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Le covoiturage 2 – La soumission

Le covoiturage  2 – La soumission



J’arrête le moteur. Elle me tend sa chaussure sans rien dire. Je comprend qu’elle
veut que je la sente. Je met mon nez dedans et j’inspire profondément. Je m’habitue à
cette pratique. Je l’apprécie même. Elle caresse mon entrejambe de ses pieds pendant que
je fais ça. Elle est très douée, je suis à deux doigts de jouir. Voyant que je suis aux portes de
venir elle arrête tout et reprend sa chaussure.
– Vous savez que c’est très frustrant ?
– Oui c’est le but.
– Pour quelles raison…
– Ouvre moi la porte et chausse moi.
J’ouvre ma porte, je descend et ferme ma porte. Je fais le tour de la voiture et j’ouvre
la porte de Sofia. Elle me tend une chaussure, je la met à son pied. Elle me tend l’autre. Je
glisse son pied dedans. Elle semble attendre quelque chose de ma part. Je ne comprend
pas ce qu’elle veut. Après de longue minutes d’attente elle pivote pour avoir ses jambes
hors de la voiture. Elle tend sa jambe et remonte le long de ma cuisse. Elle appuis
légèrement sur mon sexe avec le bout de sa chaussure tandis qu’elle fait tomber sa
chaussure de l’autre pied. Ses caresses sont bonne mais je comprend que je dois la
rechausser. J’essaye de me pencher vers l’avant. Lorsque je commence mon mouvement
elle ralentit puis arrète son petit jeu. Je me remet droit et elle reprend. Je fléchi les genoux et
me retrouve à genoux. J’att**** sa chaussure. Elle dirige son pied vers mon visage. Je
commence à sentir son odeur. J’avance vers lui. Elle pose son orteil sur ma bouche. Je
comprend alors que je dois l’embrasser. Je dépose un baiser sur chacun de ses orteils. Je
remet la chaussure sur ce pied. J’embrasse l’autre chaussure tandis qu’elle change de pied
pour me caresser. Elle pose enfin ses deux pieds au sol.

– Nous allons pouvoir y aller. A partir de maintenant tu feras tout ça lorsque
nous entrerons ou sortirons de la voiture.

Nous allons au restaurant de l’aire de repos. Nous prenons une table assis l’un en face de
l’autre. Nous choisissons chacun notre menu. Sofia pose son pied entre mes jambes et
appuis sur mon sexe avec son talon aiguille. Une serveuse passe prendre notre commande.
Sofia dit ce qu’elle veut. Quand vient mon tour, elle prend un malin plaisir à appuyer sur mon
sexe avec son talon me procurant à la fois de la douleur et du plaisir. La serveuse ne
comprend pas ce qui ce passe au début, puis remarque ce qui se passe sous la table.

– Excusez nous madame, je suis en train de le dresser.
– Que voulez vous dire ?
– Il se trouve que ce monsieur que j’ai rencontré ce matin, c’est découvert une
passion pour mes pieds.
– Ce n’est pas commun il faut avouer.
– Oh si, plus que vous ne pouvez le penser.

Je fini difficilement de donner ma commande, la serveuse la note et s’éloigne. Elle dépose
un papier en cuisine et reviens vers nous avec des verres, de l’eau et du pain. Elle installe
tout sur la table. Pendant ce temps Sofia qui a laissée tomber sa chaussure malaxe mon
sexe de ses orteils.

– Votre dressage avance bien on dirait.
– J’essaye de le maintenir en permanence au bord de la jouissance.
– Et ça marche bien ?
– Jugez vous même.

Sofia se baisse pour ramasser sa chaussure, verse de l’eau dedans. Elle me la tend,
accélère légèrement ses caresses. Je prend sa chaussure, elle accélère encore. Je porte le
bord sur mes lèvres et boit toute l’eau dedans.

– Vous voyez je n’ai même pas eu besoin de parler.
– Et vous lui réservez quoi ?

Sofia fait signe à la serveuse de se pencher. Elle lui murmure à l’oreille. Les yeux de la
serveuse s’éclaire. Un grand sourire apparaît sur son visage et elle repart à son travail.

– Vous lui avez dit quoi ?
– Ce qui vas t’arriver.
– C’est à dire ?
– Ne t’inquiète pas comme toujours tu en redemanderas.

La serveuse arrive avec nos plats, elle sert en premier Sofia, puis vient mon tour. Elle prend
des frites de mon assiette et les dépose entre les orteils de Sofia. Elle part sourire aux lèvres
en nous souhaitant un bon appétit. Nous mangeons notre repas. En échangeant de
banalités. Nous finissons tous deux notre assiette.
– Tu vas pouvoir manger ton dessert.
– Vous voulez dire ces frites ?
– Bien sûr et sans les mains. Je vais appeler notre amie qu’elle assiste à ça.
Elle fait un geste en direction de la serveuse qui arrive aussitôt. Toutes les deux me regarde.
Je me penche. J’ouvre la bouche. Je prend une des quatres frites, je la mange, je
recommence jusqu’à la dernière. La serveuse se moque de moi.
– Il aurait du prendre tout son repas comme ça !
– Vous avez raison apportez nous deux part de tarte à emporter je vous pris.
– Bien sur.
– Et l’addition
– Vous nous quittez déjà ? Dommage j’aimais bien vous voir le dresser.
Elle s’absente et revient avec les part de gâteau et l’addition. Nous la payons, Sofia met les
parts dans son sac. Elle remet sa chaussure, nous nous levons et partons. Je passe la porte
je vois que Sofia et un peu derrière à discuter avec la serveuse. Elle me rejoint et nous nous
dirigeons vers la voiture. J’ouvre sa portière. Elle s’installe sur le siège passager, ouvre son
sac, sort les parts de tarte. Elle en dépose une au sol de la voiture dans son papier. Enlève

ses chaussures et l’écrase. Elle sort l’autre part de son papier et la mange. Elle fait remuer
ses orteils dans la nourriture au sol.
– Ah ! je vous ai trouvé !
– Vous tombez bien nous allions commencer.

Je ne fais pas attention à la personne qui vient d’arriver. Toute mon attention est portée sur
cette part de tarte qui se fait écraser. Finalement Sofia tend un pied vers moi. Je comprend
ce qu’elle attend de moi, je m’approche, leche la nourriture dessus. Elle replonge son pied
dans la bouillie faite avec la tarte et me la fais manger comme ça.

– Vous voyez comment il se régale.
– J’ai bien fait de prendre ma pause maintenant.
– Restez encore un peu si vous pouvez ça va être l’heure de sa leçon.
– Sa leçon ?

Il n’y a plus de gâteau au sol et ses pieds sont propres. Sofia sort mon sexe. Elle le prend
entre ses deux pieds et me branle. Par réflexe je prend une de ses chaussures et sens bien
l’intérieur. Au bout de quelque minutes je tremble à deux doigts de venir et elle stoppe tout.

– Pourquoi vous arrêter ?
– Pour te frustrer tu le sais bien.
– C’était tellement bon je voudrais venir…

La serveuse s’installe à l’arrière de la voiture et continu de suivre ce qui ce passe. Sofia
caresse mon sexe doucement. La tension baisse doucement.

– Vous faire ça souvent ?
– Cela m’arrive de temps en temps oui. Vous pouvez tomber sans vous y
attendre sur quelqu’un qui va être attiré par des pieds, aujourd’hui ce fut le
cas.
– Vous avez gagné le gros lot alors.
– C’est surtout lui qui à gagné ahah

Elle recommence à me branler avec ses pieds, je gémis la serveuse et Sofia se moque de
moi. Inconsciemment je fais des mouvement de bassin. Au bout d’une trentaine de seconde
je suis presque à bout. Sofia s’en rend compte et arrête tout. Un peu de foutre sort de mon
sexe mais la jouissance a encore été stoppé avant son terme.

– C’est marrant ce que vous faites.
– Oui ça s’appelle un orgasme ruiné. Vous poussez un homme à ses limites et
vous arrêtez tout. C’est extrêmement frustrant pour lui parce qu’il n’as pas la
sensation de jouir même si du sperme sort mais si vous reprenez ça lui sera
très bon et ça lui fera perdre la tête.
– Vous êtes sûre ? Il faudra que je teste.
– Oh oui regardez son état, il attend que ça jouir, bientôt il fera n’importe quoi
pour ça.

Sofia ne touche plus du tout mon sexe avec ses pieds. J’ai vraiment envie de plus. Le
sperme coule de mon sexe. J’ai envie de me finir à la main. J’approche ma main de mon
sexe.

– Ah ça non ! Ma chère, je suis désolée de vous déranger mais pouvez vous
attacher ses mains dans son dos s’il vous plaît qu’il ne se branle pas.
– Avec plaisir ça ira avec ce foulard ?
– Oui bien sur et serrer bien.
– Évidemment.
– Mettez lui aussi mon talon dans le cul.

La serveuse sort de la voiture. Met mes mains dans mon dos et les attache solidement avec
le foulard de Sofia. Elle prend ensuite une chaussure, pose le talon sur ma rondelle et
pousse. Je laisse échapper un gémissement.

– Il a l’air d’aimer ça.
– Vous savez dans son état il aime tout.

Sofia rapproche ses pieds de mon sexe et recommence à me branler doucement. Très
doucement même j’essaye d’accélérer le rythme avec mon bassin mais elle garde la même
cadence. C’est un supplice, c’est très bon mais ça donne envie de plus beaucoup plus.

– Regardez comme il se dandine.
– Il sera bientôt prêt oui.
– Prêt pour quoi ?
– Regardez vous verrez.

Sofia accélère d’un coup ses caresses. C’est inattendu, je lâche un gémissement, je
tremble, je vais jouir et Sofia arrête tout. Un filet de sperme coule le long de ma bite comme
avant. Elle l’essuis avec et pied et le tend vers moi. Je me baisse et m’empresse de le
lécher. Elle enlève sa culotte, écarte bien les cuisses. Commence à se toucher.
– Tu sais ce qui te reste à faire on a déjà fait ça mon chérie.

Je me met à genoux et je lèche et renifle ses pieds. Devant ce spectacle la serveuse
commence à se caresser aussi dans son pantalon. Elles gémissent toutes les deux. Après
cinq minutes comme ça Sofia s’avance sur le siège. Elle écarte bien les cuisses.

– Tu es près, viens prend moi.

Sans réfléchir je me jette sur elle est la pénètre. Je la baise violemment sous les yeux de la
serveuse excitée et jalouse. On peut remarquer la passion et la dévotion dans cet acte. De
grand va et vient dans la chatte humide de Sofia qui gémit de plus en plus fort. Elle continue
de se caresser le clitoris pour un plaisir maximal. Je gémis, je rentre bien mon sexe dans
cette antre chaude et humide. Après quelques minutes Sofia pousse un grand gémissement
de plaisir tandis qu’elle jouissait encouragée par la libération de Sofia la serveuse jouit aussi
de ses caresses quelques secondes après.
– Vous voulez essayer ?
– Il ne va pas jouir ?
– Oh ne vous inquiétez pas pour ça. Va lui faire sa fête elle aussi.
La serveuse se met en position et comme avec Sofia tel un a****l en rut je la prend
sauvagement, cette fois ci c’est Sofia qui en profite pour se toucher devant la scène. La

serveuse est étroite, jeune, je lui lime bien la chatte. Elle gémit de plaisir, hurle même. Elle
jouie après de longue minutes, suivie de Sofia.

– Putain c’était bon, mais pourquoi il n’as pas joui après ce que vous lui avez
fait subir ?
– C’est un effet du dressage.

Effectivement mon sexe est extrêmement dur, j’ai envie de jouir, je perd la tête mais rien ne
sort. Sofia me fait signe pour que je retourne la voir. Elle reprend ses caresses avec ses
pieds.

– Voulez vous bien lui mettre cette chaussure sous le nez s’il vous plait, il faut
qu’il jouissent en sentant mon odeur.
– Après ce que vous m’avez offert bien sur.
La serveuse prend la chaussure de Sofia, me la met sous le nez. Les pieds s’agite
sur mon sexe. J’éjacule en laissant échapper un long râle. Je couvre les pieds et les jambes
de Sofia de foutre. Elle en ramasse une partie pour le lécher et propose un autre partie à la
serveuse qui ne ce fait pas prier. Elle m’ordonne de nettoyer le reste avec ma langue ce que
je fit. Elle me détache. Sofia récupère ses deux chaussures et nous échangeons des adieux
avec la serveuse qui nous indique s’appeller Christina. Avant qu’elle ne parte nous
échangeons nos numéros de téléphone au cas ou nous passerons dans le coin à nouveaux.
J’embrasse les pieds de Sofia, les chaussures, ses orteils. Je referme sa porte, m’installe à
ma place démarre la voiture. Nous reprenons l’autoroute.

– Comment ça se fait que je n’ai pas jouis en vous baisant toute les deux ?
– Parce que je te dresse. Avec le temps tu ne pourras jouir qu’avec mes pieds
pour mon plus grand plaisir.

3 – Le dressage
L’excitation retombe peu à peu. Il faut dire que les passages sur la route ne sont pas

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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