle pourrait être d’un mois et demi de salaire ! Nous allons faire une répétition relève ta jupe… croise les jambes… bien… plus doucement… Laisse-les écartées, oui là je vois bien que tu ne portes pas de culotte…»

Il s’approcha, sa main glissa sur ma cuisse… se plaqua sur ma chatte et son majeur s’insinua dans ma fente.

« Mais…. Tu mouilles !! C’est de penser à Ndoumbé qui te met dans cet état ? Tu aimes les noirs ? Ah oui, je vois… je me disais aussi que tu traînais souvent avec Gérald ! Petite Salope… Tu aimes les grosses bites noires ! C’est pour ça que tu ne portes pas de culotte ? J’ai fait un bon choix ! Bon, alors j’espère que demain, tu vas te surpasser… Regarde… tu me fais bander… Suce moi… »

Ah, il voulait que je séduise notre visiteur noir ! Ah, il voulait que je m’habille sexy… Il n’allait pas être déçu. Un mois et demi de salaire en prime cela ne ce refuse pas. Le lendemain matin à l’heure dite, j’entrais dans le salon de réception. « Le Grand » m’attendait assis sur le divan sirotant un café. Je m’approchais et l’embrassais sur les deux joues.

« Alors tu es prête ?
– Oui, je pense ! »

Lui tournant le dos, je quittais mon trench rouge mi-saison, nous étions à la mi-mai, ceinturé je trouvais qu’il apportait beaucoup de féminité à mon look, l’accrochais au porte-manteau et me retournais vers lui.

« Oh putain… Tu t’es surpassée, approche que je vois ça de plus près ! »

Il pouvait en effet être content, ma veste noire, portée à même la peau, n’était attachée que par un clip doré entre mon nombril et mes seins. Les bords de l’échancrure cachaient tout juste mes mamelons, et découvraient au moindre mouvement un peu brusque le bord de mes aréoles, si je me penchais, ils baillaient sur mes tétons. Ma jupe portefeuille noire ouverte sur le devant laissait apercevoir sur ma cuisse l’attache de mon porte-jarretelles et la lanière blanche qui soutenait mes bas noirs. Même droite, lorsque j’écartais les jambes, elle s’ouvrait jusqu’à la naissance de mon sexe et laissait deviner le début de ma fente.

« Plus près… que je vérifie si tu n’as pas de culotte… Ouuuuaiiii… c’est parfait… Mais quand même lors de mon exposé, tu ne me l’excites pas trop… Il faut qu’on vende… nos produits !
– Oui… et regardez ce que j’ai amené… au cas ou il faudrait le stimuler… C’est du bois bandé, c’est extrait du Muira Puama, un arbuste dont l’écorce est utilisée pour améliorer la libido, cette plante donne vraiment à l’homme des érections puissantes qui durent très longtemps, une cuillère à café dans la boisson et l’effet est presque immédiat.
– Tu es vraiment une collaboratrice hors-pair… Mais n’oublie pas, tu as juste trente minutes avant la visite des ateliers, nous entrerons par le sas de la maîtrise dont l’entrée est à cinq mètres d’ici… »

Je préparais les boissons et les gâteaux tandis qu’il mettait en place le vidéo projecteur pour l’exposé. Neuf heures, on toqua à la porte et le préposé au gardiennage introduisit monsieur Ndoumbé dans le salon. C’était un noir assez vieux, grand, corpulent avec un embonpoint conséquent. Il avait le crâne rasé, des yeux légèrement globuleux, des bajoues. Son costume était du dernier chic et sa chemise blanche soulignait la noirceur de sa peau. « Le Grand » fit les présentations… Les yeux du pharmacien allaient de mon décolleté vertigineux à la fente de ma jupe.

« J’ai l’impression que cette présentation va être une réussite… D’ailleurs, mademoiselle Trixie en est l’éblouissante ambassadrice…dit-il .»

Il me prit la main, me la secoua un peu rudement, puis la porta à ses lèvres, ce qui eut pour résultat de découvrir la pointe de mon sein droit… Un large sourire illumina sa face, tant qu’il me tenait la main, je ne pouvais pas remettre le fugueur en place… Sous son regard lubrique, je sentais le petit bout mauve devenir turgescent….

« Bien, asseyez-vous nous allons commencer… la présentation durera environ trente minutes… Voilà de la documentation… Trixie voulez-vous éteindre les lumières »

Pour aller aux interrupteurs, il fallait que je passe devant Ndoumbé qui était assis sur le canapé, arrivée à sa hauteur, il lâcha sa documentation, elle se répandit sur le sol, les feuillets s’éparpillèrent…

« Attendez… je vais les ramasser Monsieur ! »

Je m’agenouillais face à lui, mettais mon genou droit au sol et écartais lentement ma cuisse gauche, ma jupe s’ouvrit en grand, dévoilant à ses yeux ébahis ma chatte bien rasée exempte de voile. Tout en le fixant dans les yeux, souriante, je pris mon temps pour ramasser les feuilles éparses. J’allais éteindre, la présentation débuta… Bien sagement, comme me l’avait demandé le chef, je revins m’asseoir. A la fin notre visiteur posa quelques questions techniques… Puis ses regards furent à nouveau accaparés par mon anatomie. Voyant cela, le grand Jean-Paul, nous pria de l’excuser…

« Pendant mon absence, je suis sûr que Mademoiselle Trixie vous dévoilera des secrets que vous
avez pu apercevoir lors de mon exposé… et vous Monsieur Ndoumbé vous pourrez lui parler de votre grosse affaire congolaise qui, pardonnez-moi l’expression, doit être bien juteuse et vous donner beaucoup de satisfaction… »

Il sortit, j’entendis le pêne de la serrure claquer.

« Monsieur Ndoumbé, vous prendrez bien un café ?
– Avec plaisir mademoiselle Trixie ! »

Habilement, bien que persuadée, vu la façon dont il me regardait, qu’il n’en avait pas besoin, je versais une cuillerée de bois bandé dans sa tasse, j’hésitais et en versais à peine une demi-cuillère dans la mienne…
Il était toujours assis sur le divan, ses yeux suivaient le moindre de mes mouvements. En souriant, je m’approchais la tasse dans une main, le sucrier dans l’autre… et bien sûr le téton de mon sein droit darda son petit cône brun hors de l’échancrure de ma veste. Le temps que je pose la tasse et le sucrier sur la table, il eut tout le loisir de l’admirer. Puis, je remis le fugitif en place. Droite devant lui, ma jupe ouverte sur ma cuisse, dévoilant le haut de mon bas et la jarretelle blanche, je sirotais mon café…
L’effet du bois bandé était soi-disant très rapide… J’approchais un fauteuil et saisissant la documentation, je m’assis en face de lui à environ un mètre cinquante, les fesses bien au bord, croisais les jambes, ma jupe s’ouvrit en plein et le pan tomba, dévoilant le haut de ma cuisse, laissant apparaître la chair striée par le blanc de ma jarretière, au dessus du bas noir. En faisant semblant de lire, je fis osciller mon siège de droite à gauche, cela avait pour effet de laisser sortir par intermittence mon téton droit.
La respiration du grand noir s’accélérait, une mèche de mes longs cheveux blonds était sur mon sein, innocemment ma main les repoussa en arrière et ingénument descendit sur le globe blanc, j’écartais le tissu et dévoilais le mamelon turgescent. Je me caressais le sein, tordais et tirais sur mon aréole plusieurs fois, je dégageais entièrement mon globe ferme.
Regardant en souriant Ndoumbé, je jetais les feuillets au sol, écartais le tissu de ma veste sur mon sein gauche pour lui laisser admirer ma poitrine dénudée… Je le fixais dans les yeux, décroisais lentement les jambes… les recroisais et remis mes seins en place sous le tissu de ma veste. Je lu une immense détresse dans ses yeux… il devait penser que le show était terminé. Il s’était renversé sur le canapé, une énorme bosse se profilait à la hauteur de son sexe, il bandait monstrueusement.

« Encore un, qui doit avoir un sexe démesuré, pensais-je, on dirait que je les attire… Mais petite Salope avoue-toi que s’ils ont des phallus noirs qui font plus de vingt-cinq centimètres, tu es ravie !! »

Un coup d’œil à la pendule, il me restait encore plus d’un quart d’heure. Je me palpais à nouveau les seins à travers le tissu, puis mes mains descendirent sur mes cuisses. Je caressais la peau nue au-dessus de mes bas, à chaque caresse ma main remontait lentement le long de la lanière blanche, écartait de plus en plus haut le pan de ma jupe, pour lui dévoiler la dentelle de mon porte-jarretelles. Bien face à lui mes genoux s’ouvrirent, il eut juste le temps d’apercevoir ma chatte avant que ma main ne la cache. Je restais un moment ainsi, le fixant en souriant, j’ouvris encore plus largement mes cuisses et je me mis à pétrir mes grandes lèvres en le regardant avec des yeux de velours. Je déplaçais encore plus en avant mon bassin pour qu’il puisse bien suivre mon majeur glisser le long de ma fente. Je recroisais mes jambes pour soustraire mon vagin à ses regards et écartais à nouveau les pans de ma veste, mes seins surgirent pointes en totale érection, je les malaxais, titillais et étirais mes mamelons en poussant de petits gémissements, je frottais l’un contre l’autre mes globes raffermis par le désir qui commençait à m’envahir. Mes genoux s’ouvrirent à nouveau largement, et prenant appui sur les accoudoirs, je soulevais mes fesses et avançais ma chatte vers lui. Je m’asseyais à nouveau et dégrafais l’attache de ma veste, j’appuyais mon dos sur le dossier du fauteuil et alanguie, jupe et veste grandes ouvertes, lui laissait admirer mon corps qui commençait à frissonner de plaisir. Avec deux doigts, j’écartais mes grandes lèvres pour qu’il puisse voir le rose de l’intérieur de mon vagin. Je pris de la salive sur l’ index et le majeur de mon autre main, passant ma langue sur mes lèvres, je les enfonçais dans ma chatte qui commençait à être trempée, je me masturbais consciencieusement, tirant avec mon autre main sur mes mamelons pour essayer d’augmenter encore leur volume. De petits cris gutturaux sortaient de ma gorge. Ma main gauche redescendit sur mon sexe, je décapuchonnais mon clitoris et le majeur de ma main droite le caressa en petits cercles concentriques, mon petit bouton rose grossit et devint dur. Du foutre coulait à flots de ma chatte, j’en badigeonnais le pourtour, poissant mon petit triangle de poils blonds sur mon mont de Vénus. Le vieux noir était aux anges, il se masturbait à travers son pantalon, il avait l’air d’apprécier le spectacle, il attendait sûrement que je prenne les devants pour aller plus avant dans ce jeu érotique… Mais les trente minutes allouées allaient prendre fin.

« Je crois que mon chef va revenir Monsieur Ndoumbé, il serait peut-être plus sage que je reprenne une tenue correcte, mais vous savez, je suis très attirée par les hommes noirs…
– Oooouuuiiiii, ooooouuuuuiiii Mademoiselle Trixie, vous êtes merveilleuse… vous… vous avez un corps de rêve ! »

Des pas derrière la porte, la clé qui tourne dans la serrure, il ne me fallut pas longtemps pour raccrocher le clip de ma veste, je me levais et ma jupe retomba sur mes cuisses.

« Alors tout s’est bien passé pendant mon absence ?
– Oh oui, Monsieur Boulier… C’était parfait… Mademoiselle Trixie a su me dévoiler les secrets, que comme vous l’aviez dit, j’avais entrevu lors de votre présentation !
– Oui, je vois ça… dit le chef en souriant, les yeux fixés sur l’imposant cylindre qui se dessinait le long de la jambe du pantalon de son interlocuteur. »

Je tendis une autre tasse de café, à notre visiteur qui s’approcha de la fenêtre pour la siroter.

« Putain tu as fait fort, il bande comme un âne… Et ça t’as plu à toi, il a eu le temps de te baiser ?… J’ai l’impression qu’il a une bite énorme… tu l’a vue ? Me demanda-t-il doucement…
– Non, il ne l’a pas sortie… mais je suis toute excitée… j’ai pris du bois bandé !!
– Bon, nous allons nous rendre dans le sas… pour entrer dans les ateliers ! »

La porte d’entrée du sas se trouvait en haut d’un escalier de cinq marches, je les grimpais tandis que les deux hommes discutaient au bas. Le téléphone portable du « Grand» se mit à sonner… Je me retournais, Ndoumbé leva les yeux vers moi, je mis un pied en avant, ma jupe s’ouvrit, je lui souriais, il avait par dessous une vue imprenable sur mon vagin encore moite.

« Excusez-moi encore une fois, mais on me demande en urgence pour une histoire d’expédition… Mais allez-y… Trixie va s’occuper de vous, vous montrer la façon de revêtir la tenue obligatoire pour pénétrer dans les ateliers ! Je suis désolé…de ce nouveau contretemps !»

Je réalisais d’un seul coup que c’était sciemment qu’il ne nous accompagnait pas. Marion m’avait parlé de sa caméra miniature… c’était sûrement pour l’installer dans le sas, qu’il nous avait laissé seul dans le salon de réception. Il espérait que je me fasse baiser… et filmer la scène…

« Oui dit-il, et puis je pense que le puits de la compétence de Trixie, pourra au cours de la visite,
comme le serpent… s’enrouler autour de votre gros bâton d’Asclépios… n’est-ce pas Trixie ! »

Le message était clair… Le bâton d’Asclépios est un attribut du dieu grec du même nom. Il est représenté comme un gros et long gourdin autour duquel s’enroule une couleuvre. Il est utilisé comme symbole médical dans de nombreux pays. Ici, je pense que mon responsable voulait parler de l’énorme phallus noir du pharmacien congolais, et il suggérait que mon « puits » l’engloutisse…
Je ne sais pas si Ndoumbé avait compris l’allusion, mais le regard qu’il posa à nouveau sur mon entrejambe se fit encore plus lubrique.
Dans ce système de sas, les issues étaient verrouillées électroniquement de l’intérieur par les utilisateurs, la quiétude était assurée. Je fis entrer Ndoumbé et tapais le code de fermeture.

« Voilà, nous sommes tranquilles, nous allons pouvoir passer les combinaisons. L’atmosphère des ateliers est presque stérile, c’est pourquoi nous ne devons garder que nos sous-vêtements sous la combinaison intégrale, tenez… celle-ci devrait faire l’affaire… bien qu’avec votre grande taille… !
– Heu… Mademoiselle Trixie… nous sommes obligés de ne garder que nos sous-vêtements…
– Oui, je viens de vous l’expliquer, les bonnes pratiques de fabrication nous obligent…
– Oui… mais… je… je… ne porte pas de slip… vu la taille de mon…mon app… appendice sexuel…
– Cela n’a pas d’importance… moi non plus je n’en ai pas, vous avez pu vous en rendre compte…»

En disant cela, j’avais dégrafé la boucle de ma veste et la quittais pour la pendre dans un casier, je me caressais les seins et faisais rouler mes mamelons entre mes doigts. Le fermoir de ma jupe céda à son tour et je me retrouvais en bas et porte-jarretelles devant le grand noir qui me regardait avec des yeux ébahis.

« Alors, Monsieur Ndoumbé qu’attendez-vous ?
– Oui, oui, tenez ma veste, ma cravate… voilà ma chemise… je quitte mes chaussures ?
– Ben oui… puis votre pantalon ! »

Il défit sa ceinture, il hésita avant de descendre le zip de sa fermeture éclair.

« On est vraiment obligé ?
– Oui…
– Vous allez être surprise… »

Il baissa lentement son pantalon sur ses cuisses noires… une touffe de poils blancs apparu au début de l’ouverture de sa braguette, je regardais glisser son vêtement le long d’un énorme tuyau noir qui semblait ne pas avoir de fin. Il s’extirpa de son pantalon, et mit ses mains en pure perte d’ailleurs, pour cacher son sexe monstrueux et ses énormes testicules. C’était à mon tour d’écarquiller les yeux, je subodorais qu’il avait une grande grosse bite, mais là !! Elle montait doucement à la verticale… découvrant le gland mauve. J’étais toujours nue, subjuguée par ce déshabillage et surtout par ce sexe éléphantesque. La caméra devait enregistrer, et cela commençait à m’émoustiller énormément. Ma chatte devenait moite à nouveau.
Maladroitement, il enfila ses jambes dans la combinaison, puis il eut des difficultés à enfiler ses bras.

« Attendez, je vais vous aider ! Voilà ça y est… ne bougez pas je vais remonter la fermeture éclair…
Heu… vous pourriez mettre vo… vo… votre bi… appendice sur le côté… rentrez le ventre…attention je remonte… Huuuuu, ça passe tout juste !!
– Oui… mais Mademoiselle cela fait une heure que vous m’excitez… De plus, votre tenue actuelle me fait avoir une érection énorme… Regardez, décemment, je ne peux pas me promener ainsi, avec cette combinaison qui colle à mon phallus.
– Oui, dis-je en souriant, en effet le nitrile fin est vraiment distendu… vous avez un sexe énorme…
– Que peut-on faire ? Je ne comprends pas… je n’ai jamais connu une érection aussi puissante et qui dure aussi longtemps… Il est vrai que vous êtes vraiment belle…
– Écoutez, j’ai peut-être la solution… Laissez-moi faire… »

Je redescendis la fermeture éclair de la tenue de travail, son sexe jaillit à l’horizontale.

« Putain, pensais-je le bois bandé fait de l’effet… »

Je passais derrière lui et descendis le haut du vêtement plus bas que ses fesses. Sa couleur noire contrastait avec le blanc de la combinaison. Je repassais devant, collait ma poitrine sur son torse et frottait la pointe turgescente de mes seins sur ses poils blancs, son sexe noir démesuré frottait sur mon ventre, un long frisson me parcourut. Ma bouche partit à la rencontre de ses lèvres lippues, les forcèrent et ma langue se noua à la sienne. Ma main droite, attrapa la hampe noire et je le masturbais doucement, calottant et décalottant sa verge dure comme du fer, je le sentis se raidir.

« C’est la première fois que je tiens dans mes bras une blanche… et blonde de surcroît… je crois rêver ! Je peux sucer vos tétons…
– Comme ça ?
– Ouiiii… Attendez, je vais vous faire une fellation, vous allez éjaculer et après… tout retrouvera des proportions à peu près normales… »

Ma bouche descendit lentement le long de son torse, ma langue parcouru ses pectoraux, et à mon tour, je suçais le bout de ses seins. Il me tenait la tête à deux mains en gémissant de plaisir, lorsque mon appendice buccal atteignit les poils de son pubis, il fut pris d’un énorme tremblement. Je crachais sur la pointe de sa queue noire, et ma langue étala ma salive. D’une main, je lui masturbais le gland tandis que de l’autre, je caressais ses couilles. Il gémissait sans discontinuer. Mes lèvres se positionnèrent sur le bout de son gland et ma langue titilla son méat, puis par petites saccades, j’enfournais le phallus brûlant. Sa bite glissait dans le fond de ma gorge, puis je la ressortais pour mieux l’avaler encore plus profondément… encore et encore… Il haletait comme un soufflet de forge, m’encourageait… me félicitait… son mandrin palpitait dans ma bouche, je m’excitais de plus en plus… mes mouvements de succions étaient de plus en plus rapides… je me masturbais d’une main… Il me malaxait les seins, avec force… Il allait sûrement jouir dans pas longtemps…

« Trixie… je crois que votre bouche ne suffira pas… ! »

Des pensées se bousculaient dans ma tête… Il n’est pas beau, vieux, grassouillet… mais il est noir, il a une bite énorme… et Boulier filme… je le laisse me baiser… oui petite Salope et tu vas aimer ça !! Et putain la prime… Il me releva, se mit derrière moi, sa grosse main noire, m’engloba le sexe, son majeur et son index pénétrèrent dans ma fente trempée. J’écartais les jambes pour faciliter ce doigter. Ndoumbé admirait mon dos qui se trouvait devant lui, il le léchait tendrement… il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l’arrière du porte-jarretelles.

« C’est ravissant, en Afrique il n’y a pas ces dessous. Ça vous va très bien d’ailleurs. Cela met en valeur votre féminité… et ça m’excite beaucoup… »

La partie en dentelle s’arrêtait juste à l’endroit ou partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissus, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes. Il en approcha son énorme sexe noir et le glissa entre la peau et la bande de tissu, et le frotta voluptueusement le long de cette raie
qui lui donnait sûrement des idées.
Il me pencha sur la petite table, me demanda d’écarter les jambes, j’obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d’une main, il le passa entre mes jambes, je sentis le gland qui faire quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres trempées de ma chatte. Le bout à chaque passage s’attardait sur mon clitoris et le frottait doucement, me tirant des gémissements d’extase.
Puis, il l’entra dans mes petites lèvres et attaqua l’entrée de mon vagin. Je cambrais les reins pour mieux le recevoir. Ma vulve, bien lubrifiée, pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l’on pouvait qualifier hors normes, n’eut pas trop de mal à accepter d’un seul coup la moitié du gros pénis noir. Il fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau couleur ébène. Il le retira presque entièrement et d’un coup de reins puissant enfonça son pieu entièrement. Je criais de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de reins. Ses mains serraient fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetais de contentement.
Toujours en moi, il se recula en m’entraînant et s’assit sur le banc de séparation du sas. Il me mit sur ses cuisses face à lui et m’empala de nouveau sans coup férir.
Je ne sentais plus que cet énorme rouleau noir qui remontait le long de ma paroi vaginale, qui me mettait le sexe en feu. Il prit de nouveau mes seins dans sa bouche et mordit un peu brutalement mes tétons, cela me fit à nouveau gémir de plaisir. Je fis pénétrer toute seule dans mon vagin la grande hampe noire, jusqu’à la garde et commençais des mouvements de torsion de mon bassin autour du sexe qui semblait encore avoir double de volume. J’appuyais fortement de tout mon poids, sur les cuisses du pharmacien congolais pour que celui-ci ne puisse pas retirer sa bite. Je frottais mes tétons durs comme de l’acier sur les poils blancs de se grand torse noir qui s’étalait devant moi, j’y écrasais mes seins, comme si je voulais les faire y entrer.
Je l’embrassais, lui fourrant rageusement ma langue dans la bouche, lui mordant la sienne Le plaisir montait rapidement en moi. Je commençais à être plus que pas mal excitée. Il me souleva légèrement en faisant attention de ne pas retirer entièrement son pénis, je sentis que son long majeur commençait à frotter doucement le bord de mon anus. J’émis un petit cri de surprise. Il ne me laissa pas le temps de la réaction, son doigt me pénétra. Il entrait doucement, mais sûrement. Je redoublais mon baiser pour lui montrer que je ne détestais pas cette caresse. Son majeur commença alors des allées et venues, et sa queue reprit ses va-et-vient dans mon vagin. N’y tenant plus mon plaisir étant au paroxysme, je ne le retins plus et j’explosais dans une gerbe de jouissance, la tête rejetée en arrière. Je râlais, hoquetais, les néons du plafond passèrent par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il me sembla que cela durait une éternité.

« Ouiiiiiiii, Ouiiiiiii… je jouiiiiiiiii…. putain qu’elle est bonne ta queue… déverse ton sperme… éjacule au fond de ma chatte… ouiiiiii… je veux sentir ta semence se répandre en moi…. »

A son tour, il se raidit, me tenant fermement enfoncée sur son énorme pieu noir, il déversa sa semence dans ma chatte, à chaque spasme je sentais son sperme chaud et visqueux couler au fond de moi. Lorsqu’il se retira, je tremblais encore de jouissance de la tête aux pieds. Lentement, je revins à la réalité. Nous étions restés assez longtemps dans le sas, il fallait se dépêcher. Je regardais sa queue, elle était poisseuse de sperme et de mon foutre mélangé, mais il avait débandé et elle pendait flasque… Les sanitaires étaient hors du sas, pratiques de bonnes fabrication obligent.
Je lui tendais une combinaison neuve, mais cette fois en choisissant la taille supérieure…

« Attendez, avant de l’enfiler… il faut nettoyer votre sexe… Il n’y rien ici pour le faire ! Je vais me servir de ma bouche et de ma langue… vous croyez que vous allez résister… et ne pas bander à nouveau ?
– Je ne sais pas… Je ne suis plus en érection, mais c’est bizarre… j’ai encore envie d’éjaculer… essayez… »

Je m’agenouillais devant lui, passait ma langue sur la longueur et tout autour du gros rouleau de chair noire, je suçais le gland pour le débarrasser de la pellicule visqueuse, et je sentis que sa bite reprenait de la vigueur. Je paniquais un peu, et je me mis à le masturber fermement. Tout en aspirant le gland mauve avec mes lèvres.

« Oh ouuuuiii…. Oh ouuiiiiii…. je crois que je vais jouuuuiiiiir à nouveau !! Tiens, tiens petite
Salope avale, avale mon sperme… c’est bon hein ? C’est la première fois que tu te fais baiser et que tu avales le sperme d’un noir ?
– Ben, non… lui répondis-je, tout en déglutissant le liquide tiède… »

Il eut l’air déçu… Sa queue était à nouveau vraiment ramollie, je l’examinais à nouveau, elle était propre, ma bouche avait fait des merveilles. Pendant que je revêtais ma combinaison, je le pressais pour qu’il enfile la sienne. Mes yeux firent le tour de la petite pièce, je découvris la petite caméra posée au dessus de la porte d’entrée. Le salaud ! Il avait filmé… le rose me monta aux joues… Il allait se régaler en visionnant la vidéo. A notre sortie, Monsieur Ndoumbé fut pris en charge par le responsable des fabrications, il devait avoir l’esprit ailleurs vu la tête qu’il faisait en écoutant les explications…

Une fois la visite terminée, mon chef d’un jour vint nous rejoindre. Il me prit en aparté.

« Ben dis donc, tu les aimes vraiment les noirs… putain, même dans les films porno je n’ai jamais vu un noir avec un tel phallus, aussi gros et aussi long… Tu l’as laissé te mettre entièrement sa bite monstrueuse… elle doit mesurer pas loin de trente centimètres et tu avais l’air d’aimer ça… qu’il te baise Salope. Quant au sperme qu’il t’a déversé dans la bouche, tu n’en as pas perdu une goutte !! Oui, j’ai tout filmé, j’ai récupéré la caméra, c’est très réussi ce petit film… Je dois t’avouer que je me suis branlé en te regardant… Mais j’y pense, c’est vrai, tu as l’habitude des grosses queues noires…non ? Celle de Gérald doit être assez conséquente. Il faudra qu’avec Gérald, on ait une petite conversation tous les trois … J’adorerai voir en réalité, une grosse bite noire pénétrer ta chatte… Mais pour en revenir à notre histoire, pour l’instant, je crois que l’on tient le bon bout… Tout à l’heure, il m’a dit que si la soirée était aussi réussie… Il signerait demain matin… alors je compte sur toi… Nous l’emmènerons au resto ce soir ! »

A suivre….

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